Bonjour je n'ai pas pût poster de chapitre plus tôt car il se passait n'importe quoi dans ma vie personnel et que je n'arrivait pas à écrire quelque chose de correct. Maintenant que j'ai enfin l'esprit libre je reprend l'écriture. J'espère que mon histoire vous plaira

Plusieurs habitants la dévisageaient et elle ne rendit compte qu'elle était toujours nue. Nue et amnésique perdu dans une ville au milieu d'une place , de monde. Charon aurait au moins put lui donner des vêtement. Mort de honte elle se cacha avec ses mains comme elle pue. Une vielle femme s'approcha d'elle et elle lui tendis sa veste. 

<< Euh madame tous vas bien, questionna la gentille femme, vous vous êtes faites agressé.

- Euh, c'est que ... Je ...

-Ne vous en faîtes pas, c'est normal d'être désorienté, je n'habite pas loin venez. Je vais vous trouver des habits ensuite, on appellera la police ensemble.

- Merci madame heureusement qu'il y a des gens gentils comme vous. >>

La vielle dame se tourna vers la foule.

<< Vous, vous n'avez pas honte Regardez ailleurs.

Elle l'emmena dans une petite bâtisse non loin d'ici. La maison était vétuste et semblait aussi vielle que la grand-mère. L'intérieur était petit et semblait un peu un désordre, mais l'ambiance y était chaleureuse. La vielle dame s'adressa à elle d'un ton doux.

<< Tu peux prendre ce que tu veux dans l'armoire dernière toi. Ma fille est en vacances alors elle ne m'en voudra pas.

<< Merci beaucoup vous êtes un vrai ange. Dans quelle ville somme nous au juste demanda Justine ? 

- Voyons ma chérie nous somme à Heaven, tu as perdu la mémoire en revenant à la vie ? Regarde par la fenêtre, tu vas comprendre. >>

Justine enfila une robe bleue élégante et jeta un coup d'œil à la fenêtre. Elle vit avec stupéfaction un grand vide bleu et des nuages. Comme si la ville volait dans les cieux. Elle recula, perdue un instant.

- Je crois que je deviens folle. Oui, c'est ça je suis juste une dingue. Non deux secondes, comment vous savez que je suis revenue à la vie ?

- J'étais comme toi autre fois, moi, mais ...

Soudain, des hommes armés ont défoncé la porte. Ils étaient quatre tous en Gillet par balle bouclier et fusils d'assaut. L'un d'entre eux dit d'une voie blasé

<< Justine Delambré vous êtes en état d'arrestation pour tu connaît déjà tes droits pauvres cinglé. J'espère que tu vas arrêter de t'évader, j'en ai marre de te poursuivre. Si tu t'évades encore une fois, j'te démonte. 

- Alan, s'offusque Elisabeth, laisse cette pauvre fille en paix toi et ta foutue milice vous ne nous créez que des ennuis. Ta mère doit être morte de honte au paradis

- T'es encore en vie la vielle, mais tu ne vas jamais crever. Je m'en fous de ma mère si tu l'aimes, tu n'a qu'a la rejoindre. 

- Attendez-vous me voulez quoi ? Je suis perdu là ... Qu'es que j'ai fais de mal, demanda la jeune fille ?

- Elle a encore perdu la mémoire, soupira un autre milicien , ce n'est pas vrai, tu es vraiment une plaie. >> 

Le dénommé Alan pointa Justine avec son arme.

<< Viens avec nous ou je vous tue toutes les deux. >>

Élisabeth s'est interposée

- C'est donc ça. Maintenant si on ne vous obéit pas, on meurt. Tu me fais honte Alan. 

- Comme d'hab 

- STOP. Je viens , hurlait Justine, je ne suis pas sûr d'être encore sainte d'esprit alors il vaut mieux que je vous suive. Et de toute façon, je ne vais pas vaincre tous ses hommes à moi toutes seul.

- Ne fais pas ça petite protesta la grand-mère.

- Merci pour tout Élisabeth. Je vous renverrai la robe de votre fille. >>

Elle se laissa emmener par le groupe armé vers le fourgon blindé.

Elle a était fouiller intégralement, mais les soldats semblaient avoir peur d'elle.

<< C'est bon dépêcher vous je ne mort pas et j'ai pas envie d'y passer la journée.

- Désolé, c'est la première fois qu'on rencontre une légende comme vous, c'est vraiment impressionnant. C'est moche que vous ayez perdu l'esprit madame. Je vous respecte tellement, dit il d'un ton très triste. Vous avez été mon modèle durant toute ma vie et je ne pourrai  jamais assez vous remercier. Vous au jardin noir c'est n'importe quoi. >> 

***

Gabriel s'était évadé après six mois. Six moi de famine où il s'était laissé mourir de faim dans son cachot pour réussir disloquer tous son corps et passer à travers une petite fenêtre.

Jamais il ne retournerait au jardin noir cet asile pleine de chauve-souris et de clown. Vivre au milieu de ses dégénérés lui aura servi de leçon.

Il a plongé dans les méandres de la folie humaine et il n'arrivait plus à remonter. Noyé dans ses cauchemars et pensé les plus sombres, il ne pouvait plus à distinguer le vrai du faux. Cet asile censé le guérir l'avait n'avais que le rendre vraiment dangereux et chaque pilule avait renforcé ses délires dévorant son esprit tel des piranhas. Après l’avoir drogué, on l'avait laissé dépérir dans un trou et il s'était mis à regretter les malades qu'il côtoyait. La seule chose qui l'animait était l'espoir de réussir à sortir un jour de cette merde.

Maintenant qu’il est sorti il devait se cacher mais ses forces l’abandonnaient Il vit un sans-abri qui se réchauffer les mains près d'une poubelle en feu et se dit que maintenant ils étaient pareils. Avant, il se moquait des pauvres maintenant, il est encore plus misérable. Il s'assit à côté de son ami de fortune cherchant un nouveau sens à sa vie dans les volutes de fumée mangeant le peux de nourriture volée. Pour finir il essaya de chasser ses démons en fermant les yeux.

Au réveil, Gabriele savait plus s'il avait était un homme d'affaire corrompu ou le capitaine du Thousand kebab, mais l'arme braquée sur lui était bien réel.