Ruggarol : La fin de la guerre
Aucune nouvelle de lui depuis trois semaines... Mon mari.. Mon Baloo... Mon Rugge... il est parti à la guerre il y a six mois, nous laissant ma fille et moi pour protéger le pays. Bien évidemment les femmes n'ont pas le droit d'y aller et je devais m'occuper de Maddie, notre fille, elle n'a que deux ans et son père est la guerre... On ne sait pas s'il reviendra vivant... Beaucoup de personnes de mon quartier ont perdu leur mari, ce fut horrible pour elle et pour leur enfant... Je ne veux pas vivre ça... Ruggero et moi on s'aime plus que tout au monde, partir à la guerre fut un énorme sacrifice de notre part, surtout pour notre fille. Mais depuis trois semaines, lui qui avait l'habitude de m'envoyer des lettres, je n'ai rien et je m'inquiète. Chaque nuit je rêve de ce soldat qui viendrai frapper à ma porte m'annoncer la mort de l'amour de ma vie et du père de ma fille. Je ne supporterai pas sa mort, il est toute ma vie depuis toute petite. Il faut que je trouve une solution, il faut que j'aille le retrouver et m'assurer qu'il soit vivant.
Je prépare un panier de nourriture avec des fruits, du pain ainsi qu'un peu d'eau. Je prépare un sac avec les affaires de Maddie et m'habille de vêtements sombres avec une capuche pour ne pas qu'on me voit. Je prends le lambeau et l'accroche a mon cou pour mettre mon bébé dedans. Je prends la carte du pays, une lampe torche, une trousse de secours et deux ou trois armes au cas où. J'attends que le soleil se couche pour partir de chez moi. Une fois la nuit tombée, je mets Maddie dans le lambeau, près les affaires et sort de ma maison en veillant à verouillée celle-ci pour entreprendre la route jusqu'au lieu de bataille.
Je marche longtemps, pendant au moins trois jours lorsque je sens que je n'ai plus beaucoup de force, je décide de m'asseoir près d'un arbre et de me reposer. Il me reste quelques fruits que je partage avec Maddie, je lui fait boire un peu d'eau puis je l'endors avant de m'endormir pour quelques heures. Je me réveille sept heures plus tard, le soleil est levé et j'aperçois une silhouette masculine.
- Qu'est-ce que vous faites là ?! Me demande méchamment une des silhouette.
Je décide de lui faire croire que je suis muette et de lui répondre avec des signes. Ainsi, je lui fais signe que je ne sais pas parler.
- Vous ne savez pas parler ?
J'hoche la tête négativement.
- Dans ce cas ce sera plus facile de vous tuer. M'annonce-t-il en sortant son arme.
Il s'apprête à tirer sur moi mais je le devance et appuie sur mon arme pour le tuer d'abord. Le coup de feu s'entends et l'atteint droit sur son corps. Il tombe à terre devant moi lorsque plusieurs hommes arrivent.
- J'ai entendu un coup de feu !
C'est à ce moment que je réalise que je suis au bon endroit. Les hommes sont habillés de l'armure du pays qui nous a déclaré la guerre. Ils s'approchent tous de moi.
- C'est toi le coup de feu ! Qu'est-ce qu'une femme fou ici !
Je serre Maddie dans mes bras. Un des soldats s'approchent dangereusement de moi et me prend de force.
- Toi tu viens avec moi, je vais m'occuper de toi !
Il m'emmène dans une cave sombre avec Maddie dans mes bras et m'attache à une sorte de poteau. Il sort un instant pour aller chercher son chef, j'en profite pour observer la pièce sombre. On dirait qu'il y a plusieurs personnes attachés mais je ne peux rien voir à cause du manque de lumière. Je décide de préparer un plan pour me détacher et attraper ces soldats. Je sors alors le couteau que j'ai pris dans ma poche et je m'en sers pour couper les cordes qui m'attachent. Je suis détaché en quelques mouvements. La porte s'ouvre et je vois le soldat de tout à l'heure avec un autre qui est le chef de l'équipe de soldat.
- Alors alors jeune femme ! Je suis Pasquale Di Nuzzo, le chef de la guerre, il paraît que tu as tué un de mes hommes et que tu es sur une terre interdite aux femmes et pour ces deux raisons je vais me débarrasser de toi et de ta fille.
- Personne ne touche à ma fille ! Dis-je énervée.
Je sors mon arme et le pointe vers lui. Il me rit au nez.
- Une femme n'oserait jamais tirer sur un homme aussi puissant que moi ! Me défie-t-il.
Je mets ma main sur les yeux de Maddie, ferme les yeux et tire sur lui. J'ouvre les yeux et je le vois à terre, en train de mourir. Son soldat prend peur et s'en va chercher des renforts.
- Karol ? M'appelle une voix faible dans le fond de la pièce sombre.
- Qui est la ? Demandais-je.
- C'est Agustin, qu'est-ce que tu fais là ?
- Je viens voir si mon mari n'est pas mort.
- T'es complètement folle ! Tu vas te faire tuer et en plus tu vas avoir des problèmes avec ce que tu viens de faire. Me gronde Agustin.
- Où est Ruggero ? Lui demandais-je en ne prêtant pas attention à ce qu'il vient de me dire.
- Il est à côté de moi mais il est un peu blessé... me dit-il.
- QUOI ?! M'affolais-je.
J'allume ma lampe torche et cherche Agustin et Ruggero dans la pièce toujours avec Maddie dans le lambeau accroché à mon cou. Je trouve ces deux hommes au fond de la pièce. Je cours vers eux, détaché Agustin et prend Ruggero dans mes bras. Il ouvre légèrement les yeux et je vois toutes les blessures qu'il a sur lui.
- Mon amour... dit Ruggero faiblement.
- Mon coeur, c'est horrible tout ce que tu as sur le corps. Dis-je les larmes aux yeux.
- C'est comme ça la guerre ma chérie... Me dit-il en me regardant dans les yeux avant de reprendre un ton sérieux. Qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ? Tu es en danger ici !
Je pose mon doigt sur ses lèvres.
- Chuut, d'abord je vais soigner tes blessures et ensuite je t'expliquerai.
Je sors la trousse de secours et soigne ses blessures. Ensuite je lui passe Maddie pour qu'il la berce.
- Maddie... tu m'as tellement manqué... pleure-t-il.
Je le sers dans mes bras.
- Qu'est-ce que tu fais là ? Me redemande-t-il en séchant ses larmes.
- Je ... je ne recevais plus de nouvelles de ta part alors j'ai commencé à penser que tu étais mort et je voulais m'assurer que tu allais bien... expliquais-je en éclatant en sanglots.
- J'ai été prisonnier dans cette pièce sombre il y a trois semaines, c'est pour ça que je ne pouvais plus t'envoyer de nouvelle mais tu n'aurais pas dû faire ça tu es en danger maintenant ! Je ne veux pas qu'il arrive quelque chose aux deux femmes de ma vie. Me dit-il en prenant mon visage entre ses mains.
- Et Maddie ne veut pas perdre son père et moi je ne veux pas perdre l'amour de ma vie. Dis-je en le regardant dans les yeux.
Il me sert dans ses bras rapidement.
- Ecoute-moi, il faut que tu t'en ailles maintenant avant qu'il t'arrive des ennuis.
- C'est trop tard !! Ajoute une voix dans le fond.
Je me retourne et voit le soldat de tout à l'heure et dix autres comme lui. Ruggero se lève en sortant son arme.
- Personne ne touche à ma femme et ma fille ! Déclaré Ruggero.
- Alors comme ça c'est ta femme cette pute, ba on va en faire du hachis Parmentier de ta femme et de ta fille ! Rigole le soldat « Villalobos »
- Sauf si je vous l'en empêche. Dis-je en le défiant.
- On n'a pas peur de toi Salo** ! Continue Villalobos.
- Vous devriez ! Ajoutais-je en pointant mon arbre.
Je tire sur les trois soldats d'un coup, les autres prennent peur.
- Alors ? Je continue ? Dis-je menaçante.
- n..o..nnn... vous vous... vous voulez quoi ? Demande un soldat effrayé.
- LA FIN DE CETTE GUERRE MERDE !! Annonçais-je énervé.
Quelqu'un essaye de tirer sur moi mais je l'esquive.
- ENFOIRÉ ! TU NE TIRES PAS SUR MA FEMME ! Dis Ruggero en tirant sur le soldat qui a essayé de m'atteindre.
Trois autres soldats se jettent sur moi et me battent violemment. Je le débats mais je reçois des coups très forts. Ruggero donne Maddie à Agustin et vient m'aider. Il essaye de les dégager quand un des soldats me donnent un coup plus fort, je tombe à terre.
- NOOON ! Ruggero tire sur les trois soldats et les tue.
- Chérie ça va ? Me demande-t-il.
- Ne t'inquiète pas... c'était juste un coup trop fort.
- C'est à moi de te soigner maintenant. Me dit-il en déposant un baiser sur mon front.
Il prend ma trousse de secours et me soigne, il me relève et me prend dans ses bras sous les regards encore effrayé de mon attitude.
- Chérie, comment tu arrives à tirer comme ça ? Où tu as appris à faire ça ?
- Je n'ai jamais appris. J'ai ça dans le sang je pense.
- Tu sais que tu pourrais nous être dans une grande aide. On gagnerait la guerre peut-être avec toi.
- Ruggero je ne veux pas gagner la guerre, je veux arrêter cette guerre.
- Tu as raison et je vais t'aider. On va devoir leur faire peur.
[...]
Ils étaient sous les bombes, les coups de feu, les grenades... ils étaient tous les quatre cachés dans une cabane éloigné du camp ennemi. Agustin dormait, Karol faisait à manger et Ruggero tenait Maddie dans ses bras mais elle était pâle. Les bruits des bombes faisaient sursauter Karol plusieurs fois. Elle préparait un petit bouillon lorsqu'elle aperçut une silhouette de la fenêtre qui était derrière un buisson. Elle arrêta ce qu'elle faisait et observait plus attentivement la silhouette. Elle aperçut au-dessus, le casque de l'armée rivale qui pointait un pistolet sur la maison. Elle vit la balle arrivée, elle se baissa juste avant qu'elle transperce la vitre.
Karol : Oh putain !!!
Ruggero déposa Maddie sur le canapé en courant à l'entente du bruit de vitre et vu la balle qui était rentrée et revenu avec deux pistolets. Il pris Karol dans ses bras puis tous deux se positionnèrent pour tirer sur la personne.
Karol : Les mains en l'air ou on tire !
La silhouette mis ses mains en l'air et lâche son arme.
??? : Je... je... je veux juste capturer la femme et la fille...
Ruggero : JAMAIS !! Disait-il menaçant.
L'homme arriva et on aperçoit Lionel Ferro, prêt à tirer sur Karol. Ruggero se mis dedans sa femme pour la protéger.
Ruggero : Tu tire je te démolis ! Ajoutait-il.
Lionel s'apprêta a tirer sur Ruggero mais Karol le devança et lui tira dessus. Pour le plus grand soulagement de Lionel, celui-ci arriva à esquiver la balle et parti en courant apeuré par les compétences de tirs de Karol.
Ruggero : Oh ma chérie tu viens de me sauver la vie.
Ruggero la pris dans ses bras. Les bruits des bombes continuaient de s'entendre, c'était insupportable. Ruggero serra très fort Karol et tous deux partent chercher Maddie pour la prendre dans leur bras. Maddie commença à pleurer apeurée par les bruits de bombardements.
Karol : Chuuut mon coeur ça va aller. Tu es protégée, tu es protégée, ça va aller. La réconfortait-elle en lui déposant des bisous sur le visage.
Ruggero : Elle est un peu pâle non ? S'inquiéta Ruggero en lui caressant Le Bras pour la calmer, elle commença alors à fermer les yeux et à s'endormir.
Karol : Oui un peu mais Rugge j'ai peur... et s'ils arrivaient à tuer Maddie ...
Ruggero : Non non ne pense pas à ça. On va réussir à arrêter cette guerre ensemble mais pour ça il faut qu'on aille au palais des générales. Là dedans il y a David Muri le générale de notre pays et Rodrigo Pedreira le générale du pays ennemi. Il faut aller les confronter.... et ce ne sera pas facile...
Karol : Tu as raison. On va y arriver et on y aller maintenant. On a besoin de courage et on l'a tous les deux alors allons confronter ces deux connards qui se disputent pour de l'argent.
Ruggero : Je te suis mais qu'est-ce qu'on fait de Maddie ?
Karol : On la laisse avec Agustin. Il va prendre soin d'elle.
Ruggero et Karol se préparèrent à traverser les terrains de bombardements pour accéder au palais des générales. Ils prirent des armes et des boucliers. Ils réveillèrent Agustin et lui expliquèrent la situation. Agustin accepta de garder Maddie puis les deux amoureux partirent a l'aventure.
Ruggero prit Karol dans ses bras et la protégea des bombardements en même temps que lui.
??? : LA FEMME EST LA TUEZ-LA !!!
Tout le monde se précipita vers eux. Ruggero et Karol sortirent leurs armes et les menacèrent avec. Karol tira en l'air pour montrer qu'elle n'a aucunement peur, déjà qu'elle a tué le chef de l'armée ennemie. Ruggero pris la main de Karol et la fit courir à travers les balles qui se tiraient sur eux. Karol vit un endroit où ils pourraient se cacher en douce, alors elle guida Ruggero vers l'arbre et ils se cachèrent dedans. Karol se mis dans les bras de Ruggero et celui-ci la serra très fort en tremblant.
Ruggero : Je veux pas te perdre. Tu es venue pour moi mais je refuse que tu te fasses tuer pour me sauver je ne le supporterais pas ! Avouais-je les larmes aux yeux.
Karol : Rugge écoute-Moi, j'ai besoin de te sauver de cette guerre, je ne pouvais pas vivre mes journées sans me demander si tu étais mort ou pas. Je voulais seulement te retrouver et qu'on vive notre vie, je veux arrêter cette putain de guerre qui nous a séparé de toi et si je dois mourir pour ça je le ferai. Tout ce que je veux c'est que toi et Maddie vous survivez.
Ruggero : Et moi je veux que toi et Maddie vous survivez. Je ne pourrais pas vivre sans Vous. Continuait-il en prenant son visage entre ses mains.
Ils s'embrassèrent avec amour.
Les bombardements s'étaient arrêtés. Ruggero et Karol sortirent prudemment de leur cachette et coururent discrètement jusqu'au palais.
Un garde du palais : Ah la femme ose se présenter au palais mais non on vous tuera avant !
Karol et Ruggero : LAISSEZ-NOUS PASSER ! Dirent-ils en bousculant le garde.
Ils entrèrent rapidement et allèrent trouver monsieur Muri. Il était dans son bureau.
Karol : Bonjour monsieur.
David Muri : Mais ! Qu'est-ce qu'une femme fou ici c'est interdit !
Karol : La politesse serait la bienvenue. Je m'appelle Karol Pasquarelli et je voudrais arrêter cette guerre !
David Muri : C'est hors de question ! Fais tes preuves avant de donner un ordre.
Ruggero : Elle a tué deux soldats dont un était le chef de l'armée ennemie, Pasquale Di Nuzzo.
David Muri : C'est vrai ? S'étonna-t-il.
??? : OUI CETTE SALOPE A TUER DEUX DE MES HOMMES !!
Karol : Il allait tuer ma fille crétin !!!
David Muri : Bien fait pour toi Pedreira ! On gagnera la guerre grâce à cette femme !
Ruggero : Ah ba maintenant vous la voulez ! Vous êtes vraiment hypocrite !
David Muri : Eh tu dois le respect à ton général !
Ruggero : Je n'ai pas de respect à donner à l'homme qui nous a tous séparé de nos familles !
Rodrigo Pedreira : Je peux le tuer si tu veux Muri s'il te fait chier.
David Muri : FERME TA GUEULE PEDREIRA !! Et toi retourne à ton poste Pasquarelli. Et madame Pasquarelli vous allez vous occuper des bombardements.
Les Pasquarelli : C'EST HORS DE QUESTION !!!
Karol : Vous allez arrêter cette guerre !
Rodrigo Pedreira : Non on va t'arrêter toi et te tuer puis tous les autres de ton pays.
Karol : Franchement pourquoi vous vous faites la guerre. Vous étiez amis à une époque non ?
Rodrigo Pedreira : Oui on l'était mais ce con a volé la femme que j'aimais !!!
David Muri : C'est ma femme ! Ana Carolina Valsagna est à moi !!
Karol et Ruggero : Vous avez créé une guerre pour une histoire de coeur !!!!
Karol : Mais régler vos soucis sans mettre les patries dans l'histoire merde !!!!! Ma fille a des problèmes de santé et elle a besoin de son père et moi j'ai besoin de lui et vous vous créez une putain de guerre pour une femme où vous y mettez tous les hommes de vos patries mexicaine et argentine juste pour une femme !!! S'exprimait-elle en pleurs.
Ruggero : Maddie a des problèmes de santé ? S'inquiéta-t-il en prenant Karol dans ses bras.
Karol : Oui Rugge et on a des soucis d'argent à cause de la guerre donc elle ne peut pas accéder aux soins qu'il lui faut. On a besoin que la guerre se finisse, elle a besoin de toi, j'ai besoin de toi, on a besoin de toi. Et toutes les femmes dont leur mari sont partis à la guerre ont besoin d'eux. Vous n'imaginez même pas ceux que vous nous faites vivre aux hommes, aux femmes et aux enfants. Tout ça pour une histoire de femme ! Trouvez-vous une autre femme ou faites-vous la guerre entre vous mais pas avec tout le pays bande d'enfoirés !!! Hurle-t-elle.
Ruggero essaya de la calmer pendant que Rodrigo et David se rendirent compte de la gravité de la tournure qu'avait prit leur dispute.
David Muri : Hermano. On a mit en guerre nos pays.
Rodrigo Pedreira : Hermano je suis désolé. Ana c'est ta femme et je n'aurai jamais dû essayer de te la voler. Elle est dans le cachot si tu veux la retrouver, tiens je te donne les clefs.
David Muri : Merci beaucoup. Et je suis sûr que tu trouveras l'amour toi aussi.
Rodrigo Pedreira : J'espère en tout cas je suis heureux pour toi ou en tout cas je ferai de mon mien pour étouffer à jalousie. Va chercher ta femme je vais sonner les cloches de fin de guerre.
David alla donc chercher sa femme et Rodrigo sonna les cloches de fin de guerre. Tout le monde arrêta de se battre, tout le monde sorti de leur cachette. David et Rodrigo avouèrent la vérité, les peuples n'étaient pas contents et refusèrent la poursuite de leur règnes dans leurs pays. Ces deux là acceptèrent coupables et s'enfuirent du pays sans Ana qui elle avait été très déçue de son mari et de son meilleur ami. Tous les hommes retrouvèrent leur pays respectif, leur maison, leur femme et leur enfant. Agustin courra rejoindre sa petite amie Carolina avec les yeux pleins de larmes et de bonheur de l'avoir retrouvé. Ce fut ainsi pour chaque famille.
Ruggero et Karol retrouvèrent Maddie et rentrèrent chez eux. L'état de Maddie était bien inquiétant. Elle était beaucoup plus pâle et avait du mal à respirer.
Ruggero : Tu sais ce qu'elle a ?
Karol : Elle a des problèmes de respiration important. C'est tout ce que je sais.
Ruggero : Viens on l'emmène à l'hôpital.
Karol : Avec quel argent ? Les soldats nous ont retiré nos biens et les ont enfermé dans un coffre à la banque.
Ruggero : On va aller à la banque alors régler ça.
Maddie commença à s'étouffer, Karol courra vers elle inquiète et lui donne de la vantoline pour l'instant. Ce n'est pas la vantoline qu'il fallait mais ça la calmait un peu. Elle continua à tousser, Karol l'a pris dans ses bras et Ruggero les emmena à la banque récupérer l'argent. Durant la banque, Maddie devenu bleue.
Karol : Elle est bleue Rugge ! elle respire plus !
Ruggero : Ça va aller. On va y aller. Disait-il très inquiet.
Ruggero récupéra leur argent et les emmena à l'hôpital. Là-bas il y avait beaucoup de personnes car les hommes qui avaient été blessé durant la guerre étaient tous là.
Karol : Ouh ça va être long ...
Ruggero : On doit faire quelque chose sinon elle va mourir !!
Ruggero essaya d'intercepter une infirmière mais elles étaient trop occupé et lui demanda de patienter. Ils s'assit sur les chaises, puis Karol venu s'assoir sur ses genoux en portant Maddie dans ses bras.
Ruggero : Depuis combien de mois elle est malade comme ça ?
Karol : Depuis que tu es partie, peut-être un peu avant mais je ne l'avais pas remorqué. J'aurai voulu te le dire mais on ne pouvait pas envoyer de lettre, il n'y avait que vous qui avait le droit.
Ruggero : Je sais... j'imagine combien ça a été dure de gérer cela toute seule. Je te demande pardon.
Karol : Ce n'est pas ta faute mais j'avais besoin de toi.
Ruggero : Eh bien je suis là. Et je serai toujours là. En l'enlaçant affectueusement en caressant les cheveux de Maddie.
Tout d'un coup un docteur arriva vers eux et prit Maddie en charge pour le plus grand bonheur de ses parents.
Quelques heures passèrent et Maddie était condamné à passer les cinq prochaines années à l'hôpital avec un masque à oxygène pour renforcer ses poumons qui sont très faibles pour le moment. Karol et Ruggero étaient très inquiets pour leur fille, ils venaient la voir tous les soirs, lui chantaient des chansons, lui parlaient, lui faisaient des câlins et des bisous.
Karol était inquiète mais heureuse de ne pas être seule face à cette situation. Elle était heureuse que Maddie est son Zoé durant cette épreuve et elle était heureuse d'avoir son mari pour l'aider et pleurer dans ses bras lorsqu'elle en avait besoin. Et vice versa. Ruggero était inquiet mais heureux d'être présent pour sa fille et sa femme. Ils étaient une famille unie très unie et s'aimaient très fort.
Malgré la maladie de Maddie, ils étaient tous présents et le contraire aurait été la phobie de Karol. Parce que le jour où elle a vu son mari partir à la guerre, elle ne pensait plus jamais le revoir et le retrouver mort mais à sa plus grande surprise, il était toujours vivant et elle a su ce jour là, qu'elle ne voulait plus jamais le perdre et qu'elle avait besoin de lui.
Fin
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