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Marchandise

Coucou les petits loups !!! Un Oneshot sur Durarara centré avant tout sur mon chouchou psychopathe : j'ai nommé Izaya Orihara !!!
Izaya : Les êtres humains sont vraiment étranges....
Auteure : mais oui, retourne dans ton histoire toi. Ce chapitre sera un peu plus trash que les précédents donc n'allez pas vous plaindre si vous êtes choqué. (Perso je pense que c'est du trash doux mais par soucis de prévention je préviens). Bonne lecture!!!!!

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Dans un certain quartier de Tokyo...

Izaya continuait tant bien que mal à crocheter le cadenas qui l'emprisonnait. Du peu qu'il pouvait voir, le soleil était au zénith et cela le convainquît d'accélérer le crochetage. Mais en même temps ces idiots lui avait mis des menottes qui s'ouvraient par un code. Un code à quatre chiffres en plus! Il entendit un bruit sourd digne d'un film catastrophe. Normalement il serait resté mais sa position ne le permettait pas vraiment.

Il laissa échapper un gloussement ; si Shizuo le voyait, il en profiterait pour le détruire avant que le noiraud ne comprenne ce qu'il se passe. Ou alors il le laisserait tranquille car il jugerait le combat trop inégal.

Pendant son évasion, Izaya réfléchi au pourquoi du comment il s'est  retrouvé là.

J-3, quartier de Shinjuku.

Le soleil commençait à se lever sur Tokyo. Dans un certain immeuble fait de verre et d'acier, une forme sombre se découpait derrière la baie vitrée. Cette forme sombre, c'est le meilleur informateur de Shinjuku et de ses alentours. Sa renommée était en pleine expansion et le nombre de clients venant de tout Tokyo augmentait sans cesse.

Mais gare à vous si vous essayez de jouer au plus malin avec lui; il vous laminerait. Son intelligence égalait son sadisme et sa cruauté. Bref, ne tombez pas dans son filet et vous aurez peut-être une vie tranquille.

Orihara Izaya, tel est son nom, lâcha un léger soupir. Si il avait un spectateur, il l'aurait fait de manière dramatique; mais sa secrétaire,  Yagiri Namie, étant aux abonnés absents, il ne fut pas obligé de jouer. La raison de ce soupir? L'ennui. D'habitude les êtres humains le divertissait en tout temps, mais ces temps-ci, ils étaient trop calme. Et cela inquiétait grandement l'informateur qui ne savait pas quoi faire pour s'amuser.

Ses souffres-douleurs favoris dormaient et il était trop tôt pour aller faire un tour à Ikebukuro. En même temps, il est trois heures et demi du matin, qui est réveillé à cette heure à part Izaya ? Pas beaucoup de monde.

Mais revenons aux sources ; pourquoi Orihara Izaya était réveillé et en train de boire un thé dès trois heures ? Pour le travail : l'information venait à n'importe quel moment et de ce fait, l'informateur doit toujours être sur ses gardes pour avoir de bonnes infos. Et Izaya venait d'en découvrir une de très intéressante : un trafic d'esclaves et d'organes humains sévissait dans les alentours de Shinjuku. Et deviner où se trouve le Q.G. de ce trafic.... Ikebukuro bien sûr ! Mais même si cette information est intéressante, elle ne mérite pas vraiment qu'il se lève aussi tôt.

Cependant, une organisation de yakuza avec qui il travaille le plus lui a demandé de faire quelques recherches sur ça. Et Izaya fut outré d'apprendre que quelqu'un savait une information en avance par rapport à lui. De ce fait, pendant presque une semaine il a écumé Internet et ce ne fut que cinq jours plus tard qu'il appris la réelle existence de ce trafic.

Il ne lui a fallut que quelques heures pour infiltré le réseau et accéder à tout les participants et instigateurs de ces réunions.

Il consulta son téléphone et vit qu'il avait une cinquantaine d'appels en absence et d'une centaine de message non lus. Il poussa un autre soupir ; pendant ces cinq derniers  jours il a été complètement  coupé du monde et cette nouvelle le mortifiait et le fascinait en même temps.

Il adorait son travail ; pouvoir observer les gens à longueur de temps était sa passion et le fait qu'il soit aussi pris pour quelque chose de si petit par rapport à sa fascination envers les foules l'étonnait. Il finit son thé et s'étira tel un chat. Ce soir ou ce matin, selon les points de vue, il avait bien travaillé. Il lui faudrait cependant quelques temps pour rattraper le retard qu'il a accumulé ses derniers jours.
C'est sans soucis qu'il s'endormi tranquillement sur son canapé.

-0-

Izaya fronça les sourcils ; quelque chose de froid et dur était collé contre sa tempe. Il réfléchit rapidement à ce que ça pourrait être tout en gardant sa respiration sereine.

Voyons, après être tombé comme une masse sur le canapé il n'avait pas bougé depuis; il sent toujours les coussins moelleux dans son dos. Il a un peu faim, il doit être midi passé et c'est jour de congé pour Namie-san. Alors quoi? Qu'est-ce que ça peut être ?

Il repassa les derniers évènements dans sa tête : la journée a été 'normale', et sa secrétaire était parti à 18h00 passé. Il n'avait pas bougé de son bureau depuis. Et la porte devrait être.... Oh. D'accord, il a compris : la porte. La porte qu'il ferme à double tour après le départ de son assistante ; celle qui enclenche les alarmes qu'il a installé au cas où il y aurait un problème. Cette porte qu'il a oublié de fermé à double tour.

Mentalement, il se traita de tout les noms possibles et imaginables. Ça n'aurait JAMAIS dû arriver. Jamais. Et pourtant il est là, à la merci de n'importe qui et il ne s'est même pas réveillé quand on est rentré chez lui. Il voudrait presque que ce soit Shizuo. Mais Shizuo n'utilise pas d'armes à feu. Shizuo n'attaquerait pas aussi silencieusement. C'est un protozoaire après tout.

Il compta les respirations qu'il entendait : une.... Trois.... Cinq. Sans compter la sienne. Cinq respirations très faible et très lente. Pas étonnant qu'il n'ait rien entendu ; ces gars sont des vrais professionnels. Et ça ne lui plaît pas du tout. Des pas se firent entendre.

Tap, tap, tap. Des pas qu'il ne reconnaît pas. Un nouveau client ? Ou un ancien qui veut se venger ?
Il adressa quelques mots à l'un des hommes dans un chuchotement qu'il ne put comprendre. Et il parla plus fort, d'une voix de basson:

"Alors ? Toujours endormi ?

- Hélas oui, à moins qu'il ne dédaigne de nous montrer son état d'éveil. "

Un léger frisson parcouru le corps d'Izaya et il compris qu'ils l'avaient vu se réveiller. Il n'avait pas le choix.

D'un geste brusque, il prit le canon dans une main et fit en sorte de le faire dévier de sa trajectoire. De l'autre, il récupéra le couteau qu'il gardait toujours avec lui pour le brandir devant lui le temps d'ouvrir les yeux.

Les yeux ouverts, il fit un bond de sa position couché pour se retrouver derrière le canapé, là où aucun homme n'était posté. Les intrus, eux, n'avait pas eu le temps de réagir qu'ils voyaient déjà leur cible en position de défense.

L'action avait duré moins d'une seconde. La mini armée  braquèrent leurs revolvers sur lui. Trop tard.
Deux d'entre eux s'écroulèrent d'un même ensemble, terrassé par un cran d'arrêt à la tête. Les trois autres eurent le temps de se protéger et seulement l'un d'eux eu le bras touché. Un véritable démon habillé de noir s'abattait sur eux, comme si il prodiguait le jugement dernier.

Izaya observa les lieux tout en continuant de garder un œil sur les ennemis. Ses yeux rouges scannaient, analysaient et comparaient les données qu'il avait avant et après leur intrusion. Rien n'avait bougé, pas même la première tasse de thé vert qu'il avait laissé à moitié vide pour son réveil. Seul une ombre était caché dans l'angle de son bureau. Une ombre qui n'était jamais là. Il supposa que cette forme sombre était le chef. Il supposa bien.

En quelques mouvements il se retrouva devant l'ombre. Le démon aux yeux rouges approcha sa main armée sur le cou de son opposant. Rapidement. Mais pas assez vite.

Son corps se crispa et Izaya recula. Légèrement sonné, il tituba jusqu'à son canapé. Arrivée à côté de celui-ci, il s'agrippa aux bords du meuble en cuir blanc pour rester debout. Ses oreilles bourdonnaient et il voyait trouble. Quand il aperçu l'arme de son adversaire il compris : un taser.

Ah la la, les humains sont emplis de ressources et d'actes insoupçonnable !

Le chef aboya un ordre et ses chiens de garde obéirent. Il ricana.

Quels bons petits toutous !

Les derniers hommes encore en état se ruèrent sur lui. Il tenta d'esquiver. En vain.
Même si le coup ne l'avait pas mis K.O. , il l'avait assez sonné pour que ses mouvements soient ralentis et pâteux. Digne d'un nouveau né. Il ricana une nouvelle fois ; mais de son impuissance. Les Mens In Black l'attrapèrent sans mal et, d'un bref coup sur la nuque, Izaya partit au pays des rêves...

-0-

Un tremblement lui parcouru le corps et, d'instinct, tout ses sens de mirent en éveil. Seule sa vue restait au point mort ; il ne voulait pas que l'on pense qu'il était réveillé. Il laissa ses souvenirs affluer: la découverte sur le trafic clandestin, son sommeil coupé par un réveil plutôt brutal, la bagarre dans son salon et le coup de taser traître.

Bon, tout ses souvenirs étaient en place.

Il s'apprêta à ouvrir les yeux quand un flash de souvenirs inconnus l'arrêta. ( NDA : Allo le scénario pourri bonjour !)

Une vision qui le gela sur place. Il comprit d'où venait son tremblement ; de froid. Il était nu comme un ver.

Il n'y croyait pas. Ce n'était pas possible qu'il lui soit arrivé cela! Il était Orihara Izaya après tout... Et est parce qu'il a ce nom qu'il était dans cette galère.

Il jura intérieurement ; ses membres étaient ankylosés et un liquide froid et visqueux lui collait au ventre. Dégoûtant. De nombreux souvenirs continuaient de venir : visages différents, tortures diverses, plaisir, douleur, douleur, douleur.

Il réprima une grimace ; son bas du dos lui faisait mal, très mal. Il sentit une substance tiède couler le long de ses jambes. Il eût un haut le cœur.

Un bruissement se fit entendre à sa droite et, résigné, il ouvrit ses paupières dévoilant ainsi ses yeux carmins. Cette fois-ci, le noiraud ne put réprimer un rictus de découragement.

L'homme (car c'en était un), eut un sourire pervers en voyant sa proie en état d'éveil et affaibli. Ses yeux brillaient d'une lueur malsaine et la cicatrice qui jonchait sa joue l'enlaidit davantage en souriant.
Izaya tiqua, il n'aimait pas ce regard. De ses souvenirs récents, il savait que ce regard promettait des choses très.... Bestiales.

Et elles le furent; pendant de longues heures, son ravisseur devint un animal assoiffé de sexe et profita de lui. Et Izaya aussi, malgré lui. Son corps était constitué comme les autres hommes après tout. Avec de bons touchés, il peut aussi bien atteindre le septième ciel que la souffrance la plus ignoble qui soit. Mais son violeur (il n'était pas consentant même si son corps l'était) ne resta pas en bête et, pendant les brefs moments de répit, il le questionnait sans relâche.

La 'torture bienfaisante', qu'ils appellent dans le langage du crime, reprenait dès que le balafré perdait patience.

Et il l'avait perdu un bon nombre de fois; Izaya n'arrêtait pas de le charrier.

L'informateur avait déjà subit ce genre de torture par le passé, mais jamais de ce niveau là. Cependant Izaya ne parla pas; il ricanait ou se contentait de : " Je ne peux pas être privatisé." et de : " Si vous voulez des informations il va falloir les acheter autrement." ici et là. Il savait qu'il n'avait pas vendu la moindre information à cet homme, avec certitude. Sinon, pourquoi serait-il là ?

Izaya ne parlait pas dans son sommeil et son corps était devenu résistant à tout types de drogues. Sauf l'aphrodisiaque. Mais franchement, qui penserait que cette substance était aussi puissant que les drogues de vérité ? Personne. Même pas Izaya, c'est dire à quel point c'est une idée fantaisiste.

C'est ainsi que l'homme repartit bredouille quelques heures plus tard. Il lui avait juste craché que l'informateur se trouvait à Ikebukuro, que cela faisait deux jours qu'il était là (en comptant celui-ci) et que demain ou dans deux jours au plus tard, il sera vendu aux enchères. En tant qu'esclave. Esclave sexuel.

Izaya lui fit son plus beau sourire mais intérieurement, il hurla de dégoût et de rage. Cet homme le paieras. Au centuple et par tout les moyens qui existent dans ce putain de monde. Oui, Izaya Orihara devenait vulgaire quand il perdait le contrôle de la situation.

Il observa autour de lui: une petite fenêtre donnant sur Ikebukuro, un simple lit auquel il était attaché et une porte fermé à double tour. En plus d'y faire froid, c'était sale. Des traces de sang et de sperme jonchait le sol et le lit. La poussière s'accumulait dans les coins et des tâches de moisissure apparaissaient sur le plafond. Bref, c'était dégueulasse.

Le captif tâta ses menottes du bouts des doigts. Elle étaient fermés non pas par clé mais par un code chiffré. À quatre chiffres. Quatre putain de chiffres. Il jura plusieurs fois et se calma au bout de quelques minutes.

Son regard fut attiré par les lumières des buildings. L'un d'eux repassait en boucle une publicité présentant un nouveau manga. C'était les amis de Dotachin qui seront contents.
Izaya remarqua quelque chose présent sur l'un des immeubles : l'heure. Elle était affiché sur le haut du bâtiment et clignotait tranquillement. Elle lui indiqua qu'il était minuit trois.

Largement assez pour fuir.

-0-

Un second bruit sourd le sorti de sa rêverie. Il était maintenant midi trois. Il avait passé douze heures à chercher ce maudit code.

Un déclic se fit entendre et Izaya s'exclama de joie. Ni une ni deux, il se redressa en grimaçant et en se frottant doucement les poignets.
Il s'étira et récupéra ses vêtements qui traînaient à terre.
Il les enfila et, quand il réajusta son manteau, la porte à qui il tournait le dos s'ouvrit. En claquant contre le mur.
Soudain, un protozoaire apparût.

" I~za~ya~kuuuuun~!!!!!

- Ha ha Shizu-chan, je ne pensais pas que tu viendrais me chercher.

- Que fais-tu à Ikebukuro ? Encore un plan foireux que tu prépares ?

- Loin de là Shizu-chan. Disons plutôt que ma visite était impromptu. Mais discutons plutôt à l'extérieur."

Que je puisse fuir le plus rapidement possible de cet endroit et te fuir toi par la même occasion.

Shizuo ne répondit rien, il ne fit que plisser les yeux avant de se retourner et sortir de la pièce. Il avait dû décider que ce combat n'en valait pas la peine.

Izaya le suivi en claudiquant légèrement. Si le protozoaire l'avait remarqué, il n'a rien dit. Comme le blondin avait fait le ménage dans le bâtiment pour retrouver son ennemi, ils n'eurent aucun mal à sortir de l'immeuble.

Enfin.... Presque. À la porte les attendait le boss qui était venu le chercher dans son appartement et le bourreau. Celui qui lui en avait fait baver il y a un peu plus de douze heures.
Shizuo passa devant eux sans grand problème ; les deux personnes n'avaient pas bougé d'un poil. Elles continuaient de fixer quelque chose. Et ce quelque chose, c'était Izaya.

Quand l'informateur arriva à leurs niveaux, ils lui prirent chacun un bras. Il n'eut même pas le temps de se débattre qu'un mouchoir ayant une odeur douteuse se colla contre son visage et qu'une aiguille fut plantée dans sa cuisse.

Et le noir revint encore une fois.

Fin!!!!
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Nan je rigole je vais pas finir avec ça. Vous allez me tuez et Izaya aussi.
???: Agaroche...
Auteure: *marmonne* Quand on parle du loup.*plus fort* Oui oui Izaya je vais allez écrire la suite.
Izaya : Tu as intérêt sinon tu peux dire adieu à l'épisode Durarara de cette semaine.
Auteure : Naaaaan! Pitié tout mais pas ÇA!!!!
Izaya *ouvre la porte dévoilant l'ordinateur allume et sur la page de brouillon * Tu sais ce qu'il te reste à faire...
Auteure *cours sur l'ordinateur pour continuer l'histoire *
Izaya : Ouf! Sauvé !
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Le cauchemar du temps passé là-bas revint encore une fois. Il revu tout ce qu'il c'était passé. Et il se termina aussi soudainement qu'il était apparu. Mais au lieu de le recommencer, le brunet se réveilla en sursaut. Ses bras tenaient avec force les draps et il était en sueur.

Une main se posa sur son front et une voix qu'il ne reconnu que trop bien annonça :

" Hum... C'est bien ce que je pensais, tu as encore un peu de fièvre Orihara-kun.

- Shin... Ra ?

- Bien sûr, qui crois que tu que ce soit d'autre? Shizuo?"

Et c'est là que l'informateur aperçut la tête brune avec des lunettes et un sourire joyeux l'observant.
Izaya n'avait jamais été aussi heureux de voir son ami. Il ne le dirais jamais mais quand il compris qu'il était dans l'appartement de Shinra et que son ami était à côté de lui, un soulagement bienfaiteur vint.

Son corps se détendit, et, sans qu'il ne se rende compte, il retomba sur le lit. Il avait envie de pleurer de rage, de joie et de honte.
Shinra dut s'en apercevoir car il s'approcha de lui et lui parla d'une voix douce:

" Tu sais, Orihara-kun, je suis médecin mais je suis aussi ton ami, alors si tu veux parler de ce qu'il c'est passé, je suis là."

Et là, paf. Retour à la réalité. Shinra était médecin. Il l'avait donc soigné. Donc il avait vu ses blessures pour les soigner. Et ses blessures sont plutôt étranges si on est pas habitué au monde du yakuza.

Or Shinra est un médecin s'occupant avant tout des blessures provenant du côté obscur du monde. Alors il savait ce qu'il c'était passé.

Il demanda au médecin si il pouvait utiliser les toilettes. Shinra n'eût même pas le temps de répondre "Oui" que Izaya alla vomir le peu de nourriture qui lui restait dans l'estomac.

Quand il revint, quelques minutes plus tard, la bouche lavée et l'appareil digestif vide, ses lèvres se pincèrent et il tenta un vain sourire pour rassurer son ami. Il était pathétique.

" Je suppose que je ne peux pas te demander d'oublier ce que tu as vu et de ne pas en reparler pas vrai?

- Exactement! Tu sais, quand j'ai vu Shizuo sonner à ma porte et toi dans ses bras, inconscient, j'ai vraiment imaginé les pires scénarios possibles-Sauf que comme Celty était à côté de moi ce n'était pas le pire- Bref! En tout cas tu m'as bien fais peur.
Mais quand j'ai vu ces blessures je t'avoue que je ne sais plus trop quoi pensé.

- Dans ce cas, ne pense pas à ça puisqu'il ne c'est rien passé.

- Izaya....

- Quoi? C'est vrai ! Après tout, j'ai juste été pris par surprise dans mon sommeil parce que mes recherches ont été fatigantes, je me suis fais tabasser, on m'a interrogé. Et comme je ne répondais pas, ils ont juste décidé de travailler avec une autre méthode. Et cette méthode était juste la.... La...."

Des sanglots menaçaient de s'échapper. Il n'arrivait pas à prononcer cette simple phrase et par conséquent, il n'arrivait plus à prononcer le moindre mot. Shinra lui tapota gentiment le dos en lui rappelant doucement qu'il n'était pas obligé d'en parler si il ne le voulais pas.

Soudain, Izaya ne parla plus. Et, sans crier gare, des larmes commencèrent à couler sur ses joues. Toute cette honte, cette rage et cette colère apparaissait dans de simples gouttes d'eau salée.

Shinra n'était même pas sûr qu'Izaya se rendait compte qu'il pleurait. Mais il le faisait.

Pendant de longues minutes, aucun des deux ne parlèrent et, petit à petit, la sécrétion s'arrêta. Quelque chose dans l'aura de l'informateur changea. Le médecin ne pouvait l'expliquer mais quand il vu son ami se redresser et se lever, il savait que le brunet se sentait mieux.

Un sourire sadique se dessina sur les lèvres de l'informateur et il remercia son ami.

Quand il ressortit dans la rue pour retourner chez lui, il sautillait presque.

Son sourire, sadique au départ, devint peu à peu celui d'un des plus grands psychopathes existant sur la Terre.

Ce soir, il avait une vengeance à accomplir...

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Et voici la véritable fin! J'espère que ce one shot vous aura plus et je vous à une prochaine fois!!
Izaya : pourquoi suis-je si faible ?
Auteure : parce que je t'aime?
Izaya *cligne des yeux* Quoi?
Auteure : Laisse tomber va!
Izaya : espèce de sale petite -
Auteure : Bon je vais y aller avant de me faire détruire par mon personnage. Bye~!

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