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Germany x Deported!Reader : Partie 1 : Einen liebenswerte SS

Bon, idée venue en Histoire quand on parlait des camps. J'espère ne pas avoir tous mélangés, bonne lecture !

/!\ Attention, OS assez sombre portant sur les déportés vers les camps de concentration lors de la WW2.

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Novembre 1941 :

J'étais dans ma chambre, en train de lire un roman sur mon lit. Cela faisait déjà 2 ans que la guerre avait commencé et que nous sommes occupés par les Nazis.

- Ma puce ! Viens manger !

-J'arrive Maman !

Je posai mon livre sur mon lit en marquant la page et descendis rejoindre ma mère. Mon père ayant été capturé depuis deux mois par les Nazis car il faisait parti de la Résistance, nous vivons qu'a deux. Ma mère aussi est dans la Résistance, mais elle a été plus chanceuse et n'a pas été arrêté.

-Maman... Quand penses-tu que Papa va revenir ?

-Très certainement quand la guerre sera terminée. C'est à dire dans un petit bout de temps...

Elle était triste, car nous savions toutes les deux que les chances de revoir Papa était faibles.

-Tu sais où il est en ce moment...?

-Certainement en prison ma puce...Ou pire...

Je baissai la tête, triste.

-Maman, j'irais le sauver !

-Ma fille, es-tu folle ?! Comment vas-tu pouvoir faire ça ? On ne sait même pas où il est !!

-Je chercherais ! Quand je cherche quelque chose, je le trouve toujours ! Et je te promets que je trouverais Papa !

-Ma puce...

-Maman, j'ai 18 ans, je peux faire ce que je veux, si je veux retrouver mon père, peu importe les risques, je le ferais !

Au même moment, on toqua à la porte assez brutalement. Je finissais de manger tandis que ma mère alla ouvrir la porte. J'en ai manqué de m'étrangler avec mon morceau de pain en voyant deux policiers à la porte.

-Bonjour Madame. Veuillez nous excuser du dérangement, mais connaissez-vous cet homme ?

Il sortit de sa poche une photo un peu froissée. Mon père était dessus.

-Oui, c'est mon mari, pourquoi ?

-Il semblerait que votre mari fasse parti de la Résistance, ainsi que vous, n'est-ce pas ?

Elle avait le visage pâle et je voyais se mains trembler. C'est alors que le second policer pris la parole en parlant à voix basse.

-Ne vous inquiétez pas madame, nous sommes des amis à votre mari et faisons aussi parti de la Résistance. Nous tenions à vous dire qu'il est encore en vie, mais il sera fusillé dans 4 jours avec 10 autres résistants. 

Je me levai et m'avançai à la porte.

-Qui nous dit que vous ne mentez pas ? Avez-vous des preuves de ce que vous avancez ?

-Madame, vous ne m'avez pas reconnu ?

Il enleva sa casquette et détacha ses cheveux blonds.

-Oh, Francis ! Je ne t'avais pas reconnu ! Excuse-moi...

-Ce n'est pas grave, je comprends votre suspicion, on n'est à l'abri nulle part ces temps-ci.

-Et moi alors dans tout ça ? J'existe ou pas ?

Le second policer avait pris la parole, il enleva sa casquette et je pus voir ses gros sourcils. Je m'exclamai alors.

-Arthur !

- Oh, bonjour ____ !

On se fit la bise et il firent de même avec ma mère.

-Alors, savez-vous où est-il ?

Ils remirent leur casquette et Arthur pris la parole.

-Malheureusement, on peut juste vous dire qu'il est en direction de l'Allemagne. On suppose qu'il va être soit fusiller là-bas, soit envoyé en camp.

-Je vais y aller.

Ils se retournèrent tous vers moi en me regardant avec des grands yeux, surpris.

-Tu sais que c'est dangereux ?

-Tu peux mourir !!

-Je m'en fiche, je veux retrouver mon père. Je n'ai pas pu lui dire au revoir la dernière fois. Et je veux savoir si il sait des informations. Je vous rappelle que j'ai 18 ans et que je suis en droit de choisir ce que je veux faire ou ne pas faire.

Ma mère se mit à rire.

-C'est bien la fille de son père ! Si tu tiens tant que ça à le retrouver, va préparer une valise.

-Merci Maman !

J'allai dans ma chambre et préparai ma valise. J'étais excitée mais j'avais un peu peur. Ma mère entra dans ma chambre.

-Francis et Arthur t'accompagneront à la gare. Sois prudente surtout.

-Je te le promets maman. Je te promets que je reviendrais.

On se fit un câlin et je descendis avec ma valise et mon sac en bandoulière. Je fis mes adieux à ma mère et parti en compagnie de Francis et Arthur à la gare.

--2 jours plus tard--


-Lâchez-moi ! Vous me faites mal !!

-SILENCE !!

Il fallait bien que ça arrive. Des SS ont réquisitionnés le train et sont en train de fouiller dans les bagages. Tous les passagers sont en lignes et attendent. Quelle merde, je venais tout juste de passer la frontière allemande et voilà ce qui m'arrive, quelle poisse...

-____ _____ ?!

-O-Oui c'est moi... dis-je en levant la main et en m'avançant d'un pas.

-Veuillez me suivre.

Il partit et je me dépêchais de le suivre, deux SS me suivant aussi, sûrement pour que je ne m'enfuis pas. Après quelques minutes de marche, il s'adressa à un autre SS qui me regarda de haut en bas. Aurait-il compris que je suis la fille d'un résistant français ?

-Emmenez-la. Son père est prisonnier de toute manière.

-Q-Quoi..?! Où m'emmenez-vous ?! Qu'ai-je fais ?!

-On va juste vous poser quelques questions.


--3 heures plus tard--

Je n'ai rien dit. Je n'ai pas dis où nous vivions. Je n'ai rien dit sur la Résistance. Rien. Je me suis prise 4 gifles, voir plus, je ne sais plus. Ma vie est finie. Je vais être déportée. Où ? Aucune idée. Je sais juste que je suis actuellement dans un wagon à bestiaux avec pleins de gens autour de moi, on est serré et il fait froid, mais on se tient mutuellement chaud avec la chaleur corporelle, des gens toussent, éternuent... Vais-je survivre à un trajet pareil ? Je ne sais même pas combien de temps ça va durer...


--6 jours plus tard--

-Mademoiselle, réveillez-vous, nous sommes arrivés !!

-H-Hein...?

J'avais beaucoup maigris et j'étais sale. J'ai réussie à dormir un peu bien que c'était seulement 3 heures. Tout le monde sortait du wagon, je ne sais pas où est-ce qu'on était, jusqu'au moment où j'entendis de l'allemand... On est en Allemagne peut-être ?

-RANGEZ-VOUS !! D'UN COTÉ LES HOMMES ET DE L'AUTRE LES FEMMES, LES ENFANTS ET LES HANDICAPÉS !!! PLUS VITE !!! ALLER !!

Des hommes en tenues de bagnards nous sortaient des wagons et des soldats SS ordonnaient à d'autres prisonniers de trier les bagages. L'un d'entre eux me poussa violemment et je trébucha à terre, écorchant mes coudes. Je serrai mes dents en laissant échapper un gémissement de douleur. Un SS s'approcha de moi et me releva brutalement en tenant mon bras droit, je le regardai et je vis qu'il avait les yeux rouges sang et les cheveux blancs. Un albinos je suppose.

-Bah alors ? On tient plus debout ? C'est bête parce qu'il va bien falloir ici ! KESESESESE~~ !

-GILBERT !!!

Tous sursautèrent en entendant cette voix sévère. On regarda la direction de laquelle elle venait et on vit un autre SS, assez gradé de ce que je peux voir, au nombre de ses médailles, blond aux yeux bleus perçants qui fixait méchamment.... Gilbert de ce que j'ai compris.

-Je peux savoir à quoi tu joues ?

-Bah, j'aidais cette Frau à se relever !

-Elle peut le faire toute seule. Lâche-la.

Gilbert obéis et me lâcha. Le SS s'avança vers nous, le regard dur.

-Retourne trier les déportés.

-Ja, Ja... J'ai compris, je te la laisse Bruder !~

Je cru pendant un instant que ses yeux bleus lançaient des éclairs foudroyants sur son... Frère ? Mais ils ne se ressemblent pas du tout... Étrange.

-Votre nom.

- ____... ____ _____.

-____... Nationalité ?

- Française, monsieur....

-Pourquoi avez-vous été déportée ?

-Parce que mon père fait partie de la Résistance, donc ils pensent que moi aussi... dis-je en soupirant tristement.

-Je vois. Allez vous ranger avec les autres.

Il prit mon bras fermement et m'amena dans un rang composé d'une vingtaine de femme. Puis, il prit la parole.

-Vous toutes allez aux cuisines, et que ça saute !!

Nous avancions quand nous entendions des cris de détresse.

-NON !!! RENDEZ-MOI MON FILS !! LAISSEZ-LE !!!

-MAMAN !!! MAMAN AIDE-MOI !!! ME LAISSE PAS TOUT SEUL !! MAMAN J'AI PEUR !!!

L'agitation commença à se faire entendre, des gens tentèrent de s'enfuir et furent arrêtés ou tués par les SS.

-AVANCEZ LES CUISINIÈRES !! VOUS OCCUPEZ PAS DE CE QUI SE PASSE !!

-PAPA !!! MAMAN !!

Des femmes du rang commencèrent à partir et je n'arrivais plus à bouger, je fixais la scène. Des femmes, des hommes et des enfants battus à mort, voir tués... Les cris déchirant des mères appelant leurs enfants, les SS et les hommes se battant entre eux... J'étais paralysée par tant de violences. Sans plus réfléchir, je me mis courir, paniquée.

-HEY VOUS !!!! REVENEZ IMMÉDIATEMENT !!! ENVOYEZ LES CHIENS !!!

Je ne me retournai pas et je pu entendre des aboiements qui commencèrent à se rapprocher dangereusement, j'accélérai donc à en perdre haleine.

Tout à coup je sentis une balle me traverser le bras gauche. Je criai de douleur et m'écroulai, le bras en sang, la seule chose que je vis fut les chiens sautant sur moi... Et des yeux bleus clairs. Puis, le noir complet.





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