Chapitre 5✔
- Rien pourquoi? m'empresse de demander.
- Commençons.
Elle ouvre son PC et va sur Google. Elle inscrit à la barre de recherche " Biographie d'Oswald Durand"
J'ouvre mon sac MK et je prends une feuille de papier et un stylo.
Je commence à écrire.
Je prends le jus Mistik, je l'ouvre et j'en bois une gorgée. Laissant le jus frais faire son passage dans ma gorge sèche.
Qu'est ce que ça fait du bien. Dis-je intérieurement.
Après avoir passé plus d'une heure à écrire. Et Tervens à taper le devoir. Nous avons terminer. Enfin il nous reste plus qu'à l'impressionner.
Je finis de boire mon jus en laissant un peu dans la bouteille. je regarde dans mon portable voyant qu'il est 6 heures.
Tervens n'a pas arrêter de nous faire rire avec ses blagues pourris. Il est un mec bien à l'entendre parler. Et, Vanessa en jugerait bon de l'initier à notre groupe. Genre on va s'asseoir dans dans le même banc et tout faire ensemble.
- je m'en vais les enfants. Dis-je en me levant.
J'ai 15 appel manqués de ma mère. Je suppose qu'elle s'inquiète.
- Dit on pourrait faire une pool party demain? Vu que je n'ai aucun ami ici. Je vais m'ennuyer.
- Je ne sais. Je vais demander l'autorisation à ma mère. Je t'en donnerai une réponse ce soir. Dis-je en lui donnant mon numéro.
- Pour moi c'est ok. Dit Tervens à son tour.
- D'accord! Je t'appellerais pour que tu ai le mien. Je vais vous raccompagner jusqu'à la porte.
En passant dans le salon sa mère n'y était plus
- Tu saluras ta mère de ma part. Dis-je en lui faisant un câlin.
Elle entre puis elle ferme la porte.
- on prends un Taxi moto? Me demanda Tervens.
- Non merci! Je suis beaucoup trop jeune pour mourir.
Les accidents des taxi-motos sont tellement courant en Haïti. Que je préfère suivre les sages conseils de ma mère. Qui consiste à les prendre qu'en cas d'extrême urgence.
- Bah! On fait comment pour rentrer chez nous?
- je vais prendre une camionnette. Je ne sais pas pour toi.
- Tu as 17 ans pas vrai? Commença t'il.
- Oui pourquoi?
- Non rien, je trouve juste que tu en fait trop pour ton âge.
- On me sort cette phrase si souvent. Je suppose que c'est à cause de ma discipline sportive.
- Vraiment? Tu en pratique laquelle?
- Le basket.
Avec tant de difficulté on a réussit à trouver une camionnette avec deux places libres.
Arrivant à la maison, il y avait ma mère, je l'ai surpris encore une fois entrain de pleurer à genoux.
Elle le fait si souvent que je ne trouve plus les mots appropriés pour la réconfortée.
Depuis que ma belle mère avait usée de la magie noire pour aveugler mon père pour qu'elle nous oublies. Ma mère pleure, devant moi, elle se montre forte, mais moi je sais bien qu'elle le fait seulement pour ne pas que je vois à quel point elle souffre.
Mon père vit à l'étranger, il a un boulot qui paie super bien. Il est ingénieur en informatique. Un beau jour dans une fête de champêtre. Il a rencontrer une mambo. Il a vite succomber à ses charmes. Et nous a vite oublier.
Il a bâtit une maison pour la mambo. Tandis que celle de ma mère reste en suspension. Il nous envoie de l'argent que lorsqu'elle se souvient qu'elle a une autre femme.
Le vodou est notre culture.
Une culture que je rejette si elle ne sert que pour en faire du mal aux autres.
- Maman! Commençais avec la gorge nouer.
- Laisse-moi seule. Aller va t'en. Dit elle en pleurant.
Je suis monté dans ma chambre, j'avais envie de pleurer mais les larmes ne sorte pas. J'avais envie de prier comme maman le fait si souvent mais ma manque de foi me le permet pas. Mon esprit de vengeance me l'interdise. Je veux juste que cette femme paie, qu'elle souffre comme nous.
Mais ma mère est chrétienne, elle croit en la justice Divine. Et elle me répète que ce n'est pas bon de rendre le mal pour le mal. Mieux vaut en laisser la trinité Divine se venger pour nous.
Je l'admire tellement, elle a toujours la tête froide et un coeur prêt à pardonner. J'aimerais être comme elle, avoir sa foi, avoir sa force et son don de support.
Sur ces réflexion je ne tarde pas à m'endormir. Le lendemain, je me lève de très tôt, je fais ma prière, ma toilette. Ensuite, j'aille à mon entraînement.
En combat j'ai déverser toute ma colère sur mon adversaire. j'ai même faillit le tuer. Heureusement que le sensei était là pour m'arrêter à temps. Le gars lui il était bien amorcher.
Il m'a renvoyer chez moi, sous prétexte que j'avais besoin de me changer les idées. À la maison j'ai fais la lessive et le ménage. Ma mère, elle était déjà partit au marcher en laissant bien sûre mon argent de poche.
Je l'appelle pour le prévenir que je vais à la piscine chez une amie. Elle a accepter.
Je suis monter dans ma chambre vers les 11 heures. Je met un court jean bleu, un débardeur blanc. Mes sandales bleue-marine et blanc, ainsi que mon bikini bleu marin et blanc.
Je laisse mes cheveux à l'air libre et je mets dans mon sac de piscine, crème solaire, serviette, habit de rechange. Etc. Je passe à la cuisine, je réchauffe ma nourriture de la veille et je le mange. J'espère que je n'en aurais pas le sommeil suite à cela. Car on dit que la nourriture réchauffée nous donne le sommeil. Je ne sais pas si c'est une vérité ou c'est encore l'une des mythes de la culture Haïtienne.
Je prends mon argent de poche et mon portable. Je ferme les porte. Puis j'appelle un taxi.
Aujourd'hui je vais faire une petite objection. Car je ne me vois pas monter dans une camionnette dans cette tenue là. Les gens vont mal me regarder.
Les habits courts sont en quelque sortes considérer pour des filles de joies. Est-ce pourquoi ma grand-mère disait que notre façon de s'habiller reflète qui on est. Elle envoit un message.
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