‼️ ce chapitre va aborder des sujets sensible 🍇 et la péd0philie ‼️

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📍Tribeca , New-York

La pluie battait contre les vitres du penthouse. La vue était à couper le souffle : les lumières des buildings qui dominent New York scintillaient au loin. Ophélia détestait cette vue, le bruit, le rush, cette superficialité qui l'obligeait à jouer un rôle qu'elle n'avait pas choisi mais au final le rôle de détractrice lui va plus tôt bien . Cette ville lui donnait la migraine, mais cela sonnait hypocrite, étant donné qu'elle incarnait le cliché de la femme fatale new-yorkaise, un excellent poste dans un grand cabinet, des dîners dans des restaurants étoilés, des week-ends aux Hamptons, des galas de charité. Il ne lui manquait qu'un mari et des enfants pour  compléter les cases du  stéréotype de la femme parfaite, mais elle était loin de la perfection .

La jeune femme tira les rideaux et s'installa sur son canapé, probablement aussi cher que deux ans de salaire pour un simple ouvrier. Elle alluma le lecteur vidéo, un verre de cognac à la main. Elle ne connaissait pas grand-chose aux alcools, sauf au vin et au rosé. C'était une bouteille qu'elle avait prise à son père, du Martell Cordon Bleu. C'était fort, mais elle en avait besoin après la semaine qu'elle venait de passer. Elle ajusta la veste qu'elle portait et lança la cassette de ses tourments ...de ses angoisses .

Aujourd'hui n'était pas qu'une simple journée de travail où elle enchaînait les réunions, suivant son père comme son ombre en s'occupant de son sal boulot . Non, aujourd'hui marquait aussi l'anniversaire du début de son dégoût pour elle-même. Si elle n'avait pas été avocate, elle aurait pu devenir une grande actrice, Ophelia Van Doren était connue pour sa confiance et son  charisme, mais était en réalité rongée par un profond dégoût chaque fois qu'elle se voyait devant le miroir  "sal dégoutante" c'était ses pensés à chaque fois qu'elle se regardait nu à travers le miroir. Cette pensée la hantait depuis vingt ans.

-flashback -

📍Newport, résidence secondaire des Van Doren

Ophélia courait partout dans la maison, comme chaque fois que ses parents l'envoyaient chez son grand-père pour profiter du calme de leur résidence familiale et parfaire son éducation. À sept ans, elle était une enfant vive et joyeuse, se mettant toujours  dans des situations cocasses et amusante , pas plus tard que la semaine dernière , elle avait teint en rouge vif le chat de la voisine , ce qui l'avait fait rire, mais pas la voisine, ni son père qui l'avait grondée par téléphone entre deux réunions.

La nounou n'arrêtait pas de lui courir après pour la mettre au lit, mais quelqu'un s'interposa avec un sourire. C'était son grand-père. "Grand-père, grand-père !" s'écria-t-elle. Son papy était la personne qu'elle admirait le plus, celui qui l'emmenait partout, lui apprenait les échecs le golf et même tirer avec un fusil pour la chasse .

Elle le suivit en fronçant les sourcils, réalisant qu'il ne se dirigeait pas vers sa chambre. Elle ne dit rien, pensant qu'il allait lui offrir une glace comme la dernière fois. Une moue contrariée se dessina sur son visage.

Ophélia : "Pourquoi sommes-nous dans ta chambre ? On va jouer aux échecs, parce que nounou-

Karl Van Doren était un avocat redouté, un juge qui avait fait trembler la Cour suprême pendant sa présidence .  Mais il avait des idées salaces pas digne d'une personne de son rang ni d'un humain d'ailleurs , des pulsions qui n'a jamais essayé de chasser . En voyant sa petite-fille grandir, il avait des pensées troublantes touts ses démons revenait . Il l'allongea sur le lit et la prit dans ses bras.

Karl : "Chut, ma princesse. Je vais te confier un secret, d'accord ? Entre toi et moi, personne ne doit le savoir, sinon je serai fâché. Tu ne veux pas me mettre en colère, n'est-ce pas ?" *La petite fille hocha la tête.* "Je t'aime, ma petite princesse."

Il passa une main sous le short Winnie l'ourson de l'enfant. Elle grimace et dit : "Aïe, ça fait mal", mais elle ne dit rien de plus, pensant que c'était peut-être un nouveau jeu donc elle se contente de regarder  la fenêtre .

Elle ne savait pas que ce petit jeux allait duré 6 ans

📍Tribeca , New-York

L'avocat regarde la cassette sortir du lecteur Dvd automatiquement elle se lève pour la prendre et la ranger  mais  son verre de cognac se renvers sur le canape " merde " elle se penche pour ramasser le verre pas grave pour le canapé toute façon ,elle veut changer de déco moderne et minimaliste c'est pas son truc , elle repose le verre sur la table . Ses yeux tombent sur une autres cassettes sur celle-ci il y'avait écrit " Telluride, Colorado " un frison la prend ça va faire plus de 15 ans que cette évènement c'est produit mais elle sent encore des mains sur elle les yeux bandés la bouche pâteuse et des hommes autours d'elle dans son grand-père , enfin peut-être elle sait plus tout était calme silencieux la drogue l'avait fait divaguer ne se rappelant plus de la moitié de la nuit ni de son séjours là-bas , mais les traces étaient restées pendant un long moment et le dégout lui il est toujours là .

la jeune femme se lève et court vers sa salle de bain pour vomir le maigre diné qu'elle a prit en se rappelant des quelque fragment de cette nuit , puis se déshabille rapidement à l'arrache  jetant ses habilles par terre  et rentre dans sa douche italienne ,allumant l'eau chaude et commence à se frotter pour faire disparaitre  cette sensation de saleté " putain gros porcs pervers brûle en enfer brulez touts qui que vous soyez " elle s'écroule  sur le sol de sa douche laissant l'eau chaude nettoyer ses cicatrices qui n'étaient malheureusement pas voyante mais encré dans son âme au fer rouge   .

Ada se lève en éteignant l'eau puis se sèche et applique une crème pour apaisant sa peaux qui était toute rouge à force de frotter ,  elle se baisse pour ramasser sa veste évitant de croiser son regard dans le miroir qui devait être tout rouge et gonfler ses larmes n'ont pas arrêté de couler depuis le début du film .. " Pathétique " . C'était comme le jour de l'entraiment de son grand-père l'adolescente de 14 ans a pleuré pendant toute la cérémonie et même après pendant la soirée , beaucoup pensaient que c'était des larmes de chagrin au vu de la relation du grand-père  et sa petite fille mais c'était des larmes de joie de libération mais ça personne ne le sait .... une grande actrice .

elle prend la veste en soupirant "il est peut-être temps de la jeter" ,c'était qu'un simple flirt  d'adolescence un simple été où chaque fois que son père partait à la cité impériale et bien elle le suivait juste pour le voire lui , Ophélia se demande quand son béguin a commencé mais quand on est adolescente même brisé on peut pas expliquer le premier crush et tout ses papillons dans le ventre , l'avocate range les cassettes dans la boite qui contient aussi des photos. au fond de son dressing c'était pas aujourd'hui qu'elle allait les bruler peut-être l'an prochaine ...et range la veste sur la chaise , elle s'allonge sur son lit pour s'endormir rien ne change finalement le dégoût est toujours présent comme une marque indélébile...demain c'était une grosse journée hors de question de se planter demain comme tout les autres jours elle devait être Ophélia Adeline Van Doren la digne héritière de sa lignée ,l'étoile montante du droit des affaires .

Elle tombe  dans les bras de morphée .