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Neuf.

Avant, pour commencer une journée et pour qu'elle s'avère bonne, il fallait débuter par une punition de cette idiote de Yasmine. Avec le temps, j'avais remarqué que lorsque mes parents grondaient mon aînée, mes journées étaient plus belles. J'en étais toute aussi surprise. Puis, il a fallut que cette sotte se fasse engrosser telle la baleine qu'elle était. Pour préserver le bébé, nos géniteurs étaient devenus plus relâches à mon plus grand malheur. Je sais déjà la question qui pend à vos lèvres, comment avais-je fait pour me distraire malgré l'incapacité de mes parents à faire leur boulot ? Ce fut simple. Ma frustration, ma mauvaise foi, ma colère, je la déversais sur les autres, de manière très subtile. Tellement que je les faisais se disputer pour rien et ces imbéciles n'y voyaient que du feu. À ce demander si j'étais la seule dotée d'une intelligence dépassant celle d'un moineau.

Et au fil des semaines au camp, je me suis contentée d'être hypocrite et critiquer des campeurs avec Kana dans la douche, le bruit de l'eau à fond.

Pourtant, il y a trois jours, Thimoé Davinson a brisé cette nouvelle habitude qui s'installait doucement. Lorsqu'il a accepté de devenir mon jouet, il a aussi accepté - disons le clairement - l'immense honneur d'être la source de ma bonne humeur, en soit, de faire ma journée une bonne journée.

Comment un être bizarre, maladroit, schizophrène et dont la couleur des cheveux reste à déterminer à été capable d'un tel exploit ? Je me suis posée la même question. Sûrement que savoir que je pourrais faire ce que je voulais de lui, était génial. J'avais le pouvoir de le briser, de le casser comme avec Zayne ou de juste jouer avec jusqu'à épuisement. Avant mon ex petit ami, le terme de jouet m'étais inconnu. Je me contentais de simples manipulations, alors après lui, j'avoue que j'ai pris goût à cela. Quelqu'un qui sait qui je suis vraiment, avec qui je peux être moi-même sans peur de le briser, tellement il sera enveloppé de ma noirceur et ma méchanceté.

Bien sûr que c'était risqué de tout dire à Thimoé, il pouvait être si imprévisible. Kana a bien râlé pour exprimer son mécontentement, néanmoins, cette petite dose d'excitation et d'euphorie que j'ai ressenti en sachant ce que j'avais fait, mon sang qui s'est écoulé plus rapidement, les battements effrénés de mon cœur, ce sourire malsain qui fendait mon esprit, toutes ces petites choses, m'ont prouvée que j'avais fait le bon choix. Et tant pis pour les conséquences, savoir que Thimoé Davinson, asociale et schizophrène était à moi, c'était le plus grand privilège au monde. Et il avait beau être étonnant sur certains points, j'arrivais - souvent reconnaissons le - à prévoir son comportement. Comme lorsque j'avais deviné qu'il parlerait de moi au chien qui le suit tout le temps. Deux de mes jouets étaient sur l'échiquier, il ne manquait plus que la dernière pièce pour que tout soit parfait. J'avais hâte de briser les illusions de Debby sur moi, voir son visage se tordre de surprise sera sûrement l'un des plus beaux spectacles au monde.

Justement en parlant de cette incapable, elle essayait péniblement de coiffer ses cheveux frisés qui ne tenaient pas en place. Kana près de moi a soupiré. De si bon matin, j'allais devoir aider cette incompétente.

- Quand elle est aussi molle et ennuyante, je me demande pourquoi tu l'as choisie, s'est plainte mon amie imaginaire.

J'ai failli répondre. Et pour ne pas dire n'importe quoi devant ma voisine de chambre, je me suis avancée vers elle, me plaçant dans son dos alors qu'elle se tenait devant le miroir.

- Un petit coup de main ? ai-je dit à Debby.

- S'il te plaît, c'est fou comme mes cheveux deviennent compliqués à coiffer en été ! Ils me mènent la vie dur !

- Je n'en doute pas, mais j'aime beaucoup tes cheveux.

- Ahh ! Toi tu sais pas à quel point c'est pas facile d'en avoir. Les tiens par contre, ils sont parfaits ! Comme toi !

J'ai souri en brossant sa chevelure. Dans le miroir, on aurait dit deux sœurs et le sourire protecteur à mes lèvres sonnait vrai. J'étais moi depuis toujours, pourtant je ne savais pas qui j'étais vraiment. Je ne connaissais pas le vrai son de mon rire, mes vrais sourires, mon vrai regard. Je savais que ce que je montrais aux autres étaient faux, que j'étais fausse avec eux et que la seule au monde avec qui j'étais vraiment vrai était Kana. Encore, j'étais Kana et c'était assez lamentable. Peut-être avec Zayne, mais même avec lui, je n'étais pas totalement vrai. Je ne savais pas qui était la vrai moi. J'avais l'impression qu'il en avait beaucoup : Miss Perfect, la méchante et immonde Yanaëlle, la Yanaëlle sarcastique, Kana et encore pleins d'autres.

Non, je n'ai pas essayé de faire ma princesse, ni de me plaindre. J'avais choisi cette vie, je l'assumais, cela ne voulait pas dire que je ne voulais pas avoir quelqu'un de réel avec qui être moi-même. Je détestais ce sourire faux qui ornait mes lèvres. Je le détestais aussi parce que je lui envoulais de s'épanouir si facilement car il était habitué à mentir alors que moi je cherchais mon vrai rictus. Mon masque me collait beaucoup trop à la peau et je ne savais pas qui j'étais quand je le retirais.

- Voila ! me suis-je exclamée en terminant la queue de cheval de Debby.

- Wahou ! C'est parfait ! Tu es vraiment géniale, Yanaëlle.

- Mais non, j'ai vu tellement de fois ma maman me coiffer, je sais maintenant comment faire. Je pourrais t'apprendre si tu veux.

- Mhmm. Ma mère a mis au monde des triplés, des triplés tu te rends compte ?! Elles vont avoir six mois dans deux semaines, du coup, je leur ferais de belles couettes si tu me donnais ton secret.

- Sa mère est une poule ou quoi ? a glissé Kana en gloussant.

J'ai retenu le mien.

- C'est génial ça, tu es trois fois grande sœur !

- Je t'avoue que ça ne m'enchante pas trop, mais je suis contente d'être avec toi ! Tu es comme une grande sœur.

Je lui ai souri avant de la prendre dans mes bras. J'étais un véritable monstre et le sentiment qui alourdissait mon coeur le disait bien. Ses mots auraient pu me toucher, me faire du bien, pourtant je n'ai trouvé que de l'ennuie en moi. Ça et la pitié. Je ne ressentais aucune affection pour elle et la seule émotion qu'elle me procurait, c'était ce bien-être malsain que je ressentais en pensant que j'allais briser ses idéaux sur moi. Elle était au même titre de Nancy et Lana sauf un peu plus divertissante. Et naïve. Ma conscience et la mélancolie qui m'avaient étreint disparu pour laisser place à cette habituelle noirceur en moi. Je voulais aussi la briser. Enlever en elle cette candeur et cette douceur, détruire ses remparts, brûler ses rêves et enfin la laisser tel un poisson hors de l'eau, suffocant dans l'abysse de ma méchanceté.

Étais-je donc capable que de ça ? Oui. Voulais-je faire pareille avec Thimoé ? Un peu, sûrement tester sa résistance. Qu'allais-je faire de Rufus ? Le regarder voir mourir psychologiquement ses amis. Un peu comme ce que j'ai fait avec Zayne.

- J'adore ton côté sadique, Yanaëlle, a soufflé Kana à mon oreille.

- Regarde !

J'ai suivie des yeux le doigt de ma colocataire qui pointait Thimoé Davinson et Rufus - D'ailleurs quel était le nom de famille de cet idiot ? Mon estomac s'est noué. J'adorais cette façon dont Thimoé captait mon attention en étant juste lui. Il dégageait cette candeur adorable qui me donnait envie de le briser et en même temps que de le garder près de moi. Avec son air candide et bizarre. Aujourd'hui, le simple fait de le voir rougir lorsque je le surprenais à m'épier, n'allait pas égayer ma journée. Depuis trois jours, je n'avais rien fait, il était temps que le jeu commence. Je ne savais pas la relation que je voulais avoir avec lui, sûrement pas une comme ave Zayne. Au fonds, je ne voulais pas vraiment le détruire, juste être moi avec lui et les autres jouets, mais chaque fois que je l'étais avec quelqu'un, disons le clairement, cela finissait mal pour cette personne. Le sourire malicieux de mon ex petit ami a été un coup de poing en pleine face.

J'ai fermé mon esprit à toutes ces pensées bizarres, aujourd'hui, j'allais parler avec Thimoé, aujourd'hui, le jeu allait se mettre en place.

- Ils sont classes, a soupiré Debby.

J'ai froncé les sourcils. Elle parlait bien du garçon presque roux schizophrène et son drôle de meilleur ami super bizarre ?

- Tu trouves ?

- Ouais, a-t-elle acquiescé le regard brillant. Je sais pas, ils me semblent vrais et cool, ils ne se donnent pas de façon d'être, d'être trop gentils ou mauvais, drôles ou asocials, à part Thim. Bref, je sais pas, ils sont juste eux-mêmes, c'est classe ça. D'ailleurs toi aussi tu l'es, mais un autre genre, si tu vois ce que tu je veux dire.

- Je vois.

Je me suis retournée pour encore les regarder. Rufus a bâillé bruyamment en s'étirant, dévoilant une partie de son ventre mate. Thimoé ne faisait rien, arrêté, le regard vide. Ces deux là étaient terriblement banales, pourtant, j'avais compris les dires de Debby. Malgré cette avalanche de normalité qu'ils semblaient dégager, ils étaient différents, terriblement différents. Ils n'étaient pas comme tout le monde. Là où des gens faisaient tout pour se distinguer, Rufus et Thimoé le faisaient sans effort.

Mon excitation a grimpé d'un coup. J'avais de bon jouets. Debby était un bon jouet d'avoir remarqué cela. Le jeu s'annonçait fructueux. J'avais trouvé les règles et d'après l'apparition subite de Kana et sa surprise, elle n'était pas vraiment pour.

Les yeux de Thimoé ont rencontré les miens. Il a reculé d'un pas, affolant son chien, avant de rougir. Comme chaque fois que nos regards se croisaient. Je n'arrivais pas à comprendre comment il faisait pour être aussi...

- Pourquoi Thimoé rougit ? a demandé celle près de moi en plissant les yeux.

- La chaleur ?

- Il est à peine 8 heures...

- Ah nous sommes en retard pour le petit déjeuner ! On y va... attend, j'ai une idée, va à notre table habituelle et préviens ses occupants que nous auront deux personnes pour se joindre à nous !

- Deux personnes ?! Genre Thim et Rufus ? Vraiment ?!

Je lui ai fait un clin d'oeil.

- Qu'attends-tu ?

Elle a hoché très vite la tête tout sourire avant de partir. Le couloir amenant à la cafétéria se vidait doucement, je me suis avancée vers mes deux nouveaux jouets en souriant gentiment. Je me suis demandée s'ils étaient à présent capable de faire la différence avec celui-ci et le mauvais. Le faux et le vrai. Le bien et le mal.

Depuis trois jours, je n'avais pas parlé à Thimoé, bien que ses œillades, je les sentais. Ainsi que les éclairs que m'a lancée Rufus. Aujourd'hui, je savais enfin ce que je voulais faire d'eux. Devrais-je les prévenir aussi que Thim n'était pas le seul jouet, ou ils le sauront d'eux-mêmes ? Les surprises c'est bien aussi.

Mon ventre s'est contractée, impatient d'avoir une conversation honnête avec eux. J'ai failli rire. Le son démangeait ma gorge.

- Hello les gars, ai-je commencé d'une voix joyeuse.

Leurs regards ne sont faits que plus étranges.

- Quoi ? Vous ne me répondez pas ? C'est pas très polie ça, ai-je continué, peinée.

- Grrrrr, arrête de faire la gentille poupée parfaite ! Tu sais bien qu'on sait ! a finalement dit Rufus.

- Oh mais c'est vrai ça ! Comme c'est triste !

- Putain mais comme elle est sarcastique on dirait un crocodile !

J'ai mis deux secondes à essayer se comprendre.

- Qu'est-ce que tu racontes ?

- Que tu es aussi fausse qu'un crocodile !

- Je ne vois pas le rapport entre mon hypocrisie et un croco et tu sais quoi ? Rien de ce qui ne sort de ta bouche m'intéresse.

Rufus a froncé les sourcils. Thimoé continuait de nous regardé, comme si tout cela ne l'intéressait pas. Peut-être était-ce le cas.

- C'est pas possible. Comment tu passes d'un ange à un démon en un battement de paupières. T'es bipolaire ?

- Je n'ai pas besoin d'avoir une maladie physiologique pour arriver à manipuler une bande d'imbéciles, LeChien, ai-je répondu à l'indien.

- Tu connais LeChien ?!

Thimoé venait de s'exclamer, les yeux brillants, surpris. Je ne connaissais pas cette expression qui avait pris son visage, pourtant, cela me rappelait encore et toujours un enfant. Un enfant qui venait de découvrir quelque chose qui lui plaisait.

- Heu...

- Je ne pense pas qu'elle parle de LeChien, mec, m'a interrompue Rufus.

- Mais elle vient de le dire, c'est qu'elle parle bien d'elle.

- Et comment elle peut la connaitre, petit malin ?

J'ai failli perdre patience. J'étais sûre qu'ils avaient oublié ma présence avec leur discussion totalement bizarre.

- De quoi vous parlez ? ai-je enfin demandé.

- Le chat de Thim s'appelle LeChien.

- Donc tu ne le connais pas ?

La peine de Thimoé était visible.

- C'était un peu évident.

J'étais sidérée. Et ils avaient continué de parler, m'ignorant peut-être volontairement. J'étais venue dans le but de prévenir Thimoé, leur prouver à quel point j'étais supérieur à eux, les humilier psychologiquement et là, je me retrouvais à les écouter déballer des âneries. Je n'arrivais pas à suivre le fil de la conversation qui changeait de sujet en deux secondes et tout ça à cause de Thimoé. Il dérivait toujours sur une chose étrange et Rufus suivait. Thim avait une expression nouvelle au visage et un sentiment tout aussi étrange que la situation a atteint mon coeur. Ces deux-la n'avaient rien en commun. Là où l'un était pâle, l'autre était mate. Là où l'un était couvert de tâche de rousseurs, l'autre avait la peau lisse. Thimoé était réservé, asocial, Rufus était tout le contraire. Ils étaient comme sur deux planètes différentes tant ils étaient opposés, pourtant, ils se complétaient parfaitement. Ils étaient comme une seule et même personne, ils semblaient indestructibles tant qu'ils étaient ensemble.

J'ai reconnu la jalousie qui s'est malicieusement insinuée dans mes veines. Je mentais au monde, peut-être à moi-même. Je n'avais pas de véritable amis, et je galérais à savoir qui j'étais vraiment. Mais eux, eux ils étaient eux-mêmes sans problème. Eux ils se complétaient totalement. Ils avaient dépassé le niveau de l'amitié, ça se voyait. Là où je galérais, ces imbéciles n'avaient aucuns problèmes. Alors oui, j'ai envié leur relation. Quand allais-je aussi avoir ce genre de relation avec quelqu'un ? Comment avaient-ils fait pour se trouver ? ET PUTAIN POURQUOI LE CHAT DE THIMOÉ S'APPELAIT LECHIEN ? J'ai cru perdre la tête.

- Thimoé, ce soir au même endroit que d'habitude.

Ma bombe a eu l'effet escompté, ils avaient arrêté de parler des chaussures de leur prof de sport de cinquième.

- Pardon ? Mais pourquoi ?

- Tu es a moi ? Tu fais tout ce que je veux, tu t'en rappelles ?

- T'es qu'une garce de faire ça, a murmuré Rufus, les dents serrées.

- Comme j'en suis désolée ! Vraiment ! J'ai hâte de te retrouver, Thim.

Je lui ai souri. Il a aussitôt pâli. Décidément, il n'avait pas les mêmes réactions que Zayne. J'aurais dû me réjouir de cela, personne ne valait ce malade de Zayne.

- Tu n'as pas le droit de le faire chanter, sale sorcière !

- Oh le chien toi on t'as pas sonné, ferme-la !

- Que... quoi...

- Yanaëlle !

Je me suis retenue de soupirer d'exaspération à l'intonation de la voix de Debby. J'avais momentanément oublié où j'étais. Elle a accouru vers nous, un sourire aux lèvres, ne se doutant pas de ce qui se tramait.

- Ça va ? a-t-elle continué. Arte et les autres ont accepté, Rufus et Thim peuvent manger à notre table !

- Hein ? Mais...

- C'est génial les garçons, ai-je dit par dessus la voix du chien. Venez on peut partir maintenant.

- Je ne me rappelle pas avoir accepté, a marmonné Thimoé avec cet adorable froncement de sourcils.

- Tu as vraiment une mémoire de poisson rouge, je viens juste de te le dire !

- C'est vrai que Thim oublie vite ! a confirmé Debby.

Je n'ai pas eu le temps de comprendre, qu'elle était au milieu des deux garçons, les prenants par le bras pour les guider. Je m'étais attendue à une grimace de leur part, qu'ils se dégagent, cependant, ils ont continué de marcher bras dessus bras dessous. J'ai tiqué alors qu'on se rapprochait de la cafétéria. Je savais que Debby était amie avec eux, la seule d'ailleurs, mais je n'avais pas vu cette intimité, cette place, cette importance qu'elle avait au sein de l'amitié entre Thim et son chien. Elle se glissait parfaitement parmis eux, ces imperfections si parfaites, ces êtres bizarres, ces faux frères.

Debby avait sa place parmi eux. Ça se voyait. Et au fond, je l'ai envié. Moi je ne savais pas encore où j'étais.

Dossier ?????

Rufus ( je ne connais pas son nom de famille, mais ça doit être " chien " ou " truc bizarre ")

Alors, que dire de Rufus si ce n'est que c'est le meilleur ami de Thimoé et non son copain comme je le croyais au début du camp. Il est complètement bizarre et je crois qu'on ne va pas bien s'entendre. Ah oui, je l'ai choisi comme jouet, de quoi donner un peu de valeur à sa vie.

Qualités : tu crois que quelqu'un qui s'appelle Rufus en a ?

Défauts : une personne avec un pareille nom en a tellement que même le diable se sent sain par rapport à lui !

Physique : IL EST MOCHE

Passe-temps : faire des trucs pervers.

Mon avis ? Je ne comprends pas ce que Thimoé lui trouve pour être ami avec.

Yanaëlle Cox, 17 ans et un poil énervée et jalouse.


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Heeeeeeeeeeeeeeeey mes licornes d' d'arc-en-ciel mauve !

Ça vaaaaaaaaaaaa ?

Vous la sentez, la rentrée qui s'approche telle une lionne ? Moi oui :) ( ce sourire est ironique)

Soooooo je cesse de verser mes mauvaises ondes, mais disons que je sais pas, ce chapitre est un peu mélancolique non ?

Yanaëlle est clairement de mauvaise humeur et disons que la bêtise de Thim et surtout celle de Rufus n'aide pas !

Bon qu'en avez vous pensé ?

Le prochain chapitre sera le début des choses nouvelles et vous découvrirez une nouvelle Yanaëlle 😏

D'ailleurs, que pensez vous d'elle ? Perso, j'ai l'impression qu'elle est perdue, déjà elle cherche qui elle est, ne sait plus vraiment faire la différence entre le vrai et le faux. Elle a vraiment besoin de vrais amis que Kana 🤔

Espérons que je lui en donne !

Ah et on parle du fait qu'elle veule détruire Debby ou on met ça de coté ?👀

Ahhhhhhhh je ne sais pas vous, mais je sens dans le prochain chapitre sera plutôt... enrichissant ? ( en fait je ne sais même pas de quoi il sera fait ce chapitre)

Bref, désolée pour le retard aussi Ah et pour la qualité du chapitre ( j'ai l'impression que je me suis embrouillée ). Je vais essayer de vous donner deux chapitres la semaine prochaine, youhooouuuu !

Question pour apprendre à se CONNAÎTRE

Quelle est le plat officiel de votre pays ?

Ex : Japon : ramène
Italie : beau garçon ( chuuuuut 🤫)
États-unis : hamburger ( chuuuuut 🤫)

Bisous savonneux 💦

Phanou ❤💦

Instagram: phanou_67

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