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Cordialement, une Drama Queen.

   Mais nan mais, les gens en vrai, je crois que j'attire les psychopathes. Mais les bien hardcores, par contre. Genre vraiment: les hardcores tout court, ils détectent le danger jpp.

   Pour la petite histoire, A. est venu chez moi. Je sais pas comment il a eu mon adresse, vu que je la donne à personne et qu'il m'a jamais raccompagné. Franchement, c'est flippant...

   Enfin bref, j'entamais une deuxième semaine d'état larvé (là si vous voulez tout savoir, je l'ai fini, je débute la troisième lol). C'était la deuxième heure de cours de l'après-midi et on entend sonner. Mon frère, qui, lui, entame à présent ses trois mois de cet état, est allé ouvrir OUAIS PARCE QUE MES PARENTS SONT PROFS (Mon père est juriste, écrivain, avocat et prof de droit et ma mère de Culture G) DU COUP ILS ETAIENT PAS LA. MERCI PAPA, MERCI MAMAN ! (Enfin, surtout, toi, Maman, hein. Je le retiens ce coup-là: t'as environ huit heures par semaine, et t'es même pas là quand il faut empêcher un prédateur de s'approcher.... Tss...)

   Putain mais ma vie, on dirait un manga de merde stéréotypé. Genre comme par hasard les parents, ils sont pas là. Ou mieux,, j'habite carrément dans une grande baraque seule avec mon frère. Ca me fait penser à School Days jpp. :') Va savoir pourquoi, j'ai même pas regardé l'animé.

   Enfin bref, A. a parlé avec mon frère. J'ai pas tout distingué, mais j'ai entendu rire. Ensuite, ça a donné ça, si je me souviens bien:

"Elle est où ta sœur?

_C'est pourquoi?

_Du travail pour elle.

_C'est tout?

_En gros, ouais.

_Si j'entends quoi que ce soit de louche, j'te bute. (Bon par contre, toi, faudra m'expliquer. Un coup tu me sors qu'il vaudrait mieux que je crève, un autre, tu menaces de tuer quelqu'un... Faudrait savoir... A moins que tu aies peur que je perde ma virginité avant toi... Jpp, c'est tellement improbable que ça me fait rire. Ou que tu fais comme Papa, "l'honneur de la famille, même si je te hais". M'enfin bon...)

_T'es bien comme ton père, toi... Au fait, il est là?

_Nan. Il bosse. Tu veux voir toute la famille ou c'était pour du travail?

_Du travail."

   J'ai entendu leurs pas et, devant ma porte, J. a lâché un: "C'est là. Oublie pas ce que j'ai dit.

_J'oublie pas, même si je doute que t'y arrives, gamin.

_Me sous estime pas, au pire, j'aurais la Justice de mon côté.

_Ouais... Tu peux nous laisser deux minutes?

_Je comptais pas rester. (Il est retourné dans le salon, je crois. Il passe sa vie au salon devant la tété, ça m'étonnerait pas...)"

   J'étais derrière la porte, il a tourné la poignée. Quelle bonne idée j'ai eu de la fermer à clefs. *^*

"Sally...?"

   J'ai même pas eu la force de répondre jpp.

"Ça fait une semaine qu'on te voit plus. Le travail commence à s'accumuler, tu sais. Tu supportes ça? T'es pas censée être une travailleuse acharnée?

_Dégage.

_Oulah, mais c'est qu'elle grandit, ma petite Sally. Elle dit des gros mots maintenant. Sinon, nan, ça me tente pas là, vois tu. Si c'est pour que tu finisses comme l'année dernière, il est hors de question que je parte aussi facilement. Tu vois, j'anticipe maintenant.

_Je m'en tape. D'une, je fais ce que je veux de mon corps et de ma vie tant que c'est pas illégal, de deux, c'était pas la peine pour le travail, je sortirais pas d'ici. Et je retournerais pas dans ce lycée de merde.

_Même pas pour me voir?"


   Les larmes ont alors envahies mes yeux. Non. Surtout pas pour le voir.


"Dégage, je te dis. Dégage."

   J'ai entendu son dos glisser contre la porte.

"Tu sais, c'est pas bon pour toi de te renfermer, comme ça. Sérieux, c'est pas sain. Sors, fais quelque chose. Ouvre moi, au moins..."

   J'ai ri. Doucement. Ironiquement. A travers les larmes.

"T'es bien la dernière personne que j'ai envie de voir."

   J'ai attendu un moment avant de reprendre:

"Pas pour le moment, du moins."

   On est restés là, pendant quelques minutes. Dos à dos contre une porte fermée à clefs. Il y a eu un froissement de papier et j'ai senti que quelque chose forçait le passage dans mon dos.

"Le travail de la semaine. J'ai séché le premier jour où t'as pas été là alors c'est pas mes notes au début. Mais tout ce qui est imprimé c'est moi. Tu me diras s'il y a des fautes."

   Il est parti.













Avouez, j'ai des côtés très chieuse. Enfin, vous le saviez déjà... Avouez j'ai des côtés très adolescente chiante et clichée. 

  Oui, ce truc m'a pris une semaine en écriture. Lol.

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