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J'ai essayé de me défaire de mes mauvaises fréquentations, mais rien n'a fonctionné, et la seule fois où j'ai potentiellement réussi, je n'ai même pas fait exprès, j'ai juste fait une overdose et je me suis réveillé à l'hosto. Ils ne m'ont pas laissé sortir avant un bout de temps.

Quand je fus dehors, je décidais de vraiment refaire ma vie.

Je m'inscris dans une agence d'intérim dans la grande ville et j'ai immédiatement une offre qui me défininierat professionnellement pour l'entiereté de ma vie, un job si parfait pour moi que ça en est presque incroyable.

Alors, je demande une avance sur salaire et je pars.

Quand j'arrive dans la grande ville, les premiers mois, je ne connais personne. En plus, je travaille de nuit. Y a bien cette fille avec qui je chat et envoi des SMS sur un téléphone pourri, mais ça fait assez léger comme connexion sociale et amoureuse.

L'été passe ainsi, la nuit, je bouquine et je discute en ligne, puis les jours raccourcissent, je vais très bien en fait, mais parfois, même si les lieux changent, certaines personnes restent les mêmes et de vieilles habitudes ont la vie dure.

En septembre, Domy et sa copine Delphine ont emménagé ensemble. Ils habitent dans le centre de la grande ville où j'ai emménagé pour bosser.

Et la première personne qu'ils contactent, c'est moi, comme j'étais le premier à avoir débarqué ici et que ça fait 3 mois déjà que j'arpente la ville. Ils veulent que je soit en quelque sorte leur guide, que je les mette au parfum des us et coutumes des lieux... Vas savoir, moi, j'ai vécu 3 mois la nuit. Qu'est-ce que j'en connais de cette foutue ville ?

Pourtant, ça semble leur convenir, et bien vite, on se retrouve tous les week-ends chez eux pour faire la fête.

Delphine a changé, elle qui ne fumait jamais est à présent pas mal accro au cannabis et elle n'est pas la dernière à commander de la bière en boîte le week-end, elle y glisse son quart de citron plus celui de son mec et se l'enfile avec une "soif" certainne.

En fait, dès son arrivée à Bx, les choses ont commencé à se gâter entre eux. Elle a surpris Domy en train de baiser des putes obèse et black alors qu'il prétendait aller faire un tour pour acheter des clopes ou je ne sais pas qu'elle excuse de merde.

Il s'en sort à chaque fois, je pense que le confort d'être en coloc aide bien à maintenir le couple ensemble, ils sont fauchés et ce n'est pas Domy qui essaye de vendre de la beuh de son beau placard, beuh minable qui va changer les choses... Surtout qu'il claque tout le fric récolté en cocaïne et en pute black dès le week-end venu... En alcool aussi, le gars devient sous mes yeux un véritable alcoolo.

Je ne sais pas ce qui peut tourner dans la tête d'une fille qu'on trompe avec du sport, mais qui ne peut pas se barrer parce qu'elle n'a pas un rond.

Ce qui est sûr, c'est qu'elle n'est plus la même, elle a des manques évidents.

Elle est seule, elle s'ennuie, elle a privé son mec de sexe, mais ce qu'elle n'a pas réalisé, c'est qu'elle aussi s'en ait privé.

Elle a l'air abrutie la plupart du temps, elle commence à fumer beaucoup trop de cette bière qui tabasse que son mec infidèle fait pousser dans le placard à l'entrée.

Petit à petit, je la vois de plus en plus qui essaye de me chauffer et d'adopter des comportements pas très appropriés.

Tout a commencé simplement, j'arrivais à leur appartement tous les vendredi soir, je venais en vélo, j'évitais ainsi les bouchons, son mec baiseur de gros black revenait de la face en voiture bien après moi, surtout s'il s'arrêtait pour se choper une pute sur la route après s'être enfilé quelque ligne de coke.

« Hey, j'ai pas vu l'heure, j'étais avec untel, on jouait à la micro machine et puis j'avais les bouchons. » C'était l'excuse numéro un.

J'avais des bouchons...

J'avais l'impression que ça tenait la route, je n'étais pas encore au courant de ses frivolités.

J'arrivais donc pour trouver Delphine seule dans le salon. Elle me proposait un thé, et je lui proposai un joint. On discutait de tout et de rien, je ne l'appréciais pas vraiment, elle était con comme les blés.

Un jour, nous faisons notre joint en cette fin d'après-midi, il fait encore chaud, c'est le mois de septembre, elle est assise sur le canapé, je sui aussi sur un fauteuil en face un peu de côté, déjà défoncé. Je n'ai aucune idée de comment elle se met à me raconter que lorsqu'elle a fumé, ma beuh, ça la fait mouiller, mais que ça mouille est différente, qu'elle est plus épaisse et gluante, elle est vêtue d'un jean taille

En me disant ça, elle écarte ses deux jambes face à moi. J'ai une vue directe sur son entrejambe, comme si elle voulait me montrer ce que ça lui faisait. Elle ne le fait même pas exprès, j'ai l'impression.

Elle reste comme ça un moment comme pour me laisser le temps de percevoir, je ne sais pas, son humidité ?

Elle fume, elle regarde la TV avec ses jambes grand écartées devant moi, y a rien à voir, elle est en pantalon, y a juste à imaginer...

Elle fume toujours lentement, elle n'a même pas l'air de s'intéresser à moi, en fait, et je ne sais pas si ce n'est pas moi qui me fait des films.

Au bout de ce qui semble durer mille ans, elle referme ses grandes jambes trop minces et le temps le joint, moi ayant l'esprit aussi embrumé, je ne sais pas ce qui s'est passé, peut-être que c'était juste la position qu'elle voulait adopter, peut-être qu'elle ne voulait rien me montrer, peut-être que je me fais des idées. C'est juste comme ça qu'il mate la TV, j'étais juste assise à côté et elle s'est légèrement tournée vers moi et a écarté sa jambe... Face à moi... Franchement, avec les doses de bière hollandaise que je m'ennuyais à longueur de journée, c'était compliqué de vraiment déduire quoi que ce soit, alors je n'ai rien déduit et je suis passé à autre chose.

La semaine suivante, on se retrouve de nouveau seul, fumant un nouveau joint aux sons des conneries d'émission de TV réalité qu'elle regarde sans arrêt.

Elle est toujours assise sur la partie gauche du canapé en face de la grande TV, moi toujours sur cette espèce de fauteuil en bambou à droite de la TV, presque en face d'elle.

Je parle tout en fumant, je parle de mon sport et de mon moyen de transport préféré en ville, le vélo, parce qu'il faut bien converser de tout et de rien, pas vrai ?

Ça fait longtemps que j'en fais, je lui narre les bienfaits de ce sport qui rend mes jambes plus dures que du béton, elle ne semble pas vraiment intéressée, son émission semble l'absorber plus qu'autre chose et ça ne me dérange pas, je ne suis pas là pour elle, je suis là pour attendre mes deux potes de toujours pour qu'on partent se défoncer.

Je me lève du fauteuil et lui donne le joint. Lorsque je me pivote pour repartir, je l'entends dire :

— Attends voir, contracte tes cuisses.

Elle décolle son dos du canapé mais reste assise. Je m'approche d'elle en reculant un peu alors qu'une de ses mains se pose sur une de mes hanches pour me guider en arrière vers elle. Elle me stoppe net alors qu'elle a mon cul musclé sous le nez.

J'attends la quelque seconde, j'entends le joint qui crépite lorsqu'elle tire dessu, elle me mate, puis je sens sa main libre se poser sur ma cuisse gauche juste en dessous de mon cul, longuement elle palpe et serre juste en dessous, comme pour vraiment tester la dureté de mes muscles.

Je la sens qui monte sa main encore plus et qui soulève presque ma fesse que je contracte. Je sens sa poigne, elle me serre bien la cuisse fort pour bien comprendre à quel point mes muscles sont d'acier.

Elle émet un « oooh » comme surprise et satisfaite ; je sens qu'elle hésite à me toucher vraiment le cul, mais le voir se contracter lui a indéniablement plus, c'est sûr et je sens sa main qui descend tout le long de ma cuisse, qui palpe tout du long toujours avec force alors que je bande mes muscles, je bande aussi tout court.

Puis elle lâche :

— Tiens le joint...

Je me retourne pour le prendre, une grosse bosse déforme mon pantalon presque sous son nez, elle fait mine de ne pas le voir alors que c'est inratable.

Elle lève le bras pour me donner le joint et lorsque je le récupère, je vois son bras qui ne repart pas de suite, qui fait une pause.

Elle se retient de ne pas me ploter la bosse qui déforme mon pantalon, alors que son visage est à peu près de 30 cm.

Je vois sa main qui se dirige vers moi, j'ai l'impression qu'elle va palper mon sexe tendu derrière le jean, elle a les yeux rivés sur la bosse à présent.

Mais elle pose sa main droite au milieu de ma cuisse gauche face à elle. Et alors qu'elle mate la bosse de mon sexe, elle me demande de contracter mes muscles de cuisse.

Lorsque je contracte, mon sexe se dresse aussi encore plus, et la bosse bouge de bien 2 cm et elle a les yeux rivés dessus. Pourtant, elle fait le genre qu'elle teste la dureté de mes muscles. Sa seconde main est en train de me palper ma deuxième cuisse alors que je bande dans mon jeans à quelques dizaines de centimètres de son visage. La situation est improbable.

Elle finit par me dire

— Wow, c'est tellement dur, c'est impressionnant.

Je ne sais pas si elle parle de ma cuisse ou de ma queue et je repars m'asseoir sur mon fauteuil. Je suis défoncé, je n'ai pas la notion du temps, j'ai l'impression qu'elle m'a peloté pendant une ou deux minutes et quand je me rassoit, mon joint est éteint, je dois le rallumer.

La semaine suivante, le cinéma continua et s'aggrave.

J'ai acheté un nouveau Jean avant d'arriver chez elle.

Elle me propose de l'essayer, je vais donc dans ma chambre du petit appartement et enlève mon pantalon pour passer le nouvel... Elle est assise là sur le lit derrière moi, je la vois me mater dans le reflet du miroir devant lequel je suis.

Une fois mon nouveau jean enfilé, elle se lève et me regarde en disant qu'il me va à merveille. Elle réajuste ma fringue, ma chemise, le pantalon.

Oui, très bien, parfait.

Et sans hésiter, elle pose le plat de la main sur mon cul et fait des mouvements de haut en bas sur tout le haut de ma fesse, appréciant mon cul durci par des années de vélo...

Elle me dit que mon jeans me va très bien. « Oh oui, très bien », répète-t-elle en me caressant sans gêne aucune. On sent qu'elle se fait plaisir.

Elle passe à mon autre fesse et là, je me mets à bander. Elle regarde la bosse se former dans le miroir.

Je ne sais pas combien de temps ça dure, je ne sais pas ce qu'on est en train de s'imaginer faire, je ne sais pas si on réalise vraiment, putain, cette beuh est tellement forte.

Puis avant que ça devienne trop gênant ou que ça me donne l'envie de faire quelque chose, elle se retire et elle sort de la chambre à grands enjambées. Je la suit, mais elle traverse le salon et s'enfile dans la salle de bain.

Alors, je m'installe sur le siège à côté de la TV et je roule un joint.

Quand elle revient, on le grille devant la TV, sans un mot... Je bande toujours, j'ai envie de sortir ma queue et de lui montrer.

Mais bientôt son mec, le Domy baiseur de black, ouvre la porte du RDC et nous l'entendons grimper les escaliers de bois.

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