Dès que j'aime quelqu'un, mais même en ami, j'ai le droit au sermon habituel. "Ouais, tu vas forcément souffrir.", "On sait tous les deux que c'est toi qui finira le plus blessée.", "Il/Elle n'en vaut pas la peine!", "Tu n'es pas apte à survivre à une nouvelle faille!" et gna gna gnaaaaaa. Et je sais tout ça.

   Mais quand je suis seule, je suis toujours ramenée à des souvenirs désagréables donc bon...

   Tiens, en parlant de trucs désagréables, je peux plus penser au suicide -à la mort en fait- sans avoir des mouvements de répulsion inconscients. ._. En plus, en général, j'y pense pas avec du désir, c'est juste des micro-fragments de souvenirs, des images de films, des trucs comme ça. J'imagine que c'est rassurant d'un certain de point de vue. 

   Bref.

   Joachim, c'est mon côté misanthrope. Et dès que j'apprécie quelqu'un, il me rattrape. Et c'est très chiant. Par exemple, je peux pas vraiment dire ce que je ressens envers un gens. Piiiiiiire, y'en a que je déteste par moments juste parce que je les aime. 

   Cherchez pas la logique, je vous jure qu'elle n'existe pas. ._.

   Du coup, je retiens la majorité en moi, mais c'est pas génial non plus. :')

Sinon, parce que oui, j'ai la flemme de développer, c'est chiant à écrire les poèmes, mais j'suis fière de celui que je suis en train de faire. c: