Coucou les gens 🖖
Je viens de publier mon premier chapitre de cette histoire et voilà la suite. Je viens de remarquer en plus que "Le petit soldat 1/2" n'était pas si grand donc se sera ce chapitre le plus "volumineux", niveau place sur la page. Mais, je garde mon idée de faire seulement 2 chapitres et non 3 ou même 4. Bref, celui-ci va être assez long mais j'espère qu'il vous plaira.

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Il était en train de boire son café (encore un) en regardant des photos qu'il avait prises en flagrant délit.

John Watson était en train de boire son café (encore un) en regardant des photos de Sherlock Holmes qu'il avait prises en flagrant délit.

Il venait de sortir de la clinique du docteur Noder.

Le blond avait été assez stupéfait de la raison de ces problèmes de ventre et autres, mais Tobias lui avait assuré qu'il n'aurait aucun souci sur l'accouchement et que le plus petit devrait prévenir son amante ou amant.

À ce moment-là, Watson avait eu les larmes aux yeux, avait payé le médecin après ces explications qu'il n'écoutait que d'une oreille- et était parti en direction du 221B. Il s'était ensuite précipité dans ma chambre de son, désormais, colocataire mort.

Buvant sa boisson, il repensait aux informations que lui avait données le docteur.

Il avait pris rendez-vous, comme l'avait ce dernier, pour une échographie.

Tobias Noder lui avait aussi assuré que John n'allait grossir que légèrement. (NDA : J'ai un peu inventée, pour cette info.)

Si seulement Sherlock était encore vivant, pensa le blond en regardant les photos du brun, ses yeux se floutant déjà, il aurait pu m'aider à surmonter cette épreuve.

Ses larmes tombaient mais il ne s'en procura guère. Il n'en pouvait plus d'attendre quelque chose (ou plutôt quelqu'un) qui n'arriverait plus jamais.

Son regard bifurqua sur le pistolet de son amant mort. Il fallait trouver une solution et vite !

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Mary écoutait vaguement la musique de sa radio, concentrée sur son livre.

Relire encore et encore le même paragraphe était lassant. En vérité, elle attendait un SMS venant d'un certain Docteur, mais elle ne pouvait pas rester sans rien faire. Elle s'était donc mise à lire.

Enfin, le message qu'elle attendait, vint après que cette dernière est lue une énième fois le paragraphe expliquant ce qu'étaient les snipers à airs comprimés.

Elle ouvrit son téléphone et vit le message : «Adieu Mary.». Elle relut 5 fois le message et paniqua après avoir compris que ce n'était pas un cauchemar.

Elle envoya le plus vite possible ce message à Mycroft qui, lui, buvait du thé en lisant le journal.

Quand il vit, lui aussi le SMS, il resta de marbre (comme d'habitude, quoi !) mais dans sa tête, c'était le chaos. Il appréciait John quand il discutait avec lui mais c'était surtout pour Sherlock qu'il s'inquiétait. Son frère aimait John Watson, ça n'en faisait aucun doute, mais si le blond se tuait... Sherlock essayerait de le rejoindre, à-coup sûr !

Mais bon pour l'instant, mieux valait rester à l'instant présent. Il appela donc son cadet qui était en Russie en train de défaire le réseau de Moriarty.

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Sherlock vint le plus vite possible, par un avion réservé par Mycroft Holmes.

Le bouclé trépignait de peur en imaginant ce que pourrait faire son petit-ami.

Il arriva enfin, et commanda le plus vite possible, un taxi qui l'emmena à Baker Street, devant la porte qu'il connaissait plus que tout !

Montant les marches 3 par 3, le cadet des Holmes se dirigea vers la chambre de Watson. Il devinait que, ce dernier, croyant qu'il était bel et bien mort, dormait dans sa chambre respective et non dans celle du brun.

Cette idée lui fit un petit coup dans le cœur mais il ne s'en procura pas et continua d'avancer.

Quelle surprise il eut quand il ne vit rien, mise à part un lit fait à la vas vite et des habits vieux de 2 jour, un peu partout. Il déduit que son John avait été assez pressée il y a 2 jours.

Oubliant cette pensée, il appela son frère et, attendant qu'il ne vienne, Sherlock fouilla la maison, cherchant John.

Son regard tomba sur un corps...

Un corps qu'il connaissait bien...

Le corps de John Watson, un sourire au lèvres avec un pistolet sur la tempe !

Son cœur se brisa en mille morceaux... Les larmes coulaient sans qu'il ne s'en rende compte...

Il voulut détourner les yeux mais n'y arrivait pas !

Son portable le ramena à la réalité. Il essaya d'essuyer ses gouttes salées mais, comme il remarqua que ça n'arrangeait rien, il arrêta.

Son SMS disait : «J'arrive cher frère».

Mycroft doit être chez le dentiste, pensa le brun en ayant un sourire moqueur.

Il calcula le temps qu'il fallait pour aller de chez le dentiste de son aîné à ici puis continua à pleurer.

Enfin, il arrêta car il ne voulait pas que l'homme de glace le voit comme ça (même s'il connaissait, parce qu'il l'avait déduit, sa relation avec Watson).

Son frère arriva 40 minutes plus tard, le temps à Sherlock de prendre une douche.

Celui-ci laissa Mme.Hudson le faire rentrer, déjà épuisé par le cadet Holmes.

Ils montèrent tous les deux sans dire un mot, même si chacun savait ce qu'il y avait là-haut.

Arrivé dans la chambre de son frère, Mycroft examina le corps du Docteur (avec toute la délicatesse des Holmes).

Son regard parcourut le visage, puis le bras droit du mort, afin de s'arrêter sur son ventre. Il y resta un bout de temps jusqu'à ce qu'enfin il laisse son petit frère examiner le corps de son ancien petit-ami, lui-même.

Après que les deux frères eurent finis, ils échangèrent leurs déductions.

«Tu vois son visage, Sherlock ? Il a des cernes assez noirs, ce qui veut dire qu'il n'a pas dormi depuis longtemps.

Dû à des cauchemars sur toi, je pense.

- Oui s'en doute, répondit son frère, lointain.

- Regarde aussi son ventre. Il a grossi de 2 kilo, sans doute pas parce qu'il mangeait trop puisqu'il te croyait mort !

Ayant une hypothèse mais ne voulant pas la dire à son frère, Sherlock se mura dans le silence.

Mycroft continua comme ça assez longtemps puis, enfin, partit en disant à son frère de faire attention à lui. Celui-ci opina de la tête sans grande conviction, cherchant dans son palais mental la solution à "l'énigme".

Il aurait pu se tuer parce qu'il avait été viré de son travail, mais des personnes sensée d'esprit ne l'aurai jamais viré

Il réfléchit longuement et se rendit à l'évidence : Lorsqu'on a éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité, pensa t-il en poussant un soupir.

Watson c'était donc tué à cause de lui . Lui seul...

Le cadet des Holmes prit le pistolet de son compagnon (qui était le sien, ce qu'il le culpabilisas encore plus) et l'appuya sur sa tempe comme son amant avant de tirer. Si ce dernier savait ce qu'il allait se dérouler, il aurait tout fait pour arrêter le bouclé mais il était mort et, donc, ne faisait plus partie de ce monde !

Deux jours plus tard, le gouvernement Britannique, n'ayant plus de nouvelles de son frère et s'inquiétant qu'il se soit droguer quelque part, retourna au 221B Baker Street.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, en montant dans le salon et allant dans la chambre de son cher frère, il vit celui-ci allongé raide mort à côté de son meilleur ami (et amant).

Il avertit toutes les personnes proches de Sherlock, avec le téléphone de ce dernier, puis partit triste de n'avoir rien fait.

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Et voilà cette histoire est terminée

Désolée si c'est triste mais bon les Badend et moi, ça fait 2 !

Désolé aussi de tous ce retard mais avec mes cours... :/ (enfaite j'ai pas d'excuse puisque j'ai du temps libre)

Bref, la prochaine histoire sera dans ce style mais pas pareil (comme même :/).

Mais les autres, elles, seront joyeuses (enfin, j'essayerais).

Tschüß les gens ! (oui je fais allemand, ça se voit ? ;))