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Être séparer, c'est nous faire souffrir

Je te regarde, je t'observe. Nuit et jour. Je t'aime de là où je suis et tu me hais de là où tu es. Je t'ai fais souffrir et je le regrette. J'en avais aucunement l'intention. Mais s'est arrivé. Ce jour, où j'ai perdu la vie. Ce jour, qui a été ma dernière bataille. Te laissant derrière mon dernier souffle. Chaques secondes, chaques minutes tu étais là. Tu as toujours été là comme j'ai été toujours là pour toi. D'ailleurs je le suis encore mais tu ne le remarqueras jamais tant que tu ne passeras pas l'arme à gauche. Ce que je souhaite pas. Mais en te voyant dépérir, mourir, te detruire à chaque fois que mes yeux se posent sur toi. Je le regrette. Je regrette de t'avoir forcer. Mais à ce moment là, je voulais juste te savoir en sécurité, te voir sourire et rire. Alors je t'ai forcer à vivre. Je n'aurai pas du, je l'ai bien vu. J'aimerais te parler, te toucher pour te dire que ca va aller. Je ne le peux pas mais sache que je suis toujours là. Dans ton coeur comme dans le ciel. Pour faire fasse à ta tristesse, je t'ai vu te battre, te venger, mais aussi te tuer. Pour faire fasse à cette tristesse de te voir te consumer, j'ai fermé les yeux. Je les ouvert à la suite ne pouvant me résoudre à ne rien remarquer. Mon amour pour toi, ton amour pour moi nous brûle de l'intérieur franchissant les portes de la mort et de la vie. J'ai supplier pour être avec toi, j'ai frapper pour être avec toi. Mais les portes ne se brise pas si facilement. Les morts doivent rester à leurs place et ne jamais se balader dans le monde des vivants. J'ai briser cette loi, pour toi. On m'a vite repris. Mais ils ont compris en me voyant désespérer, en te voyant trépasser. Ils m'ont laisser descendre de cette enfer sans toi. Je suis de retour, mais pas pour longtemps. Je ne peux être vu, comme un fantôme. Au lieu d'être "comme", je le suis véritablement qu'un fantôme du passée. Pas pour te hanter mais pour te revoir et t'aimer. C'est égoïste de ma part mais je compte bien t'emmener. Un fantôme ne peut revivre mais un vivant peut succomber. Je le regretterai aussi, sûrement. Je serais un meurtrier selon toi. Selon tous le village. Après tout voir un être aimé prendre le reste de sa moitié dans l'au-delà ne peut qu'etre détester. J'arrive lentement et calmement. Et tu es là fixement en attendant. Peut-être le sais-tu que je suis là? Peut-être m'attends-tu? Je m'approche toujours à grand pas. Tu reste sur place regardent tristement les habitants. Eux aussi te regarde l'air abattu, ils te regardent ainsi et je ne l'apprécie. Mais je te vois et devient aussi malheureux que tu l'es. Je ne sais pas comment t'emporter avec moi. Ma résolution devient dur comme fer en croisant ton regard vide. Je suis devant toi. Tu me fixes inconsciemment, en vérité tu fixes le vide et moi je te fixe ma bien-aimée. Je recules ne sachant quoi faire. J'ai eu la chance d'aller te retrouver mais aussi le malheur de ne pas pouvoir te parler. Mais je le fais tout de même imaginant que tu puisses me repondre.
<<- Astrid, je t'aimes tellement. Même au Valhalla je penses encore à toi. Ils m'ont laissés la chance de te revoir. Mais sa me brise plus le coeur qu'autre chose.>>
Ma main se déposa d'elle même sur ta joue si douce. Je te regardait et te souriait d'un regard bienveillant. Ta main se déposa sur la mienne. La chaleur de ton corp m'avait manqué. Je t'observa à nouveau. Tes larmes m'ont toujours detruit. Tu sanglotait silencieusement. Je m' inquietais toujours pour toi dans ces moments là. Les habitants firent un cercle autours de nous. Enfin d'Astrid. Ils etaient comme avant. Ils n'ont pas changé en deux ans. Astrid me regardait les larmes aux yeux. Son regard m'avait lui aussi manqué.
<<- Harold? Tu-Tu>>
Sa voix se brise à la dernière syllabe. Elle me voit? Je ne peux pas y croire...Les dieux ont exaucé ma prière! Mon coeur rata quelques battement en comprenant la situation.
<<- Oh Astrid tu m'a tellement manqué. Je ne suis là que pour quelques minutes. Les dieux ont céder à mes prières, à mes supplications.
- Tu va repartir? Reste je t'en supplie! Je ne suis rien sans toi! Ne m'abandonne plus.>>
Sa voix s'est éteinte petit à petit. J'ai l'impression d'être un monstre pour ce que je vais lui faire.
<<-... Je ne t'abandonnerait plus. J'ai toujours été là. Je te regardait, j'observait chacun de tes gestes. Je ne peux te laisser comme ça. Je t'ai vu pendant deux années te briser chaque minutes, chaque secondes depuis que je suis parti.
- Tu étais vraiment la? Je t'aime tellement Harold. Si tu savais comme j'ai rêvé de te revoir. Je veux rester avec toi, je ne te laisserai plus repartir.
- Moi aussi. Je suis désolé pour ce que je vais faire Astrid. Mais un mort ne peut vivre dans le monde des vivants.
- Alors pourquoi es-tu venu?
- Je suis venu t'emmener avec moi au Vahlala car que se soit Astrid sans Harold ou Harold sans Astrid ce n'est pas une vie si on est séparé. Rejoins moi je t'en supplie.
- Emmène moi. J'abandonnerais ma vie pour toi. Pas besoin de me supplier je te suis aveuglement.>>
La sensation de ces lèvres contre les miennes est divine a chaque fois. Je vais regretter, je vais me sentir mal au point d'en perdre la tête. Mais je préfère devenir fou pour être avec Astrid que sain d'esprit et l'avoir perdu à tout jamais. Mes autres compagnons nous regardaient paniqué. Je comprends eux vont perdre pas un mais deux de leurs amis par mon choix egoïste.
<<- Ne vous inquiétez pas vous autres habitants ou dragonniers. Nous vous regarderons de là-haut. Nous vous protégeons à partir du Vahlala avec les autres guerriers de Beurk. Maman, tu fait et fera une bonne chef, Papa et moi on t'aime. Kogne, Krane, Rustik et Varek ne nous pleurez pas. Nous sommes enfin en paix.
- Nous vous attendrons mais pas trop tôt non plus. On vous aimes.>>
J'enlaça Astrid. Son corps est si chaud, je ressens péniblement la sentation de faire du mal. Je m'éloigne d'elle, l'observant encore vivante et sourit devant autant de beauté. Mort ou vivant je suis amoureux d'elle, mes sentiments grandissent même encore. Je me sépara à contrecœur d'elle. Je lui tendis ma main nerveusement. Elle posa sa petite main délicatement dans la mienne tremblant légèrement. J'avais aussi peur qu'elle mais sa doit l'etre encore plus effrayant de se donner ouvertement la mort. Elle sourit tendrement. Son corps s'évanouit soudainement et toucha le sol avec brutalité. Mais son âme, elle, resta en face de la mienne toujours en souriant main dans la main. Le village s' elanca vers Astrid et pleure sa mort. Sauf quelques uns. Nos amis qui regardaient le ciel. Nous partions tout les deux, se regardant amoureusement. Volant quelques baisers par ci par là.

Nous pouvions enfin nous aimez.

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