Bonsoir les amis !! ^-^

J'ai mis du temps à poster la suite, mais c'est évidemment à cause de l'université etc, je ne pouvais pas faire autrement, désolée pour ça ! ^^'''

Les choses commencent à bouger dans ce chapitre... ;)

Bonne lecture ~ 

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@jeon_jk

Vante ? Tu es là ?

Le noiraud, allongé sur son canapé, se servait de Koya comme bouillotte de fortune tout en ayant eu l'idée de discuter avec le photographe, ce soir. En ce dimanche froid, le jeune homme n'avait pas travaillé, ni n'avait fait ses devoirs. Non, il était resté tétanisé tout le week-end après l'altercation entre lui-même et son professeur d'anglais approfondi, Taehyung.

Après avoir longuement pleuré, couiné, prié, l'étudiant s'était décidé à regarder un peu la télévision à l'aide de sa petite télé cathodique, vieille et pas chère, qu'il avait trouvé dans le grenier de chez ses parents avant de quitter le nid familial. Rien d'intéressant cependant au programme, ou alors était-ce ses pensées qui l'empêchaient de se concentrer sur autre chose que le visage magnifiquement effrayant du châtain.

Ainsi, il avait brusquement éteint sa télévision, et s'était muni de son téléphone portable dans l'unique but d'envoyer un message à son ami virtuel. Pouvait-il le nommer ainsi, d'ailleurs ? Un "ami" ? Après tout, c'était maintenant un peu plus qu'une connaissance, ils s'étaient tout de même échangé un bon nombre de messages.

Une notification d'un message entrant ravit le noiraud et il se redressa immédiatement. Koya miaula en plissant les yeux et jeta un oeil au téléphone du noiraud puis, comme si la petite bête était rassurée de comprendre qu'il discutait avec Vante -ce qui était tout bonnement impossible-, elle se contenta de prendre place à côté de son maître, gardant les yeux à moitié fermés, comme pour surveiller son jeune propriétaire.

@Vante

Bonsoir Jungkook, je suis là. Je viens justement de rentrer, en fait. J'ai pris des photos magnifiques aujourd'hui.

Jungkook eut un sourire timide, et ses doigts s'agitèrent sur le clavier presque instantanément après la lecture du message de son interlocuteur.

@jeon_jk

Je peux les voir ?

@Vante

Pas encore, je dois d'abord les retoucher. Comment tu vas ?

A chaque fois que Vante lui posait cette question, le jeune homme hésitait. Oui, il avait envie de tout lui dire, de tout lui avouer parfois, de lui dire qu'il allait mal, qu'il souffrait, que peu importe le jour, l'heure ou le lieu, il était malheureux. Mais s'il le faisait, Vante lui demanderait quelle en était la raison. Et ce serait alors très difficile pour Jungkook de se dépêtrer de cette situation, celle où l'on se confie à quelqu'un sans lui avouer la totalité de cette même confidence. Dans ce cas-là, ça déclencherait peut-être un sentiment amer et contrarié chez Vante, et le cadet voulait à tout prix éviter de se confronter au photographe.

Car oui, depuis quelques temps, le noiraud commençait à avoir peur.

Peur de perdre Vante.

@jeon_jk

Je vais bien. Et toi ?

@Vante

Moi également.

L'étudiant hocha la tête dans le vide, avant de fixer la conversation. Il voulait ajouter quelque chose, il voulait parler avec le professeur, mais il ne savait pas comment déclencher une nouvelle conversation.

Au moment précis où il commença à se poser mille questions, ce fut Vante qui renvoya un message, comme si ce dernier avait deviné les pensées de Jungkook, comme s'il avait voulu éviter à ce dernier de se torturer inutilement l'esprit.

@Vante

Tu sais que tu peux te confier à moi, Jungkook ? On ne se connaît pas depuis tant de temps que ça, mais j'ai envie de prendre soin de toi.

Le choc.

Le noiraud entrouvrit ses délicates lèvres, un souffle maintenant tremblant s'y échappant. Son coeur s'emballa et il déglutit en se demandant s'il avait bien lu. Ses yeux noirs parcoururent à nouveau les lignes du dernier message de son ami virtuel. Oui, il avait bien lu.

Ses phalanges survolèrent d'abord son clavier tactile, hésitantes, avant de pianoter une réponse plus ou moins angoissée.

@jeon_jk

Prendre soin de moi... ? Mais pourquoi ?

Après l'envoi, l'étudiant en psychologie fit glisser ses pieds recouverts d'une grosse paire de chaussettes d'hiver sur le sol, alors que ses fesses étaient toujours délicatement posées sur son sofa. Il cligna plusieurs fois des yeux, assez rapidement, en fixant les trois petits points noirs de la conversation qui signifiaient que son interlocuteur était en train de lui écrire sa réponse.

Quand il reçut cette dernière, son coeur tambourina un peu plus fort, pour une raison qui lui échappait.

@Vante

Parce que j'ai la sensation que tu en as besoin, et plus simplement parce que je t'apprécie beaucoup.

Jungkook ne pouvait croire ce qu'il lisait. C'était sûrement la première fois de sa vie qu'on lui adressait de tels mots, même Hoseok ou ses parents ne lui avaient jamais dit une chose aussi douce, juste pour lui, juste pour lui faire plaisir et par désir de prendre soin de lui. Il ne savait même plus quoi répondre, à ce stade, si bien qu'il préféra changer assez violemment de sujet. Non pas parce que ce qu'il avait lu ne lui plaisait pas -loin de là- mais bien car il se sentait désemparé face à de tels mots.

Et Vante n'insista jamais.

Alors ils parlèrent de choses et d'autres durant deux longues heures ; photographie, leur fatigue, leur travail. Son ami virtuel mentionna plusieurs fois qu'il était professeur et, même si Jungkook le savait déjà, quelque chose d'étrange avait fait naître un sentiment de malaise en lui.

Oui, ce message en particulier.

@Vante

C'est fatiguant de ne faire que des blocs de deux heures. J'aime bien mon métier mais parfois mes cordes vocales me font souffrir. Et toi alors, que penses-tu de la vie étudiante ?

Le noiraud ne savait pourquoi, cependant, ce message en particulier, pourtant caché, ordinaire, dans leur conversation, avait eu le don de faire arquer vers le bas ses délicats sourcils noirs.

Koya le fixa, assis sur la table. Pourtant Jungkook lui avait bien dit de ne pas y grimper. Mais l'animal semblait n'en avoir que faire. Il fixait le jeune homme, son maître, de ses yeux de félin perçants.

C'est après ça que Jungkook décida de terminer la conversation avec Vante. Assez violemment, même.

@jeon_jk

J'aime bien. Pardon mais je vais m'en aller, je suis épuisé. Bonne nuit.

Son interlocuteur avait sûrement été surpris puisqu'il mit une bonne minute à répondre, alors qu'il était toujours dans la discussion. Le noiraud s'en voulut un peu en lisant la dernière réponse du photographe.

@Vante

Oh, très bien. Bonne nuit Jungkook.

L'étudiant hésita même à s'excuser pour reprendre leur conversation, mais il ne le fit pas. Il alla réellement se coucher, cette fois.

**

Mardi soir. Le noiraud finissait tard, il était presque dix-huit heures vingt alors qu'il traversait l'un des derniers couloirs de son bâtiment, dans le but de rejoindre la sortie de l'université. A cette heure, les couloirs étaient vides, les lumières commençaient à se faire éteindre, et l'université arborait un air plus inquiétant. Jungkook n'aimait pas le mardi soir. Il avait l'impression que son école l'engloutissait dans ses entrailles de couloirs, si bien qu'il marchait plus vite, dans le but de ne pas se faire digérer.

Un pas après l'autre, le jeune homme enchaînait les intersections, regardant parfois derrière lui par simple reflex. Le noiraud avait la drôle d'impression qu'il ne sortirait jamais de l'université, ce soir. Tout simplement parce que, quand bien même il connaissait exactement les chemins où il passait, la peur semblait prendre un malin plaisir à rallonger le temps.

Il sursauta violemment quand sa Conscience lui fit un clin d'oeil en apparaissant devant lui. Il s'arrêta un instant, surpris, les yeux écarquillés, puis secoua la tête et la traversa.

Ne va pas trop vite.

Jungkook ferma les yeux quelques secondes en marchant encore et encore, ignorant cette brume noire qui le suivait de près, et il l'entendait comme si cette dernière était nulle part et partout à la fois. Ca le déroutait.

Il faut que tu ailles moins vite, sinon tu vas le manquer.

"Tais-toi tais-toi tais-toi." Chuchota Jungkook en fixant le sol, la tête baissée et la marche si rapide qu'il n'était pas loin de courir.

Encore deux longs couloirs, mais c'était les derniers. Tout allait bien se passer, il allait rentrer chez lui, retrouver Koya, le nourrir, frotter sa petite tête de chat noir, caresser son poil brumeux comme une ombre, faire ses devoirs, relire ses cours, prendre une douche chaude et se glisser dans ses draps confortables. C'était comme ça chaque soir, alors pourquoi pas ce soir également ? Il n'allait rien se passer.

Rien du tout.

Jungkook approchait du dernier couloir, un fin sourire naissant sur ses lèvres gercées par le froid. Il n'était plus bien loin.

Excellent timing. Bravo. Je te laisse ici, à bientôt.

Le noiraud fronça les sourcils en voyant sa Conscience disparaître dans un nuage de fumée noire, accrochant son regard à elle et, en tournant à l'intersection, il fut si obnubilé par son imaginaire qu'il en heurta la réalité.

La réalité qui, ici, était un torse chaud et ferme.

"Oula, doucement jeune homme." Fit une voix grave.

Non.

Non.

Le choc fut si violent que Jungkook commença à tomber sur le côté, jusqu'à ce que deux bras n'encerclent fortement sa taille. Il fut collé à ce torse, collé à cet homme, à ce professeur, à ce châtain, à cette voix grave.

"Jungkook..." Souffla la voix, sous le choc.

Immédiatement, le professeur lâcha le noiraud et recula un peu, pour mettre de la distance entre lui et son élève.

Le cerveau du plus jeune ne répondait plus, son corps était figé, crispé, droit comme un "i". Il arrivait à peine à sentir son coeur battre dans sa poitrine.

Lentement, comme pour être sûr, comme pour s'assurer que le destin était si mesquin avec lui, comme pour être certain que la vie était contre lui, il se retourna.

Juste pour en avoir la certitude.

Son visage se déforma en une expression de terreur intense, de choc violent, d'incompréhension.

Taehyung, lui, détourna le regard en serrant la mâchoire, comme si voir le visage terrorisé de Jungkook lui était insupportable.

Ils restèrent comme ça une bonne vingtaine de secondes, comme s'il n'y avait plus rien à part l'autre, paradoxalement.

Le coeur de Jungkook tambourinait si bruyamment qu'il craignait que le châtain ne l'entende, alors que ce dernier enfermait le noiraud dans un regard sombre et noir. La respiration du cadet se faisait de plus en plus rare.

"Jungkook, je-

-P-pitié."

Jungkook recula, un pas derrière l'autre, lentement, jusqu'à se coller au mur. Ses mains tremblantes tentèrent d'agripper ce dernier, en vain, alors que ses iris horrifiés restaient coincés dans ceux peinés et mal à l'aise de Taehyung.

"Laisse-moi p-partir." Supplia le noiraud, la voix étranglée, le souffle court, comme s'il venait de courir un marathon.

Le châtain ouvrit doucement la bouche, prêt à dire quelque chose, mais se ravisa après les paroles du plus jeune. Il fronça doucement les sourcils en un mélange de surprise, mais amoindrie par l'anticipation. Oui, Taehyung avait anticipé ce genre de supplication. Il savait que le noiraud ne chercherait pas à lui parler mais à le fuir.

"Bien sûr." Murmura-t-il, les poings serrés.

Il garda son regard sur le mur vide, alors que des pas précipités s'éloignaient de son corps recouvert de sa chemise bleue et de son pantalon à pinces noir. Les lèvres scellées, les mâchoires serrées, les poings fermés, il continua de fixer le mur dans lequel l'étudiant avait voulu se fondre quelques secondes plus tôt.

Un dernier souffle anima le couloir noir, seulement éclairé d'un dernier néon, un peu plus loin.

"Tu es si cruel, Jungkook." Laissa-t-il échapper de sa douce voix grave dans un chuchotement qui flotta dans l'air, après qu'il eut tourné les talons, dans le sens opposé.

**

Un sac noir fut jeté près du canapé, réveillant Koya dans un sursaut, et Jungkook se déchaussa, retira son manteau d'hiver, et commença à faire les cent pas, ses mains glissant dans ses mèches ébènes à se les arracher. Il continuait de pleurer, encore et encore, fixant le sol en y voyant ses larmes tomber.

Il faisait une crise de panique doublée d'une crise d'angoisse.

Son animal de compagnie arriva près de lui et tenta de l'attraper au passage pour frotter sa petite tête contre son mollet mais son maître l'ignora. La petite boule de poils noire alla se reposer sur le fauteuil, fixant son propriétaire avec insistance.

Jungkook se figea soudainement, durant une fraction de secondes, puis alla brusquement chercher son téléphone dans son manteau. Ses mains violentes fouillèrent sans ménagement ses poches, jusqu'à trouver l'objet. Il rata deux fois son code tant ses doigts tremblaient, mais réussit tout de même à le déverrouiller. Ses genoux rencontrèrent le sol lorsqu'il ouvrit instagram et alla sur la conversation avec Vante.

Il hésita.

De longues secondes, de longues minutes, figé devant son cellulaire, ses pleurs dévalant ses joues.

Sa peur lui envoya une violente montée d'adrénaline.

Et Jungkook ne cliqua pas sur la petite case des messages.

Non.

Il se dirigea cette fois et sans réfléchir vers le symbole du petit micro. Son doigt instable appuya sur la touche tactile et la maintint, alors que ses lèvres s'entrouvrirent, rougies de mordillements, et sa voix s'y échappa.

"V-Vante... tu es l-là... ?"

En relâchant le bouton, le noiraud vit avec horreur que le message vocal s'était envoyé.

Oh, seigneur.

Il paniqua soudainement et commença à chercher la manipulation à faire pour supprimer le message, mais trop tard ; le "vu" significatif prouvait que Vante avait écouté son rapide message vocal.

L'étudiant resta stoïque et glacé, ses épaules tombèrent quand il se sentit tout-à-coup submergé de honte. Il n'osa même pas réécouter son message, surtout pas lorsque le photographe écrivit à peine trois secondes, avant d'envoyer sa réponse.

@Vante

Jungkook, pourquoi est-ce que tu pleures ?!

Le noiraud renifla, puis il se mit à tapoter sur les touches, horrifié de son propre comportement.

@jeon_jk

Pardon, je suis désolé... Oublie ça, s'il te plaît. C'était sur le moment.

Un long moment de silence dans la discussion suivit le dernier message du plus jeune, avant que son ami virtuel ne daigne répondre.

@Vante

Tu es calmé ? Ca va ?

Un reniflement sonore plus tard, Jungkook se passa une main fatiguée sur le visage, là où ses larmes commençaient à coller sur sa peau de porcelaine. Il secoua la tête, sans savoir quoi faire, quoi dire, et il en eut marre.

Oui, marre d'avoir constamment ce même visage dans la tête.

Celui de Taehyung.

C'est pourquoi, sans aide, sans hésitation et comme un grand, le noiraud tapota sur le clavier tactile des mots qu'il n'aurait jamais pu envoyer dans un état normal.

@jeon_jk

J'aimerais bien qu'on se rencontre, Vante.

Le "vu" fut long, si bien que l'étudiant eut le temps de se calmer complètement, de souffler, de reprendre ses esprits. Ses pieds traînèrent sur le sol ; il continuait de faire les cent pas, mais cette fois-ci lentement, avec épuisement, en faisant frotter ses chaussettes sur le parquet craquelant à son passage. Koya miaula comme seul fond sonore, et un nouveau message arriva.

@Vante

A une seule et unique condition.

Cette réponse ne plut évidemment pas au noiraud, qui fronça des sourcils en relisant plusieurs fois les mots du photographe. Son coeur battait encore la chamade et sa tristesse se transforma en colère, peut-être, oui, ça y ressemblait. C'était plutôt comme un sentiment d'injustice. Quelque chose qui rendait Jungkook nerveux et il en avait par-dessus la tête, d'être nerveux. Pourquoi tout le monde devait tout le temps le rendre comme ça ? Pourquoi ne pouvait-il pas avoir une relation normale et amicale avec quelqu'un ?

Pourquoi ?

Après tout ce qu'il a enduré ces quatre dernières années, allait-il être malheureux toute sa vie ? N'allait-il enfin pas pouvoir se sortir de cet éternel état post-traumatique ? Combien de temps est-ce que ça durait ?

Toute ta vie.

"Toi, la ferme." Grogna de sa voix tremblante le jeune noiraud.

Koya avait disparu de la pièce et sa Conscience se tenait là, sur le canapé, une jambe croisée sur l'autre. Elle haussa même un sourcil.

Devrais-je me taire ?

"Parfaitement. Je n'ai pas besoin de toi."

Plus que tu ne le crois.

"Ferme-là ! Va-t-en ! VA-T-EN !"

Jungkook attrapa un coussin à l'autre bout du sofa et le lança sur elle. Sa Conscience s'évapora alors dans un nuage de fumée noire, et pourtant... Pourtant, elle avait comme eu une nuance de gris, ce soir.

Ses doigts tapotèrent alors sur son téléphone. La colère s'emparait de ses phalanges, ça faisait longtemps. Le noiraud avait presque oublié ce sentiment. Pourtant il avait le droit de l'être, il en avait tous les droits.

@jeon_jk

Une condition ? Et pourquoi ? Pourquoi, Vante ? D'ailleurs pourquoi ne pourrais-je pas savoir ton prénom ? Pourquoi est-ce que tu me caches tout, comme ça ? Si tu ne veux pas être réellement mon ami, va-t-en.

Le cellulaire noir fut jeté sur le canapé et une seconde passa. Puis deux. Puis dix, et Jungkook écarquilla les yeux en se jetant sur son appareil, rouvrant la conversation. Il crut qu'il allait imploser alors qu'il cherchait à comment s'excuser, à comment faire en sorte de garder l'enseignant dans sa vie et-

@Vante

Tu as raison.

Figé, le jeune homme resta stoïque devant l'écran lumineux, ses pouces en suspens au-dessus des lettres virtuelles.

@Vante

Tu as même entièrement raison, Jungkook.

Il attendit, visiblement surpris par l'attitude de son interlocuteur, qui envoya un nouveau message encore.

@Vante

Mais je vais devoir insister sur la condition que je veux te donner.

Jungkook secoua la tête négativement, très lentement, incrédule.

@jeon_jk

Dis-le moi. Je veux te voir.

Le noiraud avait la sensation que la conversation prenait une toute autre tournure, alors que Vante envoya un ultime message qui eut le don de peindre une expression de pure incompréhension sur le visage du plus jeune.

@Vante

On se verra très bientôt à condition que tu me promettes de ne pas t'en aller le moment venu. Une vraie promesse. Tu n'auras pas le droit de la briser.

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Petite altercation entre Taehyung et Jungkook... ^^

J'espère que ce chapitre vous a plu ! Je ne sais pas quand la suite arrivera mais je vais faire au mieux pour que ce soit rapide! ^-^ MERCI infiniment pour les 32K, c'est dingue !! Je vais tout faire pour vous satisfaire dans cette fiction courte, je pense d'ailleurs qu'elle fera officiellement entre 20-25 chapitres! :p

Gros bisous et bonne semaine à tous !! <3