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Chapitre 8

   Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, Mrs Weasley nous réquisitionna pour débarrasser le petit salon des Doxys — de petites créatures à l'apparence humanoïde dont la morsure était venimeuse.

   Alors que nous les aspergions avec du doxycide, un torchon noué autour de la tête pour couvrir notre nez et notre bouche, Fred et George essayait d'en capturer le plus possible. Ils les arrosaient de doxycide et les glissaient dans leur poche. Ils voulaient récolter du venin de Doxy pour leurs Boîtes à Flemme. Avant qu'Harry n'arrive, j'avais repris ma fonction de cobaye pour leur expériences. Chaque sucrerie contenait deux parties colorées : l'une te rendait malade, l'autre te remettait d'aplomb. Ils m'avaient fait tester de nouvelles sucreries, comme les petits fours Tourndelœil, le nougat Néansang ou les pastilles de Gerbe. Pour celles-ci, j'avais eu beaucoup de mal à m'arrêter de vomir assez longtemps pour manger l'antidote et les jumeaux avaient dû me payer le prix fort — un paquet de bonbons de chez Honeydukes, avec des Patacitrouilles, des Fizwizbiz, des souris glacées, des Bulles baveuses et des crapauds à la menthe — mais cela marchait plutôt bien.

///

   L'audience d'Harry au Ministère se déroula le jeudi matin, une semaine après son arrivée. Il quitta le Square Grimmaurd avec Mr Weasley très tôt, je dormais encore. Je me réveillai vers neuf heures avec la boule au ventre. Je ne mangeai presque rien au petit-déjeuner. Nous attendîmes impatiemment le retour de Mr Weasley et d'Harry, tous regroupés dans la cuisine, discutant de choses et d'autres.

   Ils revinrent peu avant le déjeuner. Hermione, Ron et moi lui sautâmes dessus pour connaître le dénouement tant attendu.

   — Alors ?? le pressai-je. Tu n'es pas renvoyé, rassure-moi !?

   — Non, je ne suis pas renvoyé...

   — Oh par la barbe de Merlin, merci ! soupirai-je de soulagement.

   — Je le savais ! s'exclama Ron. Tu t'en sors toujours.

   — Ils ne pouvaient pas faire autrement que te disculper, fit Mione avec un léger sourire, encore pâle d'inquiétude. Il n'y avait absolument rien à te reprocher.

   — Mais oui ! appuyai-je.  Et de toute manière, s'il l'avait fallu, j'aurai pu témoigner.

   — Ça aurait été compliqué, fit remarquer Harry.

   — De toute manière, j'étais sûre et certaine que tu allais t'en sortir.

   — Tu m'as quand même l'air bien soulagée pour quelqu'un qui est censé être sûr de soi.

   J'haussai les épaules.

   — Le principal, c'est que tu puisses revenir avec nous à Poudlard ! dit Hermione.

   — Oui, sourit Harry.

   Fred, George et Ginny avaient entamé une sorte de danse de la victoire autour de la table en scandant "il s'en est tiré, il s'en est tiré, il s'en est tiré...". Mr Weasley leur demanda de faire moins de bruit avant de dire :

   — Écoute bien, Sirius, Lucius Malefoy était au Ministère...

   — Quoi ? grogna Sirius, les sourcils froncés.

   — Oui, confirma Mr Weasley l'air embêté. On l'a vu parler avec Fudge au niveau neuf et ensuite, ils sont montés ensemble dans le bureau de Fudge. Il faut mettre Dumbledore au courant.

   — Absolument, fit Sirius. On le lui dira, ne t'inquiète pas.

   Mr Weasley pinça les lèvres et hocha la tête.

   — Je ferais mieux d'y aller, il y a des toilettes régurgitantes qui m'attendent à Bethnal Green, annonça-t-il. Molly, je rentrerais tard, je remplace Tonks, mais il se peut que Kingsley vienne dîner.

   Il quitta la cuisine après avoir déposé un baiser sur la tempe de Mrs Weasley. Cette dernière servit une assiette pleine à Harry qui mangea avec nous. Il avait l'air préoccupé par quelque chose et j'étais bien décidée à savoir quoi.

   — Harry, ça va ? demandai-je par la pensée.

   — Je t'expliquerai, répondit-il immédiatement.

   J'avais visé juste. Quelque chose l'avait dérangé pendant l'audience, ou en tout cas pendant sa petite visite du Ministère.

   Après manger, nous nous retrouvâmes tous les quatre dans la chambre des filles. Ginny était avec les jumeaux, sûrement à vadrouiller dans la maison pour faire quelques farces à Kreattur.

   — Alors, Harry, tu vas nous raconter ce qui te met dans cet état-là ? demandai-je en refermant la porte. Tu n'as lâché que trois mots depuis que tu es rentré du Ministère.

   — Ouais, désolé, c'est juste que... Pendant l'audience, j'étais vraiment au plus mal et... J'avais réellement peur que tout s'arrête. Que je ne puisse plus retourner à Poudlard.

   — C'était impossible, Harry, ils-

   Je coupai Hermione en posant une main sur son avant-bras. Elle se tut.

   — Et là, continua Harry, Dumbledore est entré dans la salle. J'ai pu respirer à nouveau, j'étais tellement soulagé !... La suite, vous la connaissez : il m'a défendu, et je m'en suis sorti.

   — Harry... Je ne vois pas tellement où est le problème dans ce que tu racontes, intervint Ron.

   Un instant, j'eus peur que mon frère ne se braque et ne s'énerve comme la dernière fois. Mais, à la place, ses yeux s'assombrirent et il baissa le regard vers ses mains.

   — Pendant tout le temps où il était présent, Dumbledore ne m'a adressé un seul mot. Il ne m'a même pas regardé.

   Je restai silencieuse, surprise.

   — J'aurais au moins aimé le remercier... reprit Harry. Mais dès la fin de l'audience il s'est dépêché de sortir.

   Ron et Hermione affichèrent un air gêné.

   — Peut-être qu'il n'avait rien à te dire, tenta Hermione d'une petite voix.

   — Non, Hermione, c'était bien plus que ça. Je l'ai senti. C'était comme s'il voulait m'éviter à tout prix.

   — Tout ce que je peux te conseiller maintenant, Harry, c'est de ne plus y penser du tout... dis-je. On éclaircira tout ça à la rentrée. On ira voir Dumbledore, si tu veux. Mais pour l'instant il n'est pas là, alors préparons cette nouvelle année au mieux. Tu verras, je suis sûre qu'il avait une bonne raison, le rassurai-je en posant une main sur la sienne.

   Harry hocha la tête, peu convaincu. Je lui souris. J'aurais aimé pouvoir en faire plus mais j'étais aussi perdue que lui. Je voulais juste qu'il ne se prenne pas trop la tête avec ça.

///

   La fin des vacances approchaient à grands pas. Étrangement, j'avais plutôt hâte de revenir en cours et de quitter cet endroit qu'était le Quartier Général. L'ambiance de cette maison me plaisait de moins en moins.

   Nous reçûmes les listes des livres à acheter pour l'année la veille de la rentrée. Jamais elles n'étaient parvenues aussi tard.

   Il n'y avait que deux nouveaux livres à obtenir. Le Livre des sorts et enchantements, niveau 5, par Miranda Fauconnette, et Théorie des stratégies de défense magique, par Wilbert Eskivdur.

   — Le nouveau livre, celui d'Eskivdur, signifie sûrement que Dumbledore a trouvé un nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal, fit remarquer George.

   — Il était temps, d'ailleurs, dit Fred.

   — Comment ça ? questionna Harry.

   — Avec les Oreilles à Rallonge, on a surpris une conversation entre Maman et Papa il y a quelques semaines et, d'après ce qu'ils disaient, Dumbledore avait beaucoup du mal quelqu'un cette année, expliqua Fred.

   — Pas étonnant, vu ce qui est arrivé aux quatre derniers, fit George.

   — Un amnésique, un mort, un renvoyé et le dernier enfermé dans une malle pendant neuf mois, énuméra Harry. Oui, ça se comprend.

   — On dirait vraiment que ce poste est maudit, dis-je.

   — Ça va, Ron ? demanda Fred.

   Je me tournai vers mon ami. Il était totalement immobile, les yeux écarquillés et la bouche entrouverte. Il tenait sa lettre de Poudlard entre les mains.

   — Eh, respire ! m'exclamai-je en le secouant un peu. Qu'est-ce qui t'arrive ?

   Fred, qui s'était placé à ses côtés pour identifier la source de sa crise, afficha le même air lorsqu'il lut la lettre que son frère avait reçu.

   — Préfet ? s'exclama-t-il. Préfet ??

   George, interloqué, arracha l'enveloppe des mains de Ron et la retourna. Un petit objet rouge et or tomba dans sa main.

   — Impossible, murmura George dans un souffle.

   — Il y a eu erreur, fit Fred en examinant la lettre à la lumière de l'ampoule, comme s'il était possible qu'il y ait un message caché.

   — On pensait que ce serait toi ! s'exclama George en se tournant vers Harry.

   — On se disait que c'était obligé qu'il te choisisse !

   — Après avoir remporté le Tournoi des Trois Sorciers et tout ça !

   — Je n'arrive pas à y croire... Ron préfet !

   — Maman va devenir intenable, marmonna George en rendant son insigne à Ron.

   Le regard de ce dernier jonglait entre Harry et moi, comme s'il attendait que l'on confirme l'authenticité de la lettre.

   — Félicitations, Ron ! dis-je en le prenant dans mes bras. Tu le mérites amplement.

   J'eus l'impression d'enlaçer une poupée de chiffon mais l'émotion était la même.

   Harry emprunta l'insigne un instant pour la regarder de plus près. Hermione entra à ce moment-là dans la chambre.

   — Vous avez... Vous avez eu... ?? questionna-t-elle, visiblement essoufflée.

   Ses yeux se dirigèrent vers l'insigne qu'Harry tenait entre ses doigts.

   — Je le savais !! s'écria-t-elle d'une voix aiguë. Moi aussi, Harry, moi aussi !

   — Non, en fait c'est Ron, pas moi, dit Harry précipitamment en remettant l'insigne dans la main de Ron.

   — C'est... Quoi ?

   — C'est Ron qui est préfet. Pas moi.

   — Oh, lâcha Hermione, moins enthousiaste. Eh bien, dis-donc... Waouh ! Bravo, Ron ! C'est vraiment, euh...

   — Inattendu, termina George.

   — Oh, non ! répliqua Hermione. Non, pas du tout... Ron a fait beaucoup de... Il est très...

   Elle fut coupée par l'entrée soudaine de Mrs Weasley dans la chambre, une pile de robes de sorciers propres dans les bras.

   — Ginny m'a dit que les listes de livres étaient enfin arrivées, dit-elle en posant les robes sur l'un des lits. Vous n'avez qu'à me les donner, j'irais sur le Chemin de Traverse cette après-midi et je prendrai vos livres pendant que vous préparerez vos valises. Ron, il faut que je t'achète d'autres pyjamas, les tiens sont beaucoup trop petits. C'est fou ce que tu grandis vite... Quelle couleur tu voudrais ?

   — Prends-les rouge et or pour aller avec son insigne, railla George.

   — Son quoi ? demanda Mrs Weasley d'un air distrait alors qu'elle s'apprêtait à ramasser quelques vêtements sales qui jonchaient le sol.

   — Son insigne, répéta Fred. Son magnifique insigne tout neuf et tout brillant de préfet.

   Mrs Weasley arrêta tout mouvement mais l'information sembla mettre un certain temps à parvenir jusqu'à ses oreilles.

   — Son... Mais... Ron, tu... Tu n'es pas...

   Ron montra fièrement son insigne aux couleurs de Gryffondor. Mrs Weasley poussa un cri perçant et se jeta sur lui.

   — Je n'arrive pas à le croire ! Je n'arrive pas à le croire ! Oh, Ron, c'est merveilleux ! Un préfet ! Tout le monde l'a été dans la famille !

   — Et Fred et moi on est qui ? des voisins de palier ? grogna George.

   Je ricanai. Il roula des yeux.

   — Quand ton père saura ça !! s'écria Mrs Weasley en enlaçant Ron. Je suis si fière de toi ! Quelle fabuleuse nouvelle, tu deviendras peut-être préfet-en-chef, comme Bill et Percy, c'est le premier pas ! Oh, quelle joie au milieu de tous ces soucis...

   Elle couvrit son fils de baisers tandis que les jumeaux faisaient mine de vomir derrière son dos.

   — Maman, calme-toi... marmonna Ron en essayant de repousser sa mère.
   — Alors, qu'est-ce que tu voudrais ? questionna cette dernière en s'écartant de lui. On avait offert un hibou à Percy mais tu en as déjà un...

   — Comment ça ?

   — Il faut bien te récompenser ! dit Mrs Weasley comme une évidence. Tu veux des nouvelles tenues de soirées ?

   — On lui en a déjà acheté, intervint Fred d'un ton amer.

   — Ou un chaudron neuf ? proposa alors Mrs Weasley. Le tien est tout rouillé... Il faut dire qu'il date de l'époque de Charlie. Ou peut-être un autre rat ? Tu as toujours aimé Croûtard...

   — Maman, coupa Ron les yeux brillants, je pourrais avoir un nouveau balai ?

   Mrs Weasley déchanta légèrement.

   — Pas forcément un beau balai, ajouta rapidement Ron devant l'air de sa mère, juste un neuf, pour changer.

   Mrs sembla hésiter. Je comprenais, les balais étaient très chers. Mais l'occasion était vraiment spéciale à ses yeux, apparemment, puisqu'elle finit par sourire :

   — Bien sûr que tu l'auras, concéda-t-elle. Je ferais mieux de me dépêcher, alors, si je dois aussi acheter un balai. À tout à l'heure ! lança-t-elle à la cantonade. Et n'oubliez pas de faire vos bagages !

   Elle embrassa Ron une dernière fois et quitta la chambre en continuant de s'extasier sur la nouvelle.

   Fred et George partirent rapidement aussi. Ils avaient l'air d'avoir mal prit la nomination de Ron. Cela m'étonnait un peu, mais ils se calmeraient d'ici peu.

   Ensuite, ce fut au tour de Ron de quitter la pièce pour aller demander à sa mère de choisir un Brossdur. Le nouveau modèle venait de sortir.

   Hermione partit aussi après avoir demandé à Harry si elle pouvait lui emprunter Hedwige pour prévenir ses parents. Harry entreprit de ranger quelques affaires dans sa valise.

///

   Mrs Weasley revint du Chemin de Traverse aux alentours de six heures. Elle mit immédiatement la main à la pâte pour le repas du soir. Elle avait décidé de faire une petite fête pour accueillir la nouvelle comme il se devait. Il y avait une grande banderole accrochée au-dessus de la table de la cuisine :

FÉLICITATIONS À RON ET À HERMIONE
LES NOUVEAUX PRÉFETS

   Les personnes conviées au dîner — c'est à dire Sirius, Remus, Nymph, Kingsley Shacklebolt, Maugrey, Mr Weasley et Bill — arrivèrent l'une après l'autre et félicitèrent Ron et Hermione.

   — Je n'ai jamais été préfète, dit alors Nymph. Le directeur de ma maison disait que je manquais de certaines qualités indispensables.

   — Par exemple ? demanda Ginny.

   — Par exemple, la capacité de me conduire convenablement.

   Je ris, suivie de près par Ginny.

   — Et Sirius ? demanda-t-elle.

   Le concerné éclata de son rire rauque.

   — Personne n'aurait songé à me nommer préfet, je passais trop de temps en retenue avec James. C'était Lupin, le bon élève. C'est lui qui a eu l'insigne.

   Je me tournai vers Remus et haussai les sourcils, impressionnée.

   — Dumbledore espérait sûrement que je parviendrais à exercer un contrôle sur mes meilleurs amis, ricana-t-il. Ai-je besoin de préciser que j'ai lamentablement échoué ?

    Je ris doucement et pris une gorgée de Bièrraubeurre. Quand je reposai mon verre, Bill, assis en face de moi, me fit comprendre que j'avais de la mousse sur les lèvres. Je l'essuyai rapidement et dut subir une légère moquerie de sa part. Cela me faisait plaisir de le revoir, cela faisait longtemps.

   — Quand vas-tu couper tes cheveux ? dit Mrs Weasley sur un ton de reproche.

   — Je ne sais pas, Maman, répondit Bill. Pour l'instant je les aime bien comme ça.

   — On se demande jusqu'où ils vont pousser, continua Mrs Weasley. Tu es si beau garçon, pourtant, ce serait tellement mieux si tu les faisais couper, tu ne penses pas Lizzie ?

   — Oh, euh... hésitai-je, prise au dépourvu, je ne sais pas... Je trouve que ça lui va bien, comme ça...

   Mrs Weasley leva les yeux au ciel, les lèvres pincées, mais ne fit aucune autre remarque. Bill la regarda s'éloigner avec soulagement.

   — Je l'aime plus que tout, mais elle oublie souvent que je ne suis plus un enfant, me dit-il.

   — Ça lui passera avec le temps, dis-je. Surtout que, d'après ce qu'on dit, ça plaît beaucoup aux françaises... ajoutai-je malicieusement.

   La réaction de Bill fut automatique. Un léger sourire apparut sur ses lèvres et ses oreilles devinrent rouges, comme celles de Ron quand il était gêné.

   — Comment est-ce que tu sais ça, toi ? me demanda Bill.

   — J'ai mes sources. Ne te fais pas de souci pour ça, ce n'est pas le plus important. Je suis vraiment heureuse pour vous. Fleur est une fille géniale quand on apprend à la connaître.

   — C'est vrai... Je l'apprécie vraiment. C'est ma première relation sérieuse, alors j'espère qu'elle va durer.

   — Il y a intérêt !

   Bill me sourit. Je me servis une pomme de terre au four et bus une nouvelle gorgée de Bièrraubeurre.

   Le repas se déroula dans la bonne humeur, pour la première fois depuis longtemps. Remus vint s'asseoir à côté de moi. Il réussit à se détendre pour la soirée.

   Le lendemain, nous prendrions le train pour aller à Poudlard et entamer notre cinquième année. J'avais hâte de retrouver les couloirs du château que je connaissais depuis déjà quatre ans. L'été avait été très long. Même les cours me manquaient, et c'était dire.

   J'espérai également retrouver Drago au plus vite. Il m'avait énormément manqué.

   Oh, mince. Cela me rappelait que je n'avais pas répondu à sa dernière lettre. Les retrouvailles n'allaient peut-être pas être si agréables que ça.

   Ce serait possible d'avoir une semaine de vacances de plus ?

☆★☆★☆

Euh...

Bonjour ? 😅

J'ai extrêmement peur de poster ce chapitre étant donné que cela deux mois que je n'ai pas donné signe signe de vie sur cette histoire.
J'espère que vous ne m'en voulez pas trop :/ comme je l'ai déjà dit, j'ai le bac à réviser (les épreuves commencent lundi 18 😣) et je ne voulais pas louper ma chance, alors je me suis concentrée dessus. D'ailleurs, courage à ceux qui le passent aussi ! Et courage à ceux qui passent des examens en général 💚
Voilà, j'espère que ce chapitre vous a plu, pour un petit retour 😊 je serais probablement plus active bientôt, vu que ça va être les vacances 🌴
Je vous dis donc à bientôt, je vous aime fort 💚

P-S : je vous invite tous à aller faire un tour sur mon RantBook, j'ai été pas mal active dessus dernièrement 😊

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