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Chapitre 16

   — JOYEUX NOËL MA LIZZIE !

   Je sursautai et manquai de donner un coup de tête à Nymphadora qui était penchée au dessus de moi.

   — T'es malade de crier comme ça !

   — Eh, tu vas pas t'énerver, c'est Noël !

   — C'est pas une raison pour réveiller les gens comme ça., dis-je en me recouchant.

   — Y'a un paquet pour toi dans la cuisine.

   — De qui ?, m'écriai-je en me redressant soudainement.

   Ma sœur esquiva une seconde fois un hypothétique coup qu'elle aurait pu recevoir. Je sautai de mon lit et descendis les escaliers rapidement.

   — Joyeux Noël ma chérie !, m'accueillit ma mère dans la cuisine.

   — Joyeux Noël maman. Nymphadora m'a dit que j'avais reçu un paquet...

   — En effet, il est juste là., confirma ma mère en désignant une boîte rectangulaire enveloppée de papier kraft.

   Je me précipitai sur le paquet et le posai sur la table de la cuisine. Nymphadora entra dans la cuisine et s'adossa au mur à côté de ma mère. Je défis le nœud de la cordelette et retirai le papier pour laisser apparaître une boîte en carton à peine fermée, entourée de gros scotch marron. Ma mère me tendit des gros ciseaux de cuisine et je coupai le scotch. En ouvrant la boîte, je tombai sur tout un tas de petits paquets emballés de papier cadeau rouge. Sur chacun était collé une étiquette indiquant le nom de l'expéditeur du cadeau. Je souris. Tous mes amis de Poudlard avaient pensé à moi. Je pris le premier qui me tombait sous la main et lus l'étiquette.

Pour Lizzie
De Fred & George.

   Au toucher, je devinai que c'était une petite boîte en ferraille. Je reposai le cadeau dans le carton et me tournai vers ma mère et ma sœur, qui souriaient.

   — Tu es contente ma chérie ?

   — Oui. Très. Mon paquet arrivera à temps, tu crois ?

   — Il n'y a pas de raisons qu'il arrive en retard. Sirius est très ponctuel.

   Sirius était le hibou de ma mère, un grand oiseau noir aux yeux jaunes. Elle m'a dit une fois qu'elle l'avait appelé comme ça en l'honneur de son cousin qui l'avait aidé à s'enfuir avec mon père quand elle était jeune. J'aurais aimé le rencontrer, rien que pour le remercier de ne pas avoir tourné le dos à ma mère lorsqu'elle en avait besoin. Malheureusement, elle n'avait eu aucun contact avec lui depuis. Ni avec aucun autre membre de sa famille d'ailleurs. Ses sœurs, ses parents, son autre cousin, le frère de Sirius, personne n'avait cherché à la contacter. Ma mère ne s'en étonnait pas. Tant mieux, qu'elle disait. Je savais qu'elle avait eut une enfance difficile, mais elle n'avait pas voulu tout me raconter. Je savais juste qu'elle avait été rejetée par sa famille parce qu'elle souhaitait épouser mon père, Ted Tonks, qui était un Moldu. Seul Sirius l'avait soutenu. Cela ne m'étonnerait pas le moins du monde si j'apprenais qu'il s'était enfui à son tour., m'avait-elle dit un jour. Il serait sûrement allé chez James Potter, ton père. Ils étaient les meilleurs amis du monde.

///

   — Allez, Lizzie ouvre le premier cadeau !, m'encouragea mon père en désignant un des paquets sous notre sapin.

   Je pris le paquet qu'il me montrait et déchirai l'emballage. C'était le cadeau de Nymphadora. J'avais reconnu l'écriture sur l'étiquette.

   — Un peigne ? Tu insinues que mes cheveux ne sont pas assez bien coiffés ?, la taquinai-je.

   — C'est pas faux, mais il a aussi un autre pouvoir ! En plus de coiffer les cheveux, il peut aussi les changer de couleur ! Regarde.

   Elle s'empara du peigne et commença à coiffer les pointes de mes cheveux. Quand elle eut fini, elle m'amena devant un miroir. Elles étaient devenues violettes !

   — Ta-dam ! Alors, qu'est ce que t'en pense ?

   — J'adore !, m'exclamai-je. Merci beaucoup, Nymph.

   Je l'embrassai sur la joue.

   — Contente que ça te fasse plaisir.

   Lorsque nous fûmes retournées dans la salle principale, ma mère applaudit.

   — Le violet te va à merveille !

   — C'est vrai que c'est beau.

   — Ah, tu vois ! Papa ne me croyait pas quand je lui disais que ça te plairait.

   Je ris.

   — Et pour enlever ?

   — Ça partira quand tu te laveras les cheveux. Et pour changer de couleur, tu n'as qu'à repasser dessus !

   Pour illustrer ses propos, elle recoiffa une mèche déjà colorée, qui devint immédiatement bleue.

   — C'est absolument génial !, avouai-je en prenant ma mèche bleue entre les doigts. Encore merci.

   — Mais de rien !

   — Tiens, ma chérie., me dis ma mère en me tendant un autre paquet. C'est le cadeau de ton père et moi.

   Je retirai le papier.

   — On s'est dit qu'avec ça tu nous aura toujours avec toi, même à l'école, surtout si tu restes aux prochaines vacances..., expliqua mon père.

   — C'est formidable... Merci Maman, merci Papa !

   Je les enlaçai. À la fin de notre étreinte, je serrai contre mon cœur le cadre contenant une photo en mouvement de notre famille au complet. On pouvait y voir Nymphadora, les cheveux deux fois plus longs que maintenant, qui me portait sur son dos pendant que je levais les deux bras en l'air en signe de victoire. Mon père tenait ma mère par la taille et ils riaient tous les deux. C'était la voisine, une vieille sorcière qui venait souvent prendre le thé chez nous, qui avait prit la photo. Je me rappelle de cette journée comme si c'était hier. C'était cet été, nous avions disputé un match de football improvisé dans notre jardin et ma sœur et moi venions de gagner. C'était début juillet, je ne connaissais pas encore l'existence d'Harry. Je ne le connais depuis six mois mais je suis autant à l'aise avec lui que si on avait grandi ensemble. Ça me fait bizarre.

   — Lizzie ! Il neige ! Regarde, il neige !

   Nymphadora m'attrapa le bras et m'entraîna à la fenêtre. En effet, dehors il neigeait à gros flocons. Pas étonnant, vu qu'on était à la campagne mais ma sœur et moi continuions d'être émerveillées devant.

   — Viens !

   — Attendez deux minutes, les filles. Vous êtes encore en pyjama. Allez vous changer avant de sortir.

   — D'accord, maman., soupira Nymph'.

   — J'aimerais éviter que vous attrapiez une pneumonie pour les vacances.

   Nous montâmes rapidement les escaliers.

///

   — Attrape ça, espèce de veracrasse !

   — C'est moi que tu traites de veracrasse ?, dis-je en évitant la boule de neige que Nymph venait de m'envoyer. Attends un peu !

   Je me jetai sur elle et nous roulâmes sur le sol, hilares. J'attrapai un peu de neige et tentai d'atteindre ses cheveux coupés aux épaules et roses bonbons.

   — Pas les cheveux ! Pas les cheveux !

   — Tu l'as cherché !

   Elle passa sa main dans ses cheveux pour se débarrasser de la neige fondue mais elle réussit seulement à l'étaler et à se mouiller un peu plus. J'éclatai de rire devant sa tête dépitée.

   — Les filles ?, nous appela notre mère du pas de la porte. Ça vous dit un bon chocolat chaud ?

   Nymph me regarda, une lueur de défi dans mes yeux.

   — La première arrivée à la cuisine.

   Sur ces mots, elle partit en courant vers la porte et je ne tardai pas à la suivre.

///

   Le soir venu, je montai le colis de mes amis de Poudlard dans ma chambre. Nymphadora s'assit dans une chaise à côté de mon lit et me regarda déballer les cadeaux. Je repris celui de Fred et de George et déchirai le papier. C'était bien une petite boîte circulaire en métal. Sur le couvercle, il y avait marqué le nom du magasin où ils l'avaient acheté : Honeydukes. Ils m'en avaient déjà parlé, c'était le magasin de bonbons de Pré-au-lard où ils adoraient aller. Il y avait aussi un petit mot de scotché sur la boîte : Joyeux Noël Lizzie, passe de bonnes vacances et on se revoit à la rentrée ! Bisous de Fred et George. Je souris et entrepris de déballer les autres cadeaux. Hermione m'avait offert une plume neuve (la pointe de la mienne s'était tordue) et un pot d'encre violette (elle savait que j'aimais cette couleur). Ron m'avait envoyé le pull-over que sa mère m'avait tricoté et une longue lettre expliquant qu'il n'avait pas pu acheter de cadeau et qu'il en était terriblement désolé, mais qu'il pensait à moi. Le pull était bordeaux et affichai un grand E. Sally-Anne m'avait déniché un livre sur les Animaux fantastiques, écrit par Newt Scamander. Apparemment, c'était un livre sur la liste des fournitures de l'année précédente et elle était sûre que j'aurais plaisir à le lire, vu que j'aimais beaucoup les animaux. Je me sentai un peu coupable de ne pas avoir trouvé quelque chose qui soit à la hauteur. Au lieu de prendre quelque chose sur le Quidditch, je lui avais acheté un sac en toile aux couleurs de sa maison. Je l'avais souvent entendue se plaindre sur le fait qu'elle devait porter tous ses livres pour aller en cours. J'espère quand même que ça lui plaira.

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Bon, je trouve ce chapitre un peu nul mais on va appeler ça un chapitre de transition. Dites-moi quand même ce que vous en avez pensé ! À bientôt.

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