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Chapitre 3

Louis n'était pas une personne qui avait l'habitude d'être en retard aux rendez-vous qui lui étaient donnés. À vrai dire, il avait toujours mis un point d'honneur à la ponctualité, surtout lorsqu'il jugeait le rendez-vous important. Voilà pourquoi il avait toujours été à l'heure à ses entraînements de patinage.

Non seulement c'était important pour lui, mais Juliette et Natalia comptaient également sur son implication.

Cependant, et il n'avait aucun moyen de se l'expliquer, cela était la seconde fois cette semaine qu'il était en retard à leur entraînement du matin. Bon, il devait admettre qu'il n'avait aucune excuse pour son retard du premier jour, il était simplement parti trop tard de chez lui et avait même failli rater son bus.

Ce jour-là, au contraire, le monde semblait se liguer contre lui et mettre tout en œuvre pour l'empêcher d'arriver à l'heure, ou même en un seul morceau, à la patinoire.

Son bus était déjà arrivé avec une dizaine de minutes de retard à son arrêt et voilà qu'il était maintenant coincé dans les embouteillages. Regardant par la fenêtre, Louis ne pouvait que constater qu'il était encore à quelques kilomètres de la patinoire. Il jeta un coup d'œil à sa montre qui affichait huit heure et quart. À cette heure-ci, il aurait déjà dû être sur la glace.

Natalia allait lui arracher la tête.

Poussant un grognement de frustration, le garçon se dirigea à l'avant du bus. « Excusez-moi, est-ce qu'il serait possible de me laisser sortir s'il vous plaît ? »

Le conducteur du bus, un homme âgé d'une cinquantaine d'années avec des cheveux grisonnants, le regarda de haut en bas, un air de dégoût sur le visage. « Je n'ai pas le droit d'ouvrir les portes si on n'est pas à un arrêt. »

Louis se mordit la langue pour s'empêcher de lui lancer la réplique cinglante qui lui brûlait les lèvres. « S'il vous plaît, je suis vraiment pressé. »

« Comme nous tous ici, tu vas prendre ton mal en patience gamin. » Rétorqua l'homme en levant les yeux au ciel avant de se concentrer à nouveau sur la route.

Ce qui se passa ensuite était totalement impulsif.

Le regard de Louis fut attiré par les boutons rouges qui se trouvaient au niveau du volant, juste du côté de l'allée. Chaque boutons était accompagné d'un dessin qui représentait les portes du bus. Celui ouvrant celle de l'avant était à porté de bras.

Il ne savait vraiment pas ce qui lui avait pris, mais l'image du visage coléreux de Natalia avait suffit pour lui court-circuiter le cerveau et, avant même qu'il ne puisse réaliser ce qu'il était en train de faire, sa main appuyait sur le bouton de la porte avant et ses jambes se mettaient en mouvement en direction des battants qui étaient désormais grands ouverts.

Il eut tout juste le temps d'entendre le conducteur lui hurler dessus qu'il slalomait déjà entre les voitures pour rejoindre le trottoir. Les muscles de son corps se mirent alors en pilotage automatique et il entama une course effrénée à destination de la patinoire.

Plusieurs longues minutes après et alors qu'il s'apprêtait à tourner dans la rue qu'il prenait habituellement, il manqua de peu de rentrer dans un panneau route barrée. Jurant à voix haute et s'attirant le regard outré d'une mère de famille, il revint sur ses pas et tourna dans une autre ruelle qui débouchait directement sur l'avenue menant jusqu'à la patinoire.

C'est avec plusieurs kilomètres de courses dans les jambes qu'il déboula dans le hall du bâtiment, complètement essoufflé. Il ne prit pas le temps de saluer les quelques personnes qu'il croisa et se dirigea directement vers les vestiaires. Une fois devant son casier, il attrapa ses patins à la volée, déchaussa ses chaussures sans même les ranger et reprit sa course vers la patinoire. Ce n'est qu'arrivé vers les gradins qu'il prit le temps de s'assoir pour enfiler ses patins et enfin laisser son cerveau fonctionner normalement.

Il n'avait qu'un souvenir vague de son trajet, mais quelle ne fut pas sa satisfaction lorsqu'il regarda à nouveau sa montre et put constater qu'il était tout juste huit heures et demi. Ils avaient dû inverser leur entraînement sur glace avec celui de chorégraphie, voilà pourquoi ils se trouvaient dans la patinoire et non dans le studio A.

Avec un sourire suffisant, Louis prit de grandes inspirations pour essayer de calmer les battements de son cœur et laissa son regard parcourir la piste. Celui-ci s'arrêta sur Juliette qui dansait paisiblement sur la glace, sans se soucier de ce qui l'entourait, et sa respiration se coinça à nouveau dans sa gorge.

Il laissa ses yeux suivre le mouvement de son corps. Son pull bordeaux était nettement rentré dans son short noir et ses collants venaient allonger et complimenter ses jambes. Ses patins blancs dénotaient du côté sombre de sa tenue. Ses longs cheveux châtains étaient rassemblés en une queue de cheval et ses yeux bleus pétillaient de bonheur et de sérénité. Il pouvait le voir même à cette distance.

Ses mouvements étaient fluides et élégants, chaque pas en avant ne l'hypnotisait que davantage. La regarder patiner était comme observer une plume être portée par le vent.

Elle n'avait pas la moindre idée du talent qu'elle dégageait. Les doutes venaient embrumer son jugement, venaient la convaincre qu'elle n'était pas née pour se tenir debout sur des patins. Peu importait le nombre de fois où il pouvait lui dire que ses performances étaient magiques, elle ne faisait que sourire tristement avant de détourner le regard.

Louis pouvait la regarder patiner pendant des heures sans jamais s'en lasser.

Il avait tout de suite su qu'il voulait patiner avec elle, dès la première fois où il l'avait vue sur la glace. Bien sûr, il ne pouvait pas se présenter devant elle brusquement et exiger qu'ils forment un duo, elle était légèrement plus jeune que lui et il n'avait pas voulu lui faire peur. Il avait donc attendu que les choses se fassent naturellement et avait observé ses essais échouer les un après les autres, non pas sans une pointe de satisfaction.

Par chance, ses prières avaient été exaucées et ils s'étaient malencontreusement rentrés dedans un jour. Depuis lors, il ne l'avait jamais quitté.

Il aimait patiner tout autant qu'elle, n'avait connu que ça pratiquement toute sa vie et n'arrêterait pour rien au monde, mais Juliette était véritablement la raison pour laquelle il s'était lancé dans une carrière professionnelle. C'était un rêve pour elle et il n'avait pas envie de la décevoir.

De plus, il était persuadé que si elle s'était lancée dans du patinage artistique et non dans de la danse sur glace, elle aurait été l'une des plus grandes patineuses de sa génération.

Mais non, elle l'avait choisi lui et il se devait de lui faire honneur.

« Tu comptes aller t'entraîner ou tu préfères la regarder comme ceci pendant encore longtemps ? »

Louis sursauta comme jamais il n'avait sursauté auparavant.

Bien trop occupée à regarder sa partenaire patiner, il n'avait pas entendu le garçon qui était arrivé derrière lui. Ce dernier avait son âge et ils avaient commencé à patiner ensemble à leur cinq ans, mais leurs ressemblances s'arrêtaient là.

Alors que Louis avaient des cheveux châtains qui tiraient davantage sur le blond et des yeux noisettes qui aimaient bien s'assombrir en fonction de la lumière, son ami, qui répondait au prénom de Valeriy, avait les cheveux les plus noirs qu'il n'avait jamais vu et des yeux bleus qui lui transperçaient l'âme.

Louis avait décidé très tôt qu'il ne voulait pas patiner en simple car il s'ennuyait et préférait partager la glace avec quelqu'un d'autre alors que Valeriy avait crié sur tous les toits qu'il ne pourrait jamais patiner en couple sous peine de passer l'autre personne par la fenêtre à cause de sa frustration et de son exigence.

Louis était plus réservé alors que Valeriy aimait qu'on le remarque. L'un préférait rester chez soi alors que l'autre passait sa vie dehors. Et ainsi de suite.

Mais malgré leurs différences, Valeriy restait son plus vieil ami et ils s'entendaient très bien.

Louis le regarda s'installer à côté de lui. « Tu m'as fait peur. »

« Pas étonnant aux vues de l'attention que tu portais à ce qui t'entoure. » Répliqua le garçon, un sourire ne présageant rien de bon faisant son apparition sur ses lèvres.

Louis ne savait pas pourquoi, mais quelque chose dans l'expression de son ami provoquait en lui un sentiment désagréable et il se mit instantanément sur la défensive. « Je ne sais pas si t'as remarqué, mais je suis vraiment en retard et je viens juste d'arriver. »

« C'est faux, tu viens de passer les cinq dernières minutes à regarder Juliette patiner. » Il pencha la tête sur le côté, faisant mine de réfléchir. « En même temps, je peux comprendre. En temps normal tu es avec elle et tu ne peux pas profiter du spectacle qui s'offre à nos yeux. »

Le mouvement de sourcils qu'il lui servit lui aurait presque donné envie de vomir.

Valeriy était le genre de personnes qui pouvaient rapidement s'avérer être très lourdes. Il n'avait pas mauvais fond et ne se rendait pas forcément compte de ses actions, mais pas mal de monde avait du mal à le suivre dans son cheminement de pensées. Parfois Louis pouvait rentrer dans son jeu, mais l'envie n'était pas présente ce jour-là.

« Sérieusement mec, qu'est-ce que tu fais là à cette heure-ci ? T'es encore dans ton lit d'habitude. »

Il haussa les épaules, son air espiègle ne quittant pas une seule seconde les traits de son visage. « J'avais envie d'assister à votre entraînement. Voir si votre alchimie est toujours présente, ce genre de choses. »

Sauf que Louis n'était pas stupide et, même s'il aimait son ami, il y avait bien une chose qu'il n'appréciait pas du tout chez lui.

« Il va falloir qu'elle te recale encore combien de fois avant que tu ne lâches enfin l'affaire ? » Il n'eut pas besoin de préciser de qui ils parlaient, tous deux avaient très bien compris.

Depuis que Valeriy avait l'âge de penser avec autre chose que sa tête et malgré leurs deux ans d'écart, il passait son temps à flirter avec Juliette dès qu'ils se retrouvaient dans la même pièce. Bien sûr, cette dernière n'était pas du tout réceptive à ses avances et l'avait remis à sa place à de nombreuses reprises, mais il revenait toujours à la charge. Au bout d'un certain temps, Juliette avait tout simplement abandonné et hochait simplement la tête avec politesse.

Il n'empêche que son comportement n'était pas du tout du goût de Louis.

Valeriy se contenta de lui adresser un clin d'œil, s'avachissant un peu plus sur son siège. « Sois pas jaloux, c'est pas le genre de fille qu'on abandonne facilement. »

Évidemment, Louis s'apprêtait à rétorquer qu'il n'était pas jaloux et qu'il voulait simplement protéger son amie des griffes d'un rigolo comme lui, mais une voix l'en empêcha. « Louis ! »

Levant la tête, il jeta un regard à Juliette qui pointait frénétiquement du doigt l'autre bout de la patinoire. C'est au ralenti qu'il se tourna vers la direction qu'elle lui montrait et qu'il put constater la lumière du couloir menant au bureau de Natalia s'activer.

Comme dans un état second, Louis sauta sur ses pieds et ne fit qu'une enjambée pour atteindre la glace avant de se diriger à toute vitesse vers Juliette. Arrivé à sa hauteur, il la prit par la main et l'entraîna avec lui pour faire semblant de faire des tours de piste.

« Promis, ce n'est pas de ma faute cette fois. » S'empressa-t-il de dire en remarquant le regard grave qu'elle posa sur lui. Décidément, il ne pouvait vraiment pas expliquer l'effet que ces iris bleus avaient sur lui.

« Dis-moi au moins que tu as eu le temps de t'échauffer. »

Louis repensa à la course de plusieurs kilomètres qu'il a dû endurer pour arriver jusqu'ici. « Oh crois-moi, j'ai eu tout l'échauffement nécessaire pour au moins une semaine. »

Juliette fronça les sourcils avec confusion, mais n'eut pas le temps de lui demander ce qu'il entendait par là que Natalia s'approchait d'eux d'un air solennel. Comme c'était le cas depuis le début de la semaine, elle avait sa tablette greffée à la main. Louis se sentait menacé par cette simple vue, persuadé qu'une vidéo de lui enchaînant les erreurs allait lui sauter au visage.

Au lieu de quoi, leur entraîneuse s'arrêta devant eux et ouvrit la bouche pour parler avant de se raviser et de les observer de la tête aux pieds avec les sourcils froncés. « Depuis quand est-ce que vous vous habillez de la même façon tous les deux ? Ça fait quand même trois jours de suite. »

Confus, Louis échangea un regard avec Juliette qui était tout aussi perdue que lui avant de baisser les yeux vers sa tenue. Forcé fut-il de constaté que Natalia avait raison. Il allait de soi qu'il ne portait pas de collants et que ses patins étaient noirs, mais son jogging noir et son sweat bordeaux n'étaient pas sans rappeler les vêtements de Juliette.

Il essaya de se souvenir des tenues qu'il portait la veille et l'avant-veille, mais sa mémoire sélective l'en empêcha. Il était déjà incapable de se rappeler de ce qu'il avait mangé ce matin-là, alors se souvenir de comment ils étaient habillés pour leurs entraînements précédents.

« Enfin bon, » continua Natalia alors qu'elle venait tout juste de lancer ses pensées dans un train qu'il ne connaissait pas encore et qu'il n'était pas sûr de vouloir embarquer, « il faudrait qu'on commence à dérouler les deux chorégraphies demain donc objectif de ce matin réviser tous les portés utilisés et on entamera les nouveaux cet après-midi. Est-ce que ça vous va ? » Les deux jeunes hochèrent la tête alors qu'elle leur montrait les différents portés à réviser sur sa tablette. « Ah et les essayages des tenues sont prévus début de semaine prochaine. Les tests pour la saison sont dans un mois et la première compétition dans deux, on doit vraiment passer la seconde si on veut réussir à produire des résultats dès le début. »

Une flamme d'impatience s'allume dans l'estomac de Louis. Sur le plan mental, il était tout l'inverse de Juliette et, plus les compétitions approchaient, plus il se sentait détendu. Ce n'était pas parce que son ego lui disait qu'ils étaient meilleurs que les autres couples, mais parce qu'il était persuadé que tout le travail et toute la rigueur qu'ils mettaient dans leur entraînement allaient forcément payer.

Alors oui, il avait confiance en leurs capacités et en avait même suffisamment pour deux puisque Juliette en manquait cruellement.

S'il n'était pas motivé avant, l'annonce des tests était assez pour le devenir. Ceux-ci étaient en quelque sorte une pré-compétition. Ils permettaient aux juges de se faire une idée des couples présents sur le circuit cette année, mais également aux entraîneurs et aux équipes de jauger leurs adversaires.

Dans leur cas, ils allaient surtout leur servir à noter ce qu'ils avaient à améliorer pour assurer leur sélection en équipe nationale.

Louis exaltait et il comptait bien tout donner pour cet entraînement.

Et ce fut le cas. Après une heure et demi passée sur la glace à faire des portés dans tous les sens, chaque centimètres carrés de son corps lui faisaient mal. Les muscles de ses bras le brûlaient et ses jambes menaçaient de se dérober sous son poids à chaque instant. Honnêtement, il craignait avoir perdu en forme physique après ses vacances.

Quel ne fut pas son soulagement lorsque Natalia les libéra, les pressant de prendre plusieurs minutes de pause avant de devoir enchaîner avec leur entraînement de chorégraphie dans le studio A.

Ce qui le rassurait était que Juliette était dans le même état que lui.

Positionnée derrière lui, il la tirait en avant, les deux mains dans les siennes alors qu'elle était courbée en avant. « J'ai les pieds en compote et j'ai l'impression que quelqu'un veut arracher ma colonne vertébrale. »

Sans rien dire, bien trop occupé à imaginer ses bras se détacher de son corps, il glissa derrière elle, l'obligeant à se redresser, et posa ses deux mains sur ses épaules. Machinalement, il commença à faire des cercles avec ses pouces, descendant de sa nuque jusqu'au milieu de ses omoplates et ainsi de suite.

Avec un soupir de soulagement, Juliette posa sa tête contre sa clavicule. « Merci. » Les yeux fermés, elle continua, mettant des mots sur ses propres peurs. « Pitié, dis-moi que ce sont les entraînements qui sont devenus plus demandeurs et non pas nous qui avons perdu. »

Louis était bien trop épuisé pour mentir, mais avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, Valeriy, qui était toujours sur le bord de la patinoire, lui coupa la parole. « Toi non, tu es toujours aussi ravissante Juliette. Par contre, Louis, mon pote, t'as l'air un peu fatigué. »

Ce dernier le regarda sans aucune expression. Il avait l'impression d'être devant un étranger et avait envie de lui éclater le nez contre la balustrade. Bien sûr, il n'était pas enclin à la violence, voilà pourquoi il ne fit rien et ne bougea même pas le petit doigt.

« Et même fatigué, il arrive à me porter alors que tous n'en seraient pas capables. Ça force l'admiration. »

Ses yeux se posèrent sur la jeune fille qui était désormais de l'autre côté de la rambarde, sa gourde et ses protèges-lames dans la main. Elle observait Valeriy avec un air entendu, ne lui laissant pas le choix que d'être d'accord avec elle.

Louis ne pouvait pas détourner le regard. Sa présence l'hypnotisait et l'attirait à elle comme un aimant. Il ne savait pas pas pourquoi, la fatigue devait certainement parler pour lui, mais il avait envie de la serrer dans ses bras et de ne pas la lâcher.

Il ne le fit pas.

« Valeriy ! » La voix de Natalia le sortir de ses pensées. « Tu comptes venir un jour ? Je n'ai pas ton temps ! »

Ce dernier eut le culot de rigoler. Il tapa sur l'épaule de Louis, qui fit tous les efforts du monde pour ne pas grimacer de douleur, avant de se trouver vers Juliette et de lui faire une révérence. « Mademoiselle, toujours un plaisir de converser avec vous. »

Et sans demander son dû, il s'éloigne sur la glace.

Un sourire amusé se glissa sur les lèvres de la jeune fille. « Je ne sais vraiment pas ce que je vais faire le jour où il trouvera une copine et qu'il arrêtera de me faire des compliments. Mon ego se serait presque habitué. »

Louis ne put retenir son grognement et leva les yeux au ciel. « Pitié, tu peux trouver de meilleurs compliments ailleurs. »

Un rire cristallin échappa ses lèvres qui avaient l'air si douces vue d'ici.

En temps normal, ce genre de pensées était réfugié au fin fond de son esprit, mais la fatigue avait pris le dessus. Il savoura donc le goût merveilleux qu'elles laissaient derrière elles.

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