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La dernière pièce inexplorée dans le fond à l'opposé dans le couloir, la chambre de Gilou.
On entre à pas de loup alors qu'on sait que la voie est libre.
Ça pue le vieux pet et la branlette. Morganne rote en riant, elle titube vraiment à chaque pas à présent. Elle allume le plafonnier et jette sa bière au sol.
Je sais qu'il y a une Super Nes abandonnée quelque part et une immense collection de jeux. Timy me l'a dit, ils jouaient ensemble quand ils étaient en primaire. Ce con de richous a des dizaines et des dizaines de jeux quelque part dont il ne se sert même plus.
Je les cherche, j'ouvre tiroir et penderie, je les trouve dans une caisse en plastique. En bas de cette dernière, il y a une bonne Super Nintendo au plastique jauni, 4 manettes et une bonne cinquantaine de cartouches.
Je sors la boite et la pose sur la moquette, je sépare les jeux merdiques que je mets dans un coin de la penderie en bas, puis une fois le tri effectué, je remets le carton là où je l'ai trouvé.
J'explore encore un peu la chambre, et la caisse se remplit de stylos plume en métal et de cassettes audio type II, les chromes, les bien chères. Morganne se vident aussi les poches, quelques minidiscs sympas, je suis très content de mon loot, franchement extatique !
Quand le moment sera venu, que tout le monde sera parti et que ceux qui resteront seront bourrés, on viendra tout foutre dans mon grand sac et on prendra la poudre d'escampette, au cœur de la nuit, juste avant que la fraîcheur tombe quand la nuit se meurt.
On sera dans ma chambre avant l'aube. Bien avant.
Une fois notre marché fini, Morganne m'entraine lascivement au dehors.Ça pue ici, viens. Dit-elle en éteignant la lumière du plafond.
On remonte le couloir, j'ai la main sur son cul, carrément entre ses fesses, je bande aussi. Je suis encore à un âge où je trouve fascinant qu'une fille me laisse accéder à tous ces endroits que j'ai rêvés pendant tant d'années.
Elle pousse la dernière porte, la chambre de la gamine.
On entre et je ne sais pas pourquoi j'ai envie directe de la baiser dans le lit de la fille.
On allume une lampe de bureau qui déverse une lumière orange dans un coin de la pièce. Il y a des K7 audio aussi à côté. Que des merdes type I, je les fous en l'air.
Morganne allume la petite lumière rose de chevet, un truc moche avec un abat-jour de la fée Clochette, mais la lumière qu'elle émet est très chaleureuse et engageante.
L'ambiance est surréaliste, girly et bubble gum, ça nous émoustille de savoir qu'on va faire des trucs sales dans un environnement si innocent.
Je me tourne vers le mur opposé : une petite armoire et une commode font face au bureau. J'ouvre un tiroir au hasard, le premier, c'est rempli de fringues absurdes d'enfant. Je suis plus très sûr que la gamine a 13 ans, elle doit avoir moins. Je fous en l'air toutes les fringues en les balançant sur Morganne.
Une bataille s'ensuit, je deviens dingue, je saute partout, j'arrache les poster des murs, on rigole comme des dingues, on est dingue.
Notre crise de folie passe,
Morganne est chaude comme la braise, elle se met à 4 pattes sur le lit, elle me présente son bon cul moulé dans son jean noir, elle le dandine devant moi, elle enfouit son visage dans les oreillers et elle hurle, c'est nerveux, elle est cinglée, j'aime bien.
Je regarde les alentours autant que son cul, me délectant de la situation. J'ai cette impression d'être au bon endroit au bon moment et de faire exactement ce qu'il faut, c'est grisant. Je m'approche de Morganne, je prend sa taille à deux mains, elle est fine, j'appuie mon sexe sur son cul bombé, un cul de femme alors que ce n'est qu'une gamine, elle aussi est là au bon moment, dans 10 ans il sera trop gros.
Pour le moment, je m'allume un joint et je le file après deux ou trois lattes délicieuses à Morganne, toujours à 4 pattes.
Je passe ma main entre ses cuisses pendant qu'elle fume en riant, la tête me tourne, je la mate, j'apprécie de la posséder ainsi, elle est bien à moi offerte, le cul levé, on prend notre temps, la nuit va encore durer une éternité.
Elle fume en se faisant caresser, elle mate son reflet diaphane dans la vitre de la fenêtre derrière le lit. Dehors, la nuit est d'un noir d'encre.
Morganne me rend le joint, je fume, la fumée après l'alcool, c'est juste ce qu'il faut, je la caresse de ma main libre, elle est moite, elle déboucle sa ceinture et fébrilement baisse son pantalon à mi-cuisse, elle ne touche pas sa culote et reprend sa position, elle se regarde dans le reflet de la fenêtre derrière le lit à côté d'elle, je repose ma main dans son entre-cuisse, c'est brûlant, c'est trempé.
Je lui repasse le joint presque fini alors que je recrache au plafond un plumage de fumée blanche et épaisse.
—Tu nous mets de la musique ? M'interroge-t-elle en pointant le lecteur CD portable sur le bureau de la gamine.
Elle a de la chance que je ne l'ai pas tout balancé, mais je me demande bien ce que je vais trouver d'écoutable. Je fais un tour des CD et cassettes que je n'ai pas foutus en l'air. Tous plus merdiques les uns que les autres, je mets la radio et je cherche un truc au hasard complet. Après n'avoir rien trouvé vraiment, je me retourne et dit :
— Enleve ton fut cochonne... avant d'ouvrir l'avant-dernière bière dans mon sac.
Elle écrase son joint directement sur la table de nuit en contreplaqué et s'exécute.
Je mate sa petite culote de coton mauve quand elle la retire, elle me la lance, elle est chaude, on voit des traces bien humides à l'intérieur, d'autres sont comme des stries blanches... Ça fait un bail qu'elle mouille là dedans.
Il est temps de la calmer un peu.
Je sais déjà que lorsqu'elle partira de chez moi, ce sera sans cette culote qui ira dans une de mes boites de cigares.
Je finis à moitié ma bière en matant Morganne qui inspecte ses jambes et les étire, puis sans cérémonie, je baisse mon froc, je le pose bien proprement sur la chaise de bureau et je grimpe sur le lit.
Je m'avance à genou, elle lève les jambes en l'air à mon approche, je lui attrape les mollets, je lui écarte les jambes, elle attrape ma queue d'une main et écarte sa chatte de l'autre, comme si elle s'étonnait que l'un puisse convenablement rentrer dans l'autre. Elle me décalotte avec tendresse et me glisse une capote délicatement avant que je l'enfourne en soupirant.
Je m'enfonce loin, c'est hyper chaud, genre bouillant là dedans, mais elle dégouline de mouille, elle est trop humide, je ressors au bout de quelques coups, elle m'essuie la bite puis sa chatte avec la taie d'un oreiller rose à l'effigie de Barbie qu'elle balance ensuite en bas du lit.
Je m'apprête à la pénétrer, elle murmure « attend,"attend attend » et elle me fait enlever mon haut pour ensuite enlever le sien. Je baisse son soutif mauve en dessous de sa poitrine minuscule.
Elle murmure « oui oui » et des trucs que je ne comprends pas alors que je titille et pelote ses seins avant de réajuster mon bassin contre ses cuisses. Elle relève les jambes, je les intercepte et je m'enfonce... Elle gémit fort.
Je vais loin, lentement, encore et encore, on s'ajuste, je jauge mon envie de jouir et la sienne, c'est bon, elle est lancée, elle couine comme il faut, je tape directement bien dans le fond tandis qu'elle ouvre la bouche en poussant des gémissements rythmiques.
Je tape fort, elle aime ça, elle me plante ses ongles à la manucure noire dans mes abdominaux, sa tête se renverse en arrière, ses doigts perdent ma peau et la cherchent alors que ses yeux se ferment et que ses gémissements deviennent des cris.
Elle perd le contrôle, elle lève un de ses bras en l'air, elle se le mord et l'embrasse. Je ne sais pas pourquoi elle fait ça, elle veut de la peau et ne pouvant accéder à la mienne, elle goûte la sienne.
Elle sert les dents à présent, moi je la bourre comme une machine bien réglée, je la pilonne, deux coups par seconde comme un âne, sans faire de bruit.
Elle veut replier sa jambe, je l'en empêche en serrant son mollet à pleine main, ça la fait hurler, elle est sous mon emprise, une nouvelle fois sa tête bascule en arrière, elle ferme les yeux, une main se pose sur son sexe, sans l'écarter, comme si elle voulait stopper ce qui vient, mais rien à faire. Elle écarte enfin ses grandes lèvres a l'aide de deux doigts, son clitoris est dressé et dur, rouge clair autour de ses lèvres d'un rose bonbon, elle accepte ce tsnunami qui gronde en elle et se prend un sein de sa main libre, le serre, elle stoppe ses gémissements et ses cris, elle cesse de gigoter, elle halète quelques secondes comme un petit chien et jouit en se tendant de tous ses muscles.
Avant même qu'elle se relâche dans l'oubli d'un orgasme evanescent, je me retire de suite, je vire ma capote qui émet un claquement d'élastique et je balance contre un mur. J'ai soudainement envie de l'enculer, elle n'est pas prête, ça va être sale.
Encore sous le coup de l'orgasme, elle ne dit rien quand elle sent mon chibre qui se pose sur son anus. Elle sait que j'ai trop envie, sans plastique, elle a envie aussi. On s'en fout, on a trop envie... On est saoul, on a passé le point où on se pose des questions, on laisse tout aller.
Je ramène ses jambes toujours levées l'une contre l'autre dans ma main droite qui les dépose son mon épaule tandis que ma main gauche a présent libre va fourrager dans la chatte détrempée de Morganne.
Je tartine de mouille son orifice étroit, objet de mon désir, je crache dans mes doigts puis j'applique ma salive dans son cul, lui ouvrant et déformant sa rondelle pour la détendre. Elle adore, elle pousse d'abord des suppliques interrogatives, des " ooh ?. ooh ?" avant d'en pousser d'autres qui contiennent une sorte de réponse étonnés sous forme de « oh ok oh ok ok...».
Elle apprécie, bientôt le peu de vocabulaire qu'elle utilise se mute en une série de gémissements suaves :
—Ooh mmmm oohh mmm"
J'ai peur qu'elle ne soit pas assez lubrifiée, je crache encore dans mes doigts et jj'applique la salive bien dans son cul, plus loin que son sphincter à présent, lorsque je veux cracher à nouveau dans ma main, ça ne sent pas la rose, alors je repose ses jambes sur le lit, les ecartes, me recule et crache directement sur son cul ouvert puis sa chatte pour que ça coule.
Ça l'excite à mort que je lui crache dessus elle pose ses mains sur ses genoux en ecartan bien ses jambe tout en levant la tête pour contempler le bazar gluant que je suis en train de faire.
— Putain, t'es un salaud, en fait, me dit-elle, et ce n'est pas du tout un reproche.
Je relève ses jambes dans la position précédente tandis qu'elle se rejuste plus haut sur le lit et sans un mot j'enfonce mon gland en elle, ça passe comme dans du beurre, elle a comme une mine de surprise sur son visage, comme si elle était étonnée de la facilité et du plaisir que ça lui procure.
L'alcool n'est pas qu'un lubrifiant social, c'est aussi un bon aphrodisiaque.
Je la baise juste de mon gland un bon moment, elle aime ça, moi aussi, je bande tellement que j'ai mal.
Je fini par enfoncer la moitié de ma queue, je la sent progresser lentement dans les muqueuses lointaines qui doivent manquer de ma salive et de sa mouille, je grimace, elle grimace, ses deux mains viennent se poser sur ses deux fesses pour les écarter, elle souffle, un peu comme une femme enceinte, sauf que là où je vais, elle a assez peu de chance de tomber en cloque.
Elle aime explorer, j'aime l'explorer, elle aime me sentir en elle dans tous les endroits où c'est possible et j'aime aller dans tous les endroits qu'elle a.
J'ai l'impression de l'aimer plus que tout. J'ai l'impression que cet accouplement anal improvisé est la chose qui nous rapproche le plus. On s'unit dans une sorte de plaisir douloureux. Elle aime me donner son cul, mais elle prend cher. Pourtant, c'est elle qui réclame :
— Oh, défonce-moi.
Puis, devant ce qu'elle perçoit être une hésitation de ma part, elle demande :
—Defonce moi ok?
Je m'exécute, elle n'avait pas besoin de me demander, c'était mon plan dès le début, je la débourre bien à présent et elle crie.
Ça ne doit pas lui faire que du bien vu qu'elle a déjà joui, mais en même temps elle aime ça, elle aime qu'on lui fasse pas que du bien en fait, c'est ce genre de meuf, la féssée, la sodomie, ça ne fait pas que du bien et c'est ça qui lui en procure.
Je m'accroche à son cul, je ne le ramone pas très profond, mais assez pour lui donner ce qu'elle aime, surtout que je vais assez vite dans mes mouvements, elle gueule vraiment à présent, et seule la musique à fond en bas doit empêcher tout le monde de l'entendre. Elle me rend fou, j'adore la voir grimacée et guelée putain qu'elle est belle.
Je sens que je viens, je lui enfonce toute la longueur de mon membre, elle hurle, et je jouis, d'un orgasme qui perdure et reflux en vague, chaque vague, je pousse ma queue plus loin en elle, je dégorge tout mon jus au plus profond de son cul en lâchant un râle interminable.
Je me retire. J'ai l'impression que je vais rejouir tellement ma bite est sensible après l'orgasme et tellement son cul est serré. Elle me sourit incrédule, elle dit que j'ai hurlé comme jamais et elle est grave fière de m'avoir fait jouir comme ça.
J'ai la bite sale, je descends du lit, j'ouvre un tiroir du petit chiffonnier et je m'essuie avec les petites culottes blanches de la gamine et je les balance négligemment à travers la pièce, j'en balance des propres à Morgane qui se nettoie le fondement avec.
Je me sens vide et bien, je me rhabille et je sors un joint de la petite boite métallique dans ma veste.
Morganne veut pisser, on est mort de rire. Je lui ouvre le tiroir le plus bas du chiffonnier en plaisantant et je lui lache :
—bin tiens voila t'a qu'a faire la c'est très bien.
Elle va s'accroupir dessus pour pisser à gros flot, on rigole à gorge déployée.
Puis elle sert les dents et je m'arrête de rire à mon tour lorsque je comprends qu'elle est en train d'essayer de chier dans le tiroir.
Je veux m'allumer un joint, mais elle s'exclame : tiens moi, tiens moi, je vais tomber !
Je la rattrape avant qu'elle bascule dans sa propre pisse, elle s'accroupit davantage en m'utilisant pour se tenir et elle balance le chocolat, ça a l'air de la soulager..
« Oooh putain... » pousse-t-elle.
Je la tire en avant une fois finie et referme le tiroir du pied, puis m'allume un joint pendant qu'elle s'essuie le fion avec je ne sais pas quoi qui traîne dans un des tiroirs supérieurs.
Putain, je suis absolument ebahi et mort de rire, j'imagine la geule de la propriétaire du lieu qui va découvrir le carnage dans sa chambre.
Morganne cherche une petite bouteille d'eau dans mon sac et humidifie une paire de socquettes blanches pour encore mieux se laver le fondement. Elle balance les chaussettes merdeuses directement sur le lit puis se rhabille.
Ce n'est pas la première fois que je vois une fille pisser, mais c'est bien la première fois que j'en vois une chier.
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Revenez?
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