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Voyages


La vue était de toute beauté ! Un petit pont de bois entouré d'une faune luxuriante. Sur l'eau, derrière et autour du pont des plantes envahissaient le cadre. On ne voyait qu'elle qui se penchaient, qui poussaient, les quelques fleurs semblant si coloré au milieu de tout ce vert. Ce paysage avait quelque chose d'apaisant, de reposant. Elle ne regrettait pas d'être venue.

Ses pas la menèrent ensuite à être témoin d'une scène incroyable. N'était-ce pas un roi ? Elle ne saurait dire lequel mais il était au cœur de la scène, entouré de centaine de courtisans et de courtisanes vêtus comme on l'était alors, au visage si beau. Il était au sommet d'un escalier aux pieds duquel des soldats de l'époque tenaient des étendards tout autour d'un homme seul s'inclinant devant ce roi qu'elle ne reconnaissait pas. La scène repairait le luxe et le faste, le moment semblait solennel, important. Alors elle se retira pour partir vers une époque et un lieu bien différent.

C'était la nuit, la rue n'était éclairé que par quelques lampadaires et par les lumières venant d'habitations ici ou là et d'un commerce, un pub sans doute puisque c'était l'Angleterre. La rue était déserte en dehors d'un passant. En même temps vu l'épaisse couche de neige au sol qui voudrait s'aventurer à l'extérieur en une pareille nuit ? Elle frissonnait et sentait le froid s'infiltrait en elle d'un simple coup d'œil à cette scène. C'était beau à n'en pas douter, la neige avait toujours eu cette faculté de recouvrir d'une robe avantageuse tout paysage, mais elle partit pour une nouvelle destination moins glacé.

Justement elle arriva en Égypte, reconnaissable par les pyramides se dessinant dans le fond de ce nouveau décor. Ce jour-là il y avait du monde dans le désert, femmes en belle robe que des esclaves protégeaient du soleil avec une ombrelle, hommes en costume et locaux à la peau foncée et aux vêtements moins sophistiqué, certains d'entre eux assis sur les éléphants qui s'agglutinait aussi autour d'une grande sculpture de cinq mètres représentant un pharaon. Elle contempla cette scène si vivante encore un moment, pour bien la graver en mémoire avant de repartir vers une autre contrée.

A peine arrivée que le froid la saisit. Pas le moindre flocon de neige pourtant cette fois mais un épais brouillard qui se glissait entre chaque falaise, chaque mont que je pouvais apercevoir malgré l'homme en redingote qui se tenait devant moi. Il avait du courage d'ailleurs de se tenir si haut, au sommet d'un à-pic rocheux. Elle après en avoir été estomaquée par la vue décida de partir.

Elle rejoignit un banquet romain, une fin de banquet même visiblement au vu des corps alanguis des participants ayant sans doute trop mangé et trop bu. Quelques uns encore levaient des coupes, échangeaient quelques mots mais la plupart le visage fatigué, allongé, semblaient ne plus avoir la force de rien. Quelques uns étaient tellement ivres qu'ils faisaient n'importe quoi comme cette homme qui montant dans les bras d'une statue, sa coupe toujours en main, proposait à boire à l'homme au visage célèbre que l'artiste avait immortalisé, une femme au fond de la pièce dansait sein nue, tandis qu'une autre arrachait la toge de son interlocuteur qui se retenant avec peine à la tête d'une statue tentait de démontrer son intelligence mais il ne pouvait aligner deux mots.

Elle laisse cette scène derrière elle pour rejoindre une jolie vue sur un fleuve bleu un matin où le soleil se levait juste. Une ville s'étendait en bordure du cours d'eau, un immense bâtiment, le plus grand, avait des murs d'un blanc éclatant. Le long du fleuve on apercevait quelques ponts aux silhouettes élégantes. La ville semblait encore clame et endormie, bientôt elle se réveillerait mais d'ici là il fallait profiter de ce calme.

Ce qu'elle fit avant de reprendre le chemin vers une nouvelle destination, une destination horrifique cette fois. La foule était en panique, on courrait, on priait, on pleurait, des personnes bousculés par d'autres fuyard s'étalaient au sol. Et le ciel crachait de la cendre, des éclairs et même du feu sur ces pauvres gens désespérés. Après un dernier regard vers ce désolant spectacle elle prit le chemin d'une falaise au sommet couvert d'herbe un agréable jour d'été, aux pieds de laquelle se trouvait une mer calme. Y avait-il meilleure destination ?

Malheureusement son voyage suivant ne le fut pas autant. Elle arrivant en pleine bataille, des hommes à cheval ou à pieds, lance et épées à la main se battaient sans porter attention aux femmes et aux enfants entre eux suppliantes, désespérées, qui devaient subir et tenter d'empêcher la folie de leurs hommes.

Pour se changer les idées elle rejoignit un paysage campagnard des plus agréables, de jolies collines vertes recouvertes de vignes, un ciel si bleu, quelques arbres et des fleurs rouges, rose et bleues. Ca pourrait tout aussi bien être aujourd'hui qu'il y a cinq cent ans. Certaines choses ne changeaient pas heureusement et elle espérait que les générations futures pourraient un jour voir ce qu'elle contemplait là autrement que de la manière dont elle s'y prenait aujourd'hui : dessiné sur une toile, accroché dans une galerie au milieu d'autres peintures. Avec un sourire ravi après avoir parcouru tant d'endroits et d'époques représentaient si magnifiquement par tous ses artistes, les mains dans les poches, elle quitta le musée, le cœur léger.



J'ai écrit ce texte pour le concours Dernière Flamme mais ce n'est pas celui que j'ai chois de présenter. J'en ai écris un autre sur ce thème là que je ne peux vous dévoiler. La consigne était d'écrire un texte de moins de 1000 mots sur le thème voyage avec une fin inattendue. 

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