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Homophobie

(Warning : Cette nouvelle, comme son nom l'indique, n'est composée presque que d'homophobie (très très forte homophobie). Bien entendue, l'auteure, c'est à dire moi, ne pense pas un seul mot de ce qu'elle écrit, et respecte entièrement la communauté LGBTQI+. La nouvelle est aussi composée de sexisme et de racisme (au début), et de quelques gros mots (L'auteure n'est ni sexiste ni raciste). En bref, le personnage principal est un immonde connard. Vous pouvez l'insulter (un peu) dans les commentaires, il le mérite.)

C'était un de ces vieux gens bourrus, qui avaient la vie grise et le cerveau rempli de préjugés d'autrefois. Pour lui, les femmes n'étaient bonnes qu'à faire la cuisine, pas à donner leur opinion ni à choisir qui elles veulent épouser. Les noirs étaient fait pour être des esclaves, des discriminés, des "nègres". Les enfants étaient fait pour travailler dans les mines. Il ne comprenait ni la nouvelle technologie, ni les nouvelles lois.

Et surtout, surtout, un homme pour lui devait impérativement être avec une femme.

Il n'avait jamais compris les homosexuels. Les "pédés". Pourtant, au début, il les tolérait. Il se disait qu'ils avaient le droit de vivre, que ce n'était pas ses affaires. Il grimaçait quand même lorsque deux garçons s'embrassaient dans la rue, et se retenait avec efforts de leur crier au visage que c'était une honte, qu'ils ne devaient pas montrer ça devant le monde, mais les répulsions et la nausée qu'il avait à les observer finissait toujours par s'estomper.

Puis il y eut ce jour, tant maudit dans son cœur de pierre, où il reçu la visite de son petit-fils. Ce petit-fils, il ne l'avait jamais aimé. Il n'avait jamais aimé personne. Mais ce petit-fils était naïf, et traitait son grand-père avec une gentillesse presque écœurante.

Mais le vieil homme était habitué de voir sa descendance débarquer chez lui sans prévenir. Ce à quoi il n'était pas habitué, c'est de voir sa main nouée dans celle d'un autre homme. Un autre homme. Il entendit la voix de son petit-fils, il entendit les mots qu'il prononça, et qui firent dans la tête du vieillard comme un coup de poignard. 

"Papi, j'aime les hommes". 

Homo. Pédé. Pédale. Son petit-fils était l'un des leurs, un de ses ennemis, de ses êtres répugnants qu'il ne pouvait supporter. Il avait maintenant dans sa famille un traître. Un homo.

Il aurait voulu vomir sur place, s'évanouir, faire un arrêt cardiaque. Il avait un pédé dans sa famille. Un contre-nature. Un animal. Il ne voyait plus devant lui un petit-fils au regard inquiet, penché sur son grand-père. Il voyait un être vivant qui méritait d'être mort. Un être humain qui méritait d'être réduit au terme d'animal. Un être inférieur qu'il voulait écraser. Puis, reprenant ses esprits, quelque chose l'interpella.

Son petit-fils avait une main posée sur son épaule.

Le pédé avait osé le toucher.

Il se redressa brutalement, manquant de se casser une vertèbre, et hurla si fort que lui-même dû se boucher les oreilles. "Me touche pas, pédé!". L'homosexuel et son petit ami (Ce n'était plus son petit fils désormais) le regardèrent d'un air désolé, désolé qu'il ne comprenne pas, qu'il ne fasse pas d'efforts. Ils savaient désormais qu'ils vivraient une vie heureuse, pendant qu'un grand-père homophobe croupirait dans sa solitude. Alors ils partirent, sans un adieu, qui n'était pas demandé. Le vieux n'avait aucun remord, et même un étrange soulagement. Il n'avait plus cet homo devant ses yeux, et il en était ravi. Plus jamais il ne voulait le revoir.

Plus jamais il ne reverrait personne.

Et soudain, sans qu'il ne puisse l'empêcher, du liquide coula sur ses joues. Des larmes. De la tristesse. Une émotion. La première émotion, qui n'était ni le dégout ni la colère, qu'il ressentait depuis plus de vingt ans. Elle était là, incontrôlable, en train diriger son cerveau, sans qu'il puisse comprendre la raison de sa venue. Mais il ne voulait pas sa venue. Il voulait être seul pour le restant de sa vie.

Alors, pour la faire déguerpir, il alla la noyer dans l'alcool.

"Un verre de whisky."

Pas de bonjour, pas de s'il vous plait, pas de merci. Il n'avait pas besoin de réciter ses bêtises "de politesse", il avait besoin d'alcool.

Il avala sa boisson cul sec, en commanda une autre, puis une autre, puis une autre. Il n'avait pas besoin d'économiser pour quoi que ce soit. Il vivait dans un vieil appartement poisseux, dont il était propriétaire. Il n'avait qu'un canapé, un lit, et un vieux poste radio. Il pouvait avoir plus, il n'en avait pas besoin. Sa nourriture et sa boisson se limitait aux pizzas, hamburgers et whisky. Que du whisky. Il se noyait dans ses verres comme il se noierait dans la mer. 

Il se noyait dans sa solitude.

C'était un de ses vieux gens bourrus, qui était resté dans son époque, dans l'époque injuste à nos yeux mais normale dans les siens. L'époque où il y aurait eu du monde lors de son enterrement. Où quelqu'un aurait déposé des fleurs sur sa tombe.

Peut-être.

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Non. Mais vraiment, Clem.

Encore une histoire horrible!

Je suis vraiment désolée 😢... Je vous jure, j'ai 13 brouillons. Dont 3 où c'est juste un titre, 1 où j'ai deux phrases, 3 où j'ai un paragraphe, et 6 où j'ai au moins une moitié d'histoire (dont 2 horribles et 2 qui parlent d'homophobie).

Je suis désoléeeeeeeeeeeeeee

J'ai deux théories : Soit j'ai un esprit bien trop sadique (Cerveau, CALME-TOI!!!), soit j'ai beaucoup trop d'imagination et je suis terrifiée par la mort (Cerveau, FRANCHEMENT!!!).

Je crois que c'est la deuxième.

Flûte.

Mais écoutez, j'ai des supers bonnes idées de nouvelles, j'arrive pas à trouver une fin!

Je jure solennellement que la prochaine nouvelle sera positive.



Même si elle est dans 10 ans.


Au revoir les crêpes bretonnes ! (Dsl, j'ai juste trouvé cet émoji 🥞 et j'ai mangé les meilleures crêpes du monde alors ça à fait TILT)

Bye.

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