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Alors que je suis perdu dans mes pensées en train de fumer et que Morganne finit juste d'enfiler son pull, le loquet de la porte s'abaisse, quelqu'un essaye de rentrer, heureusement, c'est fermé à clé. Je crie :
— Hey, c'est occupé, la putain !
Pourtant étrangement ça ne change rien, le mec m'a entendu, c'est obligé, mais le loquet s'agite toujours, le gars ne comprend pas.
Alors j'ouvre la porte et je comprends :
Je tombe nez à nez avec un arabe, je ne sais pas qui c'est et je m'en fous : je sais déjà que quelque chose cloche à grande échelle.
— Hey cousin ça va la? tranquille! bien ou bien? tu fais tester la wallah, faut partager! lâche-t-il en essayant de voir par-dessus mon épaule.
Il ne verra pas grand-chose, Morganne a compris directement elle aussi qu'il y avait un truc qui a dû dérailler dans la fiesta. Un arabe, c'est des problèmes et des problèmes, on n'en veut en général pas. Elle est déjà en train d'emballer nos affaires et de fermer mon sac.
— Wallah cousin tu partage pas la, tu fais quoi wesh, vas y pousse toi la ou quoi bien?!
Les mecs comme lui ne comprennent pas que les meufs sans voile ne sont pas tous à leur disposition. Barbare du tiers monde a la con.
Je coupe court à sa diatribe grand-guignolesque, je lui dis non, ce n'est que nous ici.
— Laisse-nous à présent, dis-je, et pendant que je referme la porte, je me tourne vers Morganne pour lui faire comprendre d'être prête à se tirer.
Je sais déjà qu'il y a peu de chance que j'arrive à fermer la porte et je ne suis pas surpris quand elle bloque sur le pied de l'arabe.
— Hey, mes Nike bâtards saah! Harangue-t-il.
Allez, c'est parti pour le cinéma, je sais que je vais devoir faire vite et fort, j'ouvre la porte en grand et je m'impose face à lui. Il est plus petit que moi de bien 10 cm, maigre, putain, une tête de rat abominable, il ne ressemble à rien avec son ensemble de survetement gris clair et sa casquette blanche sous des cheveux dégueulasses et crépus.
—C'est quoi ton problème, vas y laisse nous on cherche pas l'embrouille.
Mais lui, c'est tout ce qu'il cherche, il envahit ma bulle, il est rachitique, mais il se comporte comme s'il était plus balèze que moi, alors que c'est évident que je pourrais le plier en deux en moins de deux secondes.
Évidemment, je sais pourquoi il fait ça, c'est parce qu'il n'est pas seul, ils ne le sont jamais, ces fils de putes de sous race de merde. J'entends de la musique rap qui vient d'en bas. Qu'est-ce qu'il s'est passé? un truc a salement foiré pour que des arabes de merde aient pus entrer ici.
Il me bouscule sans effet, je le pousse vivement et il va s'éclater sur le mur du couloir, comme une merde, un regard étonné sur son visage, je n'ai même pas forcé...
Je prie pour que Morgane soit prête à détaller, parce que dans quelques secondes, il va falloir courir comme des lapins.
L'arabe de merde est revenu à présent, il est prédictible, il va vouloir me pousser et/ou me coller une tete puis me donner un vilain coup de pied dans les genou, en balaillette.
Je me prepare, mais juste au moment où le combat allait débuter, juste au moment où j'allais lui mettre une de mes droites les plus violentes pour essayer de le mettre KO et l'empêcher le plus longtemps possible de rameuter ses saloperie de congénères à la con, Jason grimpe l'escalier accompagné d'Aurelie qui a l'air de ne même pas tenir sur ses jambes, il la porte plus qu'autre chose.
Il intervient et c'est bien la première putaine de fois que je suis content de voir ce gros con bourrin.
— Woa, woa, woa, c'est un pote, il est OK, lance-t-il à l'arabe.
Le bouquaque est visiblement déçu, mais il n'osera pas embrouiller Jason, c'est un des derniers brigands blancs de notre ville, il a encore de l'influence et ils sont probablement encore en business, non pas avec tête de rat, mais tête de rat sais surement avec qui.
L'arabe rumine, il descend les escaliers à grand renfort de "wallah" et de "wesh" a la con pendant que Jason entraine une Aurelie à demi inconsciente dans la chambre des parents. Il me fait un clin d'œil en passant.
Elle va sûrement se réveiller demain matin avec plus qu'un doigt collé, je ne sais pas où cette fois.
Je suis étonné qu'il n'y est qu'un seul arabe à l'étage en fait, mais je me doute que ça vat pas durer. La fiesta a deraillé sévère mais ça doit pas faire trop longtemps, on devrait pouvoir se tirer, mais je doit en etre sur et jeter un oeil en bas.
J'ouvre notre porte. Je tire carrément Morganne dehors par le bras, elle crie, je m'excuse et la pousse dans le couloir en lui disant
— Va dans la chambre de Gilou, tu m'attends, j'arrive et on fout le camp.
Elle a peur, ça se voit, je ne suis pas super rassuré non plus, ça ne se voit pas.
Pendant qu'elle s'avance dans le couloir, je descends l'escalier et longe le corridor du RDC en rasant les murs comme une merde. Je débouche dans le petit hall qui sépare la cuisine du salon, je jette un œil dans ce dernier : c'est plein d'Arabes, il n'y en a pas loin d'une vingtaine, on dirait une cage remplie de singes déguisés en clowns, ils ont absolument tout cassé.
Le sol est jonché de tout ce qui était auparavant accroché aux murs.
Ils sont en pleine bataille de CD et de minidisc en se les envoyant à la gueule comme des Shuriken. La pièce est remplie de fumée épaisse. Je repère trois Arabes accroupis comme des macaques attablés autour d'un gros narguilé dans un coin.
Plus aucun signe des petits chrétiens plan plan, à part Gilou qui est au sol mort ou comateux, je ne sais pas, des Arabes lui mettent des coups de pieds en riant comme si c'était le truc le plus mortellement fun de leur vie, ils lui crache dessus, je ne sais pas depuis combien de temps ils lui font ça, pour moi le gars est mort.
Ya plus aucune trace de mes potes non plus putain, tous evanouis, disparus, tu m'étonnes, mais qu'est-ce qui s'est passé ?
Je relève la tête pour voir par dessus le canapé, il y a trois bougnoules qui baisent Linda sur la table basse. Un lui ramone l'entre-jambes, le second la bouche et le troisième a pris une de ses mains et se branle avec.
Je ne sais pas si elle aime ou si elle n'aime pas, elle n'a probablement pas vraiment le choix, elle ne crie pas, rien, elle s'exécute comme molle et avachie, silencieuse mais se laissant besogner.
Elle a du sperme plein la gueule et son ventre en dégouline aussi, ces cons la baisent sans relâche et sans capote et ça doit pas etre les premiers qui viennent se vider en ou sur elle.
Chacun s'enfonce tour à tour dans le sperme de l'autre. Moi, j'ai toujours pensé que plusieurs mecs qui baisent une meuf en même temps c'etait un truc de pédé... Je veux dire vraiment, si t'aime voir un autre mec à poil avec toi et que tu fourre ta queue dans son sperme, pour moi t'es homo. Ya pas à tortiller, tes juste gay.
Deux autres Arabes sont sur le canapé avec leur futs aux mollets : ils fument des joints en se branlant tout en haranguant leur potes.
— Va y wallah, elle aime ça, la pute de Raiba, sa mère !
— Wesh, sale pute. Rétorque l'autre.
Moi, je pens: "les gars, il y a plus de mecs la bite l'air que de meuf à poil ici, gay ! gay ! gay !"
Personne ne croit jamais mes théories mais sérieux j'ai pas raison un peu?
Plus sérieusement, je déduis que c'est a cause ou plutot grace a Linda qu'aucun arabe n'est allé fouiner l'étage plus tôt,il y avait deja la toute la viande fraiche qu'ils voulaient.
Je recule, je me planque, je passe la porte de la cuisine et je tombe sur Tony qui est en train d'essayer d'allumer un joint que tient entre ses lèvres la copine d'Aurélie adossée au comptoir. Elle a l'air complètement défoncée et il lui répète :
—Tire mais tire bordel t'es conne ou quoi?
Je vois des lignes de speed sur le comptoir et un gros bang encore fumant, qui empuantit la cuisine.
Je les interromps :
— Putain, mais qu'est-ce qui se passe ici, putain de dieu de merde enculé, qu'est-ce que t'a foutu?
Je ne doute pas un seul instant que tout ce merdier ne vienne de lui et de Jason, cette orgie porte leur marque.
Il n'a pas l'air de me comprendre, il a les yeux morts et la mâchoire serrée d'un mec qui s'est enfilé trop de speed. Pour lui, tout est normal.
Ils m'explique sans desserer la machoire qu'ils ont juste voulu tauper plus de shit et de speed et ils ont fait venir le gars qui en dealait ici, sachant très bien ce qui allait se passer.
Le gars est venu avec deux potes, qui ont ramené d'autres potes, tous des bougnoules qui ont voulu baiser les meufs présentes a la fete sans comprendre que c'est pas des objets à leur disposition, les blanches pour des arabes, c'est des objets sexuels... Fils de putes.
Je déduis plein de trucs, pasque la diction de ce gros con est incomprensible putain, il est passé à 21 chromosomes, voire moins, mais je sais que les petit vides de l'histoire que je complète mentalement sont corrects.
La fete est devenues intenable avec les arabes, ils on voulut choper les meufs, c'est toujours comme ça, comme ils en on pas, ou qu'elle leur sont pas accessible pasque reservé a des mariage arrangés ils se rabattent sur les blanches, sauf que les europeenne veulent pas non plus sauf que la eux ils comprenne pas, pasque les mecs ils ont un bouquin ecrit par un dieux dans le ciel qui leur dit bien c'est ecrit noir sur blanc que toute les meufs c'est des grosse pute a leur disposition.
Ils sont très en colère quand ils découvrent qu'elles ne le sont pas, très violents, d'une violence complètement d'un autre âge.
Les pti chrétiens ont dû protéger les ptite chrétiennes, il y a quelqu'un qui a dû finir avec des poings dans la gueule et ils se sont tirés comme ils ont pu...
Timmy et Domy ont dû faire genre « wesh, wesh, on est des vôtres » pour la forme, mais on a dû s'arracher peu après en douce par la porte de derriere. Je suis étonné que personne n'ait appelé les flics.
J'aimerais dire à Tony que c'est vraiment qu'un sale enculé, mais au fond, je m'en fout, ce n'est pas chez moi et la desuite, j'ai plus urgent, je dois me casser et c'est ce que je fais.
La fille me lance un regard à demi éteint, mais pas assez pour que je comprenne qu'elle aurait bien envie de faire comme moi, de se casser.
Chacun ses problèmes ma belle, serre les dents quand tu sentiras des gros doigts calleux de plouc de paysan de merde se frayer un chemin dans ta minette toute sèche, ciao.
Je remonte 4 a 4 l'escalier, je cour dans le couloir, j'ai juste le temp de voir Jason par la porte qu'il a laissé entrouverte en train de bouffer la chatte d'Aurélie inconsciente, il la allongé sur le lit, lui a arraché ses fringues, sa culote pends encore à une de ses cheville, c'est horrible mais je m'en contrefous, ce genre de fille je sais pas si c'est ce qu'elles veulent, si c'est ce qu'elles aiment, je les comprend pas mais si elles se foutent toujours dans des situations ou ça leur arrive de manière répétitive encore et encore c'est bien que ça doit être ce qu'elles cherche au fond, quand on cherche on trouve. Toujours.
Je déboule dans la chambre, Morganne putain, elle est maline, elle a ouvert la fenêtre, elle sait ce qui se passe en bas obligé, et elle sait qu'y a zéro chance qu'on puisse se tirer en toute sécurité par en bas, heureusement, on n'a qu'à sauter sur la tonnelle qui surplombe la terrasse devant la cuisine du RDC et ensuite sauter encore dans l'herbe.
Je fourre mon sac de jute de jeux vidéo, putain, le loot est impressionnant, je prend tout, la console, les câbles, j'embarque des jeux PS1 aussi, même si je vois vite fait qu'il n'y a que de la merde, je laisse les jeux gravés. J'attache tout ça et c'est le premier truc qui passe la fenêtre, suivi de Morganne dont je tiens les deux bras le plus loin possible avant de la lâcher.
Je la suis, la tonnelle tient le coup, c'est du solide, mais ça fait un sacré bordel quand on arrive dessus.
Le second saut va être plus dur, enfin pour elle, pas pour moi, c'est bien plus haut. Mais on refait la même opération, sauf que cette fois, c'est Morgane qui passe en premier.
Elle n'émet aucun son quand elle se fait mal en tombant d'abord sur le pied, puis les genoux. Qu'est-ce que tu veux y faire ? C'est la vie, des fois, faut savoir se sortir de situation merdeuse.
Je laisse tomber le sac dans ses bras et elle le réceptionne. Je saute presque en même temps, je me reçois très bien, comme un chat, je tombe sur les pieds puis je roule dans l'herbe. Ma veste est bonne pour la machine, couverte de traces de terre et d'herbe et je vais avoir l'air bien con et surtout suspect si on croise quelqu'un dehors, mais je sais déjà que ça ne risque pas. Mon scooter est juste à côté sur le trottoir, un coup de clé et en 5 min, on est hors de la ville.
Je prend Morganne par les hanches puis je l'époussette inquiet, je lui demande si tout va bien. On longe la terrasse. C'est alors que je réalise stupéfait qu'un mec est inconscient sur le dallage de pierre au dehors, c'est Domy !
Le gars est en train de pioncer ivre mort dehors sous la table de jardin en plastique. Il a dû aller crever là avant que la fête se barre en sucette et personne n'a rien vu encore.
Il m'a déjà fait le cou, il a honte d'être bourré et va se planquer pour décuvé. Parfois il revient avant la fin de la soirée, genre tout va bien en fait... Frimeur de merde.
— On va le laisser comme ça ? Demande Morganne.
Franchement, si ce n'était pas un mec de mon premier cercle, oui, il serait resté comme ça.
Je réfléchis, je ne vois pas grand-chose à faire de toute façon. Je tire une bâche de dessus un tas de bois, je la plie en plusieurs couches et je la recouvre avec. C'est pas top, mais on n'est pas au pôle nord non plus, il ne crèvera pas. Je serais lui, je craindrai plus les autres sauvages du tiers monde plutôt que le froid du sud-ouest.
On passe à pas de loups devant la fenêtre de la cuisine, Morganne est stupéfaite. À l'intérieur, l'arabe nain que j'ai éclaté plus tôt dans le couloir devant notre chambre a appuiyé puis courbé la petite Julie sur l'îlot central, il lui a baissé son pantalon et il est accroupi en train d'essayer de lui bouffer fébrilement le cul, il lui écarte les fesses des deux main et essaye de trouver des trucs avec sa langue qu'il a pas l'air de bien comprendre.
Tony à côté est en train de se préparer une douille en matant le spectacle d'un air mi-figue, mi-raisin. Deux autres arabes sont dans l'encadrement de la porte.
"Regarde ce fou ce qu'il fait wallah!"
Je suis bien content pour Tony qui s'est fait piquer sa « compagne », que ce fils de pute goute à sa propre médecine, je suis un peu mal à l'aise pour la petite Julie qui donne à goûter son cul sans consentement, mais hey "c'est la vie" comme disent les frenchy.
On n'a pas du tout envie de se faire voir, il faut vraiment se tirer, on continue, on dépasse la terrasse et on tourne sur le côté de la maison. Il y a un petit couloir où sont alignés les conteneurs de poubelle. Le portillon qui mène à la rue ne ferme qu'avec un verrou intérieur. Je tourne le document, j'entrouvre la porte. La voix est libre.
Je ne sais pas ce qu'on entend le plus dans la rue, la musique de sauvage ou les cris de sauvage, on dirait des animaux, je regarde ma montre et je réalise stupéfait que ça ne doit pas faire plus d'une heure qu'ils sont là en fait, et ils ont déjà tout foutu en l'air.
On file le long du trottoir, mon scooter est garé de ce côté, il démarre au quart de tour, Morganne saute à l'arrière, m'agrippe et je tourne la poignée à fond de cale. Le scooter est froid, j'en ai rien à branler.
Je ralentis quand même dès la fin de la rue, on est chargé de trucs volés, faut le dire ,je ne veux pas attirer l'attention. Je roule tranquillement jusqu'à la sortie de la ville. Tout va bien, le scooter chauffe tranquillement, il ronronne, on se sent mieux, le rush d'adrénaline est passé.
Dès qu'on traverse le pont, on commence à rire franchement et on décide qu'on vient de vivre une aventure incroyable qu'on n'est pas prêt d'oublier. On file à 100 km/h à présent.
Je repense aux filles, je me sens mal, je suis un salopard, pas un monstre. On s'arrête dans le bourg du petit village 3 km après la ville, je gare mon scooter à côté d'une cabine de téléphone et je compose le numéro des flics, je leur signale qu'il y a un cambriolage en cours en donnant l'adresse de chez Gilou, je raccroche et on se casse à fond de cale dans la nuit.
Le lendemain, Tony m'appelle et me raconte comment il a vécu la meilleure soirée de sa vie et comment ça c'est fini avec les flics qui débarquent et tout le monde qui se casse de par toutes les ouvertures possibles comme des rats.
"Putain trop bon mon gars t'aurais vu ça"
Je me demande si les filles, elles, se sont barrées.
Il n'en sait rien, il s'en fout. Il me dit juste qu'il a baisé la petite Julie, après lui avoir collé un doigt évidemment, je sais pas si c'est avant ou après que les arabes en aient fini avec elle, il ne précise pas ce détail.
—Et Gilou?
Il me répond "qui?".
Il faudra que j'attende le week-end suivant et l'arrivée de Timmy pour connaître la suite.
—Le lendemain, il s'est réveillé à l'hosto. Son corps était tellement couvert de bleu qu'il ne pouvait meme pas bouger, genre paralisé par les contusions le type.
Me raconte t-il en roulant febrilement un premier joint.
Y'en a qui disent qu'un Arabe l'aurait même enculé, genre, enculé par le cul, t'y crois-tu ?
J'en sais rien, je m'en fout, mais tout en remplissant la coupelle de mon narguilé avec de la bonne beuh mélangée à du tabac pêche, je lâche d'un ton détaché :
— Je vais te dire, mon gars, franchement, j'ai quand même bien l'impression que ces bâtards de bougnoules m'ont l'air drolement pédés.
À côté de moi, sur mon canapé-lit, Domy acquiesce avec un « ha ha ouai, ha ha ouai », tandis qu'il joue à un des jeux vidéo de ma collection qui s'est bien agrandie.
J'ai plus jamais entendu parler de Gilou.
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Les questions en com sont acceptés.
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