Janna

Je me suis pas reconnus hier soir j'ai fait la maline mais c'est vraiment pas une chose que j'ai l'habitude de faire. J'ai jamais fréquenté d'homme alors c'est vraie que je sais même pas comment j'ai été capable de le laisser m'embrasser et de me voire toute nu pendant que je me changeais. Je sais pas si je me trompe mais j'ai envie de lui faire confiance et d'apprendre a vraiment le connaître.

Je me retrouve à le regarder pendant qu'il dort encore. On s'est levé pour prier et on s'est rendormis lui plus que moi donc je me lève je vais me préparer :

Je retourne à la chambre il avait une petit tête du matin avec ses tout petit yeux :

Nizar : mais t'es déjà prête ??

Moi : oui mais prend ton temps je vais me balader je reviens.

Il me fait un signe de tête et je sort. J'ai directement appelé ma tante Sana :

Tata Sana : alors ma beauté ?

Moi : ça va et toi ?

Tata sana : ça va j'étais avec ton père tout à l'heure il m'a dit qu'il est hyper satisfait mais toi ça va au moins là-bas ?

Moi : oui il est vraiment gentil avec moi.

Tata sana : il a intérêt, je vais prendre la route ma beauté je te laisse on se tiens au courant.

Moi : oui bisou.

Je suis aller au marché de Mahébourg il y a de tout là-bas d'après mes recherches donc j'y suis aller. J'ai pas pris de fruit et légumes vue qu'on est a l'hôtel mais du coup j'ai déniché des bijoux et des vêtements pour moi et pour la famille en cadeau souvenir.

Deux heures après je reviens à l'hôtel avec mes emplettes :

Nizar : t'as réussi à faire du shopping dans un pays que tu connais pas toi.

Moi : t'es dans le jugement regarde ce que j'ai trouvé.

Je lui montre tout j'ai pris des choses pour ses sœurs aussi :

Nizar : elles vont être contente c'est vraiment leur délire en plus.

Moi : je sais j'ai bon goût.

Il souris :

Nizar : on peut parler d'hier soir ?

J'étais tout de suite plus à l'aise :

Moi : c'est à dire ?

Il rigole, il prend ma mains pour qu'on s'assoie sur le lit :

Nizar : c'est aller loins hier soir je voulais savoir si t'étais vraiment à l'aise vis à vis de ça et non que je t'ai prise au dépourvue.

Ça m'a surprise. Ma culture et pas ma religion je tiens à le souligner m'a toujours inculquer la satisfaction de l'homme avant tout. Même si je suis éduquée sur le consentement je m'attendais pas à tomber sur un homme de la même culture que moi comme ça. Ça me surprend mais je pense que l'embrasse est la meilleur des réponses. J'ai jamais vécue tout ça mais il me donne envie d'être aussi avenante même si j'avoue beaucoup me repose sur le fait qu'il est plus à l'aise avec moi :

Nizar : le message est plus que clair la.

Je souris :

Nizar : j'ai vue une excursion en quad vers le sud de l'île t'as envie de le faire ou tu préfère être en mode repos aujourd'hui ?

Moi : non je veux trop.

On a regardé le trajet en taxi parce que c'est au niveau du sud de l'île donc on y est aller sur un coup de tête sans réel organisation. Sur le trajet j'ai logiquement dormis. Après on a fait des jeux sur son téléphone notre meilleure activité pour l'instant.

On est arrivé il y avais déjà un groupe de touriste et de locaux devant les quad. On a fait des essaie quad et quand j'essayais je voyais Nizar sourciller il avais l'air agacé mais je comprenais pas pourquoi. Une fois que le guide valide mes réglages je descend et je retourne vers Nizar. Il me prend à part :

Nizar : on a un problème là.

Moi : quoi j'ai fait quelque chose de mal ?

Nizar : on voit toutes tes jambes quand tu monte sur le quad. Ta robe remonte trop.

Moi : j'avais pas fait attention. Il y a bien une boutique pour que je puisse m'acheter un cycliste noir.

Je vais voire vers les boutiques de tenues culturel pour les touristes et j'ai eu de la chance parce que il restais quelques cycliste j'en ai pris un et je l'ai enfilé en cabine directement. Il étais devant la boutique :

Moi : tu boude toi ? Un grand homme comme toi.

Il rigole :

Nizar : j'étais pas entrain de bouder. Mais tu t'habille bien j'avais jamais vu tes jambes dehors. Encore moins devant des hommes.

Moi : t'es jaloux c'est pas grave. Ça tue pas.

Pour une fois je le voyais déstabilisé devant moi de base c'est moi la déstabilisée de l'histoire.

On retourne avec les autres et on prend nos quad on a fait des tours solo et des tours où j'étais derrière Nizar :

Moi : on échange ?

Nizar : tu veux me piloter ?

Moi : oui je suis une pilote hors paires.

Nizar : on va voir ça.

Du coup on inverse et on finis comme ça. C'était bien mais entre le sable et le soleil j'avais la tête qui chauffais et notre trajet de retour est hyper long :

Moi : je me sens pas bien.

J'avais envie de vomir et j'avais chaud comme pas possible :

Nizar : t'as la tête toutes rouges.

Je m'assoie par terre et le guide touristique s'approche de moi mais Nizar s'interpose en lui faisant comprendre qu'il allait s'en occuper. Il me porte à l'ombre et m'allonge par terre il me déposais de l'eau glacé sur la tête et me faisait boire de l'eau :

Nizar : tu te sens mieux ?

Moi : oui. Je veux rentrer.

Nizar : oui t'inquiète le guide nous a trouvé un taxi il nous attend.

Il m'aide à me levé à peine debout je vomis comme pas possible. J'étais hyper gêné mais ça m'a fait du bien :

Nizar : on va aller à l'hôpital.

Moi : non non c'est pas nécessaire.

Il dit rien mais j'ai bien l'impression que mon avis lui importe peu.

Il m'aide à me débarbouiller et on va au taxi. Il indique qu'on va à l'hôpital donc je comprend bien qu'il n'a pas pris en compte ce que je disais.

Une fois à l'hôpital on me fait des analyses, prise de sang :

Moi : je t'ai dit que je voulais pas être là.

Nizar : et moi je t'ai dit que moi je voulais être sur que tout va bien.

Il prend ma main et dépose un baiser :

Nizar : c'est bientôt finis.

J'ai finis par m'endormir. Je me fait lever par le médecin qui nous explique que j'ai fait une insolation et que je pouvais partir mais que je devais faire attention. Je viens d'un pays froid donc j'avoue que les températures chaude me réussisse un peu moins si je fait pas attention.

On retourne à notre chambre d'hôtel après cette longue journée. Je suis aller me doucher et enfiler vite un pyjama pour foncer au lit j'étais épuisée. Nizar est sortie nous prendre à manger. Il a mis un plateau entre nous et on mangeais en regardant un film :

Nizar : tu te sens mieux ?

Moi : oui je suis juste fatiguée.

Il se lève pour débarrasser le plateau on l'a emprunter à la réception parce que on a préférer acheter à manger dehors. Il reviens et se glisse sous la couette :

Moi : t'es de nature jaloux toi ?

Nizar : c'est normal si t'es pas jaloux t'es juste pas un homme normal pour moi. Et en plus je sais que tu t'habille bien.

Moi : de base on est pas censé être jaloux vis à vis d'une inconnus.

Nizar : t'embrasse les inconnus toi ?

Moi : que toi.

Il rigole et dépose son front contre le miens :

Nizar : tu m'a fait peur un peu aujourd'hui.

Moi : j'ai pas de problème de santé en général donc t'aura pas à vivre ça souvent. Et toi t'as des problèmes de santé ?

Nizar : je suis épileptique. Mais j'ai mon traitement.

Moi : je te vois jamais prendre de médicament.

Nizar : j'avoue que là je l'ai ai oublié mais c'est pas la première fois c'est rien.

Moi : t'es malade c'est pas drôle.

Nizar : j'ai pas dit que ça l'était mais tranquille on reste pas ici un mois.

Moi : il y a rien de rassurant.

Il dégage mes cheveux de mon visage et m'embrasse :

Nizar : je sais ce que je fait.

Moi : ça dépend de quoi tu parle.

Il rigole :

Nizar : tu me cherche toi.

Moi : j'ai hâte de voire comment t'es dans un environnement normal. Sans vacance et beau soleil.

Nizar : il y a rien qui change sauf les vacances et le beau soleil.

Moi : c'est ça ouais.

Nizar : c'est toi j'ai hâte de voire si tu fera toujours autant la maline.

Je rigole :

Moi : chut je veux dormir.

Il rigole. Je lui tourne le dos et il se rapproche de moi et dépose des baisers sur mon cou :

Nizar : arrête de faire la maline.

Moi : bonne nuit.

Il se blottis contre moi et on finis par s'endormir.

Suite bientôt 🔜