(Emma)
Je regarde cette carte comme si elle allait m'apporter les réponses que je cherche. À savoir retrouver Alessa et trouver un moyen de donner une racler à ce sale gamin. Je sais qu'elle est quelque part, mais si cette carte voulait bien fonctionner alors je pourrais aller la sauvée le plus tôt possible.

J'entend quelqu'un pousser un soupir.

- Ceci est une perte de temps ! nous dit pour la énième fois Regina.
- Cela n'en ai pas si c'est pour retrouver Alessa, répond Mary-Margaret.
- Si vous me laissiez utilisée la magie alors nous l'aurions déjà retrouvée.
- Oui et en faisant ça vous allez énervé encore plus Peter Pan, répond Crochet découragé.
- Je n'ai pas d'ordre à recevoir d'un pirate du rabais comme vous. Si je veux sauvée ma fille cela me regarde.

J'entend des pas s'approchés de moi et lorsque je vois une main tenté de s'emparer de la carte, je pose rapidement l'une des miennes pour l'en empêcher.

- Je ne vous laisserais pas utiliser votre magie si c'est pour détruire le seul moyen qu'on a pour la retrouver, dis-je sévèrement.
- Oh pitié, pourquoi Pan vous aurait donné cette carte sinon ?
- Il me la donner parce que ce n'est qu'un jeu pour lui, dis-je en me levant avec la carte dans les mains. Il veut que je reconnaisse quelque chose, mais j'ignore quoi.
- Peut-être qu'il veut que tu reconnaisses ta famille où du rôle que tu joues, répond Mary-Margaret.

Reconnaître que je suis la sauveuse des contes de fées, je crois que c'est trop lourd à porter sur mes épaules.

Je me rappelle toute les fois où Alessa à tenté de me faire comprendre que j'étais la sauveuse. À l'époque, je ne croyais en rien et j'étais encore toute chamboulée intérieurement d'avoir retrouver ma fille. Où plutôt, que se soit elle qui m'est retrouver alors que je l'avais donner en adoption pour lui permettre une autre vie. Je voulais qu'elle est toute ces chances de réussir dans la vie et je savais que ce n'était pas avec moi qu'elle les auraient.

Je ferme les yeux et je me rappelle parfaitement la première fois que je l'ai vue. Lorsqu'elle c'était présenter à mon appartement à Boston. Je revenais d'un faux rendez-vous pour attraper un type que j'avais aidé à sortir de prison avec l'aide de sa femme, mais il avait préféré continuer à la triché en sortant avec d'autres femmes. Ça et aussi parce qu'il était partit avec beaucoup d'argent et aussi parce que je devais le ramener devant le juge.

Chasseur de prime n'est pas de tout repos, mais sa payait bien.

Je venais d'arriver à mon appartement avec ma robe rouge tachée de vin et je venais de retirer mes chaussures qui me faisaient atrocement mal aux talons, mais j'avais pris, au moins, la peine d'aller acheter un gâteau et une bougie. Je l'avais acheter parce que cette journée là c'était mon anniversaire.

Mon 28e anniversaire, en faite.

J'avais allumée la bougie et juste avant de souffler la bougie j'avais souhaiter de ne pas être seule en ce jour. Juste après, quelqu'un avais cognée à ma porte. Lorsque j'ai ouvert, j'ai découvert une petite fille aux cheveux bruns et de beau yeux bruns chocolats.

Je me rappèle ce qui c'est passer...

- Je peux t'aider ? dis-je.
- C'est toi Emma Swan ? demande la petite incertaine, mais d'une voix forte.
- Ouais. Tu es ?

La petite me fait un beau sourire.

- Je suis Alessa... ta fille.

J'ouvre grand les yeux en ne sachant pas quoi dire.

Quoi ?

Ma fille !

Non, c'est impossible puisque je l'ai...

Elle ne devrait pas m'avoir retrouver, c'est impossible.

Avant que je puisse dire quoi que ce soit, la petite entre dans mon appartement et se dirige vers ma cuisine.

- Attend une seconde, gamine, je n'ai pas de fille.
- Faux, dit-elle en posant son sac au sol.

Elle se retourne et me lance un regard du genre "je sais quelque chose que tu ignores".

- Il y a onze ans, tu as bien eu une fille dans un hôpital de Phoenix que tu as donnée en adoption?

Comment elle sait ça ?

Toute les informations me concernant ont été effacer spécialement pour empêcher les futurs parents adoptif de me retrouver où même l'enfant que j'ai mise au monde.

- Comment tu...
- Et bien, c'est moi, dit-elle en me fessant un petit sourire.
- Je... je reviens, dis-je avant de me diriger vers la salle de bain et de m'y enfermer.

C'est pas possible.

De toute ma vie je n'ai jamais crue que je verrais ma propre fille.

Je ne m'attendais pas à la voir et surtout pas en ce jour.

Elle aurait très bien pu mentir pour s'amuser, mais je n'ai pas sentit grâce à mon super pouvoir qu'elle me mentait.

Elle était honnête sur tout ce qu'elle à dit.

Et je dois le reconnaître qu'elle me ressemble un peu. Lorsqu'elle a les cheveux détachée comme maintenant elle me ressemble exactement. Excepter pour la couleur des cheveux et des yeux, sinon elle me ressemble parfaitement. Pour ce qui est des yeux et des cheveux elle tient sa de son père cela ne fait aucun doute.

En repensant à ce type je ressens un pincement au coeur.

Non, je ne dois pas me laisser emporter par mes émotions. Je lui faisais confiance et cela ne la pas empêcher de me trahir en laissant la police m'embarquer.

Bon d'accord, j'aurais très bien pu tout avouer sur les montres voler et tout le reste, mais j'ai ressentit le besoin de rester là. Lorsque je me suis rendue compte que j'étais enceinte une semaine plus tard, j'ai cru que j'allais mourir.

Sans compter que cet idiot m'avait envoyer les clés de sa vieille bagnole et rien d'autre.

On m'avait gardée sous surveillance à cause du bébé que je portais et j'avais eu le droit à une policière pour l'accouchement. Seulement après, je ne voulais pas le garder.

Je ne voulais ni la regarder ni la prendre dans mes bras.

J'avais demander à ce quelle soit envoyée en adoption pleine air afin de m'assurer de ne jamais la revoir.

Non pas que je la détestais, seulement, je ne pouvais rien lui offrir.

Même si j'avais accepter de la garder et de l'élevée, j'aurais été placé sous surveillance et on aurait gardé un oeil sur moi afin de s'assurer que la petite soit dans un bon foyer.

- Hey, tu as du jus de fruit ? me demande la petite toujours dans ma cuisine.

Comment a-t-elle fait pour me retrouver ?

- Laisse tomber, j'en ai trouvée !

Je pousse un soupir avant de sortir de la salle de bain et de me diriger vers cette petite qui est en train de boire du jeu au raisin à même la bouteille.

Bon, je fais ça moi aussi, mais elle n'est pas chez elle et elle se croit tout permit.

- Je peux savoir ce que tu fais ici et comment tu t'y es prise pour me retrouver.

Elle dépose le jus sur le comptoir et elle me sourit.

- Je crois qu'on ferait mieux d'y aller.
- Aller où ?
- Je te ramène avec moi chez moi il est grand temps que tu fasses quelque chose pour moi.
- Attend une seconde gamine, tu me demandes de te suivre, mais je ne sais même pas comment t'es arriver ici.
- Je te dirais rien.

Je pousse un soupir découragée.

Cette gamine va me rendre dingue.

- J'appelle les flics.

Je me dirige vers le téléphone, mais la petite m'empêche de composer le numéro en disant qu'elle leur dirait que je l'ai enlever.

- Et ils te croiront parce que je suis ta mère biologique.

La petite à l'audace de me faire un sourire victorieux.

Alors elle croit avoir gagnée...

- Tu bleffes, dis-je en la regardant.
- Vas-y pour voir, me dit-elle en me défiant.

Elle a du courage cette petite ça c'est sur.

Je me sers de mon super pouvoir pour voir si elle me ment, mais elle est sérieuse.

- Je vais te dire quelque chose, ma petite, j'ai ce qu'on appelle un super pouvoir. (Je me penche vers elle en la regardant dans les yeux.) Lorsque quelqu'un me ment je le devine tout de suite.

Elle me fait un sourire en coin en inclinant la tête sur le côté.

Elle me met en rogne celle-là.

- Je prend le risque, dis-je en commençant à composer le numéro.
- Attend, n'appelle pas la police, dit-elle d'une petite voix. En faite, je suis partie de chez moi pour venir ici. Personne ne le sais alors s'il te plait ne me renvoie pas là-bas.
- Je ne peux pas te garder avec moi parce que j'ai aucun droit gamine et je suis sûre que tes parents sont inquiets pour toi.
- Ça m'étonnerait, crache-t-elle.

Je sursaute en la regardant.

Quelque chose me dit quelle n'est pas heureuse avec sa famille, mais je ne peux rien y faire.

J'ai renoncer à tout mes droits en l'abandonnant et je dois la ramener.

Je n'ai pas le choix de la renvoyer chez elle.

- Je n'ai pas le choix, gamine.
- Dans ce cas, accompagne moi chez moi.

Je pousse un énième soupir.

- Où est-ce que c'est chez toi ?
- À Storybrooke, dans le Maine.
- Storybrooke ? Sa existe cet endroit ?

Elle hoche la tête.

- Dis moi une chose, comment t'es arriver du Maine jusqu'à Boston ?
- Ben, je suis venue en bus. C'est bien le meilleur moyen de voyager quand on a pas de permis de conduire.
- Tu aurais pu venir en voiture.
- Hey, je n'ai que 12 ans, pour ta gouverne.

Je lève les yeux en l'air.

Elle me décourage ! 

Je cligne plusieurs fois des yeux en sentant une larme couler sur ma joue. Je vois le regard de Mary-Margaret devenir triste en voyant ma tête, mais je me ressaisie vite.

Je ne peux pas abandonner maintenant.

Alessa est quelque part sur cette île et je la retrouverais coûte que coûte.

- ... Alors laissez-moi utiliser la magie ! nous redis Regina.

Je pousse un soupir en regardant la forêt devant moi.

Où que tu sois, gamine, je te retrouverais. 

Je te retrouverais toujours !