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Chapitre 16

Louis regardait autour de lui à la recherche de Valeriy, mais ce dernier n'était nulle part en vue. Il ne comprenait pas, il avait pourtant bien lu son message correctement. Il devait le rejoindre devant la patinoire, mais ça faisait déjà quinze minutes qu'il l'attendait.

Il avait quitté sa sœur dès la fin de leur session pour arriver à l'heure, il n'était même pas arrivé en avance. Alors certes, Valeriy n'était pas le plus ponctuel de ses amis, mais il avait au moins le mérite de le prévenir quand il allait avoir du retard. Cependant, depuis ce fameux message, c'était silence radio.

Il avait essayé de l'appeler à plusieurs reprises, mais il tombait directement sur son répondeur. Honnêtement, il n'arrivait pas à croire qu'il lui ait posé un lapin. Non, s'il n'était pas venu, c'était plutôt qu'il devait avoir eu un empêchement, peut-être même un accident. Du moins, ce n'était pas ce qu'il espérait. Mais il ne comprenait toujours pas pourquoi il ne le prévenait pas.

Dépité, Louis soupira et se tourna vers le bâtiment derrière lui. Quitte à être là, autant mettre son temps à profit. Il n'avait pas vraiment envie de patiner, il ne pensait pas que ça l'aiderait à se vider la tête, bien au contraire. Sauf qu'il n'avait pas envie de rentrer chez lui non plus et s'il devait attendre que son ami daigne enfin donner de ses nouvelles, il fallait qu'il trouve à s'occuper.

Il entra donc dans le hall d'entrée de la patinoire, immédiatement happé par la familiarité des lieux. La différence de température était désormais beaucoup moins importante et rendait le changement plus agréable. Il n'allait plus être obligé de se changer entièrement en passant d'un lieu à un autre et ça, c'était un luxe qu'il ne repoussait pas.

Il prit le couloir qui menait aux vestiaires tout en jetant un coup d'œil à l'écran de son téléphone portable. Toujours aucun message. Seulement, maintenant qu'il était entré dans la patinoire, il ne savait pas s'il attendait un message de Valeriy ou alors de Juliette.

Sa conversation avec sa sœur lui avait fait du bien, évidemment, mais il ne pouvait pas s'empêcher de s'inquiéter face à son manque de nouvelles. Il avait bien comprit pourquoi il fallait qu'il lui laisse le temps de réfléchir, mais savoir qu'ils avaient laissé leur relation sur un tel froid le détruisait de l'intérieur.

Même s'il ne pouvait pas lui parler, il avait besoin de savoir qu'elle allait bien. C'était vital.

Alors qu'il allait bientôt arriver aux vestiaires, il passa devant l'escalier qui menait directement à la cuisine. Son attention fut attirée par un léger bruit qui s'en déversait et il fronça les sourcils. C'était bizarre, les lieux étaient quasiment déserts le dimanche et s'il y avait du monde, alors ce n'était clairement pas dans la cuisine.

Il jeta un regard en haut des escaliers et aperçut de la lumière, ce qui ne fit qu'accentuer sa confusion. Sur un coup de tête, il décida d'aller voir. C'était peut-être bête, après tout c'était toujours de cette façon que les personnages mourraient dans les films d'horreur, mais la curiosité était plus forte que tout.

Il arriva donc à hauteur de la cuisine qui surplombait l'intégralité de la patinoire et poussa la porte. Ce qu'il trouva à l'intérieur entraîna en lui une incompréhension encore plus grande, tellement qu'il resta sur le seuil à observer la scène qui se déroulait devant lui.

Toute l'équipe se tenait dans la pièce, mais, ce qui était encore plus étrange était que ses parents et sa sœur étaient également de la partie. Personne ne prêta attention à lui puisque tous semblaient chercher quelque chose.

« Comment ça tu l'as éteint ? » S'écria sa sœur, un air frénétique dans les yeux. « Qui éteint son portable alors qu'il attend un message important ? »

Valeriy fit son apparition dans son champs de vision, tout aussi paniqué. « J'en sais rien moi ! Aide-moi à le retrouver au lieu de me faire la morale. »

« Tu crois que je suis en train de faire quoi ? Me tourner les pouces ? »

Louis laissa tomber sa main de la poignée de la porte, éberlué. « Qu'est-ce que vous faites tous ici ? »

D'un seul geste, la dizaine de personnes qui était en face de lui se retourna, suffisant à lui donner le tournis. Tous le regardaient avec le même choc, comme s'ils ne s'attendaient pas à ce qu'il soit là, ce qui était peut-être le cas. Le silence sembla durer une éternité.

Valeriy finit par le briser en levant les bras, un grand sourire aux lèvres. « Surprise ! »

Louis ne savait même pas quoi répondre et n'osait pas non plus rentrer dans la pièce, restant bloqué sur le seuil de la porte. Il se contentait de les regarder tous un à un, ne sachant que faire de cette information.

« Tu parles d'une surprise, » marmonna Chloé en croisant les bras sur sa poitrine et en fusillant Valeriy du regard, « si tu n'avais pas perdu et éteint ton portable, on aurait su quand il allait arriver ! »

Le garçon ouvrit la bouche avec indignation. « Je te rappelle que c'est toi qui étais avec lui juste avant, tu aurais pu te débrouiller pour le suivre. »

Sa sœur s'apprêtait à répondre, mais Louis réussit à sortir de sa torpeur et leva les bras. « Pause ! Est-ce que quelqu'un veut bien m'expliquer ce qu'il se passe ? Qu'est-ce que vous faites tous là et comment est-ce que tu as réussi à arriver avant moi ? »

Cette dernière question était dirigée à l'attention de Chloé qui haussa les épaules. « Ça sert d'avoir des parents qui ont une voiture. Mais pour faire court, anniversaire surprise. Yay ! »

Son cerveau mit du temps à intégrer l'information, mais lorsqu'il le fit, un petit sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, c'est gentil. »

Louis entra enfin dans la pièce alors que sa sœur levait les yeux au ciel et se laissait tomber sur l'un des canapés en marmonnant. Visiblement, elle n'était pas vraiment ravie que sa surprise soit tombée à l'eau. Elle grimaça alors qu'elle passait une main dans son dos et en sortait un objet rectangulaire. Le téléphone de Valeriy n'était en fait pas très loin.

Le garçon, lui, n'en avait rien à faire que sa surprise soit gâchée. Il accueillit tous les joyeux anniversaire avec plaisir, mais n'était pas réellement concentré sur ses interactions. Alors que l'ambiance se mettait en route et que les conversations s'installaient, chacun commençant à se servir en apéritifs, il ne faisait que regarder autour de lui.

Il y avait une personne qu'il n'avait pas encore vue.

Après quelques minutes de recherche intensive, la foule qui dissimulait les vitres qui donnaient sur la patinoire se dispersa, lui permettant d'enfin pouvoir y avoir accès. Son regard fut immédiatement attiré par une silhouette qui s'en découpait.

Assise sur l'un des grands tabourets qui était placé devant les vitres et contre le mur, Juliette avait la tête posée sur ses bras et les yeux fixés sur la glace qui s'étendait à ses pieds. Ses cheveux étaient encore et toujours rassemblés en une queue de cheval alors que son pull à col roulé et son legging noir se confondaient. Des petites cernes avaient fait leur apparition sous ses yeux.

Le cœur de Louis se serra en la voyant seule de cette façon. Il aurait dû être à ses côtés dès le début de la journée, ils auraient dû passer son anniversaire ensemble. La tristesse qui se dégageait d'elle était beaucoup trop pour qu'il puisse la supporter. Il voulait aller la voir et la prendre dans ses bras sans plus jamais la lâcher.

Mais il ne pouvait pas, il ne pouvait plus.

Indécis, il jeta un coup d'œil derrière lui, vers le canapé où sa sœur était toujours installée et d'où elle l'observait d'un œil de lynx. Elle lui fit un signe de tête pour l'encourager à y aller tout en acceptant le verre qu'on lui tendait.

Louis se tourna à nouveau vers sa meilleure amie. Il prit une grande inspiration avant de s'avancer vers elle d'un pas bien plus lent qu'à son habitude. Arrivé à sa hauteur, il s'arrêta et resta debout sans savoir quoi faire ni quoi dire. Il voulait lui parler, mais ne savait même pas comment engager la conversation.

C'était très étrange car ça ne leur ressemblait pas.

« Hey. » Finit-il pas dire d'une voix tremblante alors que sa respiration se coinçait dans sa gorge. Il se sentait aussi raide qu'un bout de bois.

La jeune fille sursauta à l'entente de sa voix et releva la tête vers lui. Ses yeux mirent quelques secondes à se concentrer sur lui, comme s'il les avait arrachés à un monde se trouvant bien loin d'ici. Il n'était pas bien sûr des émotions qu'il y vit, mais leur dernière conversation planait dans l'atmosphère et leur pesait sur les épaules.

« Hey. » Répondit-elle dans un souffle en détournant rapidement le regard.

Ce simple geste lui fit l'effet d'un coup de poignard. Ils en étaient donc là. Elle ne pouvait même plus le regarder dans les yeux.

« Joyeux anniversaire. Je voulais t'envoyer un message ce matin, mais- »

Mais je n'avais pas envie de te parler. C'était exactement ce qu'elle voulait dire, mais pas à voix haute. Elle n'avait pas d'excuse, c'était d'ailleurs pourquoi elle s'était interrompue au milieu de sa phrase. Elle ne voulait pas le blesser, mais elle n'avait pas besoin de le faire. Il se blessait déjà très bien tout seul.

Louis avala difficilement sa salive, essayant de repousser ses pensées qui menaçaient de le pousser sur une pente vertigineuse. « C'était ton idée n'est-ce pas ? Cette fête surprise. »

Le silence qui suivit s'éternisa, tant qu'il crut qu'elle n'allait jamais lui répondre. Cependant, au bout de quelques secondes, elle hocha la tête. « Dix-huit ans, ça se fête. Je l'ai proposé à Valeriy pour qu'il m'aide et il a tout de suite accepté. »

« Merci, j'aime vraiment beaucoup. »

Leurs regards se croisèrent à nouveau et un électrochoc parcourut son corps. L'effet que le bleu de ses iris avait sur lui était inconcevable. Il pouvait s'y perdre, nager tellement loin dedans qu'il était difficile pour lui de revenir à la raison. Si avant c'était un plaisir, aujourd'hui c'était devenu une torture.

Ses yeux dévièrent des siens pour se poser juste au dessus de sa tête et un léger froncement de sourcils vint perturber son expression angélique. « Pourquoi est-ce que tu as de la poussière blanche dans les cheveux ? »

« C'est du plâtre. »

C'était tout ce que Louis avait trouvé à répondre. Son cerveau commençait à surchauffer et il était persuadé qu'un ou deux de ses neurones avaient court-circuité. S'il ne faisait pas attention maintenant à ce qu'il allait dire, alors il ferait mieux de partir en courant dès à présent.

Sa confusion s'accentua, mais elle n'eut pas l'occasion de lui poser davantage de questions puisque quelqu'un cria le prénom du garçon. Se dernier se retourna pour voir Valeriy et Thibaut lui faire des grands signes pour qu'il les rejoigne.

« Tu devrais y aller, » lui dit Juliette alors qu'il se tournait à nouveau vers elle, « ils ont l'air plutôt impatients. »

Mais Louis n'avait pas envie d'aller les voir, il voulait rester avec elle. Il voulait lui parler jusqu'à ce que la glace soit enfin brisée entre eux et que tout puisse rentrer dans l'ordre. Il voulait juste être près d'elle.

Seulement, elle, elle n'en avait pas envie.

Il pouvait pratiquement voir le gouffre qui s'était formé entre eux et, alors qu'il y faisait face, prêt à en embrasser l'intégralité, elle lui tournait le dos et s'éloignait d'un pas chancelant. Elle était sur le point de s'effondrer, mais il était incapable de l'atteindre pour lui redonner contenance.

Louis fit donc ce qu'elle lui intimait silencieusement de faire. Il lui adressa un petit sourire, lui dit qu'il la verrai plus tard et tourna les talons pour aller rejoindre ses amis. Cette décision lui brisa le cœur, mais il ne pouvait pas non plus aller à l'encontre de ce qu'elle voulait. Il l'avait déjà bien assez faite souffrir.

Même s'il avait décidé de lui donner du temps et de l'espace, il n'avait pas pu s'empêcher de la regarder pendant toute la durée de la journée. C'était déjà bien assez difficile de ne pas être à ses côtés, il ne pouvait pas faire comme si elle n'existait pas.

Malheureusement, ce qu'il vit ne lui fit pas du tout plaisir. Elle avait tout juste touché à son repas et ne prêtait aucune attention à la présence d'Anastasiya et d'Alya qui essayaient pourtant désespérément de la faire parler. Elle préférait s'isoler et se perdre dans ses pensées. Natalia était même venue la voir, mais Louis avait l'impression que ça n'avait fait qu'empirer la situation.

Juste après, il était pratiquement sûr de l'avoir vue pleurer, mais avant d'avoir pu s'en assurer, elle était sortie de la pièce. Il avait bien essayé de la suivre, mais sa sœur l'avait retenu par le bras en lui disant que ce n'était pas sa place d'y aller actuellement et qu'elle avait juste besoin d'être seule. Il était donc resté en retrait et avait attendu qu'elle revienne.

Mais elle n'était pas revenue.

Il n'avait pas la moindre idée d'où elle était passée, mais il passa les dix minutes suivantes à broyer du noir, assis à la place qu'elle avait occupé début de journée. Il essayait désespérément de trouver une façon d'arranger la situation, mais il ne voyait pas comment. Ce qui avait été dit, avait été dit et il ne pouvait pas revenir en arrière pour s'empêcher de parler.

Louis jeta un coup d'œil morose à la patinoire et son cœur rata un battement. Il pouvait reconnaitre la silhouette qui s'y trouvait entre mille.

Pendant quelques secondes, un débat interne commença en lui pour savoir s'il fallait ou non qu'il y aille. Sa raison lui disait de ne pas y aller, mais son instinct lui disait le contraire. Agacé d'être torturé par sa tête depuis la veille, il se leva et quitta discrètement la cuisine. Il ne tarda pas à passer par les vestiaires pour troquer ses baskets contre ses patins et se pressa pour rejoindre la glace. Il ne voulait plus réfléchir, mais juste agir.

Arrivé près de la balustrade, la respiration de Louis se coinça dans sa gorge. Juliette était toujours sur la piste, mais elle n'était plus toute seule. Adam se tenait en face d'elle.

Les mots de la jeune fille lui revinrent à l'esprit. Elle avait peur de lui et, maintenant que Louis y prêtait attention, ça se lisait sur son visage. Elle regardait partout autour d'elle pour trouver une échappatoire tout en continuant à s'éloigner. Il n'arrivait pas à entendre l'intégralité de leur conversation, mais il l'entendit tout de même dire de la laisser tranquille. Ces mots ne semblaient pas au goût du garçon puisqu'il s'empara de son poignet avec force.

« Hé ! » S'écria Louis qui ne perdit pas une seule seconde pour s'élancer sur la glace.

Sa colère était revenue, mais cette fois-ci entièrement dirigée sur Adam. Comment osait-il la toucher alors qu'elle lui avait explicitement dit de partir ?

Une fois à leur hauteur, il le força à la lâcher et le poussa pour l'éloigner d'elle.

Louis voyait rouge. Il ne faisait plus attention à ce qu'il se passait autour de lui et seuls les battements de son cœur résonnaient à ses oreilles. Jamais il n'avait ressenti une telle haine envers quelqu'un et il savait qu'il n'aurait pas dû se laisser emporter. Mais il ne pouvait pas le laisser la toucher sans réagir.

« Elle t'a dit de la laisser tranquille. » Dit-il d'une voix calme, mais dangereuse.

Adam leva les yeux au ciel, lui crachant presque au visage. « Et alors ? Parce qu'elle a demandé je devrais l'écouter ? »

Le sang de Louis ne fit qu'un tour dans ses veines. « T'es un vrai psychopathe en fait, t'as rien à faire ici. »

« Ne t'en fais pas, je compte bien partir de ce trou à rats. » Il lui lança un regard mauvais. « Je te laisse avec ta putain. »

Louis ne put s'en empêcher. Son poing s'abattit dans sa mâchoire, bien plus vite que son cerveau enregistra ce qu'il venait de dire. La douleur se répandit dans sa main et une grimace se glissa sur son visage alors qu'il reculait en se la tenant.

« Louis ! » Juliette se précipita sur lui avec inquiétude, une main sur son épaule et l'autre demandant à inspecter sa propre main.

« Espèce de sale petit- »

Adam tenta de se relever, mais fut retenu par Valeriy et Anton qui étaient descendu avec le reste de l'équipe entre temps. Tous regardaient la scène avec stupéfaction alors que Natalia s'approchait d'eux. Elle fit signe à Juliette de l'emmener soigner sa main pendant qu'elle se chargeait de régler la situation.

La jeune fille fit ce qui lui était demandé et l'entraina dans les vestiaires où se trouvait leur trousse à pharmacie. Louis se laissa tomber sur l'un des bancs alors qu'elle sortait un paquet de froid à casser et l'enroulait dans un bout de tissus pour le mettre sur sa main.

Louis jeta un coup d'œil à sa blessure, mais il savait déjà que ce n'était rien. Le coup était douloureux, mais il n'avait rien de fêlé ou de casser. Il s'en sortirait certainement avec un hématome.

Il leva les yeux vers Juliette et la regarda faire sans rien dire, sa colère se dissipant progressivement pour faire place à du regret. Ses yeux bleus scannaient ses phalanges et elle manipulait sa main avec une douceur qui lui était propre. Son visage ne laissait rien passer et son silence commençait à l'angoisser.

« Tu n'aurais pas dû le frapper. » Finit-elle par dire en le faisant sursauter. Elle remit la glace correctement sur sa main avant de se lever et de s'éloigner, toujours sans le regarder dans les yeux. « Tu n'aurais pas dû. »

« Donc j'aurais dû le laisser t'insulter sans rien dire ? » Demanda-t-il alors qu'elle prenait un nouveau tissu pour s'occuper les mains.

« Exactement. Tu aurais dû continuer à l'ignorer comme je le fais depuis le début. »

Mais Louis n'était pas de cet avis. « On voit où ça nous a mené. »

Cette réflexion lui fit enfin tourner la tête vers lui et elle le fusilla du regard. « Tu es un athlète de haut niveau Louis, ton corps est ton instrument. Tu ne peux pas aller frapper les gens à cause d'une remarque déplacée au risque de te casser une main. Surtout lorsque tu fais partie d'un duo ! »

Elle jeta le tissu sur la boite à pharmacie et sortit du vestiaire en claquant le porte derrière elle, le laissant à nouveau seul avec ses démons.

Louis baissa les yeux sur sa main, la honte se répandant progressivement dans ses veines. Pourquoi fallait-il qu'il ouvre sa bouche toujours quand il ne le fallait pas ?

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