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Une bien chaude soirée 🍋- Kiribaku

Allez, un petit lemon pour vous remercier des 1K 🍋. Sérieusement je vous aime ! Et remerciez aussi la chaleur qui m'a empêchée de dormir hier soir, j'ai eu cette idée comme ça.

Allez bonne lecture !

Le couvre-feu à l'internat était passé depuis un petit moment, mais deux adolescents étaient loin de vouloir plonger dans les bras de Morphée. Ensemble dans le lit du cendré, leurs corps bourrés d'hormones en pleines ébullitions avaient décidé de se faire un petit plaisir. Leurs mains baladeuses ne cessaient d'aller et revenir sur leurs corps respectifs, laissant paraître une fine pellicule de sueur. Des gémissements rauques résonnaient dans la pièce où la chaleur ne cessait de grimper en flèche. Le rouge laissa ses lèvres brulantes se balader sur la peau laiteuse de son petit-ami, y laissant de belles traces rosées sur son passage.

Mais un autre problème perturbait bien les deux garçons. La chaleur était tout bonnement insupportable, et le fait de se toucher de manière aussi osée n'arrangeait pas les choses. Bien que leurs caresses étaient très agréables, Katsuki et Eijiro se trouvaient dans une sorte de transe, comme affaiblis par l'horrible chaleur étouffante.

— Eiji... susurra le blond à l'oreille du rouge.

Ce dernier ne put s'empêcher de mordiller délicatement le lobe de son oreille, faisant résonner un agréable gémissement.

— Arrête... j'ai vraiment trop chaud.

C'est avec une frustration non cachée que le rouge libéra son petit ami de son emprise. Sans la masse du corps de Eijiro sur lui, le blond pouvait se sentir revivre, mais pas totalement. Son caleçon qu'il n'avait pas ôté durant leurs préliminaires était devenu bien trop petit à son goût. Un léger coup d'oeil vers son petit-ami lui informa que c'était la même chose pour lui. Il ne pouvait pas les laisser comme ça, sur leur faim et dans une pièce digne d'un sona. Il prit l'initiative de se lever, ouvrant en grand sa fenêtre.

— Katsuki... lâcha le rouge.

— Ça pue le sexe ici, et il fait chaud.

Plus le temps passait, plus son érection devenait de moins en moins douloureuse. Mais sa frustration était là, et il pouvait sentir la même chez Eijiro.

— J'ai envie de toi, chuchota le rouge à son oreille.

Des bras puissants vinrent s'enrouler autour de sa taille pendant que ses lèvres vinrent se perdre dans sa nuque.

— Arrête, je t'ai dis que j'avais chaud.

Avec un puissant soupir, le rouge lâcha les hanches de son petit-ami.

— Mais, rajouta le blond en accentuant le ton, j'ai peut-être une surprise pour toi.

— Ah ouais et c'est quoi ? demanda lassement le rouge.

Face à la désinvolture de Eijiro, le blond vint fouiller dans son bureau. Après quelques secondes de recherches, Katsuki sortit du tiroir une petite clé qui brillait sous la lumière de la lune.

— Une clé ? fit-il assez perplexe.

— Pas n'importe quelle clé, ajouta t-il.

Un silence plana entre les deux garçons tandis que le cendré incitait Eijiro à deviner de quoi il s'agissait.

— Et elle ouvre quoi ta clé ?

— C'est la clé du local pour accéder à la piscine.

Les yeux rouges de Eijiro s'écarquillèrent tellement violemment que le cendré crut qu'ils allaient sortir de leurs orbites.

— Comment tu as...

— Je suis un peu magicien, se vanta le blond.

Le rouge se releva brutalement vers son petit-ami qu'il remercia d'un langoureux baiser.

— Va chercher ton maillot et une serviette, et dépêche-toi.

Sous le ton mielleux employé par le blond, Eijiro n'eut d'autre choix que de se ruer dans sa chambre, après s'être rapidement rhabillé tout de même. Lorsque les deux compères furent prêts, ils quittèrent discrètement l'internat, se dirigeant vers la piscine sur le toit du lycée. Heureusement, Katsuki connaissait des raccourcis que les profs ne fermaient jamais (les portes étant bien trop paumées dans les recoins du lycée pour y penser). Ainsi, ils se retrouvèrent rapidement face au local que le blond ouvrit grâce à sa petite clé qu'il avait dérobé. Une fois ouvert, ils pouvaient accéder au large bassin surplombant les hauteurs de U.A.

— Oh bon sang Katsuki je t'aime, lâcha le rouge face à l'étendue d'eau face à lui.

— Ouais je sais, répondit le blond avec un sourire en coin.

Il jeta sa serviette dans un coin avant de plonger rapidement dans l'eau fraiche sous cette chaleur de plomb. Eijiro eut juste le temps de voir son petit ami plonger la tête la première avant que l'eau ne vienne éclabousser ses pieds. Le cendré remonta quelques secondes plus tard, passant une main dans ses cheveux lorsque sa tête sortit de l'eau. Le rouge ne put s'empêcher de reluquer son petit-ami, trempé des pieds à la tête, un sourire carnassier scotché au visage. L'eau ruisselait sur sa peau qui semblait reluire dans cette nuit où seule la lune brillait. Ses cheveux, d'habitude dressés sur son crâne, tombaient le long de son visage à cause du poids de l'eau. Mais surtout, le sourire qu'il affichait montrait bien qu'il avait une petite idée derrière le tête.

— C'est quoi ce sourire ? demanda Eijiro amusé.

Sans répondre, le blond s'enfonça dans l'eau jusqu'au haut du torse, laissant juste sa clavicule et ses fortes épaules dépasser dans la nuit. Puis, il reprit sa position, c'est à dire droit face au rouge. Avec un sourire plus accentué, il sortit une masse sombre de l'eau, tenue par le bout de ses doigts.

Son maillot de bain.

Eijiro sentit le rouge lui monter jusqu'aux racines de ses cheveux sans vraiment savoir pourquoi. Il l'avait déjà vu nu bien sûr, et ils avaient déjà fait un tas de choses pas très catholiques. Mais le voir ainsi, avec un sourire si malicieux, si... coquin. Ça le perturbait grandement.

— Qu'est-ce que...

— Le principe d'un bain de minuit, le coupa le blond, c'est d'être entièrement nu. Alors je joue le jeu, je suis nu.

Mais le rouge ne pouvait pas bouger de là où il était. C'était comme s'il était hypnotisé par ce visage si beau et pourtant si loin d'être innocent.

— Tu comptes me rejoindre où rester là toute la soirée ?

Sa phrase le fit sortir de ses pensées, lui rappelant qu'il n'était toujours pas dans la piscine. Il plongea d'abord ses jambes puis le reste de son corps sous le regard inquisiteur du cendré. Il le vit jeter son maillot de bain sur le bord, se laissant aller dans l'eau agréablement bonne. Grâce à la noirceur de la nuit, l'eau paraissait huileuse et surtout, très sombre. Ainsi, il ne pouvait pas voir le reste du corps de son petit-ami, ce qui le frustrait énormément. Le silence qui pesait entre eux était si électrique que le rouge sentait ses poils se dresser sur son corps. Alors, il imita le blond, se débarrassant lui aussi de ce tissus qui le recouvrait. Ils étaient tous les deux, seuls dans la piscine du lycée, entièrement nus.

Le rouge s'approcha lentement du corps du blond qui semblait l'attendre. La tension sexuelle entre les deux était palpable, intense. Mais avant qu'il n'ait le temps de venir vers lui, il sentit l'eau chlorée lui éclabousser violemment le visage. Il tourna la tête afin d'éviter toute autre éclaboussure, ripostant tout de même à cette attaque sournoise. Soudain, des mains vinrent lui saisir les jambes, le tirant sous la masse d'eau sombre dans laquelle il se trouvait. Une fois sous la surface, le rouge sentit des lèvres prendre possession des siennes. Automatiquement, ses mains vinrent se perdre sur le corps qui se trouvait sur lui, savourant le contact entre ses paumes et les muscles tendus de Katsuki. Le baiser devint plus pressant, plus profond. Mais l'oxygène commençait à lui manquer, devenant presque une nécessité pour lui. D'un coup de pied au fond de la piscine, il remonta à la surface, tenant toujours fermement le corps du blond contre le sien.

Mais les baisers continuèrent, toujours plus fiévreux, toujours plus pressants. Le rouge sentit une douce chaleur naître dans son bas-ventre alors que ses mains vinrent agripper fermement le fessier du blond. Leurs sexes venaient se frotter l'un contre l'autre et rapidement, ils se retrouvèrent dans le même état que dans leur chambre. Mais cette fois-ci, la chaleur n'était plus qu'un lointain souvenir, rien ne les arrêterait cette fois.

Il sentait les mains baladeuse du blond descendre de plus en plus le long de son corps, jusqu'à atteindre sa zone sensible. A pleine main, il vint saisir son membre fièrement dressé tandis que le rouge se délectait toujours du derrière rebondi de son copain. De lents vas et viens commencèrent tandis que Katsuki sentit son dos heurter le rebord de la piscine, poussant un léger cri rauque dû à la surprise.

— Bordel Katsu...

— Tu m'as défoncé le dos abrutis.

Pour se venger, il serra plus fortement sa prise. Un gémissement étouffé vint résonner à son oreille, pour son plus grand plaisir.

— Il y a autre chose que je vais défoncer, si tu vois ce que je veux dire...

Le rouge lui monta aux joues, ce qui satisfit grandement l'adolescent à la chevelure carmin. Ainsi, Eijiro le plaqua plus fortement contre le mur de la piscine, ne lui laissant plus aucune possibilité de fuite. Ce geste eut pour conséquences de plaquer leurs deux membres l'un contre l'autre, provoquant de légers gémissements de la part des deux garçons.

— Oi Eiji...

— Fais pas genre, je sais que ça te plais quand je fais ça.

Le blond cru qu'il allait fondre face à ce regard qui débordait de luxure. Comment cette fichu tête d'ortie pouvait-elle le rendre aussi vulnérable ?

— Tu comptes attendre encore longtemps ? demanda le blond.

— Tu deviens impatient mon petit Katsuki ?

— La ferme tête d'ortie de merde. Ça commence juste... à être un peu douloureux.

Il comprit de quoi il voulait parler, c'était la même chose pour lui. Dans un mouvement rapide, il enroula les jambes du blond autour de ses hanches, laissant tout de même ses doigts savourer à nouveau le contact de ses fesses. Katsuki vint s'agripper à son torse tandis que ses lèvres venaient dévorer celles du rouge.

Un doigt vint lentement se glisser dans son antre chaude et étroite. Un gémissement plaintif résonna à ses oreilles tandis qu'il s'appliquait à faire de légers mouvements. Bien sûr, ils avaient déjà fait ce genre de chose plusieurs fois. Mais Eijiro comprenait tout de même que, au début, ça faisait toujours un peu mal.

— Eiji...

— Détends-toi...

Ses lèvres vinrent happer un morceau de peau blanchâtre tandis que son doigt ne cessait d'aller et venir entre ses parois. La résistance qu'il sentait il y a quelques secondes avait presque disparue, lui permettant d'aller plus profondément en lui. Ainsi, il rajouta un doigt, entamant des mouvements de ciseaux. Un nouveau gémissement, cette fois-ci plus aigu sortit de la bouche du blond qui ne cessait de s'accrocher à la crinière rebelle du rouge. Tandis que ses doigts ne cessaient de faire des mouvements, il vint embrasser le visage du blond, quelque peu déformé par un mélange entre le plaisir et la douleur. Mais après quelques secondes, Katsuki lui-même vint effectuer quelques mouvements de hanches, réclamant plus que les simples doigts du rouge. Alors, il se dépêcha de les retirer.

Un gémissement plaintif se fit entendre dans le calme de la nuit lorsque le rouge plaça autre chose que ses doigts face à l'entrée du blond.

— J'y vais, ajouta t-il.

— Parle pas et fait le.

Un léger sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu'une petite idée lui vint en tête. Alors, il pénétra le blond d'un simple coup de hanche bien placé. Pendant quelques secondes, le cendré sentit sa respiration se couper. Quelques flocons dansaient devant ses yeux alors qu'il essayait de s'habituer à cette imposante présence en lui. Le fumier.

— Bordel Eijiro je vais te tuer.

— Essaye un peu.

Puis, pour se venger, le rouge lui imposa un coup de rein puissant. Il connaissait son blond par coeur, ses petits défauts, les endroits qui le rendait dingue, et surtout, sa prostate. Et il savait qu'il avait visé juste lorsqu'il sentit les doigts du blond s'enfoncer dans son dos et sa tête se pencher en arrière.

Quant au cendré, il avait du mal à respirer et à voir net en face de lui. Il finit par discerner le visage de son petit-copain qui arborait un sourire tout bonnement bandant.

— Recommence... susurra le cendré.

— Pardon ? Je crois que je n'ai pas très bien entendu ?

Il sentit que le rouge bougeait ses hanches, ce qui le frustra plus que de raison tant il avait envie de plus.

— Ne me force pas à me répéter.

Ses jambes tremblaient tant l'envie se diffusait dans tout son corps. Aujourd'hui, il n'avait pas envie de faire « l'amour » avec le rouge. Ça, c'était pour les gens qui kiffaient le cul-cul plus que de raison.

Heureusement pour lui, le rouge lui épargna les supplications qu'il souhaitait entendre. Alors, il commença les vas et viens tant attendu de la part du blond.

Ils étaient rapides, brutaux, comme ils les aimaient. Le blond pouvait à peine gémir, tant la sensation du membre de Eijiro pilonnant sa prostate lui procurait un plaisir aussi démesuré que la taille de son engin.

— Eiji... Eiji...

C'est tout ce qu'il était capable de murmurer entre les véritables coups de butoirs que lui procurait le rouge. Il devait être vraiment sadique pour aimer se faire prendre aussi violemment par son copain qui semblait lui aussi prendre son pied. Ses mains ne cessaient d'enserrer ses deux fessiers qu'il aimait tant toucher et regarder lorsqu'il était moulé dans les jeans qu'il portait le week-end.

Ses vas et viens devinrent plus irréguliers alors que le blond était proche de perdre la tête. Mais cette irrégularité ne pouvait que le frustrer d'avantage. Il en voulait plus.

— Eiji... recommence... s'il te plait...

A cet instant, il se fichait de paraitre comme une petite vierge effarouchée en chaleur. Tout ce qu'il voulait, c'était retrouver ce rythme que lui imposait le rouge il y a quelque secondes.

— T'es infatigable, ajouta le rouge.

Puis, brusquement, le rouge changea de position. Au lieu de se retrouver le dos contre la piscine, il était cette fois-ci, de face. Cette enfoiré de Eijiro allait le prendre en levrette. Mais sur le coup, ça lui était égal, il voulait juste que la sensation recommence. Alors, impatient qu'il était, il débuta lui-même ces vas et viens tant voulu.

— T'es irrécupérable, Katsuki.

Puis une poigne forte vint lui saisir le bras. Son dos se heurta au ventre musclé de Eijiro et il sentit son membre s'enfoncer plus profondément en lui. Il retint son souffle, agréablement surpris par cette sensation absolument magnifique.

Puis les mains de Eijiro vinrent s'occuper des deux petits boutons de chaires qui décoraient son torse délicatement sculpté. Cette fois-ci, il ne put retenir ses gémissements tant la sensation était exquise. Puis la bouche du rouge vint à nouveau sucer cette peau sans défauts qu'il adorait gouter.

Les coups de butoirs reprirent de plus belle, faisant claquer ses fesses contre le bas ventre du rouge. Leurs mouvements effrénés créèrent des remous dans l'eau qui ne cessait de les éclabousser.

— Bordel Katsu... comment tu fais pour être quand même aussi serré ?

Ces paroles susurrées à ses oreilles firent dresser ses poils sur son corps. Parfois, entendre ce genre de paroles l'excitait davantage que les vas et viens qu'il pouvait faire à l'intérieur de lui. Mais maintenant, les deux combinés lui procuraient un plaisir sans pareil. Malgré tout, ses mains qui étaient restées libres tout ce temps virent trouver leur place sur leurs deux corps. L'une se perdit dans la chevelure folle de Eijiro, et l'autre vint s'enrouler autour de son propre sexe qui était laissé pour compte depuis le début.

— Katsuki... t'es vraiment incroyable.

Une des mains qui s'occupait d'un de ses tétons vint rejoindre la sienne sur son membre durcit par l'excitation. Il entama de rapides vas et viens dans le rythme de ses coups de reins effrénés, procurant une sensation insolite dans le corps du blond.

— Eiji... je vais...

A sa grande surprise, ce n'était qu'un simple filet de voix qui était sorti de sa gorge. Le plaisir était tel qu'il lui était presque impossible de parler.

— Bordel de merde...

Tandis que le cendré était proche de la jouissance, Eijiro sentait ses parois se resserrer petit à petit autour de son membre qui se durcissait de plus en plus. Chacun allait venir, et se serait pour bientôt. Ne pouvant résister plus longtemps, le rouge vint mordre la peau délicate du blond. Un cri vint s'échapper de la bouche de Katsuki qui ne s'attendait pas à une telle action, mais qui lui procurait tout de même un plaisir supplémentaire.

Et puis, le cendré se sentit venir dans la main qui s'occupait de son sexe. Un long râle vint résonner dans le silence, suivit de prêt par celui de Eijiro lorsqu'il se déversa à l'intérieur de son antre. Épuisé, le blond sentit son corps tomber en avant, totalement épuisé par ce qu'il venait de se passer. Mais surtout, ses jambes n'étaient plus en mesure de le faire tenir debout. Il laissa ses avants bras amortir sa chute en avant, laissant sa tête se reposer sur le sol en face de lui.

De là où il était, Eijiro ne pouvait que savourer ce qu'il voyait. Un Katsuki épuisé, vidé de son énergie parce qu'il l'avait envoyé au septième ciel. Il savourait les muscles tendus de son dos courbé, cette fine pellicule de sueur qui se mélangeait avec l'eau présente sur son corps.

— Alors Katsuki, on tient plus le coup ? fit-il en s'adossant au mur à côté de lui.

— La ferme. On verra comment tu serras demain soir quand je serai passé par là, répond-il avec un sourire en coin.

— Crois-moi, tu auras trop mal demain pour me faire quoi que se soit.

— Tu veux vraiment parier tête d'ortie ?

La lueur dans ses yeux lui indiqua qu'il était extrêmement sérieux.

— On verra ça demain. En attendant, je suis crevé moi !

— Ouais moi aussi, je crois qu'il est temps d'aller se pieuter.

Il se redressa difficilement à cause de la douleur qui le tiraillait dans le bas du dos. Il allait souffrir demain, ça c'était sûr.

Mais quelle fut leurs réactions lorsqu'ils apprirent que le lendemain, ils allaient justement faire sport en piscine. Malgré leur self-control respectifs, ils ne pouvaient s'empêcher de sourire en coin en se jetant de légers regards discrets. S'ils avaient pu, ils auraient lâché un rire des plus hystérique, surtout lorsque leur délégué leur avait annoncé la « grande » nouvelle, le sourire jusqu'aux oreilles. C'était sans doute la chose la plus hilarante qu'ils avaient pu voir de toute leur vie. Heureusement pour eux, aucun rire n'était sorti de leurs bouches. Comment auraient-ils pu expliquer aux autres pourquoi la situation était aussi hilarante au point de laisser le blond plié de rire sur le sol. Mais ce n'était pas de leur faute, c'était à cause de cette foutu chaleur d'été étouffante.

Foutu été de merde.
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C'était mon premier lemon yaoi, j'espère que ça vous aura plu 😊. Et encore merci pour les 1K, vous êtes tous géniaux ❤️.

A bientôt pour un prochain OS !

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