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Halloween endiablé

Bakudeku: ( BDSM )

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Nous sommes le trente-et-un octobre. J'adore cette date, avec Katchan, on a mis une tradition en place. Enfin, elle s'est imposée, car on surenchérit toujours sur les farces de l'autre. Cette année, je dois préparer le repas, et j'ai décidé de faire de la purée de pomme de terre rose et la dresser comme un cerveau humain avec du soda pétillant vert. Bien sûr, j'ai aussi prévu de faire de la viande saignante avec un dessert... explosif ?

Bien entendu, je suis sur mon jour de congé. Lui doit encore gérer quelques affaires, mais il m'a promis de ne pas rentrer trop tard. Nous sommes dans le top dix des héros du Japon, nous sommes actuellement les deux plus jeunes du top dix. J'ai commencé le métier plus tôt, mais il m'a vite rattrapé avec ses exploits scolaires.

"-Il n'est que treize heures, je vais commencer mon maquillage puis je préparerai le dîner."

Je me lève, marche vers la chambre et ouvre notre armoire. Elle est haute et très spacieuse. J'y sors un ensemble noir, je prends aussi quelque accessoire et me rend dans la salle de bain adjacente à la chambre. Elle n'est pas très spacieuse, mais parfaite pour une seule personne. J'ouvre le rideau de douche et ouvre l'eau. En attendant qu'elle chauffe, je me déshabille, observant les cicatrices de mon corps, essayant de trouver une idée de maquillage.

J'avoue que cette année, je reprends les bases. Je cherche à faire simple et efficace. Je sens la vapeur de l'eau enrober la pièce. J'entre dans la cabine de la douche, l'eau m'en brûlerait presque la peau. Je fredonne des chansons de film d'horreur, savonnant une par une les différentes parties de mon corps. Je n'oublie pas de nettoyer cet endroit si... Ai-je vraiment besoin de finir cette phrase ? Après tout, il ne faut pas l'oublier, je suis en couple avec une personne très endurante et légèrement impatiente. Je termine ma douche en me passant de l'eau sur le visage et attrape la serviette qui est accrochée à proximité.

La douche faite, je mets mon débardeur noir et un slim de même couleur. Ce que j'aime avec cette tenue, c'est sa simplicité, mais surtout l'apparence qu'elle me donne. Il est quasiment quatorze heures et je n'ai toujours pas commencé mon maquillage. N'oubliant pas que je dois passer à l'agence pour apporter son costume a Denki et les affaires que Shinso avait oubliées lors de la fête d'anniversaire de Tokoyami.

Pour mon maquillage, j'opte pour un squelette. Je prends donc un modèle et commence à dessiner les os au crayon noir sur mon visage. Pour ce qui est du reste de mon corps, je pense fait des os aussi, mais je ne veux pas gaspiller tous mes produits. Tout en continuant de tracer les os, un éclair de génie traverse mon esprit. Et si je faisais les os avec de la peinture pour le corps aux couleurs de cette fête effrayante ?!

Je reviens à la salle de bain avec une grosse boîte de peinture et la pose sur le lavabo. Je reprends mon dessin et m'attaque à mes bras une fois le visage terminé. C'est long et chiant, je me trompe plusieurs fois sur le placement des os, mais je réussis à finir les tracés. Je me mets alors à peindre mon visage avec quelques reflets orange et pour les bras, j'opte pour quelque tache de sang. Ayant longtemps dessiné mes héros préférés, je me débrouille plutôt pas mal. Le pinceau passe sur mon visage sans oublier mon cou et mes épaules pour repartir vers mes bras. Je passe sur mes mains très rapidement, car de toute façon, je porterais des gants. Quand on vient à l'épaule droite, tout se complique. J'ai beau être devenue ambidextre à cause de mes nombreuses blessures, je tremble énormément de la main gauche. Je l'utilise au moins une fois dans le mois, mais mes gestes restent tout de même très imprécis. Néanmoins, si on prend en considération le fait que mon mec est un maniaque colérique, tout ce qui a pu déteindre sur ma personnalité, c'est son obsession pour le travaille extrêmement bien fait.

Et oui, contre toute attente, je n'ai pas pris son mauvais caractère, mais bien son obsession pour que tout soit parfait. Ce qui fait qu'une fois par semaine au moins un de nous fait le ménage dans absolument tout l'appartement. Ce qui nous amène à des situations bien drôles. Une fois, il m'avait engueulé, car je ne passais pas l'aspirateur correctement, mais moins d'une heure plus tard, je lui fais la morale parce qu'il ne se sert pas correctement de l'électroménager.

Je termine enfin la peinture de mon épaule gauche et admire mon œuvre dans le miroir. Je regarde encore une fois l'heure et constate avec étonnement que le tout m'a pris beaucoup moins de temps que je ne l'aurais pensé. Il est quinze heures et il me reste deux heures avant de me rendre à l'agence.

Pour passer le temps, je décide de préparer tout le petit bordel que je dois ramener avec moi. Je n'y passe pas un temps fou non plus, mais avec la peinture qui sèche toujours, je ne peux pas me permettre de faire attention à tous mes mouvements. Me faisant me tordre dans des positions délicates. Vient maintenant le moment de préparer le dîner. Je ne fais que faire bouillir des pommes de terre et préparer la pâte à pancake. Je la colore de différentes couleurs : rouge, orange, noir, vert, jaune, et bien d'autre. À côté, je prépare aussi de la crème au chocolat et une crème au caramel. Ma pâte à pancake étant à la vanille, le mélange devrait s'annoncer excellent. Je prépare aussi quelque petite décoration en pâte à sucre avant de me mettre à la cuisson du pancake. C'est un assez grand tableau que j'aimerais représenter.

C'est le modèle sous les yeux que je dépose la pâte encore tiède sur la plaque brûlante de la plancha que j'ai allumée et légèrement graissée pour l'occasion. D'ailleurs, je pourrais l'utiliser pour le plat principal, au lieu de faire de la viande saignante, je pourrais faire dorer les pavés de saumon qui repose dans le frigo. Je mets mes pensées de côté pour me concentrer sur mon œuvre d'art. On peut déjà voir apparaître le paysage lugubre du cimetière prendre forme. Je n'oublie pas de bien tout remplir avec le fond de pâte que je prends la peine de colorer et de verser dans les espaces qui jusqu'à maintenant étaient vides. En attendant la cuisson de toute cette pâte, je sors les pâtes de saumon fraîchement pêchées hier. J'ai de la chance d'être parti aider Froppy dans son sauvetage hier, car sinon je n'aurai jamais pu obtenir des morceaux d'aussi bonne qualité en supermarché.

Ce n'est que vers seize heures quarante-cinq que je termine tous les préparatifs du repas, n'oubliant pas de nettoyer le plan de travail et de bien ranger tout à sa place. Je sors de la cuisine, prends le bordel que je dois apporter avec moi, mes clefs de voiture et mets mes chaussures assis devant l'entrée. Une fois mise, je me lève, sort, n'oubliant pas de verrouiller la porte derrière moi et je pars prendre l'ascenseur. Dans l'ascenseur, je porte le petit sac, avec les affaires de Denki et de Shinso, de la main gauche et scrolle sur les réseaux de la main droite. J'arrive rapidement au rez-de-chaussée et passe la porte, j'appuie sur le bouton de ma voiture la déverrouillant distance et y entre. Je roule tranquillement jusqu'au bâtiment de l'agence et la gare non loin. Les rues ne sont pas très décorées, mais on y sent quand même l'esprit d'Halloween. Bien sûr, je reste très connu donc c'est après une séance de photo improvisée avec un groupe de fan que j'entre enfin dans le bâtiment et rejoint les vestiaires sans oublier de saluer les quelque personnes que je croise. J'entre sans toquer dans le vestiaire masculin et lance un bonjour général. Je m'assied sur un des bancs installé dans la salle et attend patiemment l'arrivée de l'équipe de mon homme.

Je discute avec les quelques héros présents, nous ne parlons pas de choses très intéressantes, mais le temps passe très vite. Tellement vite que je prends conscience du temps qui est passée seulement quand la porte s'ouvre sur le groupe de Denki comportant tous les mecs de la Baku squad de l'époque de première année de lycée. Je salue les nouveaux arrivants sans oublier de mettre fin à mes précédentes discussions poliment. Je pars ensuite rejoindre mon mec devant son casier et lui claque le cul. Il sourit. Il avait déjà enlevé son haut, mais ça ne l'empêche pas de me prendre par la taille et de l'embrasser à pleine bouche devant tout le monde. Je réponds à son baiser dans l'hésitation et me recule de lui quand je commence à entendre les remarques de nos collègues.

"-Prenais une chambre ou attendez d'être chez vous pour vous sauter dessus" avait lancé Eijiro non loin de nous

"- Trouve-toi quelqu'un et après, tu pourras critiquer tête d'ortie"

Et c'est ainsi que commence une longue et habituelle dispute amicale. Pendant qu'on se chamaille, je rejoins Denki qui lui commence à dépendre des câlins de son petit ami et lui donne le sac. Ils me remercient et reprennent leur moment câlin. Je décide donc de retourner voir les deux gamins qui se chamaillent, ne voulant pas tenir la chandelle pour le couple. À leur hauteur, lance à mon petit ami mon haut, étant un peu possessif et jaloux de nature, je n'aime pas qu'ils prennent du temps dans les vestiaires, ça permet aux autres de pouvoir le mater. Je le vois enfiler son t-shirt, mais il vient vers moi, il me contourne pour chercher un truc dans son casier et revient m'embrasser chastement cette fois-ci.

"- mets le et je me retirerai à la maison." Cette phrase fut murmurée à mon oreille de sa voix sauve. Comment résister à cette putain de voix trop sexy ?

Je me rends donc aux toilettes, ne tenant pas à ce que tout le monde me regarde m'enfoncer un œuf vibrant dans l'anus. Je m'enferme dans une des cabines et me s'isole le doigt. Une fois qu'ils sont bien humides, je commence à me détendre et enfonce l'œuf sur ma prostate. Je profite de ma venue aux toilettes pour coiffer les cheveux qui depuis le lycée ont bien changé, un peu comme mon corps d'ailleurs.

Depuis mes années d'études, j'ai pris du musclé, mais pas que j'ai aussi de nombreuses nouvelles cicatrices qui sont apparues. Les changements ne se sont pas arrêtés là, j'ai grandi de quelque centimètres, j'atteins le mètre soixante dix maintenant même si katchan lui est arrivé à un mètre quatre-vingt très rapidement. J'ai aussi changé de coiffure de et look, j'ai un undercut assortis avec celui du blond, car moi, j'ai la lettre "k" dessiner et lui, il a préféré la lettre "D" ce qui ne m'étonne pas le moins du monde. Nos amis, nous, on fait beaucoup de remarque là-dessus et la presse a directement réagis quand ils l'ont remarqué. Je me souviens que l'information avait fait tellement de bruit que nous avons fait partie du top dix des informations les plus recherchés sur internet deux semaines d'affilée. Pour ce qui est des autres changements physiques, je les ai aussi faits avec Katsuki mais aussi Denki et Kirishima pour embrouiller les médias. Ils n'ont jamais supporté une seule fois que je puisse être en couple avec le héros le plus turbulent du top dix. Ce qui a grandement énervé mon beau blond qui pour arrêter les quiproquos sur mes relations avec les autres héros m'a tout simplement embrassé après un sauvetage difficile, même si je me doute bien qu'il s'était aussi inquiété ce jour-là, mais ne voulais pas l'avouer. C'était un gros accident qui avait fait quatorze morts et plus d'une centaine de blessés. Katsuki avait été mis au courant à la fin, car il était convalescent à cause d'une blessure infligée par un vilain. J'avais aussi reçu une sévère "punition" pour m'être mis en danger inutilement.

Je suis sorti de mes pensées par des vibrations dans le bas du dos, je devine facilement que vers Katsuki qui s'amuse avec les commandes de réglage à l'intensité des vibrations augmenté rapidement. Mes jambes tremblent et je suis obligé de me tenir au lavabo pour rester debout, un petit gémissement sort de ma bouche quand tout s'arrête. Je rejoins mon homme rapidement, ne voulant pas subir une deuxième fois de si intense vibration en public.

Je retourne aux vestiaires, les vibrations ont recommencé, mais sur une très faible intensité me permettant de marcher à peu près normalement. Sur le chemin, je croise Sero et Mina, je les salue de loin et entre dans la salle. Presque entièrement vide et comme seul fond sonore une discussion. Je viens me place devant mon mec et il m'entoure de ses bras continuant de discuter avec Eiji qui était à fond dans ses explications.

"- Mec, si tu es si branché meuf en ce moment, trouve-toi au moins un plan cul."

"- je veux bien, mais coucher sans relation avec un héros du top cinquante, ce n'est pas quelque chose de commun."

"- Au pire, tu peux aussi t'acheter des jouets ou aller dans des clubs, essayer de nouvelles pratiques."

"- je ne suis pas branché orgies, et de toute façon tout le monde va me reconnaître."

"- il y a un club SM / BDSM qui vient d'ouvrir, tu peux y aller avec un masque ou quelque chose qui cache ton identité. Il faut juste qu'une, tu remplisses un formulaire en ligne ou par téléphone pour dire que tu n'as pas de MST et que tu n'es pas un dangereux criminel recherché. Et si tu le veux, il garde ton dossier confidentiel pour éviter tout problème."

Je regarde mon mec choqué, comment il sait tout ça ? Ne me dis pas qu'il y va !

"- Calme-toi, tu es mon seul soumis, c'est avec eux que j'achète les jouets. Et la gérante et une grande amie a ma mère. Pour être exacte, c'est l'ex de son ex." Il me sourit légèrement

Je suis soulagé. Mais je pense que Eiji ne se doute pas de nos pratiques, pourtant il m'arrive souvent de garder des marques de cordage. Elles sont visibles en plus quand je me change. Keigo m'a déjà fait la remarque sur le fait que Katchan devait bien s'amuser, en plus pour les séances de punition, j'ai déjà gardé un tracé sur le visage. Rien d'important, juste la marque de la cravacher qui est resté toute une journée.

C'est seulement après une discussion mouvementée sur les pratiques sexuelle que j'ai expérimentées avec Katchan que nous rentrons à la maison. Bien sûr, il ne s'était pas gêné pour jouer avec les commandes de l'œuf en plein rue me faisant tomber quelques fois ou gémissement dans des endroits public tel qu'un bar dans lequel nous nous sommes arrêtés pour boire sur la demande de monsieur qui voulait voir le spectacle que l'enseigne présenter. Il m'a aussi abandonné en pleine rue avec les vibrations de l'œuf au fond. Je sentais mes jambes flancher et mon sexe se dresser. Mais heureusement, nous sommes rentrés tout de suite après et mon cher petit ami m'a mis mon collier, ce qui veut dire que nous allons jouer. Il a commencé simple en me recouvrant de baiser papillon sur tout le corps s'amusant à titiller mon téton et à suçoter les parcelles de peau recouvrant mes côtés. Il me lâche finalement, haletant sur le canapé du salon pour aller chercher un sac dans la chambre. Je le vois en sortir une queue de chat et des oreilles qui sont assorties. Il m'enlève mon bas. Il m'ordonne de m'asseoir sur ses genoux face à lui et il me retire l'œuf, mais qu'il remplace bien vite par la queue de chat. Je ne peux empêcher un gémissement quand je sens qui pince mes tétons tout en stimulant mon sexe. C'est tellement bon. Il me claque le cul et réclame son repas.

Je me lève, part dresser les assiettes et lui les apportent à table. Il regarde le plat avec un léger sourire mignon sur le visage. Avant que j'aie le temps de déposer mon assiette, il me la prend des mains et la pose près de ma sienne.

"- Un bon maître se doit de nourrir sa propriété, tu ne penses pas, chaton ?" Dit-il d'une voix sexy.

Je rougis et mon érection gonfle de nouveau. Je la cache comme je peux avec mon haut et prend mes couverts pour les lui tendre. Je n'ose même pas ouvrir la bouche de peur qu'il utilise mes paroles contre moi. Il me fait signe de venir de nouveau sur ses cuisses. Cette fois, je me mets face à la table et continue de cacher mon intimité. Même si je sais qu'il la sent très bien sûr sa cuisse. Il me donne à manger, faisant l'avion avec la fourchette comme pour un enfant.

Tout le repas s'est déroulé dans la joie du jeu, mais à peine arrivée au désert qui me faisait déjà comprendre qu'il ne tiendrait plus très longtemps. Je m'empresse d'aller chercher la pâtisserie que j'ai faite un peu plus tôt et y coupe deux parts. Il réitère son ordre de m'asseoir sur lui. Il me donne aussi de nouveau à manger. Une fois qu'il a terminé son assiette, il attrape le dessous de mes genoux et se lève Me provoquant un hoquet de surprise.

Nous allons vers la chambre. Mes jambes toujours écartées avec ses mains me portant avec facilité. Je ne peux m'empêcher d'apprécier le moment. Une fois dans la chambre, il s'assit au bord du lit et me fit descendre. Je me mets à quatre pattes devant lui et sans qu'il me donne d'ordre, je lui réclame sa bite.

S'il y a bien une chose que je cache bien aux autres, c'est mon côté pervers. Car pendant les jeux, il prend le dessus seulement quand la porte de la chambre se ferme. Je deviens alors une bête affamée.

Il me sort de mes pensées en collant à ma joue son membre durci. Je le lèche dans toute sa longueur avant de le prendre entièrement. Déjà trop impatient, je commence avec des mouvement ni trop rapide ni trop lent, car après tout faux pas qu'ils viennent maintenant. Je sens sa main se poser dans mes cheveux et son sexe s'enfoncer brutalement au fond de ma gorge. Des larmes coulent de mes yeux. J'ai beau aimer que ce soit brutal, ça n'en reste pas moins douloureux. Il recommence une deuxième fois avant de venir essayer les larmes qui dévalent mes joues. Il se retire de ma bouche et me fait monter sur le lit. Il attrape un préservatif lubrifié et le place sur son membre. Je sais que nous sommes un jour de fête, mais quand même, je ne l'ai jamais vue aussi impatiente. Il s'assit en tailleur au milieu du lit et me fit signe d'approcher. Il me retire le plug et les oreilles les balançant quelque part dans la chambre et me demande de m'empaler moi-même. Je ne conteste pas et me place au-dessus de lui. Il me regarde avec envie. Ses yeux dévoilent toute la luxure de ses pensées et ce que ça m'excite ! Je descends progressivement sur son membre et gémis de plaisir. Je ne suis qu'à la moitié, mais le plaisir est déjà très intense. Dans cette position les sensations sont comme décuplés, j'ai l'impression d'être rempli. Je le sens m'embrasser le cou et à cause de toute la peinture, il ne peut pas me faire de suçon. Ses mains deviennent aventureuses, mais s'arrêtent sur mes hanches. C'est dans un coup de rien qu'il s'enfonce entièrement en moi. Je gémis sous le coup de la surprise, mais je me retiens in extremis de jouir.

"- tu n'as pas le droit de te toucher, de jouer ou de t'arrêter de bouger sans ma permission, d'accord !?"

"- Yes Daddy." Gémis-je difficilement en réponse à ses ordres.

Il ne bouge pas son bassin et m'aide à bouger le mien avec ses mains. Je m'appuie sur ses épaules pour rester stable et vérifie constamment qu'il prend son pied. Nous continuons ainsi jusqu'à ce que ça devienne frustrant et fatiguant. Mon corps atteignant presque sa limite, je le supplie d'une voix cassée de me prendre comme il sait si bien le faire. Il ne répond pas, mais se retire, il me plaque sur le lit à plat ventre, remontant mon bassin, main gardant mes deux mains emprisonnée dans sa poigne un peu au-dessus de ma tête. Il commence alors des mouvements de bassin brusque et désordonné, mais tout de même rapide, me provoquant un plaisir monstre. Je me mets confortablement en gémissement, mais je hurle surtout de bonheur quand il touche ma prostate de Pékin foyer. Fière de sa trouvaille, il la martyrise, me poussant à l'orgasme, mais bloquant la sortir du sperme avec sa main. Mes mains était certes libre à présent, mais elle empoigne les draps avec force et m'aident à garder le peu de conscience qui me reste. Quand je sens que je ne peux vraiment plus, je recommence à supplier Katchan.

"- Daddy, je n'en peux plus... j'ai besoin de jouir... je veux venir... Daddy !" Prononçais-je difficilement.

Mes larmes coulent à nouveau et avec tout le plaisir que je reçois j'en perds la tête. Le sens finalement une douce chaleur venant de mon anus et sa main qui entreprend de rapides mouvements sur mon membre et ses reins qui continue tout de même à claquer avec force avant de s'arrêter net. Je jouis. Il s'écroule à mes côtés, le court souffle lui aussi. Les seuls mots que nous échangeons, nous les disons à l'unisson.

"-C'était notre meilleure séance."

Nous rigolons avant qu'il se lève pour faire couler un bain pour nous nettoyer. Il m'emmena dans la deuxième salle de bain et enleva la peinture de mon corps avant de venir me déposer dans un bon bain chaud. Il s'installe à l'arrière et me câline tout en nous savonnant. Il nous sèche et nous ramène dans le lit ou il change bien sûr les draps, les remplaçants par de nouveaux que j'avais déjà préparé en prévision des événements qui allait venir. Et nous nous couchons non sans nous embrasser avant de tomber dans le pays des songes. Je suis collé à son torse, tous deux en tenu d'Adam et lui me serrant fermement dans ses bras, posant sa tête dans mes cheveux et me murmure une dernière phrase avant de tomber définitivement dans le royaume des rêves.

"-Bonne nuits d'halloween. Je t'aime."

Je souris et tombe à mon tour dans les bras de Morphée.

Je peux vous le dire, c'était la meilleure soirée d'halloween que j'ai vécu.

Fin

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