Petit message d'attention aux personnes adeptes du premier degré ou ceux qui n'auraient pas bien suivit le fil de cette histoire.

Je ne cautionne absolument pas ce qui arrive à l'héroïne, Meï. D'ailleurs, j'ai tenté, à travers les phrases saccadées et dépossédées d'émotions lors que la première partie, de mettre en lumière la difficulté qu'elle a à reprendre sa vie en main.

Non, elle n'est pas coupable toutefois elle se sent ainsi car sur le coup, elle n'a pas réussit à dire le fameux "non" qui aurait pu, peut-être, repousser son agresseur. Mais même sans avoir dit non, jamais elle n'a dit oui ni consentie à ce qu'elle a subit. Je décris ici une souffrance à la fois physique car il la blesse et morale car il continu à apparaître dans sa vie, à ses anniversaires, aux fêtes de famille car il est l'ami de son grand-frère. Il lui fait subir une pression considérable, ce qui fait qu'elle passe son temps dans sa chambre quand il est là.

Alors, je voulais dresser ce petit mot au cas où le message n'était pas suffisamment clair. Ce qui arrive à Meï est clairement et purement un viol. Je ne prends pas cela à la légère.

Et comme dit Lynda Lemay dans la chanson que vous allez maintenant découvrir... « Si vous lui trouvez une morale, écrivez-la, moi j'ai pas su. »