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Chapitre 48

« Val', je te jure que si tu touches encore une fois à cette cravate, tu sors de cette chambre et tu te débrouilles tout seul. »

Une moue se dessina sur le visage de ce dernier alors qu'il tirait sur le bout de tissu qui était attaché autour de son cou. « Ce n'est pas de ma faute si elle est beaucoup trop serrée, je vais m'étrangler avec cette histoire. »

« Ce n'est pas qu'elle est trop serrée, c'est que tu n'as pas l'habitude d'en porter. Tu ne peux pas y aller sans cravate, ce serait très mal vu.» Rétorqua Alya en chassant sa main de là. « Arrête de te plaindre, on dirait un enfant de quatre ans qui n'a pas eu son goûter. »

Il la fusilla du regard. « Facile à dire pour toi, ce n'est pas toi qui va souffrir toute la soirée. »

La jeune fille plissa les yeux, l'air devenait électrique. « Parce que tu crois que ça me fait plaisir de porter des talons pendant plusieurs heures, heures pendant lesquelles il va être très difficile de s'assoir ? »

« Ça va, tu ne risques pas de mourir avec tes talons. Moi je peux mourir asphyxié. »

Le silence se fit dans la chambre. Couché sur le lit de Juliette, Louis jeta un regard navré à son ami. Il n'avait pas réfléchi, il ne réfléchissait jamais. Les répercussions allaient être désastreuses et il était déjà beaucoup trop embourbé pour faire marche arrière.

« Comment ça ? » Lui demanda Alya au bout de quelques minutes, la paupière tressautante. Elle commençait à être terrifiante.

Valeriy ne semblait pas conscient de ce qu'il était en train de déclencher. Il ne la regardait même pas directement et était concentré sur sa cravate. « C'est vrai, vous les filles, vous avez l'habitude en plus. Puis, si vous le vouliez vraiment, vous pourriez mettre des baskets. »

Louis grimaça. « Mauvaise réponse mon pote, très mauvaise réponse. »

La blonde sembla sur le point d'exploser. Elle le pointa du doigt, ouvrant la bouche à plusieurs reprises, mais la refermant à chaque fois. Elle finit par taper du pied en soufflant et prit sa veste et son tour de cou. « Vous savez quoi ? Je m'en vais. Je vais aller voir Natalia, au moins elle, elle réfléchit avant de parler. »

« Pourquoi est-ce que tu quittes ta propre chambre ? » Lui demanda Louis avant qu'elle ne sorte. « Mets-le dehors, ce sera plus simple. »

Alya lui lança un regard assassin, comme s'il était lui aussi responsable de ce que Valeriy avait dit. « Parce que je ne peux pas te mettre dehors toi et que je n'ai pas envie de voir vos têtes de mecs condescendants actuellement. »

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et sortit de la chambre, claquant la porte derrière elle. Le calme revint, seulement troublé par le bruit venant de la salle de bain. Les deux garçons échangèrent un regard.

« Merci pour l'aide. » Commenta Valeriy, laissant enfin sa cravate tranquille.

« T'es en tort mec, » répondit-il en haussant les épaules, « tu devrais passer plus de temps avec les filles, ça t'apprendrait à ne pas dire certaines choses. En tout cas, je serais toi j'irais m'excuser. »

Le garçon soupira, mais se leva tout de même, se dirigeant d'un pas trainant vers la porte après avoir pris ses affaires. Il marmonna, affirmant que les filles étaient beaucoup trop susceptibles à son goût, et sortit à son tour.

Louis se retrouva donc seul dans la chambre, du moins dans la pièce principale. Juliette était actuellement en train de se préparer pour la soirée dans la salle de bains. Ils avaient tous décidé de se préparer au même endroit pour éviter les retards, ce qui s'était avéré plutôt efficace.

La soirée s'annonçait chargée, mais également prometteuse, ils avaient tous hâte d'y être. Arrivés plus tôt dans la journée, ils avaient tout juste eu le temps de s'acclimater à leur environnement qu'ils avaient dû se concentrer sur le premier événement de la semaine, la cérémonie d'ouverture des championnats du monde.

C'était ce soir là qu'ils allaient pouvoir rencontrer leurs concurrents et se faire une première impression d'eux. Il était donc très important pour eux de se mettre sur leur trente et un. L'intention n'était pas de les intimider, mais de leur montrer qu'ils avaient leur place à leurs côtés.

Cette soirée était leurs premiers pas dans un monde qui les dépassait de beaucoup, entourés de certaines légendes du sport. Ils entraient en quelque sorte dans la cour des grands, là où tous pourraient assister à leur réussite ou à leur défaite. C'était quelque peu intimidant.

Inconsciemment, Louis avait tout fait pour repousser le moment où il devait se préparer. Ce n'était pas un moment qu'il redoutait spécialement, mais ça rendait les choses réelles et concrètes. Cette soirée annonçait le début de la compétition et toute la pression qu'elle entrainait avec elle.

Il avait donc attendu que ses amis s'apprêtent, naviguant sur les réseaux sociaux pour se vider la tête. Ça n'avait pas beaucoup aidé, il avait reçu énormément de messages leur souhaitant bonne chance, encore plus maintenant que Juliette n'était plus dessus. Ça ne faisait que lui rappeler que beaucoup de personnes comptaient sur leur réussite.

Il avait donc laissé tomber et était parti dans une séance qu'il apparentait à une séance de méditation. C'est-à-dire couché sur le lit à essayer de ne pas s'endormir. Bon, il était presque sûr de s'être assoupi pendant une dizaine de minutes, mais personne ne l'avait remarqué.

Sauf qu'il ne pouvait plus reculer son échéance et devait se préparer maintenant s'il ne voulait pas être en retard.

C'est avec un soupire qu'il se leva et se changea, enfilant un pantalon noir et une chemise blanche. S'il n'avait déjà pas l'habitude de mettre des pantalons autre que des joggings, il mettait encore moins de chemises. Il en mettait tellement peu qu'il avait dû aller en acheter une pour l'occasion.

Il sortit également sa cravate et regarda le bout de tissu, septique. Il n'avait pas la moindre idée de comment s'attachait une cravate. Son père était censé lui montrer avant qu'ils ne partent, mais il avait passé trop peu de temps chez lui pour qu'ils trouvent un moment de le faire. Il se retrouvait donc sur le fait accompli, incapable de faire quoi que ce soit.

Il passa la cravate autour de son cou, mais n'essaya pas de l'attacher et la laissa pendre de façon ridicule. Il jeta un coup d'œil à l'heure tout en enfilant sa paire de baskets. Peut-être qu'il était obligé de mettre une chemise, mais personne ne le forcerait à mettre autre chose que des baskets.

Il alla ensuite frapper à la porte de la salle de bains. « Ju', il faut qu'on se dépêche si on ne veut pas arriver en retard. » Un silence lui répondit. Le garçon fronça les sourcils, toquant à nouveau. « Juliette ? »

De l'autre côté de la porte, sa voix lui arriva faible et étouffée. « Vas-y sans moi. »

« Euh, » Louis était de plus en plus déstabilisé, ayant du mal à comprendre ce qui était en train de se passer, « le but de faire partie d'un couple c'est justement de ne pas avoir à aller à ce genre de choses seul. »

Mais la jeune fille s'obstina dans le silence. Il ne comprenait son changement de comportement soudain. Du groupe, Juliette était celle qui attendait avec le plus d'impatience cette soirée, elle n'avait pas arrêté d'en parler pendant des semaines, essayant de savoir qui allait être présent en tant qu'invités spéciaux.

Le fait qu'elle ne veuille plus y aller n'avait pas de sens.

Il baissa la poignée de la porte, mais celle-ci ne bougea pas. « Ju' ouvre-moi, je ne partirai pas sans toi. »

Il réessaya à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'elle craque et qu'elle vienne la déverrouiller. Il ne savait pas à quoi il s'était attendu en entrant dans la pièce, mais certainement pas à la trouver assise sur le sol dans un coin, les genoux repliés contre elle et le visage tourné dans la direction opposée.

Ça ne ressemblait à l'une de ses crises de panique, elle était beaucoup trop calme pour ça, mais ce n'était pas non plus la Juliette qu'il connaissait si bien. A vrai dire, il ne l'avait encore jamais vue dans cet état.

Louis la rejoignit avec inquiétude, s'accroupissant à ses côtés. Il essaya de capter son regard, mais elle faisait tout pour l'éviter. Il ne manqua quand même pas de remarquer qu'elle pleurait et que c'était certainement pour cette raison qu'elle ne voulait pas l'affronter.

« Qu'est-ce qu'il se passe ? » Lui demanda-t-il à voix basse, ayant peur de la brusquer davantage.

Elle secoua la tête, se recroquevillant encore plus sur elle-même si cela était possible. « Je ne veux pas y aller. »

« Mais pourquoi ? » Louis tenta de ne pas laisser sa panique se retranscrire dans sa voix. « Tu étais la première à ne parler que de ça. Qu'est-ce qui a changé ? » Elle ferma les yeux, mais ne lui répondit pas. « Parle-moi. »

Au bout de quelques secondes, Juliette finit par se tourner vers lui et il en eut presque un mouvement de recul. L'incertitude et la souffrance qui brillaient dans ses yeux étaient prenantes. Ça n'avait rien à voir avec son stress ou son anxiété, c'était bien plus profond.

« Je l'ai achetée exprès pour l'occasion, elle était parfaite. » Répondit-elle d'une voix si basse que ce n'était qu'un murmure. « Mais maintenant elle est trop grande. Elle est trop grande et je ne peux pas y aller, je ne veux pas y aller. »

Louis devait bien admettre qu'il mit plusieurs secondes à comprendre de quoi elle parlait. Il avait tout d'abord pensé qu'elle parlait de sa valise, pour quelque raison illogique que ce soit, mais il comprit rapidement que ça ne pouvait pas être le cas et qu'elle parlait véritablement de sa robe.

Il n'arrivait pas vraiment à la voir dans cette position, il pouvait tout juste distinguer la couleur. Celle-ci était bleu ciel et aurait parfaitement fait ressortir la couleur de ses yeux si ce n'était pas pour les larmes qui venaient les assombrir.

Le garçon se recula légèrement et lui tendit la main. « Montre-moi. » Elle grimaça, le suppliant du regard de ne pas la faire se lever, mais il insista. « S'il te plaît. »

À contre-cœur, elle lui prit la main et ils se levèrent d'un même geste. Son premier réflexe lorsqu'il la plaça devant le miroir, restant derrière elle, fut de se couvrir de ses bras. Le cœur de Louis se serra en la voyant se comporter ainsi.

Jusqu'à présent, il ne savait pas vraiment ce qui avait causé son trouble alimentaire, mais jamais il n'aurait pensé que ça pouvait venir de l'image qu'elle se faisait d'elle-même. Juliette avait toujours eu confiance en elle, elle n'avait jamais douté de son corps et de sa beauté. En tout cas, elle n'avait jamais montré le contraire.

Mais, désormais, il était clair qu'elle avait peur de son apparence et de ce que les gens pouvaient penser d'elle.

Louis ne savait pas d'où pouvait venir ce manque de confiance, ni même ce qui avait pu le déclencher, mais il détestait la voir ainsi. Il ne pouvait pas concevoir qu'elle ait une mauvaise perception d'elle-même, pas quand, à ses yeux, elle était la plus belle fille qu'il avait jamais rencontrée.

Il n'arrivait pas non plus à voir où était le problème avec sa robe. Il était clair qu'elle était légèrement plus maigre qu'avant son trouble, mais rien qui n'était choquant ou qui sortait de l'ordinaire. Sa robe, une robe bleu ciel qui lui tombait des épaules et qui s'arrêtait mi-cuisse, lui soulignait parfaitement la taille et sa légèreté lui donnait un air féérique.

Il comprenait pourquoi elle avait choisi celle-ci et pas une autre, c'était le style de robe qui la mettait en valeur. Malheureusement, elle ne le voyait pas de cet œil et faisait tout pour se cacher, pour disparaitre à la vue de ceux qui l'entouraient, mais également à la sienne.

Louis la regarda dans les yeux, essayant de lui faire comprendre que ce qu'elle pensait voir n'était pas la réalité. « Elle n'est pas trop grande. »

Ce n'était pas la chose à dire. Juliette secoua la tête alors que de nouvelles larmes coulaient sur ses joues. Elle n'essaya pas de parler, mais fit un signe vers l'élastique qui entourait sa taille et qui était légèrement plus lâche que ce qu'il devait normalement être, ainsi que vers ses clavicules.

Au milieu de ces dernières reposait un petit pendentif en argent associé à une chaine de la même couleur. C'était un collier que Louis lui avait offert il y a plusieurs années de cela. Elle avait pris l'habitude de l'accompagner avec d'autres colliers, mais s'en était cette fois-ci délaissée, ce qui le faisait ressortir davantage.

Louis avait beau chercher ce qui la dérangeait, il n'arrivait pas à mettre le doigt dessus.

« J'aimerai que tu puisses te voir à travers mes yeux. » Soupira-t-il, ne supportant plus de la voir comme ceci. « Pour que tu puisses te rendre compte que le chiffre qui s'affiche sur la balance ne reflète pas l'image que tu renvoies. Je n'aime pas te dire ça car ce que tu ressens est totalement valide, mais ta tête te joue des tours. »

Le garçon essayait de trouver les bons mots, des mots rassurants et qui traduisaient aussi ce qu'il ressentait, mais c'était très compliqué à décrire. Si seulement il pouvait simplement la regarder pour qu'elle le comprenne d'elle-même.

Mais ce n'était pas possible alors il devait trouver un moyen de se faire comprendre.

« Tes jambes, » dit-il en pointant ces dernières du doigt sans jamais la lâcher des yeux, « capables de patiner pendant des heures sans montrer signe de fatigue. » Il pointa ensuite son ventre. « Trouve moi des abdos plus efficaces que les tiens. Bon, mis à part les miens évidemment. »

Sa blague eut au moins le mérite de lui arracher un petit sourire. Il lui prit donc la main droite et la leva à hauteur de ses yeux, faisant briller à la lueur du plafonnier leur bague respective dont ils ne se séparaient jamais.

« Tes mains, pas très douées en travaux manuels, mais très douces et rassurantes. » Continua-t-il avec plus de confiance. « Tes cheveux sont brillants et, tu as beau souvent les attacher, ils mettent en valeur ton port de tête qui est aussi élégant que celui d'une danseuse étoile. »

Peu à peu, il voyait son expression se délier et une certaine tranquillité d'esprit reprendre le dessus. Ce n'était pas encore tout à fait ce qu'il recherchait, mais il avait au moins la satisfaction de savoir que ses mots n'étaient pas complètement inutiles.

« Tes yeux. Désolé, mais tes yeux te trahissent toujours, je ne suis pas sûr que je serais capable de savoir ce que tu penses sans eux. » Cette fois-ci, Louis ne se retenait plus. « Ton nez est toujours le premier à devenir rouge quand tu as froid, avant tes joues et tes oreilles alors que quand tu as chaud, c'est l'inverse. » Il ne put réprimer son sourire lorsque ses yeux se posèrent juste en dessous de son nez. « Et puis tes lèvres. Eh bien, je ne suis pas sûr que ce soit bien judicieux pour moi de parler de tes lèvres. »

Un véritable sourire se dessina sur ces fameuses lèvres alors que Juliette baissait la tête et prit une grande inspiration. Louis s'empara de ses deux mains et les serra pour appuyer ses paroles.

« Je sais que la beauté est subjective et que tout le monde n'a pas le même avis, » continua-t-il, la faisant relever les yeux vers lui, « mais tu es magnifique Ju', à l'intérieur et à l'extérieur. N'en doute jamais. »

Elle le lâcha finalement du regard et se concentra sur son reflet, passant une main dans le tissu de la jupe de sa robe. Il pouvait presque voir les rouages de son esprit s'activer derrière ses iris alors qu'elle prenait en compte tout ce qu'il lui avait dit.

« Elle n'est pas trop grande ? » Finit-elle par lui demander, les derniers doutes se lisant sur les traits de son visage.

Le garçon secoua la tête. « Elle est parfaite. »

Juliette soupira et ferma les yeux avant de se tourner vers lui et de passer les bras autour de son cou. Louis lui rendit son étreinte avec plaisir, déposant un baiser sur son épaule. Il ferma également les yeux pour profiter de ce moment et de sa proximité.

Il savait bien qu'il n'avait pas arrangé le problème avec cette simple conversation et qu'il allait falloir beaucoup plus, mais il était heureux d'avoir enfin pu mettre le doigt sur ce qui lui échappait depuis des semaines. Il connaissait désormais les signes auxquels il devait faire attention et savait qu'il pouvait l'aider.

Car, après tout, c'était tout ce qu'il voulait.

« Heureusement que j'ai acheté du mascara waterproof, » dit-elle en s'écartant et en s'essuyant les yeux, « je ne pense pas que j'aurais eu la foi de tout refaire. »

Louis jeta un coup d'œil à sa montre et réprima une grimace. « Ni même le temps. »

Son expression s'effondra une nouvelle fois. « Désolée, je ne voulais pas nous mettre en retard, mais- » Elle ne réussit pas à terminer sa phrase.

« Je vais nous mettre encore plus en retard de toute manière. » Une lueur confuse brilla dans le regard de sa meilleure amie alors qu'il montrait sa cravate détachée autour de son cou. « Je ne sais pas faire. »

La jeune fille l'observa pendant quelques secondes avant de soupirer. « J'en étais sûre. »

Elle lui prit la main et l'entraîna hors de la salle de bains, le faisant assoir sur son lit. Elle commença à faire des noeuds qui lui paraissaient bien trop compliqués, passant l'un des bouts de la cravate par dessus l'autre et ainsi de suite.

Louis perdit rapidement le contrôle de ses pensées en laissant ses yeux parcourir son visage, ceux-ci revenant sans cesse à ses lèvres.

Il avait failli l'embrasser une fois, avant que sa sœur ne les interrompe, et il était pratiquement sûr que Juliette le savait et qu'elle n'attendait que ça. Il savait déjà que ce n'était pas elle qui allait faire le premier pas, que jamais elle n'oserait. Après tout, c'était lui qui savait faire, pas l'inverse.

Mais, cette fois-ci, c'était différent.

Il n'était pas sûr de lui, il avait peur de mal faire les choses et il ne voulait surtout pas que ce soit précipité ou sur un coup de tête. Peut-être se posait-il trop de questions, compliquant la situation alors qu'elle n'avait pas besoin de l'être. Mais c'était important et il ne voulait pas tout gâcher.

Alors oui, il avait failli l'embrasser et il aurait pu le faire tout de suite alors qu'elle était si proche de lui, mais il ne pouvait pas. Pas quand ils s'apprêtaient à participer à l'une des compétitions les plus importantes de leur carrière.

Non, il aurait tout le temps de le faire après, quand le moment sera opportun.

2 chapitres.

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