Shibakariki
1-la mort du poète
Ce matin était parsemé d'une couleur ondoyante
Les vents soufflait a peine allure
La brume avait envahit ses pensées
Le vieillard était assis sur la chaussée
Ses yeux avaient épouse le brouillard
De sa bouche ébahit s'échappait heureux d'être libre
Une âme longtemps négligé par son amante
Soudain apparaît la belle , la muse , la mort
Hélas trop de temps ont passé
Laissant son regard se courbe au poids des années
Et sur les écriteaux de sa dernière demeure
Figurait " que Hell conserve ce qui est a elle "
2-Je me rappelle
Je me rappelle !
Mais pas comme Senghor
Des matins au regard ternes et ennuyants
Des nuits longues et lassantes ou se languissait les nouveaux nés
Des femmes au comportement fiers et des cœurs saignant
Je me rappelle !
Mais pas comme Senghor
De ces vieillards aux squelettes las de vieillis
De ces cases tant hiverné que la pitié n'a plus de sens
De ces pays ou la joie est conjugué au passé
Et quand les souvenirs m'envahissent je danse de sanglots car
Je me rappelle !
Mais pas comme Senghor
3-ténebres
Si la lumière venait a disparaitre de mes iris
Et que les ténèbres de mes yeux te terrifie
Rappelle toi que j'ai été surtout que je ne suis partis
Juste la ou le regard de ton coeur se pétrifie
Rappelle toi je suis la à attendre l'ultime muse
Maitresse de mes inquiétudes , de mes peurs
Servante infâmes de mes illusions ,mes lueurs
Ô qu'elle est belle la faucheuse , ô ma muse
Hélas je ne serai plus près pour voir les larmes que je t'ai causé
Surtout n'oublie pas que pour toi j'ai existé
4-Takotsubo
Il est des regards sombre mais au lueurs joyeux
De ces sourires fiers mais dont la racine n'est pas plus heureux
Si ces damnés se mettent a réfléchir sur leur triste sort
Oh ! Anathenne ne me donne pas tort
De vouloir en ces quelques minutes de vie espérer d'un espoir déjà enterré
Par le glaive que notre Humanité a terré
Ici et là , nul part qu'ailleurs ou nous pourront cacher nos lamentations
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