La porte
Je suis devant la porte le coeur a l'agonie
Je suis devant la mort vider de mon énergie
Le conquérant voit sa légende mourir
Lorsqu'il revient la ou tout commença pour finir
Je n'entrerai pas docilement dans le silence
Mon passé grondera tel milles horreurs
Tous les hommes pleureront la fin des lueurs
Les sages, de la lumière regretteront l'absence
Et milles tonnerres séviront je ne passerai pas
La mort et le silence devraient leur succéder
A ce rejet et ce vide de sens, il me faudrait céder
Non, je resterai la, le plus haut sommet montre l'enfer plus bas
Douleur, cœur morcelé, âme névrosé
Nauséeux et la liqueur cruelle se fait nécrosé
Je vais maintenant vidé jusqu'à la lie
Ce calice mêlé d'amertume et d'ennui
En mon âme, un pèle mêle
Dans mon cœur réside cruel
Un temps fini de poumons qui s'oxyde
Coulant en continue dans cet océan acide
De l'entaille, le sang coule
Noir, sans douleur il atteint
Le rivage soulevant la houle
Je pars ça fait du bien
Une clope sur le bitume
Encrasser mes poumons
Boire mon amertume
Le cancer du foie sera le bon
Je vais maintenant donner attrait
A cet hostie empoisonné offert a des enfants
Une réponse sans effaceur sur un tableau à craie
Vie de strangulation se finissant dans le néant
Non je ne m'endormirai pas les yeux vitreux
Non je ne dormirai pas en regardant les cieux
Sans repos, je défi car si je suis scélérat
Vous êtes criminel, moi je vous combat
Dans mon esprit, idées s'entrechoquent
Les recevant incompréhensibles comme un choc
Je n'entrerai pas dans la nuit
Je suis le veilleur au rempart de minuit
Cage de l'infirme est si sombre
Rares raies de lumière révèle trace de mon ombre
Brassant l'espoir en buvant le malheur
Idées noires guident le suicide du cœur...
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