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Un nouveau vendredi et, comme d'habitude, je gare mon vélo à une barrière à la peinture écaillée sur le trottoir vétuste de la rue et je vais sonner à la porte du RDC de chez Delphine, sans attendre de réponse, je monte les escaliers en pensant déjà à quel manège sexy elle va me faire assister. Ça commence à devenir une routine aussi vicieuse que silencieuse, comme un rituel excitant mais honteux, on fait toujours style que rien ne se passe.

J'aimerais dire que c'est comme si rien n'avait changé, pourtant Delphine se confie de plus en plus à moi, elle dit que je suis quelqu'un de bien qu'on peut me faire confiance, pas comme les autres. Aucune idée de pourquoi elle dit ça, ni de quel autre elle parle.

Lorsque j'arrive à l'appartement, le salon est vide. J'appelle son prénom et reçoit une réponse étouffée par la distance et par une porte : elle est dans la salle de bain.

Alors je m'attable et je roule un joint comme à mon habitude et je le fume tranquillement. C'est comme mon moment de calme avant la tempête où les mecs vont arriver et l'apéro va commencer avant qu'on aille en boite s'enfiler des taz.

La fumée se répand dans toute la maison et j'entends bientôt Delphine qui clame :

—hey m'oublie pas je veu fumer

Alors je me lève et toque à la porte de la salle de bain. Elle me dit de rentrer.

Je la trouve dans son bain de mousse, elle a pris soin de mettre une serviette sur ses énormes seins.

Je lui donne le joint et elle se met à me parler de struc bidon sur sa journée tout en fumant, alors moi, je m'assois sur la cuvette des toilettes parallèle à la baignoire, je lui fais face.

Elle fume le joint et semble énervée et finit par lâcher plus pour elle-même :

— Oh, je m'en fou, c'est que toi après tout !

Et d'un geste rapide, elle enlève la serviette qui cachait sa poitrine.

Je suis soufflé, elle a la plus belle paire de seins que j'ai jamais vue, les seins parfaits, ils sont gros et ronds, leur maintien est alletier, juste parfait, leur peau est uniformément ambre, pas de veine, pas d'imperfections nulle part, des auréoles bien proportionnées d'un rose clair et des tetons qui me paraissent gros et durs comme de petites fraises, ses seins sont juste ridicules, sa perfection, absolument irrésistible.

Pourtant, je ne fais absolument rien, je garde un calme olympien et j'affecte une indifférence totale.

Lorsque je récupère le joint, je mate ses seins en se balançant. Ils sont lourds et bien gonflés.

Je fume le joint, elle discute comme si de rien était.

Sur la surface de l'eau du bain, j'ai l'impression de voir la mousse s'agiter, comme si en dessous Delphine était en mouvement ou je ne sais quoi. Son visage est toujours le même, mais son teint est plus rosé à présent et bien vite, j'ai l'impression qu'elle se masturbe sous la surface de l'eau.

Je ne peux pas en être sûr, j'ai l'impression que c'est toujours moi qui divague, cette beuh est si forte, ça m'embrouille le cerveau, mais bientôt, c'est indéniable, cette pute est en train de se toucher à la fois à mon insu et en plein devant moi !

Je vois ses seins adopter une sorte de tressautement ou de balancement cadencé presque imperceptible, mais il n'y a pas de doute qu'elle se masturbe en me parlant, en me regardant droit dans mes yeux de drogué.

Je ne sais pas vraiment comment réagir, elle a un mec quand même qui est un de mes potes... Tout ce qui s'est passé avant était déjà largement au-dessus de la ligne rouge, mais là, c'est un tout autre registre.

Je m'imagine me lever et déballer ma queue pour lui foutre, je ne sais pas trop où, entre les seins ou dans sa bouche qu'elle entrouvre à présent, mais la partie de moi encore lucide se défile.

Je finis le joint, je me lève, je pense que je dois bander, je ne sais pas, mais je sors de la salle de bain sans rien dire et je vais me poser devant la télé, je suis déchiré.

Elle revient habillée et prête pour la soirée, elle fait style de rien, on roule un autre joint pile au moment où son mec débarque, on fume ensemble.

Je suis très excité, genre j'en ai mal à la bite de bande, je repense au sein parfait de cette fille, jamais vu des melons d'une telle beauté en vrai.

J'ai de plus en plus mal à la queue et aux couilles, je dois me vider, je me lève et je vais aux toilettes dans l'intention de vite me soulager.

Je rentre, je ferme la porte à clef, je vais au-dessus de la cuvette des toilettes où je déballe une bite gonflée de désir, je commence à me branler, putain, j'ai la queue dure, ça va aller très vite, en 30 secondes, je sais que je vais me purger et ça va faire un bien fou.

Mon regard tombe soudain sur la corbeille à linge sale. Sans réfléchir, je lache mon chibre et je soulève le couvercle.

Je fouine dedans vite fait et je tombe sur un des strings en dentelle de couleur pastelle que Delphine affectione et dont on peut toujours voir le haut grâce à ses jeans taille basse.

Je le récupère, la plage de tissus doublée qui fait contact avec son sexe est minuscule. C'est doux quand je possède mon sexe, je suis au bord du giclé, je me branle avec son string un moment, puis je le prend dans ma main gauche et le déploie bien sur le dessus de la paniere à linge alors que je me branle de la main droite, je vise bien, mon gland gonflé et rouge prêt à exploser... Je fais quelques derniers mouvements et je laisse couler ma grosse lampe de sperme bien blanc dans le petit string de Delphine tout en retenant un grognement.

Je souffre. Je reprends ma respiration, je constate que ma décharge est conséquente et que le tissu a du mal à l'absorber, alors je le mets en boule et je malaxe, je n'ai pas envie que ce soit trop flag, une fois que tout est bien imprégné, je vefrie, ok, c'est tout trempé et la couleur de l'étoffe est devenue plus foncée, mais au moins on ne voit plus toute cette couleur de jus blanc... Alors, je rejette la string dans la panière, au-dessus sans y penser, je la referme et je quitte la pièce soulagé.

Je m'installe au salon, tout va bien, il n'y a même pas à découler rien de suspect, et lui qui irait suspecter quoi ? Et même, à moins de renifler le string, aucun moyen de savoir qu'il est plein de foutre, opération réussie.

Je roule un joint, Domy se colle une douille, alors que j'allume mon pétard, je vois Delphine qui se lève et va aux toilettes.

Je ne suspecte rien, je ne pense à rien, mais après avoir fumé, je prends peur, peur de quoi, je ne sais pas... Qu'elle trouve sa culote pleine de sperme et qu'elle la ramène dans le salon pour me confronter ? Je ne sais pas quoi, je suis défoncé à ce moment-là, ça fait sens, je commence à baliser, je suis soulagé quand je la vois venir la main vide... Ouf, d'ailleurs, pourquoi je psychote comme ça ? Elle est juste allée pisser, pas fureter dans son bac à linge sale.

Néanmoins, après avoir fumé mon joint, je fais semblant d'avoir envie d'aller aux toilettes d'une façon bien trop théâtrale :

— Ptin, mais je ne sais pas ce que j'ai, c'est que j'ai toujours envie de pisser !

Je me demande si c'est suspect. Mais bon, tout le monde est défoncé. Je ne pense pas non plus que personne puisse imaginer quoi que ce soit.

Je rentre, je me verrouille et je saute directement sur le panier à linge sale et, oh le choc, le string souillé a disparu !

Je l'ai laissé comme un con sur le dessus... Mais quoi alors, elle l'a vu ? Elle m'a vu, oui, obligé. Trempé de mon sperme... Pendant un instant, je me dis : non, ce n'est pas possible, je dois halluciner. Je cherche le string dans la panière, je ne vois plus rien... Il a disparu. Elle l'a donc bien trouvé, plein de foutre sur le dessus, et l'a enlevé... Elle, c'est douter de quelque chose. Je ne comprends pas pourquoi, je fouille encore la panière et tout au fond, je fini par trouver un t-shirt dans lequel elle a fourré le string où j'ai déchargé.

Elle n'a fait aucune esclandre, elle ne m'a pas confronté, elle ne m'a pas fait jeter dehors, elle l'a vu et l'a dissimulé.

Je remets tout en place, je tire la chasse pour faire plus vrai et je ressors.

Je suis tout rouge, un peu trop stressé et tendu, je marche de façon saccadée.

Je la vois sur le canapé, elle me regarde depuis sa place sur le côté gauche du canapé et elle me fait un large sourire, genre sourire de quelqu'un qui vient de surprendre le petit secret honteux de quelqu'un d'autre, mais qui est très content d'être dans la combine.

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