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Chapitre 26

   Nous fûmes bientôt tous regroupés dans le petit bureau d'Ombrage, tenus fermement par les membres de la Brigade Inquisitoriale. Ils avaient attrapé Ginny, Neville et Luna en train d'essayer de faire diversion. Je ne voyais pas Sally, mais d'un côté ça me rassurait. Ils nous prirent également nos baguettes.

   — Dites-moi la vérité, ordonna Ombrage à Harry, assis sur une chaise en face de lui. Vous alliez voir Dumbledore ?

   — Non !

   — Menteur ! hurla-t-elle en lui administrant une gifle.

   J'écarquillai les yeux, sous le choc, et tentai de me dégager. Montague raffermit sa prise sur mon bras.

   Soudain, Rogue se présenta dans l'encadrement de la porte. Je lui lançai un regard désespéré qu'il ignora royalement.

   — Vous vouliez me voir, Mme la Directrice ?

   — Ah, oui ! s'exclama Ombrage. J'ai besoin de réponses, qu'il accepte ou pas de me les donner. Avez-vous toujours du Veritaserum ??

   — Je crains que la réserve soit épuisée, les dernières gouttes ayant été utilisées pour Miss Edgecombe...

   Ainsi, Marietta ne nous avait pas réellement trahi. Elle avait bu du Veritaserum. Cette idée me confortait légèrement, bien qu'on ne soit pas de grandes amies.

   — Donc à moins que vous ne souhaitiez empoisonner Mr Potter, et croyez bien que ce geste m'inspirerait la plus grande sympathie... je ne peux rien pour vous.

   Il tourna les talons.

   — Il détient Patmol ! s'écria Harry avant que Rogue ne s'éloigne. Il détient Patmol là où la chose est cachée !

   — Quoi ? C'est quoi Patmol ? Qu'est-ce qui est caché ? Rogue ??

   Notre professeur de Potions toisa Harry une seconde, avant de reporter son attention sur Ombrage.

   — Aucune idée.

   Sur ces mots, il partit définitivement.

   — Très bien, conclut la femme tout en rose. Vous ne me laissez pas le choix, Potter. La sécurité du Ministère étant en jeu, je ne vois pas... d'autre alternative. Le sortilège Doloris devrait vous délier la langue.

   — Pardon ?? m'exclamai-je immédiatement. Vous n'avez pas le droit !

   — C'est illégal ! ajouta Hermione.

   — Ce que Cornelius ignore ne peut pas lui faire de tort, répondit Ombrage en abaissant la photo du Ministre face contre table.

   J'échangeai un regard horrifié avec Hermione. Ombrage approcha sa baguette de mon frère.

   — Arrêtez ! hurlai-je.

   — Dis lui, Harry ! fit mon amie en même temps.

   Ombrage se tourna vers elle.

   — Me dire quoi ??

   — Si tu ne lui dis pas où elle est, je vais le faire, appuya Hermione avec assurance.

   — Où est quoi ?? questionna Ombrage d'une voix suraigue.

   — L'arme secrète de Dumbledore.

   Bingo. Hermione avait une idée. Et Ombrage semblait marcher à fond.

   — Et où est-elle ? demanda-t-elle fébrilement.

   — On peut vous y conduire, répondit Hermione sans ciller.

   Ombrage sembla hésiter.

   — Entendu, dit-elle finalement.

   Elle aggripa Harry, fit signe à Hermione de venir et quitta le bureau, non sans avoir ordonné aux membres de la Brigade de garder un œil sur nous. Une fois la porte fermée, je me dégageai de l'emprise de Montague. Il fit un mouvement pour m'attraper de nouveau.

   — Bas les pattes ! m'exclamai-je avec un mouvement de recul. Je ne vais nulle part, la porte est verrouillée.

   Il me lança un regard noir mais recula sa main. Je questionnai Ron du regard. Son air hébété me fit comprendre qu'il n'en savait pas plus que moi sur le plan de notre amie.

   Au bout de longues minutes, j'entendis des chuchotements derrière la porte. Je m'approchai avec curiosité.

   — Eh, reste là ! s'exclama Montague.

   — La ferme !

   Je tendis l'oreille. Les voix se faisaient de plus en plus fortes. Je fronçai les sourcils, véritablement intriguée.

   — Euh, attention derrière ! s'écria une voix qui m'était familière.

   J'eus à peine le temps de me reculer, la porte s'ouvrit et vint se plaquer contre le mur. La serrure était explosée. Je restai bouche-bée en découvrant qui en était à l'origine.

   — Blaise ! Sally, Drago, qu'est-ce que vous êtes venus faire ici ??

   — Sally nous a dit que tu avais des ennuis, me répondit mon ami. Et visiblement, tu n'es pas la seule.

   Il jeta un regard aux membres de la Brigade Inquisitoriale. Ces derniers mirent un certain temps à réagir, ce qui laissa à nos sauveurs la possibilité de tous les Stupéfixer. Les autres restèrent figés.

   — Alors ? Ça fait quoi d'être secourus par ses ennemis de toujours ? fit Blaise en levant le menton.

   — Arrête de te la ramener, Zabini ! siffla Sally avant de venir vers moi.

   Je la pris dans mes bras.

   — Merci beaucoup, soufflai-je de soulagement.

   — Y'a pas de quoi, me sourit-elle. Mais on ferait mieux d'y aller, maintenant !

   Ginny et Neville s'occupèrent de récupérer nos baguettes et nous les rendirent à chacun. Je pris la main de Drago, qui n'avait pas lâché un mot depuis leur arrivée, et nous quittâmes le bureau. L'ambiance du petit groupe était bien tendue, mais je tâchai de l'ignorer. J'étais en tête avec Sally, les autres nous suivaient de près. Nous marchâmes rapidement jusqu'à la coursive, où nous fûmes rejoints par Harry et Hermione. Ils jetèrent un drôle de regard à Drago et Blaise.

   — Comment vous êtes vous échappés ? demanda Hermione.

   — Grâce a eux, répondis-je en désignant les Serpentard. Sally est allée les prévenir. Ils nous ont ouvert la porte et ont jeté des Stupefix aux membres de la Brigade.

   — C'est pour te remercier de t'être échiné à m'apprendre le Patronus, Granger, fit Blaise.

   Hermione ne put s'empêcher de sourire.

   — Merci beaucoup, fit alors Harry, en coulant un regard vers Drago.

   Mon petit-ami hocha la tête.

   — Y'a pas de quoi, répondit Blaise.

   — Comment va-t-on aller à Londres ? demanda Neville.

   Nous nous tournons tous vers Harry.

   — Écoutez... Je vous suis reconnaissant de tout ce que vous avez fait, mais... je vous ai causé assez d'ennuis comme ça, dit-il en s'éloignant.

   — Tu déconnes ? fit Blaise. C'est l'éclate ! On transgresse toutes les règles de l'école, et Granger n'a même pas encore fait de malaise.

   Hermione lui fit une grimace.

   — L'Armée de Dumbledore est censée faire des choses concrètes ! dit alors Neville. Ou ce n'était que des mots pour toi ?

   Harry se tourna vers nous.

   — On les a pas libéré pour rien, ajouta Drago de la voix la plus neutre possible.

   Harry le considéra un instant.

   — Tu n'es peut-être pas obligé d'affronter ça tout seul, lança Ron en dernier recours.

   Mon frère nous regarda tous, réunis devant lui. Je pus apercevoir un semblant de joie dans des yeux, et un léger sourire sur ses lèvres.

   — Alors, comment va-t-on se rendre à Londres ? demanda-t-il.

   — En volant, bien sûr ! répondit Luna.

   — Nos balais ont été confisqué, Luna, répondit Ron en se forçant à prendre un ton doux.

   — Il y a un autre moyen, renchérit la Serdaigle en fixant Harry de ses grands yeux bleus.

   Mon frère sembla réfléchir un instant.

   — Mais bien sûr... Les Sombrals ! Venez !

   Il s'élança en direction de la Forêt. Nous le suivîmes immédiatement.

   — Eh, attendez ! nous arrêta Blaise.

   Nous nous tournâmes vers lui.

   — Je ne sais pas de quoi vous parlez, mais nous on va rester là, dit-il en se désignant avec Drago. C'est encore trop bizarre pour qu'on se permette de vous accompagner. Mais on va s'assurer que les crétins de la Brigade ne se libèrent pas tout de suite.

   Harry hocha la tête.

   — Très bien.

   Je me dépêchai de les enlacer. J'embrassai tendrement Drago.

   — Faites attention, me dit-il simplement.

   — C'est promis. Merci encore.

   Sally-Anne leur fit un dernier signe de la main et nous partîmes avec les autres.

   Luna nous conduisit à l'intérieur de la Forêt. Elle nous fit attendre au milieu d'une petit clairière et observa tout autour.

   — Restez calme, nous dit-elle.

   — Luna, la plupart d'entre nous ne peuvent pas voir les Sombrals, fait remarquer Sally. Comment va-t-on se débrouiller ?

   — C'est facile, vous verrez. Oh, en voilà déjà deux.

   Je me tournai dans la direction qu'elle indiquait. Malheureusement, je ne vis rien. Harry, lui, semblait hypnotisé.

   — À quoi ça ressemble, un Sombral ? me demanda Ron discrètement.

   — C'est une sorte de grand cheval ailé. On dit qu'il est noir, et squelettique. Je l'ai lu dans le livre que tu m'as offert, Sally.

   — On va vraiment devoir monter dessus ? s'inquiéta Hermione.

   — On va vous guider, rassura Luna. N'est-ce pas, Harry ?

   Mon frère acquiesça et me tendit la main. Je la saisis. Il me dirigea vers un point invisible.

   — Fais moi confiance, et surtout ne panique pas, me dit-il. Ferme les yeux.

   J'obéis. Il leva ma main devant moi et la guida doucement jusqu'à ce que je sente quelque chose rencontrer ma paume.

   — Oh, Harry ! Je peux le sentir ! Il est juste là !

   — Oui, juste devant toi. Essaie de l'imaginer. Je vais t'aider à grimper dessus.

Je laissai glisser ma main sur l'encolure du Sombral, et caressai doucement sa longue crinière noire, les yeux toujours fermés.

   — Accroche toi, me dit Harry.

   Je pris sa crinière dans mon poing. Harry vint se placer derrière moi et m'aida à grimper en me laissant appuyer mon genou dans ses mains jointes.

   — Maintenant, reste bien agrippée à ses crins ! Ne lâche sous aucun prétexte.

   J'acquiesce, légèrement tendue, et rouvre les yeux. J'ai l'impression de flotter toute seule dans les airs, mais le corps squelettique du Sombral, bien qu'invisible, me rappelle à la raison. Je lève mon visage vers les autres, tous également installés sur leurs montures.

   — C'est parti, lance Harry à la ronde.

   Il joue des jambes et fait décoller son cheval. Les autres s'emballent immédiatement et démarrent à sa suite. Je fais de mon mieux pour garder l'équilibre. Bientôt, nous nous retrouvons tous dans les airs, devant le soleil couchant.

alors, on va mettre les chose au clair : c'est bientôt la fin du tome 5 et JE sais, TU sais, NOUS savons tous ce qui va se passer.

par PITIÉ, cessez de me demander de ne pas tuer Sirius

pcq je vous jure c'est le commentaire que j'ai dû le plus recevoir sur cette entière histoire

CESSEZ de me demander de ne pas tuer tel ou tel personnage, je vous en supplie

aux dernières nouvelles, c'est encore mon histoire, si ce que j'écris ne vous plaît pas, rien ne vous oblige à la lire

non pcq je vous jure, le prochain com comme ça que je reçois, je fais un burn-out et vous ne me reverrez plus jamais ptdrr

sur ce, j'espère quand même sur ce chapitre vous a plu 💛

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