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Chapitre 10

Coucou les gens~! Vous avez vus? Koto-sensei Qu'est est en anime. Alors oui, les épisodes durent 10min mais on est tous heureux de voir nos chouchous en mode Heroic Fantasy (perso j'ai revu 6 fois l'épisode 2, juste pour Karma). Par contre, fallait s'y attendre, l'anime est différent du manga mais bon, on verra bien ce que ça va donner.

Comme d'habitude, les personnages ne m'appartiennent pas~

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« Il y a maintenant trois mois, une demande de capture a parcourut le Japon. En quelques jours, la nouvelle s'est retrouvée dans le monde entier. Un pari mondial a été lancé ; qui réussirait à attraper la cible qui coûte presque aussi chère que le poulpe destructeur ? Seule une condition a été obligatoire ; ramener le corps dans son entièreté, le visage non touché par des coups. Mort ou vif. Ainsi, des mercenaires locaux, nationaux et enfin mondiaux se sont lancés dans ce combat. Deux mois sont passés sans que personne ne réussisse ne serait-ce qu'effleurer la cible, les professionnels comprirent alors que c'était une guerre d'usure. Qui tombera en premier ? La proie ou les chasseurs ?

Cependant, la course effrénée de « la poule rousse aux yeux d'or » s'est peu à peu calmée. En effet, depuis l'événement survenu il y a moins d'un mois, le message était passé chez les mercenaires : la poule rousse est plus que difficile à attraper. Les rumeurs concernant cette fameuse poule avaient grossi en très peu de temps : 22h et 46min précisément. On disait que c'était un surhomme, une arme créée dans le but de détruire le Japon, un génie de l'armée, un diable apparut chez les humains ou encore un p'tit gris descendu sur la Terre.

Mais aucune information n'était sûre. Rien de vrai ne passait dans la toile d'araignée. Quelqu'un maîtrisait la dure soie à la perfection et filtrait les informations. Les hackeurs les plus connus n'arrivaient même pas à effleurer le mur créé autour de la poule. Une puissante barrière la protégeait et quand on s'approchait trop près... Boum. »

Après cette constatation assez précise, Izaya fit tourner son fauteuil sur lui-même, regardant du haut de son immeuble la foule marchant dans Shinjuku.

« Ne trouves-tu pas ça incroyable Namie ? Cette poule rousse est un simple adolescent qui cherche à fuir une famille riche et violente, une mauvaise paire en soit.

- Ce que je trouve incroyable c'est que vous vous concentrez sur un humain en particulier et non vos contes et légendes extravagantes.

- Je savais que tu répondrais ça. »

L'assistante leva les yeux, excédée par ce dialogue à sens unique avant de se remettre à trier les dossiers de son cher et tendre patron.

Celui-ci se remit à tournoyer sur lui-même en chantonnant. Pendant tout le reste de l'après midi, il téléphona au quatre coins de Tokyo pour avoir telle ou telle information ou pour en donner. Le soir tomba et la secrétaire sortit du bureau avec un au revoir assez glacial.

Izaya continua de travailler très tard avant de jouer à son jeu préféré. L'araignée.

Le sourire aux lèvres, il commença par le chat et parla des dernières légendes urbaines de sa manière féminisée qu'il avait peaufinée pendant des semaines. Ayant assez de ce petit jeu-il était plus de deux heures du matin-il se déconnecta du chat, et alla se faire chauffer un thé quand une notification de son ordinateur l'obligea à se rasseoir. Après une lecture rapide, son visage prit une expression sérieuse. Une information était sortie mais elle demandait quelques recherches plus approfondies.

Ses doigts tapaient avec ardeur le clavier. Les images défilant dans l'écran étaient soigneusement observés par ses yeux et analysés par ses cellules grises. Un sourire fin étira ses lèvres. C'est bon, il avait trouvé.

Il s'avachit dans son fauteuil de bureau tout en soufflant de satisfaction. Son sourire, peu à peu, se transforma en ricanement, puis en grand rire. Devant son écran, une image, une image importante, qui voulait absolument tout dire sur Leurs intentions. Cette image représentait deux adolescents, un rouquin et un enfant au sexe indéfini et à la chevelure ciel.

Sur cette photo était accompagné un texte long en apparence : « Si vous vous en prenez au plus faible, l'autre essayera à tout prix de le sauver. » mais c'est en réalité un texte bref et simple : « l'androgyne est un appât »

Sans se presser, en sifflotant doucement, il composa un numéro qu'il avait appris par cœur. Il porta gracieusement le portable à son oreille et son sourire s'agrandit encore plus en entendant un « Quoi ? » pas très réveillé.

« Tu devrais voir ça, je pense que ça va t'intéresser, mon cher cousin. »

Ces paroles, certes mystérieuses, furent comme un électrochoc pour son cousin. Quoi de mieux que la phrase clé signifiant « les problèmes à plein nez » ? Son rictus d'amusement toujours accroché au visage, il attendit patiemment que son interlocuteur allume son ordinateur et tape la recherche demandée. Tournant sur sa chaise, la réaction de son cousin le fit éclater de rire. Un juron. Non, ce n'était pas enfantin mais connaissant son cousin qui jurait peu, cela ne pouvait que le faire rire. Tout en pestant, le garçon au bout du fil préparait déjà des plans les plus extravagants les uns des autres pour faire disparaître cette info.

La voix encore riante, Izaya lui indiqua une autre recherche à faire. Impatiemment, il attendit la deuxième réaction qui devrait s'avérer encore plus drôle.

« ... QUOI?! »

Karma venait d'apprendre qu'il faisait parti des personnes disparues et qu'il était activement recherché par la police. Izaya repartit dans un rire fou. Bougonnant, son cousin lui demanda si c'était une mise en scène, la réponse fut celle soupçonnée, non. Hurlant de rage, l'adolescent raccrocha, ayant assez de ces sottises. Et il devait être fatigué.

Izaya, toujours amusé, éteignit aussi son ordinateur et alla se coucher ; la journée avait été longue.

-0-

Le matin même, Karma se leva alors qu'il aurait bien fait quelques heures de sommeil de plus.

Son autre lui n'avait pas arrêté de le tanner la veille au sujet du papier peint du mur. A partir de la vitre de la fenêtre. Ces... choses, ne le lâchaient plus, il fallait quelque chose pouvant un minimum le refléter pour qu'elles apparaissent. Il jeta un œil au miroir de sa salle de bain et au lieu de se voir, il le vit. Avec son sourire amusé, qui ressemblait un peu trop à son cousin, et son regard promettant une mauvaise journée pour l'original.

Soupirant tout en se pinçant l'arête du nez, il était sûr que cette journée allait être horrible. Cela avait déjà commencé par l'appel impromptu de son cousin au beau milieu de la nuit. Il avait besoin de ses heures de sommeil !

Sortant de son appartement sans un regard sur sa tenue, il fut soulagé quand il prit la route du collège. Il avait l'impression que cette routine quotidienne l'emmenait dans un autre monde. Cela lui permettait de décompresser. Au moins un minimum.

On l'appela et Karma releva la tête avec lassitude ; une jeune fille brune, et ayant des lunettes cachant ses yeux noirs courait vers lui en souriant. Sa poitrine... généreuse, bondissait à chacun de ses pas. Son nom, Takahashi, mais elle préférait qu'on l'appelle par son prénom ; Akina. Arrivé à son niveau, la machine parfaitement huilée s'enclencha :

« Bonjour Karma-kun ! Comment ça va ? Tu as passé une bonne nuit ? Qu'est-ce que tu as mangé hier soir ? Personnellement... »

C'est pourquoi le mot clé était un minimum. Il n'avait rien contre Akina mais parfois elle pouvait s'avérer assez... collante, et s'immiscer dans sa vie personnelle. Mais il savait qu'au fond, ce n'était pas méchant, qu'elle le faisait sans s'en rendre vraiment compte et, de toute façon, elle était bien incapable de faire du mal à une mouche.

Ils continuèrent ainsi jusqu'au collège ; Akina parlant, Karma écoutant. Il répondait parfois avec des « hum » assez indistinct mais qui semblaient faire tout son sens dans l'esprit de la jeune fille.

Ils se séparèrent à la grille, Akina allant au club de natation et Karma dans la salle du conseil des élèves. Et surtout parce qu'il y avait Akashi.

Akashi qui pour une raison inconnue et sûrement étonnante, donnait une trouille bleue à Akina chaque fois qu'elle le voyait. C'est pourquoi qu'elle fuyait les lieux avant même qu'Akashi ne les aient atteint. Parfois, Karma se demandait comment ça fonctionnait dans l'esprit de la collégienne pour qu'elle le sente aussi bien venir. L'instinct des femmes sans doute.

Se souhaitant mutuellement bonne journée, ils partirent vers leurs lieux de travail respectif.

En passant à côté de lui, Karma salua le rouquin souriant et crut voir passer une lueur orangée dans son œil gauche. Il attribua cela à un jeu de lumière et continua son chemin en ruminant ses pensées.

Depuis le mois dernier, Karma continuait ses tâches d'apprenti et attendait avec une certaine impatience le fameux test qui devrait arriver sous peu. Il voulait le rater à tout prix. Hors de question de rester dans ce bureau avec une tension aussi grande sur ses épaules. Seule Hayashi essayait de soulager un peu la pression qu'il avait sans cesse. C'était gentil de sa part mais, dans un sens, cela voulait clairement dire qu'elle l'avait accepté au conseil.

De plus, les vacances d'été approchaient et le conseil devait s'occuper de la gestion des comptes pour les clubs et les classes demandant à partir en voyage. Du coup, tout le monde s'occupait d'avoir les archives des dernières vacances pour faire un meilleur partage, même Dosan s'y était mis. C'est dire à quel point la tâche est colossale. Hayashi lui avait avoué que c'était pire pour les préparations des portes ouvertes. Karma ne put que frissonner face à cette révélation.

Suite aux cours habituels et à la continuation de la répartition des budgets, Karma sortit en vitesse du collège. Au lieu de rentrer chez lui, il fit un arrêt chez le fleuriste du coin. Il acheta un bouquet composé de dalhias, d'achillée, d'asphodèle et de fleurs de pomme de terre. Il avait essayé de rendre le bouquet harmonieux mais n'avait pas réussi. Cependant, chaque fleurs avaient son symbole, et ensemble, elles exprimaient ses sentiments.

D'un pas rapide, il marcha jusqu'à la clinique situé à deux pas de chez lui. Comme tout les soirs depuis un mois, il alla rendre visite à Kido. Il salua la secrétaire de l'accueil d'un signe de tête et s'engouffra dans les escaliers menant au quatrième étage. Cachant le bouquet derrière son dos, il toqua à la porte et attendit le consentement de son ami pour entrer.

Comme tout les soirs à cette heure, il était seul, un livre posé sur ses jambes, un grand sourire aux lèvres.

« Salut gamin ! Comment ça va ? »

Karma s'assit sur la chaise à ses côté tout en l'ignorant. Kido allait répéter sa question quand un bouquet de fleurs qui n'allaient pas du tout ensemble -il fallait l'avouer- se plaqua contre son visage. Souriant jusqu'aux oreilles, il prit le bouquet en tentant de capter le regard fuyant de son invité.

« Merci.

- Il... Il parait que tu sors demain ?

- Oh je vois que monsieur est au courant. Mais oui, à dix heures tapantes, je serais hors de cet enfer. Et en prime j'ai une semaine entière de congés. J'vais peut-être en profiter pour emmener ma famille au bord de la plage tant que les hôtels ne sont pas complet. »

Karma sourit maladroitement, sachant que l'hospitalisation de Kido est en partie de sa faute. Bon, en même temps, il n'y pouvait pas grand-chose pour l'arrivée des mercenaires. Le père de famille ne lui en tenait pas rigueur et il en était reconnaissant.

L'ex-rouquin regarda ses pieds, n'ayant pas de sujet de conversation et évitant le regard du grand gaillard. Celui-ci se remit à parler, pour combler le silence oppressant.

« Dis-moi... Karma releva la tête. Ce soir-là, tes cheveux, ils étaient roux ou recouvert de sang ? »

L'adolescent en serait tombé par terre, c'était bien le style de Kido de dire les choses aussi franchement ; on pouvait difficilement mieux faire que le nettoyeur.

Karma éclata de rire et tapota l'épaule de l'adulte tout en lui répondant d'un ton qu'il espérait convainquant :

« Allons Kido ! J'ai et j'aurais toujours les cheveux noirs. Et puis, le rouge, c'est passé de mode. Finit-il sur un ton taquin ».

Le chef de la bande grommela une réponse et Karma, le visage rieur, se leva, devant partir. Il salua le patient sortit de l'hôpital les mains dans les poches et la tête basse.

Il repensait à la soirée d'il y a un mois.

Comme toute les semaines, Karma se lava les cheveux. Hors, aujourd'hui était un autre jour que les habituels, il avait acheté une nouvelle marque de shampoing. Oh, il n'était pas coquet ou quoi que ce soit du genre mais ce liquide pouvait aider ses cheveux, qui, marqué par l'adolescence et la teinture chimique, avaient été complètement assassinés. Bref, la marque mettait en avant les produits bios et le fait que les cheveux retournaient à leurs état soyeux et naturels.

Donc, sans se douter de quoi que ce soit, Karma avait acheté le shampoing et l'essaya le soir même. Et il pouvait assurer que la publicité n'était pas mensongère ; ses cheveux, après habillage et séchage, étaient redevenus roux. Et il eut à peine le temps de s'apercevoir du retour en force de sa couleur d'origine que les groupes de mercenaires s'étaient remis à l'attaquer. Tous en même temps.

Revenant à la réalité, Karma soupira et se passa une main dans sa chevelure pour les ramener en arrière. Il avait dû se les colorer en vitesse et quand il jeta un œil à sa main, il vit des pigments noirs accrochés sur la paume, signifiant la qualité médiocre de son déguisement.

Soupirant une nouvelle fois, il s'engouffra dans une ruelle qui lui permettrait de rentrer plus rapidement chez lui quand il percuta quelqu'un.

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Eeeeeeeeeeet voilà ! J'aime bien finir comme ça, ça vous fait rager et moi marrer *rire machiavélique*

Bref... les fleurs ont toutes un sens et non, je ne vous donnerai pas les- *BANG*

Hongrie : *une poêle bossu à la main* ça t'apprendras à troller les lecteurs

Autriche : Déjà qu'ils sont assez gentils de te lire

Prussia : Ouaip ! En plus t'fais grave des fautes !

Hongrie et Autriche *regarde Prussia*

Prussia : Quoi ?

France : En attendant, je vais donner la liste du langages des fleurs cités :

-dalhias: reconnaissance

-d'achillée: guérison ou dispute

-d'asphodèle: regret du passé

-fleurs de pomme de terre : remerciement

Angleterre : des fleurs de déprimiques !

France : mais enfin mon chou, ça donne un peu de poésie dans ce monde de brutes~.

Angleterre : stupid frog ! Tu n'es vraiment qu'un baka en pensant que tout se résout avec l'amour !

France : mais je suis le pays de l'amour mon cher~.

Espagne *arrive comme une fleur* : en tout cas, merci d'avoir lu, commenter et liker si vous aimer ! Maintenant il faut que je trouve Lovino~. *s'en va*

Lovino *au loin*: Konoyaro ! Espagne, espèce de pervers ! Dégage conn*rd !

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