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Chapitre 31


Bon, première nouvelle, Sirius ne m'avait pas montré son engin, et tant mieux.

Deuxième nouvelle, il n'avait rien à me montrer, puisqu'on se trouvait devant un grand sapin de Noël depuis pas mal de temps, et qu'il n'avait rien fait.

Résultat des courses, on avait l'air vachement con.

Au bout d'un long moment, il se décida à bouger le sapin, et devant moi se dressa une vieille tapisserie tout miteuse, ornée de tête des Black et de leurs noms en dessous.

Un arbre généalogique.

Qu'est ce que j'allais foutre de ça ?

Il allait me raconter son histoire ?

- C'est mon ancêtre, tout en haut, m'informa Sirius en me pointant un portait, en haut de l'arbre.

Je savais lire, merci, et je n'étais pas stupide au point de ne pas comprendre que celui en haut était le plus vieux.

Je ne me sentais vraiment pas définie à ma juste valeur, qui était celle - très respectable - de deux... Sur dix. Deux sur dix.

- Daccord... Et ? Osais-je répondre.

Cet homme me faisait très LÉGÈREMENT peur, donc voilà, je restais à ma place quoi.

- Le collier que t'as autour du cou, il est à ma famille.

D'abord, je touchai mon collier, par réflexe, ensuite je me rendis compte qu'il savait, et puis pour finir, qu'il venait de me dire que c'était à lui.

Et puis que ça faisait une autre personne qui connaissait mon secret, mais bon, c'était même plus un secret à ce rythme là.

Mais attendez...

- Quoi ? Hurlai-je. Ça t'appartiens ?! Mais j'ai toujours cru que...

- Je sais, fit-il, indifférent.

D'accord, il perdait un objet qui permettait de ressusciter les gens, et il s'en foutait.

Merlin, cet homme me ressemblait.

- Ton collier trainait depuis pas mal de temps dans mes armoires, depuis tellement longtemps que je ne savais même plus ce que c'était, commença à m'expliquer Sirius, J'ai voulu le jeter, mais Albus savait ce que c'était, et me l'a prit sans vraiment plus d'explication. J'ai appris des mois plus tard ce qu'il en avait fait. Il l'a donné à une jeune sorcière même pas encore à Poudlard et je n'ai jamais compris pourquoi. Maintenant que je t'ai rencontré, je commence à comprendre.

Ok, stop.

Nouvelle un, mon collier ne sortais pas du trou du cul d'un enchanteur mais de celui des Black.

Deux, c'était Dumbeldore en personne qui a décidé, dans sa sagesse ultime de me confier le collier.

J'allais avoir une discussion avec le vieil homme, parce que ça n'allait pas du tout.

Trois, Sirius avait dit que j'étais une personne assez digne pour recevoir le collier.

Ce qui était finalement un compliment involontaire, non ?

- Et pourquoi m'avoir offert un boulon en plus ? Demandai-je.

Il haussa des épaules.

- Pour le style, me fit-il en m'envoyant un clin d'œil.

Ok, ce clin d'œil. voulait clairement dire : "Ce boulon à un intérêt bien spécifique que je ne te dirais pas parce que Dumbeldore m'a demandé de garder le secret".

Il fallait que je devienne analyste des clins d'œils en fait.

Et puis, il quitta la pièce sans vraiment répondre à mes questions.

J'étais interloquée. Dumbledore m'avait filé le collier. Techniquement, c'était de sa faute si je morflais autant, mais c'était un peu impressionnant quand même, parce qu'il m'avait jugée apte à en prendre soin.

Cette décision avait beau me paraître irréfléchie et un peu précipitée, c'était quand même celle du sorcier le plus respecté du quartier, alors j'allais pas contester.

Je sortis donc de la pièce, un large sourire sur les lèvres, laissant derrière moi l'arbre  généalogique de la famille des fous.

J'avais eu des réponses.

|=|

- Alors Fiona, t'as survécu ? Entonna Fred, a peine après avoir passé le seuil du QG.

- Je ne pense pas Fred, regarde, elle sourit, quelque chose ne va pas, c'est grave, intervint George, la mine grave.

- Laissez la tranquille, fit Harry, en passant à côté tout en secouant doucement de la tête.

Oh mon dieu. Harry venait de me défendre contre ces délinquants. J'avais appelé Harry Harry, j'allais avoir du mal à m'y faire.

Et visiblement Fred et George aussi, vu le regard interloqué qu'ils envoyèrent à l'élu.

Waouw c'était bizarre.

Puis, pour gâcher le moment, Ron débarqua en trébuchant sur le rebord de la porte, et vint finir sa course par terre, la face contre le sol.

- Je vais bien, rassura-t-il alors qu'il se relevait sans que personne ne l'aide.

- Arrête de faire l'enfant Ronald, assena Hermione en passant elle aussi la porte, Oh Fiona ! Ça va ? On a pas été trop long j'espère ?

Je lui assurai que non, avant de lui faire un signe discret de la tête.

J'avais à lui parler. Les découvertes que je venais de faire me démangeait. J'avais besoin de tout trier.

Donc, on finit par atterrir dans la chambre de Ginny, avec Ginny qui avait réussis à s'incruster, Hermione sur son lit, et moi par terre, vu que j'avais la flemme de monter sur le susdit lit.

Gardez vos jugements pour vous, merci.

- Alors ? Qu'est ce qu'il y a ? S'enquit Hermione revêtant une mine soucieuse.

- Non, non, ça va, c'est juste que...

- Oooh, qu'est ce qu'il se passe ici ? Fit une voix trop aiguë pour être naturelle.

Je me tournai, et vis que Fred et George avait passé la tête dans l'embrasure de la porte.

Pas possible d'avoir de l'intimité dans cette maison, c'est fou.

- Sortez, gronda Ginny, de sa voix menaçante.

- Non maman, gloussa George.

Et puis, sans aucune soupçon de remord, les jumeaux vinrent s'assoir à côté de Ginny, l'encerclant.

- Bon, qu'est ce qui se passe ? Demanda Hermione, sur la défensive, coincée entre Fred et le bout du lit.

C'était qu'ils étaient quatre sur le matelas.

Les jumeaux étaient suspects. Et comme ils étaient à peu près tout le temps coupables, le fait qu'ils aient l'air suspects aggrava ma méfiance.

- Maman est en colère, répondit Fred en haussant des épaules.

- Ouais, à cause de papa, renchérit George.

- Du coup elle passe sa colère sur vous, continua leur sœur.

- T'as tout compris.

Ma sœur leva les yeux au ciel.

Ils n'avaient pas tort. L'ouragan Molly était vraiment redoutable, et les fois où je l'avais vue exploser, ce n'était même pas contre moi, donc j'imaginais que ça devait être éprouvant.

- On se planque ici parce qu'on a pas d'autre choix, Ginny est la chouchoute, Maman viendra jamais l'embêter, conclut George.

Puis, on entendit toquer à la porte.

La tête de Ron passa dans l'ouverture.

- C'est Maman, elle est fâchée, commença-t-il.

On dirait qu'on allait devoir remettre notre discussion à plus tard.

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