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Chapitre 2:

Chapitre 2:

Alors que les voix se rapproche, je m'empresse de retourner à la fenêtre par où je suis passé.

Ils ont tué les rôdeurs qu'il y avait alors j'ai le champ libre.

Sans que je ne mis attends un rôdeurs se jette sur moi, un cris de surprise s'échappe de mes lèvres alertant les hommes. J'ai parler trop vite.

?: Eh mec? T'as entendu ça ? Dit un homme pas loin de moi.

Mon cœur s'affole, il bat si vite que j'ai l'impression de l'entendre. D'un coup violent j'éclate la tête du rôdeurs contre le mur, tant pis pour la discrétion.

??: Ouais, c'est surement un rôdeurs.

En entendant ça je souffle soulagé et avance pas par pas.

?: T'es con ou quoi? Depuis quand un rôdeurs sa crit? Dit-il d'une voix dur.

J'escalade pour passer par la fenêtre et au moment où je tourne la tête pour voir si on ne m'a pas repéré un homme dit a d'autres homme de me rattraper.

J'ouvre en grand les yeux, le coeur battant encore plus vite. Enfin si c'est possible bien-sûr.
Je passe rapidement par la fenêtre et m'écrase sur le sol, je grimace sous l'impact et me relève.

Mes jambes se mettent à courir aussi vite de possible sans que mon cerveau ne percute ce qu'il se passe.
Les hommes sont à mes trousse, ils sont nombreux et armé ce qui me fait d'autant plus peur.

J'ai l'impression d'être prise en chasse, oui c'est ça... C'est ce que je suis, une proie.
Je suis une biche, qui court pour sauvé sa vie et eux sont les chasseurs. Moi Avelin suis là proie et ses hommes sont les prédateurs sauvage que je dois à tous prix fuir.

Cette métaphore me fait penser au film Bambi, oui Bambi. J'ai souvent pleurer devant ce dessin animé là quand j'étais plus jeune.

Mon souffle se fait plus court et mon rythme cardiaque ne fait qu'accéléré, en ce moment précis je dois me battre, je dois courir même si mon corps ne veut plus le permettre je dois forcé dessus.

Je ne dois faire confiance à personne, surtout pas les hommes.

Flashback :

John me regarde inquiet.

- Qu'est-ce qu'il y a John?

Je voyais bien qu'il n'allait pas bien, c'est surement la fatigue. Il est partis une journée entière pour nous trouver de quoi manger.

J: Surtout Ave... Surtout ne fais confiance à personne, en particulier les hommes.

Il prend mes mains.

- Mais... De quoi tu parles? Disais-je sans comprendre pourquoi il me disait ça maintenant.

J: Juste promets le moi.

- Bien-sûr que je te le promets.

Un détail me frappa, je n'avais pas vu le sang sur sa chemise quand il est rentré. Je la soulève pour être sûr que ce n'est pas ce que je pense et me fige.

Fin du flashback.

Ils sont toujours là, a ma poursuite. Je zigzag entre les arbres pour leurs faire perdre du temps. Heureusement j'arrive à les distancer peu a peu et ça... Ça ça me rassure.

Après plusieurs longue minutes... Longue, ça c'est le mot précis. Quand on court pour sa vie les minutes paraissent être des heures.

Une fois sur qu'ils ne sont plus derrière moi je m'autorise à reprendre mon souffle et m'appuie contre un arbre. Ma gorge est sèche et je suis transpirente, je m'assois sur le sol humide par la pluie qui s'abat de plus en plus.

L'air frais ainsi que les gouttes de pluie me faisaient le plus grand bien.

Je n'ai pas été assez prudente, c'est de ma faute. Mais le principal reste que j'ai réussi a leurs échapper, reste plus qu'à espérer qu'ils ne me retrouveront pas.
Ma poitrine se lève et se baisse rapidement sous ma respiration accélérer par cette course effrénée.

Une fois calmé et plus sereine je me réveille, mes muscles me montre clairement qu'ils sont à bout.

Je marche lentement jusqu'à mon habitation. Ça faisait un moment que je n'avais pas eu aussi peur, ça ne fait que me rappeler que je dois être vraiment prudente et faire plus attention.

Je vais ajouter plusieurs piège autour de ma maison.

Une fois rentrée je retire mes vêtements et prends une douche. Prenant cette fois, le temps de me détendre, j'en ai besoin. Peu importe si la réserve d'eau se vide plus tôt que prévu. J'irais rechercher de l'eau plus tard.

Quand je suis préparé je m'assois sur mon lit et prends mon journal. Il est abîmé par le temps et la saleté, les pages sont légèrement jaunies et certaines sont déchirée mais on comprenait tous ce que j'écrivais dedans.
Mon stylo, lui, était presque vidé de son encre. Heureusement qu'il me restait un en réserve. Par la suite j'écris tout ce qu'il s'est passé aujourd'hui, mes craintes, ou mes souvenirs.

Je ne sais pas si un jour je perdrais mes souvenirs mais je ne l'espère vraiment pas. Qui le voudrait? Les souvenirs que j'ai sont ceux qui me maintiennent en vie.

Lorsque je regarde ma montre je fronce les sourcils, il est vingt-et-une heures passé.

Je range donc tous et ferme tous. Une bonne nuit de sommeil m'attends, un jour de plus où j'ai réussi à rester en vie. Il serait fière de moi, j'en suis certaine.

****

Une semaine s'est écoulé depuis ce fameux jour. Ils ne m'ont pas retrouvé, ou alors ils n'ont pas cherché à le faire, ce qui je l'avoue me rassure. Même si je dois tout de même rester sur mes gardes.

Le danger arrive toujours au moment où on s'y attend le moins.

Je remplie des bidons d'eau et une fois fait je les poses dans la brouette et retourne à la maison. La brouette me permet d'aller plus vite, d'en ramener plus et de diminuer les allers et retours.

Parfois je me demande si il existe encore des personnes bien. Où la bonté leurs paraît être naturelle, normal. Pas quelque chose qu'on fait pour ensuite demander une aide ou autre chose. Être bon sans rien demander en retour.
Il doit bien rester quelques personnes comme ça, je l'espère vraiment.

Alors que j'arrive au réservoir d'eau je le remplis. C'est une routine, bien qu'avant je détestais les routines, maintenant je les tolère si on veut.

Je ne sais pas pourquoi, mais depuis mon réveil j'ai comme une mauvaise impression. Je sais qu'il va y avoir quelques choses ou alors je me faisais des idées. Ce ne serait pas là première fois mais c'est la première fois que cette impression est aussi forte.

Je secoue la tête, chassant ses idées la de ma tête puis rentre.

Les hommes qui disait que la fin du monde ce serait "une tel date" doivent être fou de ne pas avoir prévu ça. Ou alors ils se sont fait dévoré avant de pouvoir le prédire. Mais prédire quelques choses qui est déjà entrain de se produire est-elle vraiment une découverte? Je ne le pense pas.

Alors que je passe devant la fenêtre j'ai comme l'impression d'avoir vue quelques choses. Je m'arrête et observe par la fenêtre, discrètement.

Mon cerveau déraille totalement, sûrement la fatigue ou alors la folie? Ou encore les deux. La ce serait le pompon, non?

Mes sourcils se fronça en voyant des hommes arrivé. J'en vois un qui ce prends un de mes piège et qui finis suspendu en l'air, d'autre y passe aussi.
En entendant un cris de douleur, je comprends que l'un d'eux c'est pris un piège à ours. Il fallait que je parte.

Que je fuis, encore. Ils me traquent.

Je pose d'autre piège à ours aux fenêtres et a la porte d'entré.
Par la suite je prends de quoi survivre. C'est a dire: Des armes, de l'eau, de la nourriture et des vêtements.

Je n'oublie pas mon journal et sors par une des fenêtres qui ce situe à l'arrière du bâtiment. Heureusement, je sors sans encombres.

Je sens que je vais passer pas mal de temps à fuir. Ils ne vont pas lâcher l'affaire maintenant.

Je me mets à courir, évitant de marcher sur les feuilles mortes et donc de faire du bruit.
Me voilà, traqué de nouveau. Pour le moment ils n'ont pas l'air d'avoir remarquer que je me suis enfuie.

Et si je partais loin? Il suffit que je trouve une voiture et de l'essence et je pourrais partir loin.

Pourquoi pas dans la ville où vivaient mes parents? Elle est éloigné et la bas ils ne me retrouveront pas.

Oui, c'est une bonne idée. Je vais faire ça.

Je me sentais légère, comme si j'allais entamé une nouvelle vie. Oublier la précédente, celle où j'ai tant souffert. Bien-sûr beaucoup on plus souffert que moi ça c'est sûr... Mais je me sentirai mieux, libre de mes choix et de ma vie.

Qui dit commencé une nouvelle vie dit aussi avoir un nouveau prénom.

Parfait, j'ai encore le temps d'y réfléchir mais je trouverais bien. Morgane? Non, bien que ce sois un beau prénom je ne pense pas prendre celui là

Il en faut un qui me correspond. Un qui me correspondrait vraiment, la ce sera moi.

À moi, ma nouvelle vie.
Enfin c'est ce que je pensais...

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