Chapitre 1:
Chapitre 1:
Croyez vous à une vie après la mort?
Moi oui, c'est la seule chose qui me réconforte un minimum quand je frôle la mort.
Après tout, dans un monde pareil il vaut mieux y croire. Ce monde où maintenant la violence règne, ce monde où... Il est rare d'avoir une humanité. Je m'efforce de gardé la mienne mais ça devient de plus en plus compliqué, "pourquoi?" Me direz vous, et bien vous allez vite le découvrir.
****
Mes pieds avancent seuls, guidé par une envie de survivre que je n'ai même plus. J'y suis préparer depuis le début de cette merde.
Une virus simple, créé par ma propre espèce à suffit à tous détruire. Enfin... Disons que la nature a reprit ses droit.
Les Hommes la tuaient à petit feu, si ils n'étaient pas arrivé, une centaine d'années plus tard la Terre auraient été détruite.
C'est tout ce que les Hommes savent faire, détruire.
Chaque espèce sur cette terre sont utile à la Terre, elles ont toutes un travail. Les abeilles font la pollinisation, de plus de 80% des espèces de plantes à fleurs et des plantes cultivées.
Les araignées elles, évitent qu'il y est trop d'insectes tel que: les moucherons, les mouches, les moustiques ...
Une seule espèce n'est en aucun cas utile à la Terre, je vous laisse deviner laquelle.
Mais bon... Je ne suis pas là pour repasser mes connaissances, quoi que... C'est ce qui m'occupe la plupart du temps. Je tiens un journal, racontant toutes mes petites aventures depuis qu'ils sont arrivés.
Ce petit carnet contient tous mes secrets sombre et pleins d'autres choses importantes. Ce journal marque mon existence, la preuve que j'ai existé et que je me suis battue aussi fort que possible, pour lui. Je lui avais promis de le faire avant de l'abattre, ce n'est pas le premier qui mourait sous ma main... Au cours de ma carrière ils y en avaient eu d'autres. Mais c'était le premier que je tuais alors que je lui dévouais un amour fort et inconditionnel.
Je ne me suis toujours pas remise de sa mort, si il n'y avait pas eu la promesse que je lui ai faite, j'aurais sûrement mis fin à mes jours depuis un bon moment. Enfin... il faut beaucoup de courage pour ça, ou alors, tout simplement ne plus tenir à rien. Vouloir en finir avec sa vie est quelque chose de courageux et un manque d'espoirs énorme.
Cet homme était tous pour moi, il avait été là au moment les plus dure, les plus éprouvant pour moi. Là où je ne croyais plus en rien il est arrivé avec son sourire ravageur, ses fossettes qui se creusaient quand ses lèvres fine s'étiraient en ce sourire qui m'avait charmé au premier regard, ses yeux bleu qui reflétaient la bonté et l'océan et ses cheveux d'un blond foncé, presque brun, dans lesquels j'aimais passer ma main. Ils étaient doux et avait l'odeur de miel ou alors l'odeur de bois quand il revenait de son travail.
Il me manquait. Tous chez cet homme me manquait, j'y pensais nuits et jours, chaque fois il rentrait à la maison le regard brillant de malice et d'envies.
Mes moments préféré avec lui était quand nous allions nous promener, peu importe où nous allions, il avait ce regard remplie de curiosité de découvrir de nouvelles choses. Quand je lui parlais de mes interventions ou de mon travail il avait l'air si sérieux. Tellement sérieux que parfois nous partions en débat qui pouvait durer toute la nuit.
Une larme de tristesse dévala ma joue, je la ressuie rapidement avant d'entrer dans la maison que j'avais aménagé pour me gardé protégé de l'extérieur.
C'est lui qui me gardait en vie, même mort.
Je retire ma veste remplie de sang sur le porte manteaux et pose mon sac remplie sur la table, je fais souvent le pleins dans le magasin qui est juste à côté. Il y a souvent pas mal de rôdeurs mais je sais me faire discrète.
Je range automatiquement les boîtes de conserve avec les autres dans la cave, ainsi que la viande séchée et autres nourriture.
Avant de remonter à l'étage, je prends un pot de confiture à la fraise et remonte. Je la pose sur la table et prends le pain, je faisais mon propre pain. Ce n'était pas bien compliqué, surtout quand tu as habitude d'en faire.
J'aime l'odeur du pain qui viens de sortir du four ou alors l'odeur du pain mélangé à l'odeur de la confiture.
J'ouvre le pot de confiture après avoir pris une cuillère et retire la moisissure qui c'est mis au dessus au fil du temps.
J'en appliqué sur le pain puis croque un bout dedans. C'était des plaisirs qui étaient rare maintenant. Mais pour moi c'était devenu une habitude.
Je la termine puis me brosse les dents, ça peut paraître idiot de penser à ça maintenant mais je ne pouvais pas faire sans. Mon hygiène de vie est importante pour moi, peut être suis-je un peu maniaque sur les bords. Il est vrai que je n'aime pas vraiment le désordre, tout est à sa place et si il y a du désordre, c'est du désordre organisée. Je retrouve toujours tous.
Mon train train quotidien me plaisait mais il le manquait un truc. Je travaille dessus pour savoir ce que c'est.
Mes yeux bleus se posent sur mon planning.
7 heures: Je me préparais et prenais le temps de réfléchir.
7 heures 45: Je rangeais et nettoyais.
9 heures: Je m'occupais du jardin, des cultures ainsi que des plantes.
10 heures: Je faisais l'inventaire dans la cave de ce que j'ai. Je note tout dans un carnet.
11 heures: Je vérifiais le grillage et des pièges.
11 heures 45: Je partais à la chasse. Même si je ne suis pas très forte pour ça.
12 heures: Je préparais le repas et parfois faisais du pain.
14 heures: Je partais me promener et fouiller ce que je pouvais.
18 heures: Je rentrais et rangeais ce que j'avais récupéré.
19 heures: Je mangeais.
20 heures: J'écris tout ce qu'il y a eu d'intéressant dans ma journée dans mon journal.
21 heures: Je m'endormais.
Il ne se passait pas une journée où je ne faisais rien. Il fallait que je m'occupe, il fallait toujours que je m'occupe sinon je me perdais dans mes pensées et ça pouvais être mauvais pour moi selon les pensées qui traversaient mon esprit.
Demain je m'éloignerais un peu plus que l'habitude.
Je regarde ma montre. Je l'avais toujours sur moi, elle résistait à tous et lui appartenait.
Je suis exténuée, une bonne nuit de sommeil allait me faire le plus grand bien.
****
Mon sac: prêt.
Mes armes: prête.
Moi: prête aussi.
Je sors de mon abri et verrouille tous.
La nature, j'adore ça.
L'air frais, le bruissement des arbres au vent qui souffle mon visage, les oiseaux qui chantonne, et surtout l'odeur de la forêt...
Lorsqu'un grognement me parvient je reviens sur terre et regarde autour de moi. Sur ma droite se trouve un rôdeur qui autrefois était un homme, parfois je me demande si au fond, une part d'eux d'avant existe. Mais ça je n'en aurais jamais la certitude.
Je sors ma machette et tue le rôdeur d'un coup bien placée dans la tête.
312, voilà le nombre qui sont mort, que j'ai tué.
Mes bottes écrasent les feuilles mortes de l'automne, le craquement des feuilles écrasé est devenu familier, mais j'aimais bien se bruit.
Le regard concentré sur ce qui m'entourent, j'arrive devant les centre commercial.
Quelques rôdeurs étaient appuyé contre la vitrine en claquant des dents, le regard sur moi.
- Je sais. J'ai l'air appétissante. Dis-je d'une voix un peu rouillé.
Parler n'était plus une habitude pour moi. J'évite les vivants comme la peste, c'est mieux pour ma survie.
Je fais le tour du grand bâtiment et passe par une petite fenêtre, c'est l'entré que j'utilise toujours. Elle est pratique et facile d'accès
Une fois dans le bâtiment, je regarde attentivement ce qu'il y a. Il y a certain magasin où je ne suis encore jamais allé.
J'arrive dans un magasin de sport. Il n'y avait pas de rôdeurs dedans, enfin je pense.
J'entre mon arme en mains et marche sans faire de bruit. Avec le temps j'ai appris à ne plus faire de bruit quand je marche.
J'arrive dans la partie du magasin qui m'intéresse et regarde les battes de baseball. J'en prends une et fais quelques mouvements avec, facile à utiliser et légère. Mais comme ça elle ne fait pas assez de dégât, il faut que j'y ajoute quelque chose comme des clous par exemple. Je verrai ce que j'en fais une fois rentrée.
Je relève la tête d'un coup en entendant des voix et des bruit de pas. Ils sont nombreux, ils ne faut pas que je reste.
Au sons de leurs voix je dirais que il y a que des hommes ce qui n'arrange pas la chose.
Il faut que je parte d'ici, et vite.
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