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OS n°2 - Fred Weasley & Hermione Granger

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"Elle est au bord du gouffre, prisonnière d'une souffrance intolérable qu'elle ne soupçonnait même pas."
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Je me suis réveillée, le cœur affolé, après avoir rêvé de toi. Le réveil m'indique qu'il est deux heures du matin. Cette journée de torture va-t-elle finir par prendre fin ? Je sais que non, mais j'ose l'espérer. Le rêve de toi n'est pas venu seul, il a sournoisement glissé une idée dans mon esprit. Une idée à laquelle je ne peux m'empêcher de penser. Une idée qui m'effraie autant qu'elle me plaît.

Je ferme les yeux en passant les mains sur mon visage en essayant de l'oublier. De la mettre de côté. De te mettre de côté. Quand vas-tu me laisser ? Combien de temps encore vas-tu rester ? J'ai besoin de respirer et, tant que tu seras là, j'en serai incapable. Ne t'en rends-tu pas compte ? Ne  comprends-tu pas ? Tu me fais vivre autant que tu me détruis. Mais tu es là, et cette idée nouvelle ne veut pas quitter mon esprit. Je tourne le visage sur la gauche et je devine la forme du corps de Ginny, allongée, profondément endormie. Pourquoi ne puis-je pas dormir, moi aussi ? Encore combien de temps vas-tu m'en empêcher ?

C'est la première nuit à Poudlard. La première nuit depuis ce jour. La première nuit depuis ton départ. Et pourtant, tant de nuits me séparent déjà de toi. Elles sont si nombreuses que je ne les compte plus. Tant de nuits, tant de lunes, passées sans toi. J'ai décidé de revenir. D'aller jusqu'au bout. De passer mon examen final. De ne pas avoir fait toutes ces années d'études pour rien. Mais maintenant que je suis là, je ne comprends plus mon choix. À quoi bon revenir ? À quoi bon m'infliger de nouvelles tortures ? Qu'aurais-je en retour ? Un diplôme ? Une qualification ? Je n'en retiens rien, si ce n'est qu'en sortant d'ici, je serais encore plus cabossée, éreintée, épuisée de toi, qu'à mon arrivée. C'est fatigant de vivre sans toi. De survivre sans toi. Et cette idée qui ne veut pas sortir de mon esprit me fatigue davantage.

Je tourne de nouveau les yeux en direction de Ginny, qui dort toujours paisiblement. Cette année, nous avons le droit de partager notre dortoir  même si nous ne sommes pas de la même année. Les règles ont été assouplies. Les cours aussi m'ont semblé différents. Il n'y avait pas de chahut, peu de bavardages, et les professeurs n'interrogeaient que ceux qui se portaient volontaires. Essayent-ils de nous ménager ? À la  grande surprise de ma classe, des professeurs que j'ai eus aujourd'hui et de moi-même, je ne faisais pas partie de ceux qui se portaient volontaires. Je me suis contentée de prendre le plus de notes possible, tout en essayant de te fermer mon esprit. Pour que tu n'y entres pas. Pour que tu me laisses tranquille.

Je sentais le regard des professeurs sur moi, notamment Flitwick et Slughorn, et j'avais l'impression d'être oppressée, enfermée dans un étau. Étau que tu t'appliques à serrer de plus en plus fort. Il y a toutefois eu un cours où je ne me suis pas sentie comme dans une prison dorée. Contre toute attente, il s'agit du cours de défense contre les forces du mal. Ce seul intitulé me donne la  nausée. Ce sont ces forces du mal qui t'ont arraché à moi. Et pourtant, même si tu étais de nouveau dans mon esprit, j'ai tenu bon. J'ai tenu  bon, car nous avons un nouveau professeur. Le professeur Earnshaw. Il ne me connaît pas et n'attend pas de moi les bonnes réponses. Il ne me  regarde pas d'un regard qui se veut compatissant. Il ne t'a pas connu non plus. Il ne fait pas le rapprochement entre toi et moi. Il n'est pas un souvenir du passé. Il ne sait pas.

Il ne sait pas comme je t'aime et comme tu me manques. Il ne sait pas que je m'accroche désespérément à un fantôme. Tu es devenu le fantôme qui hante ma vie. Ma vie et celle de George. Et celles de tant d'autres. Mais depuis ton départ, j'ai l'impression d'être égoïste et de ne penser qu'à moi. À ma peine et à ma douleur. Je me renferme sur moi-même, tout comme George le fait également. Nous nous éloignons de ceux qui nous aiment pour nous rapprocher un peu plus près de toi. Mais tu es si loin. Inatteignable. Injoignable. Et tu es loin, et je suis là, avec cette  idée qui me taraude l'esprit. J'ai beau lutter, me dire que je ne devrais pas, je finis par me lever, baguette en main, et à sortir de cette chambre en faisant en sorte de ne pas réveiller Ginny. La salle  commune, les couloirs, sont vides, vides de toi. Tu me manques à chaque endroit. Chaque recoin du château me rappelle que tu n'es plus là. Toutes ces pièces où ton rire ne résonne plus. Tout mon être est affamé de toi. Dieu sait à quel point je t'aime, Fred Weasley, mais je donnerais tout ce que je possède pour ne plus ressentir ce manque  infini. Pour ne plus faire face à cette douleur destructrice. Pour de nouveau respirer normalement. Vivre normalement.

Cette nuit-là, la salle sur demande a accueilli une nouvelle personne. Cela faisait bien longtemps, et elle avait peur d'être un peu rouillée. Elle a été réveillée quand trois aller et retour ont été faits devant son mur. Mur où elle a fait apparaître une porte d'entrée avec ravissement. Enfin, quelqu'un se souvenait de sa présence au sein de ce château qui a été martyrisé. La porte est apparue, et elle a attendu avec impatience de voir qui était ce ou cette nouvelle venue. C'est une jeune femme qui  est entrée, hésitante, et en la voyant, la salle sur demande s'est dit qu'elle avait l'air aussi amochée que le château en lui-même. Son regard a fait le tour de la pièce, toujours vide, puisqu'elle n'avait pas encore fait de demande. La jeune femme, qui portait une veste aux couleurs de Gryffondor, semblait regarder autour d'elle à la recherche de quelques réponses. La salle sur demande s'est demandé si elle serait en mesure de les lui donner, et elle attendit qu'un souhait soit émis. Elle attendit un long moment, mais elle savait être patiente. Soudain, l'élève de Gryffondor ferma les yeux, et la salle se prépara. Ça allait être à son tour d'entrer en action. Elle attendit encore, guettant la moindre pensée.

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"Fred Weasley."
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La salle sur demande s'est alors mise à réfléchir à toute allure, pour finalement rester interdite. Elle trouva que Fred Weasley était un élève de Poudlard, mais aussi, et surtout, qu'il était mort pendant la guerre. Elle n'est pas en mesure de faire revenir les morts. C'est avec désolation et déception qu'elle constata qu'elle ne pourrait rien pour la jeune femme. Cette dernière attendait, mais la salle sur demande pouvait voir sur son visage qu'elle-même ne croyait pas en sa requête.  Pourtant, l'élève recommença une nouvelle fois.

*
"Fred Weasley."
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La salle, qui n'aimait pas se sentir impuissante, essaya de nouveau aussi. Elle découvrit que de nombreux Weasley avaient été à Poudlard, mais elle ne pouvait faire apparaitre que des biens matériels. C'est alors qu'elle trouva quelque chose, et elle le fit apparaître devant la jeune femme, posé sur une petite table.

Tout se rapporte à toi. Tout te rejoint. Ce que j'aime ? Toi. Ce que je veux ? Toi. Ce qui me manque ? Toi. Mon premier amour ? Toi. Mon premier tout ? Toi. Ma première grosse souffrance ? Toi. Mon premier cœur brisé ? Toi. Et je ne sais pas s'il y en aura d'autres après toi. Je ne pense pas aimer un jour une personne aussi fort que je t'ai aimé toi. Tu es parti, tu as tout pris, tu n'as laissé qu'une coquille vide.

Alors dans cette salle sur demande, je t'appelle. Je t'appelle même si je sais que tu n'apparaîtras jamais. Je veux seulement récupérer ce bout de moi que tu as emporté avec toi. Et te rendre ce bout de toi que j'ai gardé avec moi. Mais la salle sur demande ne m'entend pas, ne me comprends pas. Je lui demande l'irréalisable. Où es-tu, mon amour ? Quand cesseras-tu de l'être, cet amour ? Tu as laissé le vide, et ce vide est parfaitement  représenté à l'intérieur de la salle sur demande. Je n'ai émis qu'une demande : toi. Alors comme pour me montrer que ce n'est pas possible, rien n'apparaît. Je suis entourée de quatre murs. Quatre murs qui représentent la cage que tu as forgée autour de moi. Je t'appelle une seconde fois. Je pense si fort à toi que j'en ai mal au cœur. Pourquoi ne peux-tu pas me rejoindre ?

Je plisse le nez en voyant une petite table apparaître devant moi. Je m'en approche, et ce que je vois me fait comprendre que cette idée est  vraiment la pire que j'ai eue. Sur cette table repose une affiche. Une affiche qui vante les mérites d'une boîte à flemme. Votre boîte à flemme. En arrière-plan, je peux voir l'enseigne de votre magasin, que  j'effleure du bout des doigts. La salle sur demande n'a pas compris ce que je voulais, mais comment peut-elle le comprendre ? Comment réaliser ce dont elle n'est pas capable ? Pourquoi vivre dans un monde de magie si tu ne peux pas revenir ? Sous n'importe quelle forme, ça m'est égal. J'ai juste besoin de respirer à nouveau, et je n'y arrive pas sans toi. Je ferme une troisième fois les yeux, et je te pense si fort que j'ai l'impression de hurler ton prénom.

La salle sur demande, impuissante, regarde pour la troisième fois l'élève faire une demande. Cette demande n'a pas changé.

*
"Fred Weasley."
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Elle aurait envie de pouvoir parler, afin de lui faire comprendre qu'elle n'est pas en mesure d'accéder à cette requête. Alors pour la troisième fois, elle s'est mise à réfléchir pour avoir quelque chose à offrir. Elle fouilla dans le passé, et tenta de se souvenir des demandes qu'avait pu effectuer ce Fred Weasley en son antre. Elle le visualisa,  accompagné d'un autre Weasley, semblable comme deux gouttes d'eau au premier. La salle sur demande se rappela soudain qu'ils venaient parfois  pour se cacher du concierge de l'école. Ils s'amusaient aussi à faire apparaître tout et n'importe quoi. Puis, elle se concentra sur Fred  Weasley uniquement, et elle vit dans ses souvenirs la jeune femme de Gryffondor. Ils demandaient souvent à faire apparaître un canapé sur lequel ils pouvaient rester des heures. Elle se souvint qu'un soir, il avait demandé un bouquet de fleurs pour l'offrir à la jeune femme. Trouvant ce souvenir joli, et espérant contenter la demande de cette  dernière, faute de mieux, la salle fit apparaître un bouquet identique. Quand elle vit son visage se transformer par la peine en le voyant, elle regretta aussitôt son geste.

Un bouquet est apparu. Ce même bouquet que tu m'as offert il y a déjà un long moment. En le voyant, je sens mon cœur manquer un battement, et mon estomac se retourne. Je m'en approche, et étrangement, la peine et la douleur laissent place à la colère. J'en veux à cette salle de ne pas être  capable de m'offrir ce que je veux. J'en veux à cette guerre de t'avoir pris à moi. Je t'en veux, toi que j'aime tant, d'être parti bien avant moi. J'en veux à Harry, à Dumbledore, à la magie, sans qui rien de tout ça ne serait arrivé. J'en veux si fort à ce mur qui s'est effondré sur toi. Et mon Dieu, si tu savais comme je m'en veux de ne pas avoir été là.

Je ne sens même pas les larmes sur mes joues lorsque je m'empare du bouquet de fleurs avec vigueur afin de l'envoyer de toutes mes forces  contre le mur d'en face. Mais il n'est pas assez lourd, il ne cause pas suffisamment de dégâts. Je renverse la petite table où trône fièrement votre affiche et j'ai l'impression de devenir folle dans cette pièce trop vide. Si vide de toi. Et c'est là qu'il apparaît. C'est à ce moment que la salle sur demande met enfin le doigt sur ma requête.

En voyant l'effet qu'a provoqué l'apparition de ce bouquet de fleurs, la salle sur demande s'était de nouveau mise à réfléchir afin de trouver un moyen de calmer la situation. Elle avait bien une idée, mais elle ne savait pas si elle en avait le droit. Même la magie a ses limites. Cette limite a été fixée par Dumbledore, et la salle pensa alors que  Dumbledore n'était plus là. Elle regarda la jeune femme renverser la table qui était apparue, et ce fut le geste qui la décida. La salle se concentra et fit apparaître le seul bien matériel qui accédait au mieux à la requête de la jeune femme. Et elle attendit de voir si elle avait eu raison, ou si à l'instar du bouquet de fleurs, elle avait commis une  erreur.

Hermione Granger arrêta tout mouvement et resta interdite face à ce qui se trouvait devant elle. Elle passa une main tremblante dans ses cheveux et  regarda autour d'elle, comme à la recherche de quelqu'un. Elle semblait totalement perdue maintenant qu'elle avait une part ce qu'elle  souhaitait sous les yeux. Elle se sentait nauséeuse et le bourdonnement dans ses oreilles lui donnait l'impression d'être étourdie. Elle ne s'attendait pas à être entendue. Elle ne s'attendait pas à ça, et elle ne savait pas si elle était prête à l'affronter.

*
Le miroir du Rised se tenait fièrement devant elle.
*

Le miroir est là, devant moi, et je ne sais pas quoi faire. Si je m'en approche, vais-je te voir ? Suis-je capable d'affronter ton image ? Je suis incapable de faire le moindre pas, et pourtant je ne peux pas  quitter des yeux le miroir. Je lutte contre les forces invisibles qui me retiennent, clouée au sol, et je m'en approche avec cette impression que mon cœur va sortir de ma poitrine tant il bat avec frénésie. Une fois devant, je ferme les yeux. Le miroir est censé montrer ce que l'on désire de plus. Je ne vois que toi qui puisse entrer dans cette catégorie. Je suis là, devant ce miroir, et je suis morte de peur. Je finis cependant par ouvrir les yeux et tu m'apparais.

Ton image est là, devant moi, et ma respiration se coupe. J'ai ce que je veux, mais je commence à regretter ma demande. Les jambes tremblantes, je m'approche un peu plus près de toi, et quand tu esquisses un sourire, j'ai l'impression de recevoir un coup de poignard. Tu es tel qu'autrefois. Tes cheveux flamboyants sont en bataille, tes yeux  brillent de cet éclat que tu as pourtant perdu, et ton sourire me détruit. Mais tu n'es pas là. Ce n'est pas vraiment toi, et pourtant, en te voyant, j'ai l'impression que chaque partie de mon être se brise de nouveau. Je ne suis plus capable de dévier le regard, je ne vois que toi.

Tu es si beau que c'en est douloureux. Si proche et pourtant si loin que ça en devient de la torture. Comment suis-je censée affronter une vie entière sans toi ?

La salle sur demande regarde avec attention la jeune Gryffondor qui reste immobile devant le miroir du Rised. Sa peine est si forte qu'elle se  répand dans toute la pièce. Elle reste là, debout, le regard perdu droit devant elle, et la salle sait qu'elle ne voit nul autre que ce Fred Weasley qu'elle appelait avec tant de frénésie. La salle sur demande est triste d'assister à une telle scène, et elle se voudrait réconfortante, mais elle ne peut rien faire tant qu'une demande n'a pas été émise. 

Soudain, les jambes de l'élève ne sont plus capables de la porter et elle tombe à genoux devant le miroir. Elle voit ses épaules se secouer  et les sanglots qui résonnent dans la pièce lui prouvent ses pleurs. La salle est aussi impuissante que ce Fred Weasley qui se trouve de l'autre côté du miroir. Ils ne peuvent rien pour elle, seule la réalité en est capable.

La jeune Gryffondor est restée là un long moment, un trop long moment aux yeux de la salle sur demande qui savait que ce n'était pas bon de se  perdre dans les méandres du passé. Au bout de quelques heures, alors que le soleil s'était levé depuis un petit moment, la salle sur demande fut  de nouveau sollicitée. Elle ne pouvait pas s'ouvrir tant qu'une personne se trouvait à l'intérieur, à moins que cette demande ne la concerne. Elle attendit alors que la requête soit prononcée, tandis  qu'Hermione Granger faisait toujours face au miroir des fantômes de son passé.

*
"Je veux trouver Hermione Granger."
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Si la salle sur demande avait pu soupirer de soulagement, elle l'aurait fait. Elle n'en pouvait plus de ce spectacle de désolation, de ce tableau de peine et de tristesse infini. Elle fit alors apparaître sa porte, et celle-ci ne tarda pas à s'ouvrir pour laisser entrer un jeune homme aux cheveux noirs et au teint basané. Il repéra rapidement Hermione Granger tandis que celle-ci, assise sur le sol, n'avait même pas fait attention à ce qu'il se passait autour d'elle et du miroir. Il s'approcha doucement d'elle et alla prendre place à ses côtés.

- Hermione, tu ne peux pas rester là.

Elle ne lui répondit pas, regardant toujours droit devant elle, fixant cette personne qu'elle ne reverra plus. C'est alors que le jeune homme se tourna vers la salle sur demande pour lui solliciter de l'aide. Il demanda mentalement à ce que le miroir disparaisse, et après quelques secondes, la salle exhaussa sa requête. Le miroir disparut et Hermione Granger ne fixait désormais que le vide. Après un moment, elle se tourna vers le jeune homme aux couleurs de Poufsouffle et il eut tout le  loisir de voir son teint pâle et son air fatigué. Mais aussi, et surtout, de voir toute la peine et la douleur dessinées sur ses traits. 

- Pourquoi as-tu fait ça ?
- Ça ne t'apportera rien de bon, et tu le sais.
- Tu n'es personne pour en juger.

L'élève tiqua et la Gryffondor ne sembla même pas remarquer qu'elle l'avait blessé. Ce dernier passa la main dans ses cheveux épais en soupirant et se releva sans qu'Hermione lui adresse un regard. Il la prit par le bras pour la relever à son tour, mais dans un regard noir, elle sortit sa baguette pour la pointer droit sur le Poufsouffle.

- Sérieusement ? Tu vas me jeter un sort pour rester seule avec ce stupide miroir ? Ce n'est pas lui, et tu le sais parfaitement!

La baguette toujours levée, Hermione Granger sentit de nouveau les larmes couler sur ses joues, et elle la lâcha quand ses sanglots devinrent  incontrôlables. Le jeune homme s'approcha d'elle pour la prendre dans ses bras sous le regard attristé de la salle sur demande.

- Je n'y arrive pas... Je ne peux pas rester ici, il est partout...
- Personne ne t'oblige à rester, Hermione. Tu n'as pas besoin de cette dernière année pour réussir, tu as tout pour toi.
- Non, pas tout...

Sur ces paroles, la salle sur demande regarda l'élève de Poufsouffle ramasser la baguette qui était au sol et conduire cette jeune femme  détruite jusqu'à la porte de sortie. Alors que sa porte s'ouvrait, elle  entendit les derniers sanglots d'Hermione Granger. Ce fut la dernière fois qu'elle mit les pieds dans cette salle. Elle ne sut jamais si  l'élève avait finalement quitté Poudlard ou non. Ce fut aussi la dernière fois qu'elle fit apparaître le miroir du Rised.

*
"Si seulement j'avais un ange, pour un instant d'amour.Si seulement j'avais ton ange ce soir."
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