Le retour #Gastteo.
Juste pour vous informer, ceci-ci est un " bonus " de ma fiction de Gastteo que j'ai fait il y a quand même longtemps. C'est genre une suite. Pas besoin de l'avoir lu, pour comprendre.
Bonne lecture.
PDV Gaston:
Voilà presque 4 mois que j'ai quitté Buenos Aires, pour m'installer en Italie pour mes études. Ce n'était pas vraiment mon choix, mais bon, me voilà ici loin de mes amis, pour mon avenir, à la fameuse Université d'Oxford. Ah l'Italie, c'est beau quand même. Comme les gens qui y sont d'origines, je souris. Même si le mien vit à l'autre bout du monde, je soupire. Il me manque vraiment beaucoup, mais bon. On s'est promis qu'on se reverrait avant le début des vacances, même si je n'y crois pas trop. Eh oui, nous sommes toujours bel et bien ensemble. Je suis heureux, mais les relations à distance ce n'est pas trop mon truc. J'aimerai bien le revoir, pouvoir le serrer dans mes bras et l'embrasser. Je divague.
- Hey, Gaston, notre cours commence dans 20 minutes, grouille-toi un peu à la place de rêvasser.
Je range rapidement la photo que je tenais dans mes mains et me retourne.
- Ouais, ouais, j'arrive, deux secondes.
Je me lève de mon bureau et prends mes cours pour les ranger dans mon sac. Je prends mon téléphone et le range dans ma poche. Je prends le livre ou j'avais caché la photo et l'ouvre. On est pas mal mignon sur cette photo, je souris. Il m'avait même écrit un mot derrière. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder encore et encore tellement elle est magnifique.
- Bon, on y va ?
- Euh oui, oui.
Je ferme le livre et le remets à sa place. Depuis toujours, mes pensées sont justes autour de lui, que ce soir le jour et la nuit. Surtout en ce moment. C'est pour cela que je suis plus que distrait. Même mon colocataire l'a deviné. Il est sympathique, mais je lui est jamais parler de mon histoire avec Matteo et le fais que je sois homosexuel. Personne n'est au courant d'ailleurs et je préfère que ça reste comme ça. Je ne veux pas revivre ce que j'ai vécu à Buenos Aires.
- Tu es beaucoup distrait en ce moment ça va ?
- Oui, ne temps fait pas je vais bien, c'est jusque que mes proches me manquent.
- C'est pour ça que tu regardes tout le temps la photo ? Me demande-t-il.
Je rougis, la discrétion c'est pas trop ton fort Gaston. Je hoche la tête, un sourire au coin des lèvres.
- C'est ton ami, n'est-ce pas ?
- Mon meilleur ami.
- C'est cool. On voit que vous avez une belle complicité, vous vous êtes bien trouvé.
- Merci, je passe ma main dans mes cheveux nerveusement.
. . .
Je sors de la classe, ou se donnait le cours. Super, un gros travail à rendre pour le cours prochain. Cela ne devrait pas être si long, enfin je crois.
- Je passe à la chambre, tu viens ? Demande mon colocataire.
Je reçois une notification. Je sors donc mon téléphone de ma poche et regarde le destinateur du message.
De: Matteo ❤
Mon amour, tu es dispo pour un appel vidéo ? Je m'ennuie de toi ❤
Je souris, il est trop mignon.
À: Matteo ❤
Je suis dispo, je cherche un endroit tranquille et je t'appelle, ok ? Je t'aime ❤
- Vas-y sans moi, je te rejoindrai plus tard. Réponds-je à mon colocataire.
- Ok comme tu veux.
Il rejoint quelques de ses amis et quitte le bâtiment. À mon tour, je suis l'amas d'élèves et sors enfin par les grandes portes. Je descends les imposants escaliers et arrive enfin sur le chemin. Je m'avance un pas à la fois et arrive devant un petit jardin tranquille, je m'installe contre un arbre, éloigné des gens et demande en appel vidéo mon copain. Il y répond rapidement.
- Hey.
- Salut mon amour.
Je souris comme un débile. Vous ne pouvez pas savoir comme je suis heureux. Il était assis sur la scène du Jam, guitare sur ses genoux tenant son téléphone de la main droite. Il avait un sourire trop mignon.
- Je suis content de pouvoir te parler. À vrai dire, tu me manques énormément, dis-je.
- Moi aussi tu me manques..., il rougit c'est trop mignon. Il avait l'air triste.
On ne faisait que nous fixer. Le voir comme ça me donnait juste de l'envie de le prendre dans mes bras et de l'embrasser. On s'est parlé par message ce matin, mais cela ne me suffit plus, nous suffit plus. Je veux pouvoir le voir en vrai, devant moi. La distance est très difficile et je ne le supporte plus.
- Je t'avais promis que je viendrais avant les vacances, je respecte mes promesses.
Un sourire s'affiche sur son visage et ses yeux s'illuminent. Je préfère le voir comme ça. On continua de parler de tout et de rien jusqu'à ce que nos deux meilleures amies apparaissent à l'écran.
- Salut Gaston !! Crie les deux filles en même temps.
Je rigole.
- Salut, Luna, salut Nina.
- Alors comment tu vas, pas trop difficile l'université ? Me demande Nina.
- Oh, arrête avec l'université, laisse le respirer un peu ! Commente Luna.
- Je vais bien merci, je rigole.
Luna était à genoux derrière Matteo et avait les bras enroulés autour du coup de ce dernier. Nina, elle, était simplement assise au côté de mon copain.
Luna et Nina se regardent et rigolent.
- Vous êtes aussi folle l'une que l'autre, continue Matteo, en rigolant.
- Oh, excusés nous, ont n'a pas pensé qu'ont pourraient vous déranger , dit Luna en regardant Nina.
- Ouais, Luna a raison, ont peu vous laisse seul si vous voulez.
- Non, non, ne vous en faites pas, on se disait rien d'important. Je regarde Matteo.
- Vous êtes sur ? Luna regarde Matteo.
- Oui, oui, ne vous en faites pas, répond Matteo.
Ce dernier me regarde, un sourire en coin. Le silence prend place, mais bien sûr quelqu'un le rompt assez rapidement.
- Arrêtez de vous regarder comme ça, on dirait que vous allez vous sauter dessus, rigole Luna, vous êtes mignon.
Matteo et moi, nous nous regardons et rougissons. C'est vrai que depuis tout à l'heure on n'arrête pas de se dévorer du regard.
- Bon, on vous laissez entre amoureux, bye les garçons ! s'exclame Luna.
- Au revoir les tourtereaux !
Luna donne une tape amicale à Matteo et suit sa meilleure amie Nina hors de la scène. Je me retrouve donc, seul avec Matteo.
- Tu te pratiquais pour un événement en particulier où ? Dis-je en pointant la guitare.
- Non pas vraiment, même si le prochain open est bientôt, mais je ne crois pas participer.
- Mais pourquoi, tu as fait aucune nouvelle composition ?
- Si si, mais bon j'ai pas terminer les paroles et il ne reste pas longtemps avant l'open, je ne crois pas que j'y arriverai.
- Matteo, je suis sûr que tu y arriverais, si tu veux, je peux t'aider, même si la composition ce n'est pas trop mon truc, je veux bien te donner un coup de main.
- Merci, Gaston, mais cette composition est très chère à mon coeur et je ne veux pas la bousiller simplement pour la terminer à temps.
- Tu as au moins la mélodie ? J'aimerais bien entendre.
- Bon d'accord si tu veux.
Il se lève et installe la caméra sur l'un des haut-parleurs de façon à ce que je puisse voir. Il s'assit par terre à nouveau et place sa guitare sur ses genoux, prêt à jouer. La mélodie commence doucement, mais finit par monter. J'écoute attentivement, passionné. Le voir si concentré et heureux me remplit le coeur. Les dernières notes retentissent et il lève la tête enfin pour me regarder. Il reprend son téléphone.
- Alors ? Me demande-t-il.
- Wow magnifique, une des plus belles que tu as faite.
- Merci, il sourit, mais elle est pas encore finie. Elle sera encore plus belle tu verras.
- Hâte de voir, tu me l'enverras le produit final quand tu auras terminé.
- Oui d'accord.
On parla encore pendant plusieurs minutes, mais comme toute bonne chose à une fin, il fallait bien se dire au revoir. Il y faisait d'ailleurs presque nuit ici. Le soleil était presque disparu à l'horizon.
- Bye, mon amour, je t'aime et je te souhaite une bonne journée.
- On se parle bientôt, hein ? Ça m'a fait du bien de te parler, tu me manques énormément.... Merci et bonne soirée à toi.
- À bientôt.
- Ciao.
J'appuie sur appel terminé et laisse tomber mon téléphone sur moi. J'ai les bras et jambe engourdis à force d'être assis longtemps. Il me manque déjà, c'est fou, mais vrai. Alors qu'on vient de se parler il y a 2 secondes. Il est presque 19h. Cela fait plus d'une heure que je suis ici. Je devrai rentrer avant de faire inquiéter tout le monde. Je me lève et prends mon sac. Je regarde une dernière fois l'horizon, puis prends le chemin vers ma chambre.
. . .
Il est presque 10h et j'ai enfin fini tous mes travaux. Mon colocataire avait terminé bien avant moi, donc il était sorti avec des amis. Je m'installe dans mon lit téléphone dans mes mains et consulte mes notifications. J'ai un nouveau message de Nina.
Nina :
Salut, Gaston, j'espère que je ne te dérange pas. Je sais que tu es pas mal occupé, mais bref. Luna et moi avons eu une superbe idée ! Ça te dit de revenir quelques jours parmi nous ? Tu nous manques beaucoup et je pense que ce serait idéal que tu viennes avant que la période d'examen arrive. Tu peux sûrement manquer quelques cours. J'en ai parlé à tes parents et ils sont d'accord. Leurs fils leur manquent à eux aussi et ta petite soeur aussi. À toi de voir. Xxx
J'écarquille les yeux. J'hallucine c'est pas possible ! Je.. Je... Je vais pouvoir revoir Matteo..., ma famille, Nina et Luna ! J'ai les meilleures amies qu'ils soient. Je réponds immédiatement positivement. Je tremble, mon coeur bat vite. Je suis simplement heureux.
. . .
- Les passagers du vol Italie, Buenos Aires sont demandé à la porte d'embarquement 45, merci.
Vous ne pouvez pas savoir comment je suis heureux. Dans quelques heures seulement, je vais me trouver à Buenos Aires. Je me lève du banc ou j'étais assis et mets mon sac à dos sur mon épaule. Je passe la porte d'embarquement et me retrouve dans l'avion. Je trouve mon numéro de siège qui avec chance se trouvait au côté du hublot de cette rangée. Je m'y installe et préviens ma mère que suit belle et bien dans l'avion. Je pense qu'elle veut être rassuré ou je ne sais pas quoi, comme toute mère quoi. Elle me prévient que ma soeur, Léa, est à l'école en ce moment, mais qu'elle viendra toute de suite après pour m'accueillir et qu'elle y tenait vraiment. Je souris, elle peut-être très collante des fois, mais je l'adore et je sais qu'elle sera toujours là pour moi. Je réponds, ainsi de suite à tous les messages jusqu'au décollage. C'est parti pour plus de 12h de vol.
. . .
Enfin arrivé à destination, je sors de l'avion et va récupérer ma valise. Je sors de passe les portes de l'aéroport et me retrouve dehors. Je passe ma main dans mes cheveux et regarde autour de moi. Cela fait bizarre de me retrouver, au même lieu il y a 4 mois quand je suis finalement parti pour aller étudier en Italie. Je me souviens d'avoir pleuré dans les bras réconfortants de mon copain, Matteo. Ce moment était tellement dur pour moi. Je ne voulais pas partir en sachant que celui-ci allait rester ici. On est resté un long moment dans les bras de l'un et l'autre sans parler, profitant de notre dernier moment ensemble. On s'était embrassé, puis j'ai fait la file pour ensuite me retrouver de l'autre côté, où seules les personnes ayant un billet d'avion avaient le droit. Je me suis ensuite installé sur un banc pour attendre mon vol, cachant mon visage avec mes mains, en pleurant silencieusement, puis je suis parti. Les premiers jours furent les plus difficiles, mais je me suis habitué à l'absence des gens que j'aime. Mais, me voilà aujourd'hui de retour à Buenos Aires, impatient de pouvoir revoir ma famille et mes amis. C'est alors que je vois ma mère descendre de notre voiture, me cherchant du regard. Je m'approche alors d'elle et quand elle me voit enfin, elle me saute dans mes bras, en pleurant.
- M'am pleure pas, voyons. Je souris.
- Tu ne peux pas savoir comment tu m'as manqué.
- Je sais et moi aussi tu m'as manqué.
On reste longtemps dans les bras de l'un de l'autre. Je caressais doucement son dos pour la consoler.
- On devrait y aller, Léa et ton père t'attendent à la maison. Ainsi que Luna et Nina. Elle se détache et essuie ses larmes.
- D'accord, je l'ai prend à nouveau dans mes bras, je t'aime.
- Moi aussi mon grand.
On se détache l'un de l'autre pour se diriger vers notre voiture. Je range ma valise dans la voiture et je m'assois au côté de ma mère. Le trajet fut rapide, ma mère se gare la voiture dans l'entrée et coupa le moteur. À peine le temps de sortir de l'automobile, que ma soeur me saute dessus à son tour.
- Gastonnn !
Je rigole et enveloppe mes bras autour d'elle. Derrière elle se trouva mon père et ainsi que Luna et Nina. Ils affichaient un sourire heureux. Je pris ensuite mon père dans mes bras. Quand il avait appris mon homosexualité, celui-ci l'a mal pris. Surtout après que lui est dit que je sortais avec Matteo. Il pensait que celui-ci m'avait influencé et avait fait exprès de me draguer pour m'amener sur le mauvais chemin. Je lui est donc expliqué, qu'on était tombé amoureux l'un de l'autre au fil du temps et que se c'est que part pur hasard, mais il ne voulait pas m'écouter. Alors quand Matteo venait chez moi et que mon père était aussi présent, je peux vous dires que c'était très gênant, même plus que ça, l'horreur totale. Il nous avait à l'oeil tout le temps, sûrement de peur qu'on fasse des conneries. Surtout avait ma tentative de suicide.
Mais, avec le temps, il l'a accepté. Pas complètement, mais il fait un effort. Je me recule et lui sourit. Je me retourne vers Nina et Luna et les prends tous les deux dans mes bras en même temps.
- Merci, les filles, c'est grâce à vous que je suis ici.
- C'est l'idée de Luna, c'est elle que tu dois remercier. On se détache.
- Mais, non j'ai que donné l'idée, tu as fait le reste, Nina. Elle sourit.
- Oh ça va, pas besoin de vous envoyer des fleurs,on rigole, je vous remercie tout les deux. Je les prends tous les deux à nouveau dans mes bras.
- Maintenant, va te préparer, je suis qu'un certain Matteo t'attend impatiemment. Luna me fait un clin d'oeil. Je rougis.
. . .
PDV Matteo:
Je suis présentement au Jam, assis sur une des tables de la partie cafétéria, jouant frénétiquement avec ma paille de mon smoothie, concentré sur mon téléphone. Nina et Luna m'ont demandé de m'habiller proprement et de me rendre à telle à heure et à tel lieu. J'ai aucune idée ce qu'elles mijotent, mais curieux comme je suis, j'ai plutôt hâte de savoir c'est quoi. Je me suis donc habillé d'une simple chemise et d'un jean troué. Ça devrait faire l'affaire. Mais ce qui m'inquiète le plus en ce moment c'est que Gaston ne répond à aucun de mes messages. Il a seulement répondu à celui de ce matin, sinon néant total. Il doit être sûrement en cours ou simplement il a mis son téléphone à mute pour pas que l'on dérange dans ses devoirs ou études. Je ferme mon téléphone et le dépose sur la table et boit une gorgée de mon breuvage. Ce qui est encore plus étrange c'est que Nina et Luna sont introuvables. Je leurs est envoyé des messages, mais bien sûr aucune nouvelle. C'est une journée étrange aujourd'hui, je ne capte pas.
- Hey, Matteo, ça va ? Tu as l'air dans tes pensées.
Je relève la tête.
- Dégage Simon, je ne t'ai rien demandé.
Il tire la chaise libre de la table et s'y assois.
- Je cherche seulement à t'aider. Je sais que qu'est-ce que j'ai fait avec Sébastien n'était pas très bien réfléchie de notre part, mais...
- Je ne veux pas avoir de tes excuses, tu as fait du mal à Gaston et moi, c'est impardonnable. À cause de vous deux, il a voulu se suicider ! Tu ne crois pas que tu as assez créé de merde comme ça ? Alors dégage stp, je ne veux plus jamais te voir !
- Mat...
- Je t'ai dit de dégager.
Il se lève et replace la chaise avant de me tourner le dos et de partir. Il m'a frustré le con. Je le vois parler avec Nico. Les deux me regardent ce qui signifie qu'ils parlent bien sûr de moi. Quel sujet intéressant je fais ! Je me lève et range mon téléphone dans ma poche. Je passe à côté d'eux et leur jette un regard noir. Ils se changeront de débarrassé mon breuvage, de toute façon ils sont payés pour ça, non ? Nico avait posé la main sur celle de Simon quand je suis passé. Ils sont en couple. Oui, oui vous m'avez bien compris, ils sont bel et bien en couple. On n'est plus les seuls gay maintenant. En tout qu'à j'espère que Simon à enfin comprit que Gaston et moi avons est bel et bien amoureux et qu'il nous utilisera plus pour de la pute à clique.
J'ouvre la grande porte du Jam énervé et sors. Je marche sans trop savoir où aller. J'en avais complètement oublié le mystérieux rdv que Luna et Nina m'avaient donné. Je ne suis pas d'humeur pour rencontrer des gens. Alors je ne sais pas si je vais y aller. Tout ce dont j'ai besoin en ce moment c'est Gaston. Je pousse avec mon pied une petite roche qui s'était retrouvée sur mon chemin. Je la frappe fort et elle se retrouve plus loin. Je m'installe sur un banc face à la rivière et regarde les gens passer. Je reste plusieurs minutes à regarder un point fixe. Je sens alors quelqu'un me fixer. Je me retourne en fronçant les sourcils. Je ne vois rien de particulier. Je continue donc de fixer l'horizon. Mais je ne réussis plus à me concentrer. Je me lève donc en soupirant et appuis mes coudes contre le la barrière de fer et regarde autour de moi. Je suis plus que perdu là. Fais chier, tout ça à cause de Simon. Quelle journée de merde que j'ai ! Je regarde l'heure, mhm trop tard pour se rendre au rdv. Je me relève et fais glisser ma main sur la rampe. J'atteins un lampadaire, le contourne et replace ma main sur la rampe. C'est alors que ma main rencontre une autre main. Celui-ci est chaud et douce. Elle est réconfortante sur la mienne. La personne entrelace nos doigts ensemble et exerce une pression réconfortante sur ma main. Toute la haine que j'avais envers Simon est partie en un seul contact avec cette main. Je relève donc ma tête pour découvrit la fameuse propriétaire de cette main, un sourire béat aux lèvres. Le choc fut total.
- Gastonn ?!
Je me précipitai dans ses bras, ayant besoin d'un meilleur contact avec lui. J'entoure mes bras autour de son cou et pressa ma tête contre le haut de torse. Il entoura lui ses bras autour de ma taille et me colle fermement à lui. Je pleure. Oui c'est peut-être absurde, mais je pleure. Il vient me caresser tendrement les cheveux, me tenant toujours fermement.
- Tu es là, je n'y crois pas. Comment ça se fait ?
Il rigole légèrement et m'embrasse le crâne.
- J'ai eu un peu d'aide de Luna et Nina.
Luna et Nina ? Le mystérieux rdv ? Tout ça n'aurait pas un lien ?
- Alors, c'est pour ça que Nina et Luna m'avaient demandé de me rendre à un mystérieux rdv ? Je me détache, glissant mes mains jusqu'à sa taille, le regardant au plus profond de ses magnifiques yeux.
- C'est exact, il passe sa main sur mes joues pour sécher mes larmes.
- Mais comment tu as réussi à me trouver ? Je ne me suis même pas rendu au lieu tellement je n'avais pas envie de voir personne, je baisse la tête.
- Hey, ça ne va pas ? Qu'est-ce qui te préoccupait autant ? Me demande Gaston, relevant ma tête.
- Je t'en parlerai plus tard, je ne veux pas gâcher ce moment. Je lui prends la main. Tu n'as toujours pas répondu à ma question.
- C'est simple, je te connais parfaitement, j'ai suivi mon instinct et je t'ai trouvé.
- Mouais, je ne te crois pas trop.
Il lève les yeux au ciel et rigole légèrement.
- Tu n'es pas obligé de me croire, il sourit.
Je rigole. Bon, ok peut-être que je le crois, mais juste un peu. Je repose ma main sur la rampe et retourne le regard vers Gaston. Il avait mis à son tour sa main. Je rougis légèrement.
- Tu m'as beaucoup manqué Matteo. Il approche son visage du mien.
- Moi aussi, c'était si dur de vivre sans toi. Je m'approche à mon tour. Je fixe ses lèvres.
Je continue le mouvement en penchant ma tête sur côté. Il comprit et fait la même chose. Je regarde ses yeux, rempli de désir, et on coupe finalement l'espace qui nous sépare, mes lèvres s'écrasent sur les siennes avec envies. Ma main droite se pose dans son dos, et l'autre dans ses cheveux. Un de ses mains vient soutenir ma tête et l'autre glissa lentement dans mon dos. Notre baiser est lent, nos lèvres étaient en harmonies. Je glisse ma main, qui était dans ses cheveux, jusqu'à son cou, puis doucement sur son torse. Le baiser prit une ampleur plus passionnée et langoureux. Ses douces caresses dans mon dos me font frissonner légèrement. À bout de souffle, on se détache et je dépose un chaste baiser sur ses lèvres.
- Je t'aime.
Gaston sourit et me colle contre lui, je ferme les yeux.
- Moi aussi.
Nouvelle fiction Gastteo ! J'espère qu'elle vous a plu.
Ce couple m'inspire beaucoup je sais pas du tout pourquoi hihihi.
Ça me tentait d'écrire une suite à ma fiction Gay storie Line de Gastteo que je vous invite à aller voir. :)
Bisou, Xxx
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