Chapitre 42- Deux jours en amoureux
Je m'excuse d'avance pour les fautes ;)
PDV Alex
Je suis à présent en compagnie de ma fille dans le bureau du proviseur. Celui-ci m'explique les faits, tel qu'elle les lui a raconté et qui ont été confirmé par les trois autres filles. La fille nommée AbbyGaelle et qui était sa nouvelle amie lui aurait tourné le dos pour se mettre du jour au lendemain à traîner avec les adolescentes qui l'a martyrisait la veille. Lola a voulu des explications pensant qu'elle était d'une manière ou d'une autre; pas de son plein grés, venues vers ces lycéennes. Le ton serait monté et la gifle serait partie suite à une insulte prononcée par une des élèves.
Lola est donc renvoyée jusqu'à Lundi, alors que les trois s'en sont sorti avec simplement deux heures de colle, ce qui a le don de m'agacer fortement. On regagne mon véhicule et j'appelle Noah pour l'avertir de la situation. Ma conversation terminée, ma fille me dit.
- Je suis vraiment désolé Dad, cette Solène m'a poussé à bout en me qualifiant de fille facile (Lola a en effet raconté que Solène l'avait insulté de sale traînée et de pute) et puis tu vois j'ai défendu Abby et du jour ou lendemain, elle me tourne le dos. J'étais vraiment mais vraiment énervé.
- Je comprends ta réaction et ta colère ma puce, mais ce genre de filles, il ne faut pas leur accorder quelconque importance.
- Je le sais bien et puis je n'ai plus l'intention de me laisser atteindre, leur but et de me faire virer du lycée et je ne vais pas leur faire ce plaisir. Elles ne m'aiment pas et moi non plus.
- S'il se passe quoi que ce soit, je veux que tu nous en parle à moi ou à ton père, je ne supporterais pas que ma fille soit persécutée comme je l'ai été et que personne ne lève le petit doigt pour faire cesser ça.
- T'en fais pas, mes années de foyer m'ont endurci, je sais très bien me défendre et puis Valentin est là aussi. Faut pas que tu t'en fasses, tout ira bien.
- Je l'espère en attendant tu sais qu'on est là ton père et moi et que si tu as besoin de parler de quoi que ce soit, on sera toujours là.
- Oui je le sais, vous êtes de super parents.
- J'espère que papa ne va pas trop criser, j'ai à peine commencé le lycée qu'on entend déjà parler de moi.
- Mais non, il comprendra très bien que tu ait pu avoir un accès de colère, il ne s'énervera pas, si il n'y a aucune raison.
- Dis ce weekend, Valentin voulait m'emmener au cinéma, je pourrais y aller?
- Oui aucun problème, il suffit juste que tu dises à tes grands-parents a quel heure tu sors et à quelle heure tu reviens et si jamais tu traînes sur le retour, tu leur téléphone.
- Ok cool merci Daddy.
- Et toi, ça avance les préparatifs pour ce weekend?
- Oui, tout est finalisé. Y'a plus qu'à espérer que tout se passe comme je l'ai prévu. Avec toutes les difficultés qu'on a traversé, ces dernières années, cette période où j'avais tout oublié ou j'avais cru l'avoir trompé et les deux années pendant lesquelles on s'est battu avec acharnement pour que tu deviennes notre fille, je trouve que c'est le bon moment pour qu'on renouvelle nos vœux.
- Ne t'en fais pas, je suis sûr que tout va être parfait.
- Tu es sur que tu ne veux pas être avec nous?
- Oui, c'est important que ça ne soit que vous deux, et puis depuis que je suis avec vous, ça fait assez longtemps que vous n'avez pas passé du temps rien que tous les deux. C'est pas parce-que je suis la maintenant que vous ne devez être que des parents, vous êtes aussi un couple et prendre du temps pour vous deux, c'est tout à fait normal et puis là c'est une très belle occasion de vous retrouver en amoureux.
- Tu es tellement adorable ma chérie, tellement mature pour ton âge.
- Merci Dad, par contre, tu feras des photos. hein?
- Promis, je n'y manquerais pas.
On arrive à la maison quelques minutes plus tard et Lola s'active à débuter ses devoirs du weekend. De mon côté je l'aide comme je peux et Thibault rentre à la maison un peu après midi. Il a reçu mon texto et ça l'a inquiété. Lola lui a tout expliqué et comme je le pensais il a très bien compris et ne s'est pas fâché. Nous nous sommes ensuite arrangés pour que ma mère la garde la journée de demain pour que je ne rate pas à nouveau un jour de boulot, comme elle travaille de chez elle, il n'y a aucun problème. Puis la journée s'est terminée avec mon cher et tendre qui a cherché à avoir des indices sur ce que j'ai préparé pour notre anniversaire, mais il n'a eu aucune information et il a fini par me laisser dormir.
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Vendredi 8 Septembre 2017 18h50
J'ai récupéré mon homme à son boulot et nous sommes actuellement en train de dire au revoir à notre fille.
- Bon weekend ma puce, si y'a un souci, tu nous appelles, on est joignable a tout heure du jour et de la nuit.
- Mais oui, je le sais Dad, ne t'en fais pas, je vais passer un super weekend avec mes grands-parents et Tim ( Techniquement, c'est l'oncle de lola, a noté que timéo a 8 ans maintenant) et toi, tu vas en passer un fabuleux avec papa et t'oublies pas, tout plein de photos.
- J'oublierais pas.
Elle nous sert dans ses bras, l'un après l'autre et nous fais un grand sourire alors qu'on s'en va vers notre voiture. On lui sourit, je démarre et nous voilà parti, direction un petit hôtel ou nous allons passer la nuit en attendant le grand jour si je puis dire, vu que nos 3 ans de mariage c'est que demain.
- Alors on va ou?
- La on va rejoindre la chambre d'hôtel, que j'ai réservé pour la nuit, rien d'exceptionnel, la surprise sera demain après-midi.
- Ça va être dur d'attendre, mais bon je vais prendre mon mal en patiente.
- Tu regretteras pas d'avoir attendu.
- Ah ça j'en doute pas.
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Quelques minutes plus tard, nous arrivons à destination. La façade est d'un blanc immaculé, c'est un hôtel relativement simple mais très agréable et quand même deux étoiles. Je m'adresse à une des deux filles de l'accueil et nous récupérons la clé de notre chambre. Elle se situe au cinquième étage. Thibault propose alors de prendre l'ascenseur ce que je ne refuse pas étant donné que je ne suis guère enchanté de grimper cinq étage a pieds.
Le sac de voyage en main, nous montons dans l'appareil, et je pose mon bagage peu après au sol avant d'enclencher le numéro 5. Nous commençons à nous élever tranquillement quand l'ascenseur se bloque et la lumière se coupe. Ayant avec moi, le numéro de la réception, je l'appelle via mon portable, le bouton de secours ne fonctionnant plus. La jeune femme de l'accueil note mon numéro et m'explique qu'elle se charge de prévenir les secours et qu'il ne faut pas que je panique.
- Putain je suis dégouté, notre petit weekend commence rudement mal.
- C'est rien mon amour, c'est juste une petite panne.
- Oui mais bon, je voulais que tout soit parfait. Dis-je alors que mon portable sonne à nouveau et que je me tiens à la barre de l'ascenseur, laissant courir mes doigts dessus.
Je déroche, c'est les dépanneurs, ils m'apprennent qu'on va être coincé la pendant au moins une bonne heure mais que ce n'est rien de grave et qu'il nous suffit juste d'attendre. Je raccroche en soupirant et répète les informations à mon chéri alors que je glisse mon téléphone dans ma poche de jean.
Attention scène a caractère érotique!!
Je sens le corps de mon homme venir se coller au mien, son torse contre mon dos et ses mains viennent enlacer ma taille. Ses lèvres se déposent dans mon cou, me faisant frissonner et il vient me susurrer à l'oreille.
- Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire....coincé ici tous les deux...dans cet ascenseur...dans le noir complet...
- Humm, je sais pas...mais il me semble que tu aies déjà une idée...répondais-je déjà complétement perturbé par ses doux baiser dans ma nuque.
- Et...elle te plait...murmure -t-il tout en terminant de déboutonner ma chemise.
Je ne réponds pas mais gémis alors que sa langue joue tendrement avec le lobe de mon oreille droite et que ses paumes caressent mon buste. Ma tête penché en arrière contre son épaule gauche, je le laisse accéder à ma nuque plus aisément, soupirant, la respiration déjà haletante. Sa main droite descend dangereusement, passant sous nombril et s'insère directement dans mon sous-vêtement sans même ouvrir mon pantalon. Ses doigts effleurent ma longueur, la frôle de haut en bas et s'enroulent enfin autour d'elle pour mon plus grand bonheur. Son autre main, s'aventure sur mon buste martyrisant mes pointes orangées tandis qu'il commence à me masser.
- Ohh chéri....
- Je savais bien que mon idée te plairait...
- Tu sais bien.... que l'ascenseur ...est mon fantAAAsme...hum bordel, ta main me met en feu...
- Bientôt elle ne sera pas la seule, me chuchote-t-il d'une voix suave tout en donnant un coup de bassin contre mon fessier.
Je me mords la lèvre sentant sa bosse bien en forme me percuter et gémis de plus belle alors que ses gestes s'accélèrent. Voyant qu'il me rend complétement dingue il ralenti la cadence et sors de mon boxer. Je grogne de frustration sentant déjà le manque de ses caresses. Mon pantalon et mon dessous retombe sur mes jambes la seconde d'après et j'entends dans mon dos qu'il déboucle sa propre ceinture. Sa bouche est toujours dans mon cou me dévorant de baiser, mordillant ma peau, m'électrisant de frémissement de la tête au pied et bientôt, c'est la sensation de son organe contre mon antre qui me surprend et m'extirpe un petit cri de plaisir.
-...Tu vas me rendre dingue...
- J'en ai bien l'intention...
Sa main droite me reprend en main mais il n'entame pas de vas et vient. Son pouce vient s'attarder sur mon sommet, passant dessus, exerçant de légère pression, titillant mon extrémité se délectant de mes soupirs languissant.
-...Mmmm....
Son membre pousse en douceur contre mon entrée, s'insérant à peine et je ne peux me retenir de lui dire:
- Viens... je peux plus attendre...
Il s'immisce alors en moi entièrement gémissant délicieusement contre mon oreille et commence de léger coup de reins. On soupire en chœurs, sa main droite massant mon intimité alors que la gauche me tient fermement par la taille. Sa virilité raide et chaude, avance et recule en moi dans un ballet incessant et nos râles deviennent de plus en plus bruyants. Heureusement qu'il me soutient et que je m'accroche à la barre de l'ascenseur sinon je crois que je m'écraserai au sol. Il s'enfonce à chaque remontée de plus en plus passionnément en moi et je ne cesse de geindre emporté par l'ardeur de sa paume autour de mon membre, prêt à exploser.
- Ooohh mon amour...tu es divin...j'aime tellement quand tu es mien...souffle-t-il la respiration saccadée alors qu'il revient encore une fois en moi, heurtant mon point sensible.
- Toi aussi...je t'aime...oh putain...je vais...Thibault...
Il revient encore une fois et je me laisse aller dans sa main tout en me resserrant contre lui aux proies d'un orgasme redoutablement intense, lui offrant à mon tour l'extase alors qu'il émet un rugissement particulièrement puissant. Complétement vidé de mes forces, je me laisse reprendre mes esprits alors qu'il se sépare de moi. Quelques minutes plus tard, alors que je veux remettre mes vêtements, je manque de tomber au sol et mon homme me rattrape, étant déjà rhabillé.
- Ravi de voir que c'était si bon que tu ne tiens plus debout.
- C'était orgasmique...
- Tu devrais te rhabiller peut-être?
- Bonne idée, dis-je me rhabillant à la hâte.
Je suis en train de refermer le dernier bouton de ma chemise quand mon chéri se rapproche de moi et que je capte son regard dans la pénombre. Il prend son visage dans mes mains et m'embrasse tendrement.
- Tu disais qu'il n'y aurait rien d'exceptionnel aujourd'hui...et bien je peux t'assurer que nos ébats dans ce tas de ferraille l'étaient. Je t'aime éperdument.
- Je t'aime aussi mon cœur dis-je enserrant mes bras autour de son cou.
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