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Les Ombres du Crépuscule (1)

Univers de Twilight Princess.


Le jour se levait sur Hyrule, diaprant l'herbe humide de rosée d'une teinte incarnate. Des groupes de nuages solitaires se disputaient l'espace dégagé du ciel matinal. Link fut réveillé par les premiers chants joyeux des oiseaux qui voltigeaient entre les branches basses. Les tours crénelées du château perçaient la brume qui tentait de s'appesantir sur les remparts. L'écuyer n'ignorait pas les rangées d'archers qui sévissaient le long des mâchicoulis, prêts à repousser n'importe quelle offensive ; après de paisibles années, lové dans la fortune – illusoire – et les plaisirs, Hyrule ouvrait enfin les yeux. Et il était temps. Xanto, maître du pouvoir des ombres, menaçait de détruire la Contrée.

L'hylien avait été appelé, comme ses frères de cœur de Toal, à protéger celle-ci, au péril de sa vie. Apparemment, c'était du tout cuit. C'est du moins ce qu'on leur avait dit.

Link éveilla ses camarades ; ils mangèrent sobrement, et la troupe se mit en route. D'ici le début de l'après-midi, ils seraient aux portes du mastodonte de pierre. Il soupçonnait la majorité des pseudo-soldats présents de s'engager pour gagner les faveurs de la princesse. Qui ne l'aurait pas fait ? Il fallait se donner un but valable pour entrer en guerre sans se soucier des dégâts. Il pensa à Iria, qui l'avait regardé partir, inquiète pour lui. La lumière gagnait toujours. Pourquoi ne semblait-elle pas y croire ? Il se souvenait de la lueur de fatalité dans ses prunelles, de ses poings serrés.

Ils ne firent aucune halte de toute la matinée. Link avait l'impression que ses cuisses brûlaient de l'intérieur à force de rester en selle. Ils se contentèrent d'un repas frugal durant le trajet, en piochant dans les réserves. Les nuages dessinaient des traînées cotonneuses dans le ciel.

L'écuyer se sentait excité par le combat, bien sûr, mais comment pouvait-il concevoir cette valeur autrement que la preuve d'un courage indéfectible ? Oui, une bonne occasion de manier l'épée et de s'autoproclamer chevalier de renom. Ce soir, de nouvelles légendes chanteraient leurs noms. Du moins était-ce ce que chacun croyait.

Le chef de la garde royale les accueillit, leur indiquant qu'ils pouvaient placer leurs chevaux dans les écuries.

« Alors Link, tu ne trouves pas que c'est mieux que de travailler à la ferme ? » plaisanta Fahd en lui donnant une tape dans le dos.

Il ne lui répondit pas ; il lui adressa un simple sourire crispé.

Ils suivirent le meneur jusqu'aux remparts qui fourmillaient d'archers surentraînés, par un accès extérieur.

« Normalement, les nouveaux ont le droit à un pot d'accueil, mais on a pas trop le temps. Ceux qui savent manier l'arc peuvent assurer nos arrières. Les autres, venez avec moi. »

L'écuyer ayant un don pour l'épée, il s'engagea dans l'escalier de pierre en colimaçon qui descendait en spirale dans une des tours, le cœur battant. Allait-il être aux premières lignes ? Malheureusement – ou plutôt heureusement – pour lui, il fut déçu lorsque le chef s'exprima :

« Vous formerez la troisième ligne de défense. Si les archers n'ont pas exterminé l'ennemi avant. »

Troisième ligne de défense ? Autant dire qu'on va avoir le temps de se refaire les ongles...

« Prenez le temps d'aiguiser vos épées ! » railla une dernière fois leur guide avant de disparaître dans le château.

La technique et tout ce qui gravitait autour, personne n'avait pris le temps d'y réfléchir. Ils avaient agi dans l'urgence. Des incompétents, mais qui était capable d'en juger ?

Link s'assit sur une souche, dépité. Ce n'était pas vraiment l'accueil qu'il avait espéré.

Malgré les lignes armées, il put distinguer, par fragments, le paysage. A l'ouest, le soleil se réverbérait sur le lac Hylia, faisant scintiller ses eaux claires. En face, la forêt de Firone déployait ses arbres touffus et verdoyants. A l'est, enfin, les massifs desséchés d'Ordinn accueillaient dans leurs sommets des nues paresseuses.

Soudain, les nuages s'amoncelèrent dans le ciel, ne le résumant plus qu'à une palette de gris, variant de l'acier à l'anthracite. Le vent se leva, soufflant dans les oriflammes fièrement dressées sur les tourelles du château. Des volutes de fumée s'élevèrent du sol, les herbes se flétrirent, créant des parcelles ravagées par une noirceur inexplicable. Les archers encochèrent leurs flèches, en alerte.

« Ennemi en vue ! » cria quelqu'un, en haut.

Une première nuée de projectiles fusa. Les épéistes se tinrent prêts, la main au fourreau. Une bourrasque de vent permit aux assaillants de s'en sortir presque indemnes. Plusieurs tombèrent, mais de ce qu'en entendit l'écuyer, les lignes adverses se reformèrent comme s'il n'y eût aucun désagrément.

La première ligne se rua sur l'assaillant.

Des cris sauvages commencèrent à emplir la plaine d'Hyrule, bientôt modulés en hurlements de terreur.

C'était, d'ores et déjà, un combat inégal.

L'ennemi était une plaie qui se refermait à chaque coup porté. Des traînées rouges comme l'enfer griffèrent les nuages lorsqu'un éclair déchira le ciel. Bientôt, les archers tombèrent des remparts en une pluie sanglante. Link sut que c'était peine perdue. La troisième ligne de défense s'apprêtait déjà à prêter main-forte alors même que la deuxième s'élançait pour combler les blessés de la première.

« Repli ! » clama le chef de la garde.

Des ombres noires luttaient là où la lumière tenait encore. Au loin, la forêt s'était parée d'un manteau obscur, et l'éclat du lac avait disparu, mû en des plaques sombres et mouvantes.

Link se replia donc, et il ne sut définir s'il s'en trouvât dégoûté ou soulagé. A une vingtaine de mètres de là, les effusions de sang tachaient l'herbe grisâtre. Fahd grimaça, le talonnant.

« Ça n'a pas l'air d'être une partie de plaisir », fit-il remarquer.

C'est le moins qu'on puisse dire.

La troisième ligne plia bagage vers l'intérieur, et le pont-levis fut relevé après son passage. Les sons se firent diffus, comme s'ils provinssent de distances éloignées. Des torches, disposées de loin en loin, éclairaient le hall d'entrée, supporté par d'impressionnantes colonnades de marbre torsadées. Au plafond, le lustre projetait des éclats lumineux sur les murs. Au fond de la salle, une estrade de pierre où reposait le trône royal laissait assister à une scène peu commune. Le roi lui-même perdait son sang-froid et ne cessait de décrire un cercle précis en réfléchissant à toute vitesse.

« Les Esprits de la Lumière ont failli ? C'est inconcevable. »

Une voix mélodieuse s'éleva derrière lui ; une ravissante jeune femme venait d'entrer dans la pièce par une porte communicante. Elle était drapée dans une robe qui frôlait le sol, d'un blanc d'ivoire, ponctuée sur sa poitrine par une veste pourpre raccrochée par une épingle dorée. Ses longs cheveux bruns et disciplinés suivaient la courbe de son dos ; seules deux mèches pendaient le long de son visage. Une beauté froide, en somme, mais qui n'échappa à aucun homme. Link eût cru à des molosses prêts à fondre sur une chienne en chaleur.

« C'est pourtant la vérité, Père. »

Le monarque, qui avait déjà d'ordinaire la peau blanche, devint livide. Sa fille aurait pu remplacer une statue surréaliste ; seul le léger tremblement de ses fines mains laissait entrapercevoir une fraction de ses émotions. Link grimaça ; cette femme ne lui inspirait guère plus que du mépris.

A peine cette impression eût-elle franchi son esprit que la princesse braqua son regard glaciaire sur lui.

« Un problème, soldat ? »

La question était si directe et si inattendue que sa gorge s'assécha. L'attention générale se porta vers lui, et il s'en sentit atrocement gêné.

« Aucun, Votre Altesse.

– Vous grimacez.

– C'est que les temps s'annoncent difficiles.

– Auriez-vous peur ? »

Des ricanements s'élevèrent, et il regretta que ses camarades fussent dispersés avec ceux de la garde royale. Avec diplomatie, il répliqua :

« Posez la question aux vôtres et vous verrez que la leur est palpable. »

Il fallait être très observateur pour remarquer le haussement de sourcil infinitésimal de Zelda. Et aussi pour constater le léger recourbement de ses lèvres au coin de sa bouche. Les soldats s'étaient pétrifiés, et il sentit leurs regards haineux comme milles flèches pointues le transperçant de part en part.

« Comment vous appelez-vous ?

– Link.

– Très bien. » elle se tourna vers son père. « Je veux que ce soldat m'accompagne. »

Les traits de son front plissés, le roi répondit avec un calme relatif :

« Non. Ce n'est pas raisonnable. Si tu dois partir, il faut que plusieurs hommes t'accompagnent, pas un qui convienne à tes élans passionnels. Nous ne savons rien du danger qui nous guette.

– Si les Esprits de la Lumière ont besoin de mon aide, je ne vais pas rester errer dans les ombres de ce château pour l'éternité. Et le temps nous manque », asséna-t-elle, glaciale.

Elle s'éloigna de quelques pas, se tournant face au mur, dans une grâce qu'on aurait pu difficilement lui accorder au premier regard, faisant virevolter ses cheveux. Puis, d'un seul coup, fit volte-face, sur un pied, et prononça entre ses dents serrées :

« Et je te jure que si ce chevalier me fait des avances, je lui ferai trancher la tête.

– Tant mieux. »

Link était trop perplexe pour pouvoir assimiler une pensée cohérente.

« Soldat ! Suis-moi. » lui ordonna-t-elle en disparaissant derrière la porte. Elle hésita, puis ajouta à l'intention du roi : « Il ne vous reste plus qu'une chose à faire. Ralentir l'ennemi, le plus possible. »

Celui-ci hocha la tête distraitement. L'écuyer mit un moment avant de pouvoir aligner un pas devant l'autre, mais de toute manière, la princesse s'était déjà éclipsée. Il s'engouffra dans la pièce attenante : un salon démesuré, plongé dans une quasi-obscurité. L'âtre crachait ses dernières braises, n'éclairant plus que d'une lumière vacillante la ligne où Link se trouvait. Il plissa les yeux, haussa les épaules et avança sans se poser de questions. Il valait mieux ne rien dire pour le moment.

Zelda surgit des ombres si furtivement qu'il manqua la percuter. Cela lui valut un froncement de sourcils sévère.

« Tu te laisses perturber trop facilement. Tous tes sens doivent être en éveil. »

Il décela dans sa voix une note de déception. De quel droit se permettait-elle de le juger ? Et de se montrer si familière envers lui ? Bon sang, c'était lui le soldat, oui ou non ? Il préféra se taire. Il n'avait reçu aucune formation militaire, ce n'était qu'un fermier qui se plaisait à manier l'épée.

« Tu n'es pas très bavard, remarqua-t-elle encore. Ça me plaît. »

Link opta pour rester taciturne, puisque cela leur convenait à tous deux.

« Où comptez-vous aller ? » demanda-t-il enfin.

Il n'eut le droit qu'à un sourire condescendant. La princesse se dirigea vers l'âtre et abaissa un levier dissimulé dans la jointure d'une brique, si petit qu'il suffisait de deux doigts pour l'actionner.

La cheminée émit quelques grondements tonitruants, avant de découvrir un passage en rentrant sa cavité noircie par des années de feu.

« J'espère que tu n'as pas peur de te salir les mains », ricana Zelda en s'engageant d'ores et déjà dans le passage, sans égards pour sa tenue immaculée.

Link se retint de lui faire remarquer qu'il le faisait chaque jour, à Toal. Mais une intuition lui disait que, quoi qu'il rétorquât, cela resterait sans effet. Il se contenta donc de soupirer et de la suivre dans l'étroit conduit, qui menaçait à tout instant de déboîter ses épaules.

Bon sang, c'est qu'elle est rapide. Quelle honte si je me faisais distancer !

Heureusement pour lui, elle restait une princesse et jurait dès que sa main rencontrait une pierre trop aiguisée. A ce rythme, ses jolis gants brodés ne lui seraient plus d'aucune utilité d'ici quelques jours. Cette pensée suffit à réjouir l'écuyer.

Le passage débouchait sur la façade sud du château, que l'ennemi n'avait pas encore prise. Zelda épousseta sa robe, dans un geste qu'elle voulait négligent, mais Link perçut en elle un réel dégoût qui le fit sourire. Il avait dû adopter une attitude trop conciliante, car elle s'interrompit aussitôt et une lueur de profond mépris imprégna ses prunelles.

« On va aux écuries, d'abord. » jeta-t-elle sans même le regarder, en se mettant à marcher d'un pas vif vers les lieux.

L'écuyer réprima un soupir et lui emboîta le pas. Elle n'allait quand même pas le traîner comme ça jusqu'à... jusqu'à quand, au fait ? Il préférait ne pas y penser. Ni à ce qu'il adviendrait à Fahd et aux autres. Et à Iria, quelque part là-bas dans la bande sombre des arbres.

Les écuries étaient encore épargnées, pour le moment du moins. Zelda enfourcha une jument au pelage charbonneux, qui portait, en plus de bagages nécessaires à la survie, un magnifique arc. Sur ses branches inférieures et supérieures saillaient des fragments du même bois que l'objet, ornés d'arabesques dorées.

« Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? lâcha-t-elle d'un ton dédaigneux.

– C'est un très bel arc, répondit-il seulement.

– Ne t'avise pas de le toucher. »

Si on continue sur cette lancée, je crois que je ne pourrai pas la supporter très longtemps.

Elle avait déjà apprêté sa monture, et toisait le fermier du regard. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, il la devança :

« Je vais chercher Epona. »

Il n'avait jamais cru pouvoir prendre une inflexion aussi lasse. Il détestait mépriser quiconque ; cela lui coûtait une énergie folle. Les traits de Zelda s'adoucirent.

« Joli nom. »

Link manqua trébucher et s'étaler de tout son long sur le sol. Sa remarque l'avait surpris, mais plus encore, son sourire l'avait complètement décontenancé. Il avait irradié son visage l'espace d'un instant, avant de s'effacer comme neige au soleil. N'était-ce pas de la timidité, de la réserve, qu'il avait cru apercevoir ?

« Comment ?

– Tu es sourd, maintenant ? »

Oh, qu'est-ce qu'elle peut être exaspérante !

Dans le meilleur des cas, il avait eu la berlue. Oui, c'était sans doute ça. Il secoua la tête, ramena Epona par la bride et l'enfourcha agilement.

C'était sans compter sur le fait que la princesse l'avait suivi du regard, l'air vaguement intéressé.

Je déraille complètement.

Hypothèse probable, car son visage restait de marbre, et sa silhouette altière demeurait résolument tournée vers l'extérieur. Elle tapotait ses doigts contre sa cuisse. Quand l'écuyer parvint à sa hauteur, elle lança sa jument au galop. Les épaules de Link manquèrent s'affaisser, mais il opta pour rester droit, au meilleur de sa forme, et la talonna facilement. Il sentit son cœur se serrer. Il laissait tout derrière lui pour suivre une princesse acariâtre... charmante perspective.

Lorsqu'il arriva à ses côtés, il s'amusa de ses cheveux qui se prenaient dans le vent et s'éparpillaient derrière elle. Et puis, pourquoi avait-elle gardé cette robe, si elle avait pu trouver le temps de s'occuper de ses provisions ? En le voyant ainsi la dévisager, sans tourner la tête, elle lui lança :

« Que veux-tu, soldat ? Tu te souviens de ce que j'ai dit à mon père ? Si tu continues ainsi, considère ta tête comme tranchée d'avance. »

Ah, oui, une charmante perspective.

« Non, je me demandais si ça valait la peine de vous demander où nous allons.

– Ça n'en vaut pas la peine. »

Il expira lentement par le nez ; elle lui jeta un regard glacial.

« Link, même si tu as vécu reclus, n'oublie pas à qui revient ton allégeance. Je suis ta future souveraine et je suis en droit d'exiger de toi une complète soumission. »

Il sourit intérieurement malgré les circonstances ; il avait marqué un point : elle le reconnaissait en tant que personne particulière, et non plus comme un soldat quelconque.

« Je n'ai prêté allégeance à personne.

– Non ? Eh bien, que fais-tu dans mon armée, campagnard ? J'aurais dû te laisser avec les autres au château.

– Vous savez que, même si cette pensée vous avait traversée, vous n'auriez pu lui donner raison.

– Vraiment ! Ah çà ! Je serais curieuse de voir cette scène. Il est donc avéré que les culs-terreux ont un imaginaire très étendu.

– Je vous demande pardon ? » l'écuyer arrêta derechef sa monture, peu soucieux de la menace qui grandissait derrière eux. « Si je suis un cul-terreux, Mme Pète-Sec, je ne donne pas cher de votre peau ; nous constituons la majeure partie de votre peuple ; et celle-là même vous permet d'être princesse aujourd'hui ! »

Zelda avait malgré tout suivi le mouvement, et ses lèvres se tordirent dans un rictus de haine.

« Je n'ai pas besoin du soutien de bouseux ; c'est vous qui dépendez de moi, n'inverse pas la réalité ; réfléchis, soldat qui n'a que le nom. Comment Toal a-t-elle pu demeurer jusqu'à aujourd'hui, à ton avis ? Uniquement parce que mon père l'a prise en pitié. Nous ne sommes pas inquiets ; c'est plutôt à vous de l'être et, par ton biais, je vois que l'effort du roi n'a servi à rien. C'est ce que j'avais pressenti, mais lui ne voyait qu'une manière de renflouer ses caisses et s'assurer le soutien d'encore plus de... non pas de citadins, mais de culs-terreux. »

Link serra les rênes d'Epona plus que de raison, et la jument renâcla, nerveuse.

« Sans sujets, la royauté n'est que du vent. », asséna-t-il d'un ton si dur qu'il ne lui ressemblait plus. « Evidemment, vous baignez dans le luxe, et vous ne combattez rien d'autre que votre vanité ; ah, mais non, vous l'acceptez ; le pouvoir fait tourner la tête, c'est bien connu.

– Ah ! s'exclama-t-elle théâtralement. Quel mal m'a pris de te prendre en escorte ! Je me rends compte de mon terrible écart ; tu n'es qu'un enfant susceptible sorti de la naïveté d'où il a été baigné depuis son enfance. Restes-y si tu y tiens. »

Il dut lui donner raison sur ce point, car il se trouva blessé par sa remarque, comme un enfant, en effet, qu'on aurait grondé. La princesse repartit dans un trot régulier, et l'épéiste la suivit en se demandant quel cadeau empoisonné la vie lui avait donné.

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