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Bakudeku : C'était à la cerise 1/2

Je viens de le terminer ! La fin arrivera au prochain lemon ;3. J'ai la flemme de corriger donc si vous en trouvez pour pourrez les corriger. Mais moi j'aurais la flemme de modifier derrière 😂.
Prenez soin de vous durant cette quarantaine.
Et évitez de tousser dans la gueule de gens.

(Qui a fait des stoque de PQ ici ?)

En colère.

Voilà comment j'étais actuellement.

Je venais encore de m'engueuler avec Kacchan.

Pour une connerie évidemment.

Sa jalousie envers Todoroki et Ochaco, le manque de respect avec lequel il leur a parlé.

Oui j'ai le droit d'être en colère.

C'est légitime.

Mais...

Cette expression sur son visage, m'a immédiatement fait regretté ce que j'avais dit.

Merde...

Merde merde merde !

J'ai tout essayé pour me calmer. Frapper mon coussin, hurler, faire des pompes, cogner le mur de ma chambre, me masturber.

RIEN NE MARCHE BORDEL !

Je reconnais un peu trop Kacchan avec ce comportement.

Et je n'ai pas envi d'aller le chercher en rampant au sol. Cette fois c'est lui qui a fait une connerie. C'est à lui de la régler !

Je soupire, fatigué et me laisse glisser le long de mon lit, jusqu'à atterrir paresseusement sur le tapis de ma chambre.

Nous avons deux semaines de vacances avant de reprendre les cours, autant me reposer un peu.

...

J'ai un peu froid.

Mes yeux se ferment quelques secondes, mon cerveau imaginant des bras fort et chaud m'enlacer, alors qu'une tête se poserait sans mon cou. Des cheveux d'un magnifique blond cendré parfumé d'une odeur de caramel brûlé m'engloberais dans un confort totale. Je frissonerais et je me retournerais pour embra-

Oh punaise.

Je suis vraiment en manque de cet abruti blond ?

Un gémissement de désespoir sort de ma gorge alors que mes entrailles se tordent douloureusement. J'ai l'impression qu'une main est serrée autour de ma gorge.

Il me manque...

Je me relève rapidement en ignorant mes yeux qui me piquent pour frotter rapidement mes mains sur mes paupières.

Je suis si... Si agacé d'être faible pour lui, et d'être aussi si sensible...

Énervé, je frappe mon mur et grimace en regardant le résultat. Des petits morceaux de béton enfoncés dans les phalanges.

Ça brûle...

Je soupire et retire d'un des morceaux avec mon pouce et mon indexe de ma main droite. Ah... Ça fait mal...

-Izuku ! Quelqu'un est là pour toi !! Je lui ai dit de monter !

-Il aurait quand même pas...

Je me retourne rapidement vers la porte de ma chambre grande ouverte. Où le corps d'une personne blonde que je ne connais que trop bien s'y trouve.

Il me regarde dans les yeux. Avant de soupirer et de faire un pas en avant. La tête baissé.

-Pourquoi tu es venu ?

Je demande d'une voix froide. Ma gorge se sert douloureusement et je laisse ma main blessée derrière mon dos. En me tournant complètement vers lui.

-Je voulais parler.

-Qui te dit que j'ai envi de te parler ?

-Peut-être le bruit que tu as fait, t'a cogné ton mur ?

-Laisse moi.

Pouquoi ma raison répond à la place se mon cœur ? Pourquoi j'ai l'impression que quelque chose me manque. Je me retourne. Dos à lui.

Un silence, des bruits se pas.

Non ne part pas. Reste, parle moi, cherche à comprendre mes sentiments. Fait tomber ses murs. Dis moi que tu tiens à moi, dis moi que mon comportement t'inquiète.

Cherche. Fais quelque chose.

Une chaleur glisse sur mes joues alors que ma vue est flou. J'ai mal à la tête... Pourquoi je n'entend plus rien ? Il est parti ? Il... Il m'a...

-Il m'a abandonné ?

J'ai l'impression que mon cœur est bloqué dans une main qui sert de plus en plus. Qu'est-ce que j'ai fait de mal pour mériter ça hein ?

Quel est cette chaleur autour de mon corps ?

Pourquoi ma tristesse s'évapore ?

-Je suis vraiment un con Deku...

Tu m'étonne.

-Mais...

Je me retourne vers lui, mon visage posé dans le creux de son cou. Une migraine me fait serrer les dents.

-Mais je...

Sa voix devient faible, étranglée, éteinte. Il change, il évolue. Pour la deuxième fois, il va me présenter des excuses. Va-t-il enfin me dire ce qu'il a sur le cœur.

-Quand tu es avec les autres, j'ai l'impression que n'importe qui pourra, bien mieux que moi. Te rendre heureux.

Mes mains remontent lentement le long de son dos, se mains tremblantes entourent toujours ma taille.

Comme si à n'importe quel moment, je pourrais chercher à m'enfuir.

-Chaque fois que je vois tes sourire, leurs petites intentions à ton égard. Leurs regards, les nombreux rendez-vous que l'on a pas fait parce que tu allait à des sorties avec eux...

Je n'étais vraiment pas le seul... À angoisser ? À souffrir ?

-La semaine dernière. Tu m'as dit dis que tu ne pouvais pas aller en sortie avec moi parce que tu allais passer la journée avec Double face...

...

-Ce... Ce jours là...

Sa gorge est serré. Ses mains tirent sur mon t-shirt à m'en faire mal.

-J'avais... J'avais acheter... Des billets pour qu'on aille voir Imagine Dragon en concert. Et... Et quand tu as refusé pour aller avec lui. Ça faisait... Ça faisait incroyablement mal.

Mon cerveau est dans une brume totale, ma gorge est nouée, mes entrailles se contractent. Je l'ai... Je l'ai vraiment fait souffrir autant que ça ?

-Je me disais... Que pour tout ce que j'avais fais...

Non...

-Je le méritais sûrement.

Non c'est faux. Je t'ai pardonné, ça a été long et nous a valu plusieurs séances chez une psychologue mais j'ai réussi à avancer.

Des sursauts et une respiration saccadée me déchirent le cœur lentement. J'ai vraiment passés tout ce temps à ignorer à quel point ça le faisait souffrir.

Alors j'essaie de décoincer les mots bloqués dans ma gorge.

-Je suis désolé... Désolé désolé...

Les excuses ne changent rien bordel...

-Kacchan ?

J'écarte légèrement mon visage pour diriger le sien vers le mien avec une main. Mon autre main se dirige d'elle même vers son dos que je presse contre moi.

Son visage se détend et j'aperçois maintenant clairement le dessous de ses yeux rougis.

Et tout ça est de ma faute.

Je l'ai négligé pendant bien trop longtemps.

Je rapproche mon visage de son oreille contre laquelle je colle mes lèvres. Respirant en même temps l'odeur délicieuse du champoing de mon homme.

-Deku.

-Mmm ?

Ses mains descendent lentement jusqu'à mes hanches. Ses doigts glissent sur mon corps et me font doucement frissonner.

-Ça fait combien de temps qu'on a pas fait l'amour ?

Beaucoup trop longtement.

-J'en sais rien...

Mon souffle chaud sur son oreille lorsque je répond semble le faire trembler...

-Izu.

Je redresse le visage, légèrement surpris par le surnom employé très rarement.

-Tu as intérêt à m'apporter une grosse dose de d'amour.

-Ça ressemble à un ordre.

-Ça l'est.

Je rie et déplace lentement une de mes jambes entre ses cuisses. La chaleur de son corps me revient en mémoire alors que je sens mes oreilles chauffer. Il recule de lui même jusqu'à un mur et une fois contre il me murmure.

-Mais je risque d'être plus violent que d'habitude.

-J'espère bien. Rien n'est plus exitant que toi à 100% de ta force. Mais si je pouvais être vivant à la fin ce serait sympa.

-Je vais éviter de te couper la respiration en te faisant hurler mon nom.

Il me regarde. Les yeux remplis de malice, alors qu'il me repousse jusqu'au lit.

-Classique.

Dis-je plus pour moi même que pour lui.

-Tu préfère le faire sur le sol ?

-Nan nan ça ira.

-En plus ça nique les genoux.

Il me pousse contre le lit et commence à dénouer ma ceinture. Ses mains sont chaudes contre le froid du fer de celle-ci.

J'ai envie de l'embrasser...

Alors je le fais.

Encore. Encore et encore.

Il souris dans le baiser. Et laisse tomber ma ceinture dans un '' cling '' sonore.

Je retire rapidement son débardeur bien trop gênant pour mes yeux. Et retire à mon tour moi-même mon T-shirt. Une fois fait je regarde attentivement le corps de mon blond. Svelte et sculpté. Sa chaleur m'a bien trop manquée.

-Attend deux secondes que je récupère les préservatifs...

Il tend le bras et j'en profite pour défaire sa braguette tout en embrassant ses épaules musclés. C'est à moi... Il est à moi...

-Deku.

-Mmh ?

J'arrête mes baisers papillon. Pour tomber sur l'expression... Indescriptible, de Kacchan.

-Les préservatifs.

-Oui ?

-Ils sont plus à notre taille.

-C'est des préservatifs qui date de la seconde ?

-Ils sont périmés en plus, depuis 2018.

-Il est où le premier distributeur qu'on pourrait trouver ?

-À une vingtaine de minute, Pourquoi t'as plus de préservatifs à notre taille ?

Je soupire. Ça risque d'être embêtant...

-Parce que la première et dernière qu'on a fait l'amour. Tu as littéralement explosé ma tête de lit.

-Ahhhhhhhhhhhhhhh... Tuez moiiiiiiiiiii...

-Eh calme.

-J'VAIS MOURIR PAR MANQUE DE SEXE !

-MAIS CALME TOI MERDE !

On entend la porte de ma chambre s'ouvrir rapidement. Et avant même que je n'ai pu réfléchir. Un paquet de préservatif vole à travers ma chambre.

-Je rentre des courses. Il suffisait de demander. Ne vous en faites pas je vais chez Mitsuki-San et Masaru-San.

La porte de ma chambre se referme. Cette fois j'entends clairement les pas de ma mère s'éloigner. Jusqu'à ce qu'un dernier bruit de claquement de porte ne me confirme qu'elle est partie.

-BÉNI SOIT TA MÈRE !!

-TAIS TOI KACCHAN !!

Je lui claque l'arrière de la tête, embrassé par la manière excessivement bruyant avec laquelle il exprime sa joie.

-Quoi ?

-Tu me met mal à l'aise abruti.

-C'est pas ce que t'as dit la dernière fois qu'on a...

-PRÉPARÉ DES CRÊPES ENSEMBLE.

-C'est vrai que je t'avais retourné comme une crêpe.

-T'es chiant et tu me rend ouf.

-Eh.

-Nani ?

-Tire la langue.

Je m'exécute sans comprendre. Et sens mon estomac se contracter en sentant son muscle rose lapper le mien à grand coup de langue. Je sens peu à peu ma conscience me quitter alors que j'ouvre grand la bouche, enfermant sa langue dans ma cavité buccal. Ses baisers sont toujours si... Intense, dans ces moments là. C'est incroyable, j'ai juste envi de le pousser et de le faire mien. Ou de m'allonger et d'écarter les jambes.

Ses mains se déplacent, lascivement sur mon corps qui s'enflamme. Ses doigts sont bouillant et découvrent chaques centimètres carrés de mes côtes. Ma langue ne se préoccupe plus que de celle de Kacchan et la frustration me brûle. Mes mains cherchent plus de contacte, hasardeuses et curieuses. Je touche. Titille. Presse mes doigts sur sa peau infiniment douce. Et à moi. Il n'y a que moi qui peut la toucher.

Nos salives se mélangent et je déglutit alors que sa bouche se détache de la mienne. Il me regarde comme hypnotisé alors que je récupère de mon pouce le filet de salives qui nos reliait. Je dirige mon doigt vers des lèvres que je pressent pour qu'il m'ouvre le passage. Ses lippes pulpeuses s'ouvre et je les contemple à demi-conscient. Englober mon pouce pour entourner sa langue autour de celui-ci.

Je sens sa bouche se presser contre mon oreille. Et c'est sans le vouloir que mes yeux se ferment. Le sons humide de sa langue jouant avec le cartilage de mon oreille me fais doucement soupirer d'un plaisir étouffant.

Mon estomac me brûle. Ma gorge se contracte douloureusement en tentant de camoufler mes gémissement de pur bonheur. Alors que Kacchan, lui, ne se gêne pas pour tortiller, mordiller et embrasser mon oreille droite. Son souffle bouillant et saccadé contre mon oreille réveille une partie de mon corps plutôt satisfaite de ce que l'on fait.

Mes mains glissent, et descendent jusqu'à son jean que je fait tomber jusqu'à ses chevilles.

Nos visages se rencontrent et mes yeux se plongent dans les siens. Ses orbes de feu qui me dévorent et me brûle. Des picotement dans mes cuisses me font frissonner et lui transmettent mon frissonnement.

Ses mains posés sur mes hanches me poussent contre le lit sur lequel je tombe assis. Mes mains se dirigent d'elles même vers ma ceinture qui est rapidement retirée. Suivit de mon pantalon.

Je regarde hypnotisé son visage. Il est beaucoup trop beau. Magnifique. Ses yeux carmin entouré de longs cils blond. Je pourrais passer des heures simplement à le regarder. Mais en le voyant s'accroupire entre mes jambes. Je sens malgré moi le feu brûler dans mon ventre.

Ce feux.

Celui du désir et de l'impatience.

Son visage se rapproche lentement de mon entre-jambe. Son regard ne se détache pas une seconde du mien. Et malgré la position de '' domination '' dans laquelle je suis. Je sais que c'est lui qui mène la dance. La dance de notre amour et de notre désir. Cette mélodie qui traverse chaque parcelle de mon corps et coule dans chaque centimètre de mes veines.

Ce désir qui me fait perdre pied. Lorsque une humidité bien connu se pose sur ma partie inférieur. Au dessus de mon caleçon.

J'avais oublié cette sensation tellement jouissive.

Mes orteils se serrent et mes mains s'accrochent aux draps. Et je me contracte malgré moi. J'essaie tout de même de ne pas faire de bruit féminin. Bien que je sais que ça le satisferait énormément.

Son regard sur moi est taquin. Amusé et malicieux. Il m'agace à me narguer comme ça le bougre ! Bon sang quand est-ce qu'il v...

-Ahh !

J'inspire brusquement en sentant ses lèvres se refermer sur ma virilité toujours caché derrière mon sous vêtement. C'est... C'est tellement bon ! L'humidité contraste avec la texture rêche du caleçon. Les mouvement de pressions autour de mon mini moi me font doucement mais sûrement durcir de plus en plus.

-K-kacchan...

Il lève les yeux vers moi et je me mord les lèvres en voyant son expression. N'oubliant tout de même pas ce que je souhaite je tire sur l'élastique de mon boxer. Geste qu'il suit des yeux en contemplant le bout de hanche dévoilé.

-Bordel mais vas y...

Il suit ce que je lui demande et glisse ses doigts sous mon caleçon. Je regarde, de plus en plus satisfait. Le tissu me cachant encore partir sur le sol.

Mon érection gonflé et rouge au possible de dresse. Libérée de la prison de tissu qui l'enfermait. Son regard sur moi est embarrassant ! Ce pervet se lèche les babines.

Ses lèvres descendent et embrasse l'intérieur de mes cuisses. Retenant des hocket de plaisir de s'échapper de ma gorge lorsqu'il remonte progressivement en me faisant de léger succion bien fait qui picotent mes sens.

Je ferme les yeux et soupire. Où est la boîte de préserva-

AH ! AHHHH LE CON IL M'A PRIS EN BOUCHE !

Je sens mille frissons parcourir mon échine, la sensation... La sensation est tellement... Tellement bonne. Tellement... Tellement violente. Explosive.

J'arrive plus à penser. Merde... Ah... La chaleur et l'humidité autour de ma longueur est... Juste, incroyable.

Je reprend difficilement ma respiration. Sentant les lèvres de kacchan serrées autour de ma longueur. M'avalant complètement. Alors que des fourmillements se faisait sentir dans mes jambes. Je sens brusquement un va et viens rapide. Me faisant à nouveau serrer les draps. Il a pas mi de préservatif ?

Mon cou part en arrière alors que la chaleur humide que je soupçonne être la langue de Kacchan ne parcours ma virilité.

-mmmmh ! Kacchan... Ah... Oh mon dieu...

Mes plaintes embrumé de plaisir se perdent alors que mes yeux se ferment. Mes membres se déplaçant d'eux même. Alors que une douceur lisse ne se glissait entre mes doigts.

J'ouvre difficilement un œil. Le refermant immédiatement en ressentant l'humidité de la bouche de mon blond se déplacer. Gobant une bonne partie de mon bâton de chaire sensible. C'est incroyable... Ah... J'ai du mal à respirer...

-Encore... Gnh ! Ah putain !

Je serre mes doigts se trouvant dans sa chevelure cendrée. Mes mains crispée caressant avec détresse ses cheveux cendrés, posant les paumes à plat. Essayant de suivre les vagues de plaisir qui me font perdre la tête. Des millions de frissons me parcours et mes yeux se rouvrent. Tombant sur le visage concentré de Kacchan occupé à me faire une gâterie que je n'oublierais pas de sitôt.

Ses coups de langue délicieux se propagent dans mon corps comme une traînée de poudre. C'est incroyable ce qu'il me fait mais... N'as t'il pas envi d'être également touché ? Mon visage de baisse vers lui. Ses joues sont cramoisi, ses yeux rouge feu fermés, ses lèvres sont brillante et des grognement rauque sortent parfois de sa gorge lorsque mes mains l'encourage à m'englober un peu trop.

Désolé Kacchan.

Ma cheville tremblante se déplace d'elle même, bougeant mollement mon pied. Celui-ci se déplace lentement entre les jambes de mon blond. Je vais quand même... Essayer de le titiller... Je retien un sourire malicieux incontrôlé qui menace d'étirer mes lèvres. Il est accroupi et s'appuie sur mes cuisses à l'aide de ses mains, je vais devoir faire attention à ne pas lui faire perdre l'équilibre.

Je presse finalement le bout de mon pied contre une bosse légèrement tendre au travers d'un jogging. Il grogne brusquement et lève les yeux vers moi. Un éclat de désir transcendant dans son regard de feu. Il se ravance et me prend entièrement en bouche. Attend... Qu-AHHHHH

-Ahhhhh Kacchan! Ngh... Mh! Ne... Ne t'arrête p-paaaas...

-Mh...

Mes doigts s'aggripent à ses cheveux et mon bassin hondule d'avant en arrière. Ah... C'est tellement bon ! Les vas et viens sur ma longueur me font perdre pied et chauffent mon ventre. Il suit mes mouvement rapide en grognant. Alors que mes paroles n'étaient que des bouts de mots et de surnom enfantin soufflé du bout des lèvres. Notre danse sensuelle devient progressivement désordonnée et lorsque ma nuque part en arrière et que des larmes s'échappent de mes yeux révulsés je comprend que c'est bientôt la fin pour mon pauvre corps.

Mes jambes se contactent et tentent désespérément de se refermer mais Kacchan les tient fermement de chaque côté de sa tête. Enfoncant ses pouces dans mes cuisses. À demi consciente je sens mon corps partir en arrière et la sensation de ma couette sur mon dos. Mes doigts toujours crispé et ma voie scandant le prénom de celui que j'aime à plein poumon. Tirant se cheveux d'une douceur étrange d'avant en arrière.

Je sens mes cuisses piquer, mon sexe chauffer dans sa bouche et mes hanches claquant contre ses joues. Ses mains pressant la chaire de mes cuisses. Et...

-Ghaaa! Ka-Kacchan !!

Je sens sa langue titiller ma fente, et me plonger dans une nuée de gémissement incontrôlable. Mon pied toujours sur son érection continu la presser. Arrachant des grognement rauque à mon blond qui fait vibrer ses lèvres autour de sa virilité. Mes larmes coulent sur le côté de mon visage. Glissant sur mes tempes. Mes mains de chaque côtés de ma tête serrant les draps entre mes doigts. Ma bouche grande ouverte à gémir honteusement le nom de celui que j'aime encore encore et encore.

Ma voix monte dans les aigu. Et je rougis en sentant les lèvres humides de ma moitié sourire.

-Mmm... Gh ! Je... Je s-suis pas loin.

Mon dos se cambre en un arc presque parfait. Et mes yeux brumeux se ferment brusquement en sentant un orgasme arriver de plus en plus vite.

-Ahhhhh !! Kacchan ! Gmh nh... Je... Je vais...

Ma tête bascule sur le côté. Mes cuisses essaient de se refermer. Mes doigts déchirent presque le matelas et mes yeux s'ecarquillent. J'envisage de le prévenir une troisième fois mais les mots meurent dans ma gorge.

Mes hanches tremblent. Sa salive parcours ma virilité. Ma mâchoire se serre. Et mon dos s'arque alors que ma vue devient blanche et que je me libère. Après un dernier cri plus fort et long que tous les autres.

Je sens mon corps être parcouru de spasm mais l'ignore pour me redresser face à mon homme.

Qui grimace.

-M-merde... Attend je dois avoir un mou-

...

Il est parti en courant là ?

Je me lève. Me remettant à une vitesses fulgurante de mon orgasme. En voyant Kacchan, la tête dans la cuvette des VC.

-Kacch-

-Blearg!

Ah merde.

Je me place derrière lui et m'accroupi à sa droite. Une main caressant doucement son dos. Retraçant les lignes de sa colonne vertébral.

Avec quelques secondes de pose il soupire brusquement. Se relève. Tire la chasse. Puis se rince la bouche au lavabo. Toujours à ses côtés je passe une main dans ses cheveux blond et lui murmure des phrases chantant ses louanges à son oreille.

Il adore ça. Qu'on titille sa fierté.

Il s'appui sur le lavabo de se deux main. En soupirant.

-T'es toujours cul nu toi.

Je lève les yeux au ciel en souriant avant de passer mes mains autour de sa taille. Appuyant ma mâchoire contre son épaule, merci ma petite taille.

-Verdicte ?

-C'est dégueulasse.

-C'est normal imbécile, c'est en parti pour éviter ça qu'on a des préservatif goût orange. D'ailleurs pourquoi t'en a pas mis un ?

-C'était à la cerise.

-À cause du goût ?

-C'est tout aussi dégueulasse que ton sperm la cerise.

Je rie franchement en lui lançant que je l'emmerdait. Avant de le retourner contre le plan se travail à côté du lavabo.

-On continu ça là ?

-Ouais. Mais plutôt...

Il me retourne à mon tour pour empoigner le bas de mes cuisses et me presser sur le plan de travail surélevé.

-Comme ça.

Je frémi doucement en sentant son érections proéminente contre ma cuisse.

Il fait un brusque va et vient qui me fait gémir d'une manière un peu trop féminine pour moi.

Mais putain qu'est-ce que c'est agréable...

Il presse sa bouche contre mon oreille avant de me murmurer, m'arranchant un frisson et un sursaut.

-C'est loin d'être fini...

J'attrape sa nuque et mord sa lèvre.

-Montre moi à quel point tu étais en manque depuis ces dernières semaines.




















Image dessinée par moi il y a looooongtemps. Exprès pour ce chapitre. -18 mais bon on sait tous que vous êtes pour la plupart bien plus jeune ;)











































Scrolle ta race























































































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