S'occuper du melon et de la livreuse
(Nda : Avant de commencer je voudrais vous précisé que ceci est une traduction française d'une histoire écrite en espagnol que j'ai adoré et que je voulais vous faire partager.J'espère que ça vous plaira.)
(@LadyMaria0808 a écrit cette histoire que je trouve vraiment trop mignonne)
(Antes de empezar, quiero decir que esto es una traducción francesa de una historia escrita en español que me encantó y que quería les hacer compartir. Espero que les guste)
(@LadyMaria0808 escribió esta historia que me parece tan linda de verdad)
S'occuper du melon
P.D.V Luna
Je me suis réveillé ce matin en ayant un peu froid et j'ai remarqué qu'il avait plu pendant toute la nuit. En regardant par la fenêtre j'ai remarqué qu'il y avait toujours des nuages, mais c'était toujours aussi joli, les oiseaux chantaient, le vent soufflait. Je restai à admirer la vue jusqu'à ce que je me rappelais que je devais aller au collège, alors remplie d'énergie je me suis préparé et coiffé pour y aller. J'ai descendu les escaliers pour aller jusqu'à la voiture mais Ambre n'était pas là. C'était bizarre.
-Es-tu prête Luna ?- M'a demandé Tino.
-Comment ça ? Ambre ne vient pas ?
-Mademoiselle Ambre est malade alors nous serons que toi et moi aujourd'hui
J'ai rit pour le commentaire de tino, il l'a dit d'un ton si amusant que c'est dur de le prendre au sérieux, mais bon. On monte dans la et nous partons pour le collège.
Ce fut un jour normal jusqu'à l'heure de sortir, d'habitude Matteo m'approcherai pour me faire des commentaires et m'embêter... mais au final je ne peux pas arrêter de me demander où il était, MAIS JE NE SUIS PAS INQUIÈTE, c'est seulement... seulement de la curiosité, parce que le melon ne m'interesse pas.
Presque instantanément je l'ai vu passser avec la tête penchée et le regard déprimé, quelque chose ne va pas. Matteo baisser la tête ? Non, ce n'est pas normal, je me suis approché de lui pour voir comment il allait.
-Matteo ?
-Oh, salut la livreuse...
Sa voix... pareçait cassée
-Tu vas bien ?
P.D.V Matteo
Ce n'est pas possible ! Quand je veux voir la livreuse elle n'est pas là mais aujourd'hui, juste aujourd'hui où je ne voulais pas la voir elle apparaît comme si le destin l'avait posé sur mon chemin. Aujourd'hui alors que je sens que ma tête va exploser à tout moment, elle apparaît.
-Matteo... Tu n'as pas l'air bien, tes joues...
Sa main touche ma joue et bon, je suis malade mais je ne suis pas idiot, je ne vais laisser échapper l'opportunité. Quand elle touche ma joue je prends sa main et je lui souris, tu es si facile à cerner la livreuse. Cela se voit dans tes yeux que tu t'inquiètes.
-Matteo, matteo tu as de la fièvre !- s'affole-t-elle.
-Et alors ? La livreuse est inquiète pour moi ?
Je lève un sourcil en m'approchant d'elle, sa main, qui n'était pas séparé de ma joue, commence à trembler. Elle est tellement douce nerveuse.
-M matteo
Mais mes jambes me lâchent, je tombe sur elle sans même le vouloir, la fiève m'a joué un mauvais tour.
P.D.V omniscient
Ils sont là, Matteo sur Luna, les deux avec le cœur qui bat à mille à l'heure, mais luna n'était pa douée avec les situations amoureuses. Rapidement, et sans beaucoup d'effort puisque Matteo n'est pas dans son assiette, elle se relève mais lui ne peut pas se relevé seul.
-Matteo, matteo tu vas bien ?- demande Luna toujours inquiète.
-Oui.. tu n'as pas besoin de t'inquièter la livreuse
-le melon, tu n'as pas besoin de me mentir.
Luna le relève du sol et lui lance un regard confus.
-Qu'est-ce que tu fais à l'école si tu es malade ?
-Il y a quelques temps je t'ai dis que j'étais responsable...
-Aller, je te ramène chez toi
Luna prend sa main et commence à sentir que son cœur d'accèlère de nouveau, c'est si étrange, pourquoi cela lui arrive qu'avec Matteo ?
Matteo lui donne quelques indications et ils arrivent chez lui. C'était un appartement idéal pour trois personnes, lui, sa mère et son père. C'était un lieu accueillant mais solitaire.
-Et tes parents ?- demande Luna.
-Ils travaillent toujours...- répond Matteo avec un sourire triste suivi d'un éternuement.
Luna est inquiète même si Matteo sourit et qu'il essaye d'être fort comme toujours, on voit sur son visage qu'il n'est pas bien, il est faible, il a la tête qui tourne à cause de la fièvre y pour ça, elle était encore plus inquiète. À ce moment là, elle s'en fiche s'il a été dérangeant ou moqueur en disant des choses qui ne lui plaisaient pas, c'est Matteo et elle doit l'aider à se sentir mieux, après tout, lui il arrive toujours à lui redonner le sourire quand elle passe de mauvais moments.
-Merci pour tout la livreuse mais je peux m'occuper de moi tout seul.
-Non Matteo, tu peux à peine tenir debout.
-Hé, je suis un grand garçon tu sais ?
-Matteo je ne m'en irai pas compris ? Tu n'as pas à faire semblant avec moi, je te promets que même si tu montres ton côté faible, je ne vais me moquer.
Le silence s'empare dans la chambre.
-Tu le jures ?
Luna lui sourit et répond.
-Je le jure
Luna sourit toujours et réussi à s'approcher de lui
Matteo guide Luna jusqu'à sa chambre. Celle-ci est très simple, un lit, quelques affiches de patinages et de musique, un bureau, une télévision, des jeux vidéos, la chambre tipique de n'importe quel adolescent.
-« Comme toujours... il n'y a que elle.. il n'y a que elle qui est capable de faire tomber cette mureille que j'ai construire pendant longtemps. Je ne sais pas si c'est la fièvre, mais en ce moment c'est un plaisir de l'avoir comme compagnie »- pense Matteo
-Matteo où sont tes vêtements ?
-M..mes vêtements ?!
-Oui, avec cette fièvre que tu as tu dois être en sueur dans l'uniforme.
P.D.V Matteo
J'ai faillit avoir une mauvais pensée quand Luna m'a demandé mes vêtements, dommage qu'elle soit si innocente, mais bon, je crois que ce n'est pas une mauvaise idée d'enlever mon uniforme, vu comment je me sens mal, ce sera un lot de consolation.
-Bon voilà tes vêtements- Dit Luna avec des vêtements dans la main.
-Luna... je ne peux pas me les mettre tout seul... je me sens trop mal
d'accord peut-être que j'exagère mais ce rougissement qui envahit ses joues vaut la peine.
-Tu... tu parles sérieusement ?
Un éternuement involontaire de ma part, fait qu'elle s'approche de moi. Maladroitement, elle m'enlève ma veste et déboutonne ma chemise, ses yeux s'ouvrent comme des soucoupes puis elle inspire et expire. Peut-être que c'est cruel mais cela me plaît, je ne sais pas, ne me demandez pas pourque j'aime voir la livreuse rougir, c'est un secret qu'elle doit savoir elle en premier.
Rapidement, comme si sa vie en dépendait, elle me met une autre chemise plus confortable que j'utilise seulement pour dormir. J'ai l'air tellement mal, j'ai presque honte de cela mais Luna est préoccupée par autre chose
-Tu as déjeuné ?- Demande Luna d'un coup.
-Euh.. ¿ Tu me croiras si je te dis oui ?- Dis-je en écouchant le soupire résigné de sa compagnie.
-Tu es incroyable
-Que puis-je te dire ? C'est ma nature, Atchoom !
-À tes souhaits... tu ne vas pas aller mieux comme cela, je reviens.
-Où vas-tu ?
-Ma mère est cuisinière donc je peux cuisiner aussi
Son sourire me réconforte un peu et quand elle part de la chambre, je n'ai pas peur qu'elle m'abandonne, je reste là en l'attendant pendant trente minutes et elle revient avec un soupe chaude. Pourquoi prend-elle autant soin de moi ?
-Bon, je te la donne ou..- je l'interrompts.
-Luna.. je peux te dire quelque chose ?
-Bien-sûr. Dis-moi.
Je commence à voir flou, je ne sais pas ce qu'il m'arrive.
P.D.V omniscient
Matteo commence à délirer à cause de la fièvre, et de sa bouche sort des mots que lui même ne veut pas dire, ou plutôt, pas à ce moment précis.
-Luna... j'ai besoin que tu saches que tout ce temps où tu as été à mes côtés je me suis senti comme le roi du monde. À chaque fois que tu aies avec moi et que tu sors ce sourire que tu as, je sens que toute ma tristesse s'en va, je sens, je sens que je peux seulement être avec toi. Jamais, ni même avec Ambre, je n'ai senti ce sentiment. Et moi... je veux te dire que.. que.. je suis tombé amoureux de toi.
P.D.V Luna
Et je suis là, avec la soupe dans les mains, à écouter chaque mot qui sort de sa bouche. Je sais que c'est la fièvre et qu'il est en plein délire mais je ne peux pas m'empêcher de sentir une immense joie. Juste imaginer que ces mots pourraient être vraies, seulement cela me fait voler sur un petit nuage. Mais, ce n'est pas le moment pour les niaiseries. Je l'approche pour lui donner à manger mais il se rapproche de mes lèvres, prend mon menton. Il ne me laisse pas réagir et quand je m'en rend compte, il a déjà ses lèvres contre les miens.
Le baiser est magique, je m'en fiche si je tombe malade pas ou de l'immense pluie de sentiments que je ressens en l'embrassant. Juste pour cet instant, ce précieux instant, tout est magique.
Quand on se sépare je le vois tomber sur le lit, il s'est évanouit. Je laisse la soupe sur la table de nuit et je lui passe un gant humide sur le front. Je prends soin de lui comme cela jusqu'à ce que sa température descende un peu.
-Haaa, ma tête...- Enfin, il se réveille.
-Tu vas bien ?
-Oui grâce à toi
-Ce n'est rien, aller mange et prend ton médicament
Voilà comment se passe jusqu'à la soirée, jusqu'à ce qu'il n'ait plus de fièvre. Je me demande seulement, s'il se rappelle du baiser. C'est déjà l'heure de m'en aller, j'étais prête à me lever lorsque.
-La livreuse
-Qu'est-ce qui... ?
Il me fait taire avec un baiser volé.
-Je n'oublirai jamais la saveur de tes lèvres
-M..matteo
Il me fait juste un clin d'œil.
-À... à plus tard le melon
Al día siguiente...
-Atchoom !- j'éternue, me sentant très mal, et justement à ce moment, Matteo arrive et s'approche.
-Apparemment c'est mon tour.
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S'occuper de la livreuse
P.D.V Omniscient
C'était presque l'heure de la sortie. Les cours ont repris normalement. Spécialement pour Matteo. Il s'est passé une semaine depuis sa maladie et même s'il voit sa protectrice un peu déprimée, il arrive toujours à la faire sourire, à l'exception d'aujourd'hui. Il ne la trouve nulle part et cela l'inquiète de l'avoir contaminé avec sa maladie, oui c'est vrai, cela l'inquiète, mais après tant de choses passés chez lui c'est le plus logique. Après tout, si elle est malade c'est seulement sa faute à lui.
La cloche annonce la fin des cours, quand un éternument appelle l'attention du melon. Il la voit de la salle de « son infirmière » et cela ne lui donne aucun plaisir de savoir qu'elle est tombée malade.
—Atchoom !—
—Apparemment c'est mon tour.
P.D.V Matteo
Je m'approche d'elle en la voyant éternuer. Elle n'a pas l'air bien, son nez est rouge comme ses joues. Même quand elle est malade elle est belle. Elle est allongée sur sa chaise y me regarde avec un léger sourire, qui paraît bien plus une petite grimace.
—Ce n'est pas ton tour le melon. Je vais bien...
—Oui bien-sûr, aussi bien que moi il y a une semaine
Je l'approche de moi et pose ma main sur sa joue, sa température est haute, elle doit se sentir super mal.
—Comment as-tu fait pour venir à l'école comme cela ?
—Tina m'a emmené...—Elle m'interrompt.
—Ils sont en voyage, madame Benson me surveille
P.D.V Luna
À peine je reussi à maintenir mes yeux ouverts, tout pareçait loin, sauf le garçon le plus oportun du monde qui vient quand je me sens horriblement mal.
—Matteo je dois m'en aller, je dois travailler
—Je crois que tu as déjà perdu le seul boulon qui te restait, tu penses vraiment aller au Roller dans cet état ?
—Cette semaine j'ai raté deux fois à cause de l'école, Tamara ne me pardonnera pas cette fois-ci.
Je me lève avec beaucoup d'effort, sort et met mes patins. Matteo n'arrête pas de me suivre. Dérangement !
—Je t'ai dit que j'allais bien
—Je disais la même chose il y a une semaine
—Tu ne voulais juste pas m'inquièter
—Je ne vois pas la différence
Je soupire résignée, je n'ai pas la tête à me disputer avec le melon, je dois arriver au travail, travailler, rentrer chez moi et essayer de ne pas mourir...
Avec la force de volonté et l'accompagnement de Matteo, j'arrive au Roller. Tamara est assez préssée alors elle me salue de loin. Avec change, elle ne remarque rien de bizarre.
—Tu vois ? Je suis excellente.
—Ne t'y crois pas trop, Luna tu en peux pas faire ça
Dernièrement il m'appelle beaucoup par mon prénom, je crois que quelque chose entre nous a changé l'autre jour, mais je ne sais pas quoi. Après tout, il ne m'a pas demandé qu'on soit un couple ou quelque chose du genre.
—Si je peux—Dis-je en patinant vers la piste.
P.D.V Matteo
Mon dieu ! Pourquoi est-elle si têtue ? Elle ne voit pas le danger ? Même si...je crois que sa détermination est ce qui me plaît chez elle... Mais ce n'est pas le sujet ! Pas vrai ?... Génial je recommence à m'emmêler les pinceaux, vaut mieux que je m'assoit et que je veille à ce qu'elle te tombe pas en patinant avec tant de fièvre.
P.D.V omniscient
Après une heure, la fièvre de Luna a augmenté considérablement, elle a déjà eu la tête qui tourne deux fois et c'est pour cela que Matteo est entré sur la pista, pour veiller à ce qu'elle ne tombe pas.
P.D.V Luna
En ce moment j'aimerai être dans mon lit, mon ancienne vie au Mexique commence à me manquer. Quand mes parents n'avaient aucun problème légal pour être avec moi et prendre soin de moi. Arriver en Argentine fut un changement... mais être fille d'une défunte millionnaire, c'est quelque chose que je n'arrive pas à coller dans mon esprit.
Je vois tout flou, j'entends de loin la voix de Tamara et je me sens tomber mais je ne sens pas de coup.
J'ouvre les yeux lourdement et je regarde à côté. Je rougis sans raison en voyant les yeux de Matteo... bon d'accord il y a une raison..
Et une de ces raisons c'est parce qu'il me porte comme une princesse, Heureusement que Nina ne soit pas là parce qu'elle serait super contente et inquiète.
Je dévie rapidement le regard, c'était attendu du garçon le plus melonné du monde, qu'ai-je dis, du monde ? DU MONDE MONDIAL.
Je vois Tamara, elle me regarde préoccupée et angoissée.
—Luna tu vas bien ?!
J'acquiecse lentement et je la vois lâcher un soupire.
—Tu n'aurais pas dû venir si tu es si malade
—Je sais Tamara, pardon.
—Matteo, tu peux la ramener chez elle ?
—Bien-sûr—et je peux jurer qu'il me regarde avec malide.
On sort rapidement du Roller, je me lève et regarde Matteo avec colère. Il sait que les choses romantiques ce n'est pas mon genre.
—Je peux marcher
—Quel façon de remercier
—Désolée.. s'il te plaît ne me ramène pas chez moi, mes parents sont au Mexique pour résoudre quelques affaires et madame Benson.. n'est pas aussi douce qu'on le dit, je suis sûr qu'elle cherche quelqu'un pour me surveiller, et je ne veux pas de ça...
L'air de rien Matteo enlève sa veste et me la pose sur mes épaules. Je recommence à me sentir nerveuse, il me sourit.
—Tu trembles... je crois que je t'en dois une. ¿ Je t'emmène chez moi ?
Il sourit légèrement, il a ma confiame même si je déteste le dire.
—D'accord...
Nous arrivons chez lui, il m'accompagne à sa chambre et me demande de m'allonger sur son lit. Je sens que mon cœur va sortir de ma poitrine. Sans le vouloir, je me rappelle quand il était à ma place, alors je me rappelle combien j'étais inquiète, même si ça me coûte de l'admettre. Je le regarde et il continue de me regarder en attendant que je bouge. Je lui souris légèrement et m'allonge en fermant les yeux et en tombant dans un profond sommeil.
P.D.V Matteo
ELLE VA ME FAIRE FAIRE UNE ATTAQUE ! Elle s'est presque évanouit ! Dieu merci qu'elle n'est pas refusé sinon j'aurai dû utiliser mes « méthodes » pour la convaincre...
Le reste à la regarder, elle dort dans mon lit, elle paraît sans défense, dépourvue, si... si... STOP, ce n'est pas le moment pour cela.
Je me rappelle que quand elle était à ma place elle m'avait préparé de la soupe, je suis sûr qu'elle appréciera si j'en fais un peu mais il y a un poblème... Comment on fait la soupe ?
Je vais a la cuisine et je ne sais pas quoi faire, mais heureusement j'ai internet.
J'allais terminé quand je la vois sortir de ma chambre, elle marche maladroitement jusqu'à moi et m'enlace. Je m'accroche surpris faisant qu'en rendant l'étreinte, je pose mes mains là où il ne faut pas.
Je rougis instantanément et je la regarde. Ses joues sont toujours rouges et ses yeux montrent de l'innocence. Apparemment elle ne se rend pas compte de où sont placés mes mains et le laisse passer. Elle continue de me regarder en silence. Ses yeux se remplissent de larmes, je crois que c'est la première fois que je la vois pleurer, elle planique.
—Qu'..qu'est-ce qu'il y a ?
—Pourquoi ?
Mesdammes aidez-moi, elle est malade ou elle a ses menstruations ?!
—Pour..pourquoi ?
—Tu ne m'aimes pas...
—De quoi tu parles ?
—Si tu m'aimais on serait en couple
Elle est définitivement en train de délirer. Je la porte de ni nouveau mais elle fait une crise. Peut-être, juste peut-être que j'aurai dû faire quelque chose pour baisser la fièvre avant de m'en aller de la chambre.
Avec efforts, je la ramène à la chambre, elle a l'air contrariée alors je m'allonge avec elle. Je vois que son visage s'addoucit et elle sourit, on dirait une petite fille, elle est trop mignonne.
Elle me fait un câlin et je reste paralysé mais j'en profite pour fermer les yeux et profiter du moment. Elle recommence à dormier alors je prends un torchon humide et imite ce qu'elle a fait avec moi en me souvenant de ce qu'elle m'a dit quand elle délirait.
« Si tu m'aimais on serai en couple »
Mais quelque chose appelle mon attention et c'est l'odeur de la soupe. Elle sera bientôt prête. Je repars à la cuisine et la termine, elle est parfaite, je suis génial.
Je reviens à la chambre après quinze minutes et je la voix assisse sur le lit, son nez est rouge et je ne peux pas m'empêcher de la comparer à un lapin. ¿ Ne croyais que tout le monde avait une tête horrible quand on était malade mais pas elle apparemment ! C'est injuste !
—Apparemment le melon cuisine
—Que puis-je te dire ? Je suis génial—Elle rie devant mon commentaire et me regarde.
—Ah bon ? Alors nous allons voir.
Elle sourit, elle a l'air de se sentir mieux. Elle tend les bras pour recevoir la soupe mais elle éternue. Je refuse et l'approche de moi.
—Je te la donne, ouvre la bouche
Elle devient nerveuse et refuse deséspéremment.
—No..non Matteo je peux me...—Je l'interrompt en mettant une cuillière de soupe dans sa bouche, la faisant taire complètement. Elle l'a prend et me regarde contrariée mais je sais qu'elle n'est pas en colère.
—Alors ?
—C'es... acceptable
—Woh, tu es exigente.
Je rigole et profite encore de l'opportunité.
—Fait « A—
—Matteo je ne suis pas un bébé—Dit-elle pour ensuite éternuer et laisser la bouche ouverte. Je remet la cuillière et cette fois-ci elle rie aux éclats.
—Apparemment le destin est en faveur du melon
—Ça a toujours été comme ça, je ne vois ce qui est surprenant
On reste à parler pendant un moment, jsuqu'à ce que la fièvre de Luna descende complètement. Mais je décide de la raccompagner chez elle.
—Au fait Luna...
—Oui ?
J'inspire et expire nerveusement, je n'ai jamais fait quelque chose de si important que de me déclarer.
—Tu... tu as dit que je ne t'aimais pas quand tu étais malade
Elle me regarde surprise et nerveuse.
—He..y.. euh... j'étais malade ne m'en fais pas tout une histoire.
—Je ne peux pas ignorer quelque chose de si important, tu crois que je ne t'aime pas ?
Elle garde le silence et soupire.
—Peut-être que tu ne m'aimes pas comme moi je t'aime. Tu sais, je t'aime... d'une façon différente à celle de Simon, et toi, je crois que tu m'aimes mais pas comme je t'aime moi.
Je pense en dernier à ce qu'elle a dit à propos de Simon.
—Peut-être, même si ton explicacion était un peu confuse. Je peux essayer de la résumer. Tu sais je suis un très bon élève.
—Tu m'aimes d'une autre façon que tu aimes Simon... alors.. Simon te plaît ?
Elle me regarde confuse, elle ne rougit pas, elle n'est pas enrveuse. Elle me regarde avec interrogation.
—Il y a quelques temps je pensesai qu'il me plaisait mais, il y a peu j'ai compris que je l'aimais comme un ami ou comme un frère.
—Alors ça veut dire que tu ne m'aime pas comme un ami
Elle rougit et me regarde nerveusement. Youpi !
—Je.. euh..
—La livreuse est amoureuse apparemment.
Elle s'arrête et je la vois jouer avec ses doigts.
—Et qu'en est-il du melon ?
Contre attaque, et cela m'oblige à faire quelque chose que je n'ai jamais fait, me confesser en premier.
—Moi oui, je suis amoureux, amoureux de la lune.
J'essaye d'être le plus direct possible mais ça ne fonctionne pas puisqu'elle regarde la lune confuse.
—Tu parles d'amours platoniques.
Elle m'abbat avec son innocence. Je serai plus direct que jamais.
—Tu me plaîs Luna.
Elle reste statique pendant un moment et puis elle sourit et me fait un câlin. Elle est réellement heureux.
—Vraiment ? Tu ne joues pas avec moi ?
—Bien-sûr que non, c'est la première fois que je me sens autant amoureux.
—Et Ambre ?
—Il se passe la même chose avec elle qu'il te passe toi avec Simon
On reste enlacés pendant un bon moment, seul la lune nous illumine. Alors je l'approche de moi, je dois l'embrasser.
Mais elle met une main sur sa bouche. Quel déception !
—Je ne peux pas te contagier
—Je prends le risque
J'enlève sa main et l'embrassé, presque désespéré, cette saveur, ces lèvres, personne n'embrasse comme elle.
Elle me sourit, je lui sourit, à ce stade j'espère la grippe m'a contagié, parce que grâce à lui, j'ai reussi quelque chose que je voulais depuis longtemps.
L'amour.
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