Chapitre 7
— Je vois que tu as déjà fait connaissance avec ma mère., dit Sirius en désignant le portrait désormais caché par les rideaux.
— Ta... mère ?, questionna Harry, visiblement choqué.
— Ma chère vieille mère, oui., répondit Sirius. Cela fait un mois que nous essayons de la décrocher, en vain. Elle a sûrement jeté un sort de Glu Perpétuelle derrière la toile. Viens, partons avant qu'elle ne se réveille à nouveau.
Il posa son bras autour des épaules d'Harry et l'entraîna dans la cuisine. Je les suivis avec les autres.
Je pris place à table entre Mr Weasley et Remus, en face d'Harry. Le repas se déroula dans le calme et le silence. On entendait uniquement le raclement des couverts contre la porcelaine des assiettes. Quelques phrases fusaient par-ci, par-là mais en général tout le monde savourait le ragoût de Mrs Weasley sans rien dire.
Lorsque nous eûmes terminé la succulente tarte à la rhubarbe de Mrs Weasley, tout le monde montra des signes de fatigue évidents.
— Je crois qu'il est temps d'aller se coucher., dit Mrs Weasley en étouffant un bâillement.
— Pas encore, Molly., dit Sirius en se redressant. Tu sais, Harry, je suis un peu surpris.
Harry leva les yeux vers lui.
— Je pensais que la première chose que tu ferais en arrivant ici serait de poser des questions sur Voldemort.
Un frisson parcourut l'assemblée.
— Bien sûr que j'ai posé des questions !, répliqua Harry. J'en ai posé à Ron, à Hermione, et à Lizzie mais ils m'ont dit qu'ils n'étaient pas admis aux réunions de l'Ordre !
— C'est vrai., intervint Mrs Weasley. Vous êtes trop jeunes.
Je me fis toute petite sur ma chaise.
— Depuis quand doit-on être membre de l'Ordre du Phénix pour poser des questions ?, demanda Sirius. Harry a été prisonnier de cette maison moldue pendant un mois entier. Il a le droit de savoir ce qui s'est passé.
— Eh, attendez un peu !, s'exclama George, me faisant sursauter.
— Comment se fait-il que l'on réponde aux questions d'Harry ?, demanda Fred.
— On a essayé de tirer quelque chose de vous pendant un mois et vous ne nous avez pas raconté la moindre chose !
— Vous êtes trop jeunes, vous n'êtes pas membre de l'Ordre !, s'écria Fred en imitant la voix de sa mère. Harry, lui, n'est même pas majeur !
— Ce n'est pas de ma faute si on ne vous a rien dit de ce que faisait l'Ordre., répondit Sirius avec un calme qui m'inquiétait légèrement. Harry, en ce qui le concerne...
— Ce n'est pas à toi de juger ce qui est bon ou pas pour Harry !, siffla Mrs Weasley. J'imagine que tu n'as pas oublié ce qu'a dit Dumbledore ?
— À quel moment ?, questionna innocemment Sirius.
— Au moment où il nous a recommencé de ne rien révéler plus de choses qu'ils n'ont besoin de savoir., rappela Mrs Weasley en appuyant sur les trois derniers mots.
Tout le monde s'était tut dans la salle, moi la première.
— Je n'ai pas l'intention de lui dire plus que ce qu'il a besoin de savoir, Molly., dit Sirius. Mais comme c'est lui qui a vu revenir Voldemort, il a davantage le droit de...
— Il n'est pas membre de l'Ordre du Phénix !, s'exclama Mrs Weasley en essayant de se contenir. Il n'a que quinze ans et...
— ... Il a dû affronter autant d'épreuves que la plupart des membres de l'Ordre. Et même plus que certains.
— Personne ne nie ce qu'il a fait ! Mais il est encore...
— Ce n'est plus un enfant !, grinça Sirius.
— Ce n'est pas non plus un adulte !, répliqua Mrs Weasley. Ce n'est pas James !
— Je sais parfaitement qui il est, Molly., dit Sirius d'un ton glacial.
Je me sentais de trop. S'ils continuaient ainsi, je n'aurais pas le courage de rester jusqu'au bout.
— Je n'en suis pas si sûre ! Parfois, à t'entendre, on dirait que tu viens de retrouver ton meilleur ami !
— Qu'est-ce qu'il y a de mal à ça ?, demanda Harry.
— Ce qu'il y a de mal, Harry, c'est que tu n'es pas ton père, même si tu lui ressembles beaucoup., dit Mrs Weasley, le regard fixé sur Sirius. Tu vas encore à l'école et les adultes responsables de ton éducation ne devraient pas l'oublier !
— Ce qui signifie que je suis un parrain irresponsable ?, s'indigna Sirius.
— Ce qui signifie que tu es connu pour tes comportements irréfléchis, Sirius ! Et c'est pourquoi Dumbledore ne cesse de te répéter que tu dois rester ici...
— Laissons les instructions de Dumbledore de côté, tu veux bien ?, grinça Sirius.
— Arthur, défends-moi !, s'exclama Mrs Weasley.
Mr Weasley, qui suivait la conversation avec assiduité parut embêté qu'on lui demande d'y prendre part. Il soupira légèrement.
— Dumbledore sait que la situation a changé, Molly., dit-il. Il accepte l'idée qu'il faut mettre Harry au courant — jusqu'à un certain point — maintenant qu'il est venu s'installer au Quartier Général.
— D'accord, mais il y a une différence entre ça et l'encourager à poser toutes les questions qu'il veut !
— Personnellement, intervint Remus calmement, je préfère qu'Harry apprenne les faits — pas tous, Molly — de notre bouche plutôt que par d'autres personnes qui lui donneraient une version déformée.
Mrs Weasley resta interdite un instant. Elle pinça les lèvres.
— Très bien., dit-elle sèchement en jetant un regard à l'assemblée, recherchant un quelconque soutien. Très bien, je vois que je suis en minorité. J'ajouterai seulement ceci : Dumbledore doit avoir ses raisons pour ne pas vouloir qu'Harry en sache trop, et comme je suis quelqu'un à qui les intérêts d'Harry tiennent particulièrement à cœur...
— Il n'est pas ton fils., dit calmement Sirius, visiblement soulagé de la voir capituler.
— C'est comme s'il l'était !, rétorqua Mrs Weasley. Qui d'autre a-t-il ?
— Il a Lizzie ! Il m'a, moi !
— Ah oui, sauf que Lizzie est dans la même situation que lui et qu'il était plutôt difficile pour toi de t'en occuper pendant que tu étais enfermé à Azkaban !
Sirius bondit de sa chaise, me clouant sur place.
— Molly, intervint immédiatement Remus, tu n'es pas la seule personne autour de cette table qui se soucie de Harry. Sirius, rassieds-toi.
Sirius retomba dans sa chaise, le visage pâle et fermé. Mrs Weasley n'avait pas cillé.
— Je pense qu'Harry et Lizzie, puisqu'elle est également concernée, devraient avoir leur mot à dire.
— Je veux savoir ce qu'il s'est passé., dit immédiatement Harry. Je pense qu'il en est de même pour Lizzie.
J'hochai timidement la tête.
— Très bien., répéta Mrs Weasley. Ginny, Ron, Hermione, Fred et George, vous sortez tout de suite de la cuisine.
Il y eut immédiatement un concert de protestations. Je me ratatinai sur ma chaise.
— SILENCE !, hurla Mrs Weasley. J'interdis absolument-
— Molly, tu ne peux pas interdire à Fred et George de rester., dit Mr Weasley d'une voix forte. Ils sont majeurs.
— Ils vont toujours à l'école !
— Mais légalement, ce sont des adultes.
Mrs Weasley tenta de se contenir, rouge écarlate.
— Très bien. Dans ce cas, Fred et George peuvent rester mais Ron...
— De toute façon, Harry et Lizzie nous diront tout à Hermione et à moi !, s'écria Ron. Pas vrai ?, questionna-t-il en se tournant vers nous.
— Bien sûr., dit Harry, tandis que j'acquiesçai avec un petit sourire.
— Bon, d'accord !, capitula Mrs Weasley. Ginny, au lit !!
On entendit protester Ginny jusqu'à ce qu'elle soit dans sa chambre. Ses cris réveillèrent Mrs Black qui se mit à vociférer des insultes. Remus se dépêcha d'aller refermer le rideau. En revenant, il ferma la porte de la cuisine et revint s'asseoir à côté de moi.
— Ok, Harry..., commença Sirius. Que veux-tu savoir ?
— Où est Voldemort ?, demanda mon frère. Que fait-il ? J'ai essayé de regarder les informations Moldues mais on n'a encore rien annoncé qui porte sa marque, pas de morts étranges, rien.
— C'est parce qu'il n'y a eu aucune mort étrange pour l'instant., expliqua Sirius. De ce que nous savons, en tout cas.
— Et nous en savons beaucoup., dit Remus. Plus qu'il ne le pense.
— Et... comment se fait-il qu'il n'ait plus tué personne ?, demandai-je timidement.
Je me rappelais des nombreux meutres qu'il avait fait commettre les années précédentes. Rien que la dernière. Croupton... Cedric.
Sirius posa ses yeux sur moi pour la première fois depuis le début du repas.
— Parce qu'il ne veut pas attirer l'attention sur lui., expliqua-t-il. Ce serait dangereux. Son retour ne s'est pas déroulé comme il l'avait prévu. Il l'a raté.
— Ou plus exactement, tu le lui as fait rater, Harry., dit Remus.
— Comment ça ?, questionna Harry.
— Tu n'étais pas censé revenir !, répondit Sirius. Personne, en dehors de ses Mangemorts, ne devait savoir qu'il était revenu. Mais tu as survécu et témoigné.
Harry baissa les yeux.
— Lizzie ?, m'appela-t-il par la pensée.
— Oui ?
— Tu n'as reçu aucune vision de... de quand j'étais là-bas ?
— Non, aucune... Tu m'en as envoyé ?
— J'ai essayé... On devait être trop éloigné l'un de l'autre... Il faut que l'on travaille ça.
J'hochai discrètement la tête.
— La personne qu'il voulait à tout prix tenir dans l'ignorance de son retour, c'était Dumbledore., dit Remus. Or, tu l'as prévenu.
— Grâce à toi, Dumbledore a pu réunir à nouveau l'Ordre du Phénix environ une heure après le retour de Voldemort., ajouta Sirius.
— Et qu'a fait l'Ordre ?
— Tout son possible pour empêcher Voldemort de mener à bien ses projets.
— Comment pouvez-vous les connaître, ses projets ?
— Dumbledore a une idée de la question., dit Remus. Et les idées de Dumbledore se révèlent souvent exactes.
— Il pense que Voldemort veut reconstituer son armée., expliqua Sirius. Dans le passé, il avait énormément de gens sous ses ordres : des sorcières et des sorcières qu'il avait obligés à le suivre en les brutalisant ou en les ensorcelant, et puis ses fidèles Mangemorts bien sûr, et toutes sortes de créatures des ténèbres. Tu l'as entendu dire qu'il avait l'intention de recruter des géants, mais ce ne sont pas les seuls qu'il cherche à rallier. Il n'essayera sûrement pas de s'attaquer au Ministère de la Magie avec une douzaine de Mangemorts.
— Alors vous essayer de l'empêcher de réunir des partisans ? Comment ?
— Tout d'abord, nous devons convaincre le plus de gens possibles qu'il est revenu pour qu'ils soient sur leurs gardes., répondit Remus. C'est déjà assez compliqué...
— Pourquoi ?
— À cause de la position du Ministère. Cornelius Fudge refuse catégoriquement de croire que c'est vrai.
— Mais pourquoi ?, demandai-je. Il a toutes les preuves devant lui, même Dumbledore...
— Et voilà, tu as mit le doigt sur le problème., m'interrompit Remus. Dumbledore.
— Fudge a peur de lui., intervint Nymph pour la première fois. De ce qu'il prépare.
— Fudge pense que Dumbledore veut son poste de Ministre., dit Remus.
— Mais Dumbledore n'a jamais voulu son poste, une personne saine d'esprit ne peut pas penser qu'il-
— C'est là, le problème., le coupa Remus. Fudge n'est pas sain d'esprit. Ses pensées sont tordues, perverties par la soif de pouvoir et par la peur. La peur fait faire des choses horribles, Harry. La dernière fois que Voldemort s'est imposé au pouvoir, il a failli détruire tout ce qui nous est cher. Il est de retour, et le Ministre est prêt à tout pour fuir cette vérité terrifiante.
— Parce qu'accepter le fait que Voldemort soit de retour signifie devoir affronter des problèmes que le Ministère n'a plus jamais connu depuis près de quatorze ans., continua Sirius. Et Fudge ne peut s'y résoudre. Il est tellement plus confortable à ses yeux de se convaincre que Dumbledore ment dans le seul but de le mettre en difficulté... Fudge aime être Ministre. Il aime à croire qu'il est le plus intelligent et que Dumbledore essaie simplement de provoquer des troubles dans son propre intérêt.
— Et cela nous met en difficulté de notre côté, car tant que le Ministère affirme qu'il n'y a rien à craindre, il est compliqué de convaincre les gens que Voldemort est bel et bien de retour. De plus, le Ministère s'appuie beaucoup sur la Gazette du Sorcier pour que les "fausses rumeurs de Dumbledore" comme ils aiment à les appeler, ne soient jamais rendues publiques.
— Mais vous en parlez autour de vous, non ?, demanda Harry. Vous prévenez les gens ?
— Comme tout le monde pense que je suis un tueur complètement fou et que le Ministère offre dix mille Gallions pour ma capture, il est difficile de me promener dans la rue en distribuant des tracts, tu comprends ?, dit Sirius avec un rire nerveux.
— Et moi, je ne suis pas l'hôte idéal dans les dîners en ville., dit Remus. Ça fait partie des risques du métier, quand on est loup-garou.
Je levai les yeux vers lui. Il me sourit et me prit la main.
— Tonks et Arthur perdraient leur emploi au Ministère s'ils se mettaient à en parler., reprit Sirius. Et il est très important pour nous d'avoir des espions à l'intérieur du Ministère, car Voldemort en a aussi, je peux l'assurer.
— Mais si Voldemort essaie de rassembler de nouveaux Mangemorts, on finira forcément par s'apercevoir de son retour, non ?, demanda Harry, plein d'espoir.
— Voldemort ne va pas frapper à la porte des gens. Il les trompe, les ensorcelle, leur fait du chantage. Mais, de toute façon, il ne cherche pas seulement à recruter des partisans... Il cherche quelque chose. Quelque chose qu'il n'avait pas, la dernière fois.
— Tu penses à... à une arme ? Quel genre d'arme ? Pire que l'Avada Kedavra ?...
— Bon, ça suffit !, s'exclama Mrs Weasley, me surprenant. Maintenant, vous allez me faire le plaisir d'aller vous coucher. Tous !
— Tu n'as plus le droit de nous commander., protesta Fred.
— C'est ce qu'on va voir., maugréa Mrs Weasley. Tu as déjà donné plein d'informations à Harry et Lizzie., dit-elle à Sirius d'un ton plus calme que tout à l'heure. Si tu continues, autant les faire entrer directement dans l'Ordre.
— Oui !, m'exclamai-je.
— Il n'en est pas question !, s'exclama Mrs Weasley.
— Et pourquoi pas ?, demanda Harry. Nous voulons en être ! Si Dumbledore lève une armée, nous voulons nous battre !
— Non., répliqua Remus, qui gardait ma main dans la sienne. L'Ordre ne comprend que des sorciers qui ont atteint ou dépassé la majorité. Et qui ont fini leurs études., ajouta-t-il en voyant Fred et George ouvrir la bouche. Il existe des dangers dont vous n'avez aucune idée... Je crois que Molly a raison, Sirius. Nous en avons assez dit.
Sirius haussa les épaules d'un air indifférent. Mrs Weasley invita tout le monde à quitter la cuisine rapidement. L'air toujours aussi fermé, je me levais en dernière et suivis les autres.
— Lizzie ?, m'appela Sirius.
— Oui ?
Tout le monde s'était retourné en même temps que moi. Mrs Weasley râla et les fit sortir de la pièce.
— Viens me voir, ma chérie.
J'obtempérai en silence. Je m'assis à côté de lui, dans le coin de la table.
— Qu'est-ce qui ne va pas ?, me demanda-t-il. Tu n'as pas l'air dans ton assiette, depuis tout à l'heure...
— C'est rien... C'est juste que... Je me sens de trop.
— Comment ça ?
— Harry a accompli toutes ces choses, et moi j'ai juste... stagné à ses côtés. Je n'ai rien fait d'extraordinaire, même Hermione et Ron ont fait beaucoup plus que moi, ils méritent plus que moi de savoir tout ça... Je me sens inutile. Et tout le monde dit qu'Harry ressemble tellement à Papa, je pense que c'est vrai mais... moi ? Est-ce que je mérite de faire partie de cette famille ? D'être une Potter ?
— Qu'est-ce que tu me racontes là ? Bien sûr, que tu mérites d'être une Potter !
— Harry est tellement courageux, et moi je...
Ma voix commençait à trembler.
— Toi, tu es aussi courageuse que lui. Tu le soutiens, tu ne le lâches jamais. Tu es persévérante. Tu peux le remettre sur le droit chemin quand tu le vois dévier. Tu es présente pour lui, tu es la personne la plus importante dans sa vie, sois-en sûre.
J'hochai tristement la tête.
— Écoute-moi, Lizzie : James et Lily ont eu deux enfants, deux enfants qui se complètent l'un l'autre. Harry sans Lizzie, ce n'est pas possible. J'ai connu ton père mieux que personne, ma chérie, et je peux te dire qu'il serait tellement fier de toi, de vous...
Il m'attira dans ses bras.
— Parce que moi, je suis tellement fier de toi, de ce que tu es devenue. Tu es le mélange parfait de tes deux parents. On a tous besoin de toi dans nos vies, alors ne doute jamais de toi. Tu es une Potter, la fille unique de James et Lily. Quand bien même tu n'as pas vu Voldemort revenir, ça n'a aucune importance. Tu soutiens Harry, tu remplis le rôle le plus important : tu es sa sœur. Tu es Lizzie Potter.
☆★☆★☆
Oulalaaa désolée ce chapitre est extrêmement long 😅 bon, on en apprend plus sur ce qui se trame du côté du ministère, et sur ce que Voldemort prépare. Les choses se mettent doucement en place pour la suite.
Lizzie a besoin d'être rassurée sur sa place dans l'histoire, vous lui auriez dit quoi à la place de Sirius ?
Sinon, en passant, une chose : on a atteint les 31k. Voilà, bonne soirée.
JE PLAISANTE BORDEL 31,2K, 1,96K DE VOTES, 1,2K DE COMMENTAIRES 1,11K DE LECTURES SUR LE PREMIER CHAPITRE, VOUS ÊTES DES GRANDS MALADES !! MAIS QU'EST CE QUE JE VOUS AIME BORDEL
TOUS VOS COMMENTAIRES, VOS VOTES, VOS AJOUTS À VOS LISTES DE LECTURE SONNENT COMME DES ENCOURAGEMENTS ET ÇA ME MOTIVE À UN POINT, VOUS POUVEZ PAS SAVOIR. MERCI DE TOUT CŒUR. LE PLUS SINCÈREMENT DU MONDE. JE VOUS AIME. 💚
P-S : je tenais à ce que ce soit Sirius qui console Lizzie, car j'aimerais qu'ils développent une relation spéciale, il la rapproche indéniablement de ses parents et elle en a besoin.
P-S 1 : oui, en ce moment je ne poste pas souvent. Mais les cours prennent tout mon temps, et cela va sûrement continuer jusqu'à début juillet : lorsque j'aurais terminé mes épreuves de bac. En attendant, je posterais lorsque j'aurais le temps d'écrire. Je m'en excuse, vraiment, surtout que je vois que le nombre de lecteurs ne cesse d'augmenter chaque jour et que cela me ravit à un point inimaginable... Je m'en veux beaucoup, sachez-le, mais je préfère privilégier mon bac ce que j'estime être normal. Merci encore, à bientôt 💚
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