Écho splendide son que lointain on entend
Comme une mélancolie de longs hurlement
Comme l'ombre d'un son encore tout sifflotant
Comme une toux d'hivers a la gorge arrachant
Un affreux hoquet de maladie qui se répand
Tandis que vocale les cordes de grognement
S'arrachent d'un bout a l'autre en graves toussotements
Qui dans la nuit surgissent dans un étouffement

Plongeant sans oxygène dans l'écho du futur
Et armé seulement des débris du passé
Ne percevant encore pas le son qui se cache pur
Car harmoniques interfère futur est éloigné
Et se réfléchit dans chaque choix que l'on fait
Et calcule en algorithme les chemins étriqués

L'horreur du lendemain arrivent tel une onde
Sur mon coeur lourde et chaude elle dépèce mon âme
Et c'est dans le lointain que je cherche oui je sonde
L'echo du brasier funéraire doux et crépitant qui lentement déclame

Les réponses que j'attend sont dans le futur
Il faut d'abord attendre d'avoir vaincu le passé
Le présent s'emplit d'habitude
Le coeur de la vie et du sang se fait essorer

Et j'ai fait un pari avec moi même
Arriveras tu a surmonter les épreuves
Fatigue burn out et acouphène
Après doliprane ma tête sera comme neuve

Pas le temps d'attendre
Le train s'en fout qu'tu sois sur le quai
Si tu veux avancer il faut le prendre
Arrive a l'heure ou tu seras retardé

C'est drôle comme sentiment et situation
Forme un point commun en comparaison
En attendant l'écho de l'avancement
Je ne t'attend pas futur je vivrai le présent