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Ruggarol : La gardienne de mon coeur

Il était une fois, le royaume de Solunium, crée dans l'axe de la lumière du soleil et de la lune. Sur le point "x", oú les lumières opposées se rencontrèrent, un château se construisit, un énorme château.
Ce royaume été gouverné par la reine Antonella Pasquarelli et son époux, le roi Bruno Pasquarelli. Tous deux, étaient très amoureux l'un de l'autre et avaient eu deux enfants. Leur aîné, le prince Ruggero Pasquarelli, l'héritier du royaume de Solunium. Et leur cadet, le prince Leonardo Pasquarelli. Ces deux enfants, en plus d'être frères, étaient les meilleurs amis du monde, au plus grand bonheur de leurs parents.
Tout allait pour le mieux dans cette famille royale, aimée de tous. Mais, tout bonheur avait une fin.
Une guerre avait éclaté lorsque le prince aîné avait seize ans. Une guerre que le royaume d'Neprus avait déclaré au royaume de Solunium.
Leurs soldats avaient capturé le prince Leonardo de seulement dix ans et l'avait enfermé dans un cachot sombre et avec très peu de quoi se nourrir.
Ses parents, le roi et la reine Pasquarelli, était très inquiets et avaient décidé d'envoyer des gardes à la recherche de leur cadet. Ils avaient également prévu un garde du corps pour Ruggero, qui était le prochain sur la liste, à être kidnappé par le royaume adverse. Sans perdre de temps, ils rassemblèrent les meilleures élèves de l'école de garde du corps pour choisir l'un d'entre eux qui veillera et protégera leur fils.
Pour trouver cette personne, ils avaient décidé de faire passer une série de tests avec trois étapes en tout auxquelles Ruggero serait cobaye avec des soldats du royaume.
La première étape, trouver le moyen de protéger le prince pendant une attaque.
La deuxième étape, montrer ses capacités d'attaque et de défense avec des épées face aux soldats.
La troisième et dernière étape, montrer ses capacités d'attaque et de défense, seulement avec son corps, en utilisant les arts martiaux.

Les trois étapes seraient regroupés en une seule bataille où ils devraient exécutés ces trois compétences et les réussir pour être le garde du corps officiel du prince héritier.

La séance était ouverte et une longue queue se formaient au devant du château. Que des hommes qui se battaient en vain mais qui ratait toujours une étape. Soit en oubliant le danger dans lequel se trouvait le prince parce qu'ils étaient trop occupés à se battre. Soit parce qu'ils ne savaient pas bien manier les armes et les réflexes. Ou soit parce que leurs capacités à se battre sans armes étaient très insuffisantes. La queue disparut petit à petit et le roi et la reine étaient inquiets de ne trouver aucun garde du corps apte à protéger leur fils hériter pendant qu'ils partiraient à la recherche de leur fils cadet.
C'est alors que la porte s'ouvrît en grand, laissant apparaître le visage d'une magnifique jeune femme, que le prince remarqua tout de suite.

- Bonjour jeune fille. Qui es-tu ? Demanda le roi.

- Bonjour votre majesté. Je me présente, je suis Karol Itzitery Piña Cisneros. Je viens pour l'offre d'emploie que vous avez fait circuler dans le royaume. Je viens pour vous aider à protéger le prince héritier.

Karol était une fille brave, d'une simple famille modeste du royaume, qui avait appris toute son enfance à se battre. Dans son quartier, rôdaient tous les voleurs malfaisants de la ville, et elle a dû apprendre à se battre et à protéger sa famille. Elle est de taille petite et paraît si fragile mais ne l'énervai pas. Elle est capable de beaucoup de chose dont vous ignorez.

- Je ne veux point vous importuner. Mais pensez-vous qu'une jeune fille de votre taille et qui est si fragile puisse être capable de protéger notre fils ? Interrogea la reine.

- Laissez-moi vous montrez ! Annonça-t-elle en sortant son épée.

La reine accepta.
Karol protégeait le prince en permanence pendant la bataille, et ses défenses n'avaient pas recours aux épées, elle les utilisaient uniquement pour attaquer. Elle avait de très bon réflexe, un excellent ouïe et une vue impeccable. Cela lui permettait de percevoir n'importe quel détail et de voir le danger venir. Elle maîtrisait son corps à la perfection pour avoir réussi à mettre en six minutes et trente huit secondes, les vingt cinq soldats, sans avoir une égratignure et sans que le prince fut été pris par un quelconque danger. Cette jeune femme était exceptionnelle et avait une capacité  incomparable à une autre.
La petite famille royale était impressionnée par les prouesses de cette nouvelle garde du corps.

- Impressionnant ! Nous t'engageons ! Énonça le roi. Vous serez très bien payée pour ce poste mais vous auriez à travailler à plein temps.

- Cela ne me dérange point votre majesté et l'argent ne m'intéresse pas. Je n'en veux point.

- Ce n'est point normal mademoiselle. Personne ne viendrai travailler ici sans but précis. Vous attendez quelque chose en échange ? Demanda la Reine.

Karol hocha la tête.

- Eh bien dites-nous. Si vous faites du bon travail, vous aurez ce que vous désireriez.

Le roi et la reine étaient tout ouïe aux désirs de cette jeune femme, qui ne voulait pas d'or en échange. Surprenant, pensèrent-ils.

- Je voudrai que vous acceptiez, que ma pauvre mère puisse avoir accès à vos médecins et à aux soins médicaux de votre château pour qu'elle puisse être sauvée de sa maladie et qu'elle échappe à la mort.

Avant même que le roi et la reine puisse répondre, le prince prit la parole.

- Accordée mademoiselle. Accordée même, sur le champ.

Le prince demanda à un garde d'aller chercher la mère de Karol et de la ramener au château pour qu'on la soigne.

- Merci beaucoup votre majesté. Je vous en serai éternellement reconnaissante. Remercia Karol.

La petite famille royale lui sourit puis lui donna toutes les instructions. Karol devait rester auprès du prince en permanence pour lui éviter n'importe quel danger.

- Nous revenons très bientôt fils. Prend soin de toi. Parla le roi en déposant un baiser sur le front de son fils.

La reine prit son fils dans ses bras.

- Revenez vite et faites attention à vous.

La reine sourit à son fils et lui donne le médaillon du royaume.

- Garde-le avec toi. Nous reviendrons vite trésor.

Ils se font un dernier câlin tous les trois avant que le roi et la reine quittent le royaume pour retrouver Leonardo.
Le prince héritier regardait ses parents marchaient vers la sortie, une fois ceux-là partis, il sorti de ses pensées et tourna sa tête vers sa garde du corps.

- Vous allez bien ? Demanda Karol gentiment.

- Oui merci. Ils vont juste me manquer. Répondît-il simplement.

- Je vous comprends votre majesté. Mais ne vous inquiétez pas ils sont braves, forts et courageux. Ils reviendront très vite et avec votre frère à ces côtés. Essayait-elle de le rassurer.

- C'est gentil. Vous êtes adorable. Mais arrêtons les formalités si vous le voulez-bien. Appelez-moi Ruggero. Proposa-t-il.

- D'accord votre maje... euh Ruggero. Rît-elle nerveusement. Appelez-moi Karol.

- Très bien Karol. Maintenant, je vais vous faire visiter le château.

Il lui tendit la main qu'elle pris de suite. Ils firent le tour de cette immense château. Il lui fit d'abord voir la grande salle à manger du château où ils dîneront.

- Wow ! Tout le monde mange ici ? Demanda Karol.

- Oui, tout le monde, même les employés, les gardes, les soldats, le roi, la reine, les princes, les invités tout de monde. Seulement, on ne mange pas tous sur la même table. La famille royale mange ensemble. Puis les infirmiers et les médecins sur une autre table, les soldats encore sur une autre table et ainsi de suite.

- Je comprends. Dites, sur quelle table dînerais-je ?

- Normalement, vous devriez manger avec les gardes mais puisqu'aucun membre de ma famille n'est présent, voudriez-vous bien dîner sur ma table ? Demanda le prince, en espérant qu'elle dise oui.

- Avec plaisir. Je ne connais personne à part vous. Rigola-t-elle.

- Bien, je vous remercie. Dites, vous avez le même âge que moi, je me trompe ?

- J'ai quinze ans, bientôt seize.

- Et vous travaillez déjà à cet âge là ? Ce n'est pas un peu jeune. Souligna le prince.

- Je n'ai pas le choix si je veux pouvoir vivre un minimum. Explica-t-elle.

- Et vos parents ? Ils ne travaillent pas ? Demanda-t-il.

- Comme vous le savez, ma mère est malade. De ce fait, elle ne peut pas travailler, elle ne peut à peine se déplacer et elle a besoin en urgence de soins médicaux... mais malheureusement je n'ai pas l'argent nécessaire.

- Et votre père ? Ou votre famille ?

- Mon père est morte quand j'étais petite pendant un cambriolage chez moi. Baissa-t-elle les yeux. Et je n'ai pas vraiment de famille, j'ai été adopté par eux quand j'étais petite, donc je suis un peu seule vous voyez.

- Je suis désolé... je l'ignorais... je ne voulais pas vous faire parler de quelque chose si cela vous rend triste.

- Ce n'est pas grave...

- Peu importe. Vous avez l'air d'avoir vécu un passé difficile et de vivre en ce moment même dans une situation compliquée. C'est peut-être pour cela que vous êtes aussi brave et forte.

- Merci mon prince, c'est très gentil à vous. Sourît-elle.

Le prince sourît a son tour.

- Je vais vous faire visiter la suite du château.

Il la fit alors déambuler dans le château, pièce par pièce, plus magnifiques les unes que les autres.
La cuisine, les chambres, la salle de musique, la salle de sport, la salle de réunion, la salle de jeux, la salle d'escrime, la salle de tableaux, la salle d'or, l'infirmerie, l'hôpital, la salle d'étude, la bibliothèque, la salle de peinture, la salle informatique, la salle des archives, la salle florale, la grande salle du trône, le cachot, la salle de réception, la salle de fête, l'entrée, le jardin.

- Votre château est immense et magnifique ! Déclara Karol émerveillée.

- Alors bienvenue chez vous ! Sourît le prince. Maintenant je voudrais vous montrer ma pièce  préférée du château, la salle de peinture.

Il ouvrit la porte de cette pièce, laissant apparaître différentes variétés de matériels artistiques avec des toiles immenses.

- C'est incroyable !

- C'est mon endroit préféré du château. J'adore peindre le monde à ma manière. Voudriez-vous voir une de mes œuvres ?

Elle acquiesça et le prince lui montra ses peintures. Des peintures dont la jeune garde du corps était impressionnée.
Ils continuèrent à parler et à discuter des heures entières sur ce qu'ils aimaient faire. Karol, elle aimait l'escrime, la musique, les arts visuels, la littérature, la poésie et la danse.
Ruggero, lui aimait les arts visuels, le sport, le théâtre, le cinéma, la danse et la musique.
Ils parlèrent aussi de voyage et tout ce qu'ils aimeraient découvrir du monde. Tous deux rêvaient de faire un tour du monde et apprendre de chaque culture.

Après des heures de conversation, ils passèrent devant la salle de fête.

- Vous m'aviez dis que vous aimiez danser, n'est-ce pas jeune demoiselle ?

- Effectivement jeune prince. Pourquoi cette question ?

- J'aimerai que vous me montriez comment vous dansez.

Ils rentrèrent alors dans la salle. Le prince mit la musique pendant que Karol dansait. Elle dansait sur un air de violon avec une élégance et une légèreté hors du commun. Le prince avait le sourire aux lèvres lorsqu'il la regardait danser.
La princesse prit le prince par la main et l'entraîna avec lui pour danser. Ils rirent et dansèrent ensemble jusqu'à ce que Karol entendît un petit bruit étrange et s'arrêta de danser.

- Que se passe-t-il ? Demanda Ruggero. Pourquoi vous arrêtez-vous ?

- Chuuut ! Chuchota-elle en posant son doigt sur ses lèvres. Ne dites rien. Écoutez.

Le prince la regarde stupéfait et tenta de tendre l'oreille mais n'entendit absolument rien. C'est lorsqu'il allait dire quelque chose que sa garde du corps se mit devant lui, en position défense.

- mais il n'y a ri.... commença-t-il avant de se faire interrompre.

- S'il vous plaît, ne dites rien. Répéta-t-elle.

Il acquiesça en arquant un sourcil, surpris par son attitude.

La porte s'ouvrît brusquement laissant entrer des soldats du royaume Neprus, qui voulaient kidnappé le prince. Karol protégea le prince en le mettant derrière elle et en se battant, avec son épée, contre les ennemis.

- Oh que c'est drôle ! Me voilà en plein combat avec une femme ! Je vais gagner à coup sûr ! Avertît un des soldats ennemis.

- Ne me sous-estimez point soldat, ce serait une erreur. Rétorqua-t-elle en la mettant à terre un par un.

Il ne restait plus que quatre soldats. Mais quand ils virent les capacités de combat de cette jeune fille, ils prirent la fuite, par peur.

- Couille mole ! Cria Karol en voyant les soldats s'enfuir.

Le rire de Ruggero résonna dans la pièce.

- Pourquoi vous riez ? Demanda Karol.

- Pour ce que vous venez de dire. Rît-il. Et parce que ces soldats ont eu peur de vous alors qu'ils pensaient gagner la bataille. Vous les avez tous dégommés. Vous êtes très douée, vraiment. Puis-je savoir comment vous avez appris à vous battre ainsi ?

- Eh bien. Étant enfant, j'habitai dans un quartier où rôdaient énormément de voleurs et de pickpockets. Il y avait aussi des pervers. Mes parents m'ont donc appris, depuis que j'ai su courir, à me battre pour éviter le danger. J'ai toujours réussi à protéger ma famille et moi des dangers qui rôdaient ma maison. Sauf une fois. Trembla-t-elle. Une fois, un voleur est entré chez moi, il y avait mon père et moi. Je me suis défendue comme je le pouvais... mais il a tué mon père avec son fusil. J'étais tellement pétrifiée, je n'ai pas pu bouger. Le voleur a tout cambriolé et a mit le feu à la maison. Moi je suis restée auprès de mon père, je ne voulais pas le lâcher. Mais des pompiers sont arrivés et m'ont sortie de là avant que je ne me fasse piégée par les flammes. J'ai retrouvé ma mère et on a essayé de vivre comme on pouvait, avec le souvenir de mon père... finît-elle en pleurant.

- Oh mon dieu ! Mis-t-il sa main sur sa bouche. Vous êtes tellement courageuse et tellement forte. Ça a dû être horrible a vivre pour vous, je suis, tellement désolée.

Ruggero prit Karol dans ses bras et la serra contre lui.

- Merci beaucoup. Vous êtes adorable. Le remercia Karol.

- Tutoyons-nous s'il te plaît, maintenant qu'on se connaît mieux. Proposa-t-il. Et pourrais-tu m'apprendre à me battre ?

- C'est d'accord Ruggero.

Trois semaines passèrent ainsi. Il y avait eu des batailles mais Karol a toujours su protéger le prince et les faire sortir. Elle avait une maîtrise exceptionnelle de l'épée qu'elle tenta d'enseigner à Ruggero. Ils étaient tous les deux dans le château, à parler, à chanter, à danser, à rire, à se raconter leurs vies, à attendre l'un de l'autre.

- Et donc, depuis que je suis né, je suis héritier du royaume de Solunium et quand je serai marié, je devrai gouverner le royaume.

- Dans les livres et les contes que j'ai lu, le trône est succédé aux héritiers quand les rois sont défunts. Non ?

- Dans beaucoup de royaume cela se passe ainsi, mais dans notre royaume, nous décidons de céder le trône à l'héritier lorsque celui-ci décide de se marier.

- Quel nouveauté alors ! Et c'est toujours le premier fils qui obtient le trône ?

- Le premier enfant en fait. Si j'avais eu une grande sœur, c'est à elle qu'aurait été donnée le trône. Mais effectivement c'est le premier donc moi. Mais je n'ai jamais mis mon frère de côté, quand je serai roi, il gouvernera le royaume avec moi. Sourît le prince en se souvenant des bons moments passés avec son frère.

- Tu dois beaucoup l'aimer alors, n'est-ce pas ?

- Je l'aime beaucoup oui, c'est mon meilleur ami.

- Il doit te manquer non ?

- Beaucoup oui. Je m'inquiète beaucoup, pour lui et pour mes parents. Baissa-t-il la tête.

- Ne t'inquiète pas. Ils vont revenir. Essaya-t-elle de le réconforter.

- Je ne sais pas... j'ai très peur qu'ils ne reviennent pas.

Il finit par laisser quelques larmes coulés. Karol ne put s'empêcher de lui faire un câlin et de le serrer très fort.

- Oh non mon prince ne pleure pas, ça me fait mal de te voir ainsi. Ne pleure pas, je suis avec toi. S'il se passe quoi que ce soit on ira les chercher et les sauver je te le promets.

- Merci ma belle, t'es adorable.

Il la serra un peu plus fort et l'embrassa sur la joue.

- Depuis que je te connais, t'as toujours été la compagnie la plus agréable que j'ai pu avoir dans ma vie. Confessa le prince. Je t'aime beaucoup.

- Moi aussi. Rougît Karol. Je t'aime beaucoup aussi.

Le prince sourît et s'approcha d'elle, il remis en place, une de ses mèches derrière son oreille. Il posa sa main sur sa joue, levèrent rougit et posa ses lèvres sur les siennes avec douceur pour un baiser tendre.
La jeune Karol était surprise par l'acte du prince mais lui rendit son baiser avec tendresse également.
Ils se détachèrent l'un de l'autre après quelques minutes et collèrent leur front.

- Je t'aime ma belle princesse.

- Moi aussi je t'aime mon beau prince.

Ils se ré embrassèrent juste avant que le prince s'agenouille.

- Alors, du coup, voudrais-tu bien être ma petite amie ?

- Avec plaisir oui. Sautilla-t-elle.

Il la prit dans ses bras lorsque la porte s'ouvrît en grand sur le roi Pasquale Di Nuzzo et la reine Giovanni Reynaud du Royaume de Neprus. Ils étaient accompagnés de soldats qui tenaient Antonella et Bruno, le roi et la reine, attachés avec le prince Leonardo.

- Rends-toi prince héritier du royaume de Solunium ! Rends-toi et donne-moi ton royaume, qu'il devienne mien. Parla le roi Pasquale.

- Jamais ! Déclara Ruggero.

- Alors tu regarderas ta famille mourir un par un. Menaça Giovanna.

- Relâchez-les immédiatement ! Occupez-vous de votre royaume et laissez-nous tranquille ! Continua le prince.

- Non ! Refusèrent les rois de Neprus.

- Vous n'avez aucun droit à toucher à la faille royale. Vous allez vous en mordre les doigts. Déclara, à son tour, Karol.

- J'aimerai bien savoir ce que tu vas nous faire petite. Rigola Pasquale.

- Ne la sous-estime pas Di Nuzzo, tu vas être impressionné. Avertît Ruggero.

- Comme ci une gamine allait réussir à combattre notre armée. Que c'est drôle ! Rît amèrement Giovanna.

Karol prit son épée et se mit en face du roi et de la reine de Neprus. Leurs soldats se mirent en position pour la combattre mais ils n'eurent même pas le temps de levée leurs épées, qu'ils étaient déjà tous désarmés.

- Ce n'est pas égal ! S'écria le roi Neprusien. Ils sont en tord comparé à toi puisque tu as une arme. Dépose-la.

- D'accord. Accepta-t-elle.

Elle lâcha son arme par terre. Les soldats s'approchèrent d'elle dans le but de la frapper mais elle esquiva les coups et les mis tous à terre, un par un, comme d'habitude.
Giovanna et Pasquale restèrent perplexe face à ses capacités. Bruno, Antonella et Leonardo aussi, ils étaient fiers d'avoir engagé cette garde du corps.

- Tu es douée à ce que tu vois ma jolie mais tu oublies une chose, c'est que le cher prince que tu protège va mourir sur les champs.

Pasquale sorti son arme et tira sur Ruggero. Tout se passa en ralentit. La balle sortit du pistolet sous les regards horrifiés de la famille royale, ils criaient, ne voulant pas que leur fils ou frère pour Leonardo, meurt ainsi.
Karol s'empressa de se mettre devant Ruggero pour recevoir la balle.
Elle tombait au sol, devant les yeux larmoyants de Ruggero, la main sur son ventre.
Ruggero cria de rage, sorti son épée et courra vers ceux qui avaient laissé sortir cette balle.

- Vous allez le payer très cher ! Personne ne touche à ma petite amie ! Vous n'avez personne pour vous protéger.

- Nous sommes deux contre un. Déclare Reynaud.

- Tu te trompes. Nous sommes trois contre deux. Décalée la voix d'Antonella. Nous allons aider notre fils.

Un combat commença entre la famille royale de Solunium et de Neprus. Ruggero était décidé à les éliminer une bonne fois pour toute. Quand il réussi à les maîtriser, il donna trois coup d'épée, de plus en plus fort.

- Le premier c'est pour avoir kidnappé mon frère, mon meilleur ami. Commença-t-il en donnant un coup d'épée.

- Le deuxième c'est pour avoir obligé mes parents à venir et à se mettre en danger ! Continua-t-il en donnant un coup plus fort.

- Et le dernier, c'est pour avoir tiré une balle sur la fille que j'aime ! Finît-il en donnant un dernier coup, très fort, qui fit les fit tombés. Gardes ! Emmenez-moi des deux enf*irés au cachot !

Les gardes exécutèrent les ordres du prince et emmenèrent le roi et la reine neprusien dans le cachot et les enfermèrent.
Le prince, lui, couru à sa bien aimé, en pleurs et prit sa main.

- Ma chérie, résiste s'il te plaît. On va appeler les médecins et tu vas t'en sortir. Tu ne vas pas me laisser, n'est-ce pas.

Celle-ci ne répondit pas, elle avait les yeux fermés.
Antonella prit son fils dans ses bras pendant que son mari appela un médecin en urgence.

- Elle a sauvé ma vie en mettant la sienne en péril. S'exprima le prince en pleurs. Pourquoi ?

- Mon fils calme-toi. Chuchota-t-elle dans son oreille. Elle a sûrement fait ça parce qu'elle t'aime.

- Moi aussi je l'aime maman ! Mais elle va mourir maintenant ! S'écria-t-il en pleurs.

- Non non ne dit pas de sottise. Elle ne va pas mourir mon coeur, elle va survivre je te le promets. Sourît-elle a son fils avec un sourire réconfortant.

Il hocha la tête en pleurs et repris la main de sa princesse à lui.
Le médecin accouru et sorti son matériel.

- Je vais lui sortir la balle de son ventre. Si je réussi, elle sera sauvée à temps. Expliqua le médecin.

C'est à ce moment là que Karol ouvrit doucement les yeux et vit Ruggero pleurait. Elle mit, avec beaucoup de difficulté, sa main tremblante sur la joue de son prince.

- Ne pleure pas.... dît-elle faiblement. J'ai mal....

Il lui prit sa main et l'embrassa.

- Ça va aller ma princesse, tu vas vite être soignée.

Il l'embrassa sur le front et laissa le médecin enlever la balle du ventre de Karol.
Après trente minutes de travail, il réussi.
Karol recommença à respirer normalement et à reprendre une teinte à peu près normal.
Le prince se précipita sur sa princesse et l'embrassa.

- Je t'aime princesse. Dieu merci tu es sauvée. J'ai cru que j'allais te perdre.

- Je t'aime mon prince. Je serai toujours là pour toi.

Ils se ré embrassèrent amoureusement.

5 ans plus tard

- On est tellement fier de toi mon fils. Tu as fait un excellent choix. Déclara Antonella à son fils.

- Nous sommes ravi de ton bonheur et on est sûr que tu feras un excellent roi au côté de ta princesse. Continua Bruno.

- Et n'oublie que tu pourras toujours compté sur nous. Ajouta Leonardo.

- Je vous aime tellement. Répondit Ruggero. Merci de me soutenir dans tous mes projets.

- Et toi viens ici ma belle-fille chérie. Appela Antonella en voyant Karol attendre derrière.

Elle avança vers sa future belle-maman en souriant timidement.

- Oui votre majesté ?

- Oh pitié. Appelle-moi Antonella je te l'aide déjà dit ma mignonne.

- D'accord Antonella. Rougît Karol.

- Je voulais te dire que nous aussi nous sommes très fiers de toi et de tout ce que tu as accompli. Tu es très brave et je suis sûre que si tes parents étaient avec toi aujourd'hui, ils diraient la même chose. Lui confessa Antonnela.

- Merci beaucoup Antonella. C'est très gentil.

La famille du prince retourna s'asseoir.

- Ça va ma princesse ? Demanda Ruggero à Karol.

- Oui... c'est juste que j'aurai aimé que mes parents soient là, ils me manquent beaucoup.

- J'imagine bien princesse. Je suis sûr qu'ils sont là même si tu ne les vois pas. Ils doivent être en train de te regarder dans cette magnifique robe, heureux de te voir si épanoui. Tenta Ruggero de réconforter sa future épouse.

- Je t'aime Ruggero.

- Je t'aime aussi Karol.

- Bien, reprenons mesdames et messieurs. Annonça le prêtre. Monsieur Ruggero Pasquarelli, prince du royaume de Solunium, fils du roi Bruno et de la reine Antonella Pasquarelli, acceptez-vous de prendre pour épouse madame Karol Itzitery Piña Cisneros Sevilla, dans la santé comme dans la maladie, dans la richesse comme dans la pauvreté ainsi que dans le bonheur comme dans le malheur et ce jusqu'à ce que la mort vous sépare ?

- Je le veux ! S'écria Ruggero, de joie.

- Alors, madame Karol Itzitery Piña Cisneros Sevilla, grande gardienne du royaume de Solunium, fille du défunt Fernando Piña et de la défunte Carolina Cisneros Sevilla, acceptez-vous de prendre monsieur Ruggero Pasquarelli dans la santé comme dans la maladie, dans la richesse comme dans la pauvreté ainsi que dans le bonheur comme dans le malheur et ce jusqu'à ce que la mort vous sépare ?

- Je le veux ! De tout mon coeur ! Cria Karol.

- Dans ce cas. Par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare officiellement mari et femme ainsi que roi et reine du royaume de Solunium. Finît il en baptisant les deux nouveaux mariés en passant le septres sur leurs épaules. Vous pouvez vous embrassez.

Ni une, ni deux, ils s'embrassèrent avec passion et amour.

- Je t'aime ma reine

- Je t'aime mon roi




Voilà le OS Ruggarol ❤️ j'espère que ça vous aura plu. Laissez un commentaire et une petite étoile si c'est le cas. Bisous 😘

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