Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 18




Pendant un mois entier, Cassiopée n'avait que très peu dormi : les ennuis avec Noé ne faisaient qu'empirer. Désormais le président Rader soupçonnait l'île de Cassiander de renfermer des noétiens contre leur volonté, chose démentie à de nombreuses reprises. La Reine enchaînait des discours adressés à son peuple mais aussi au président Rader : la situation était officiellement sous contrôle, l'île respectait la liberté de chacun. Bien évidemment les habitants n'étaient toujours pas au courant pour la Forêt, qui d'ailleurs commençait à s'encombrer. Tout l'espace était occupé et pour des raisons évidentes des immeubles de taille haute ne pouvaient pas être construits au risque d'être vu par les locaux.

Tout comme la Forêt, le projet Caméléon provoquait des sueurs froides à la nilée : son père enchaînait échec sur échec. Heureusement qu'il avait de la « matière » sur laquelle travaillait. Malheureusement Cassiopée ne savait pas quoi faire d'autre à part fermer les yeux sur ces nombreux décès. Devait-elle arrêter les essais ? Cette question la turlupinait sans arrêt.

À cela s'ajoutait le fait qu'elle n'avait pas osé retourner voir Homam. L'affronter serait une façon de certifier qu'elle ne pourrait jamais adopter cette enfant. Rongée par le remords, elle avait quand même demandé à son père de l'emmener aussi souvent qu'il le pouvait, voir les étoiles. Mais elle en était certaine, cela ne compensait pas leur moment à elles deux. Tant de stress venant d'une dirigeante s'accumulait avec celui de sa vie personnelle.

S'endormir un soir et se réveiller le lendemain avec deux bambins n'étaient pas chose facile à gérer psychologiquement. Heureusement que son entourage était là, en particulier Alex. Jusque là il tenait sa promesse d'excellent père. Les nombreuses fois où l'un des jumeaux pleurait, c'était très souvent Alex qui se levait, peut-être qu'il savait à quel point la situation était difficile pour sa femme en ce moment ?

En tout cas, Cassiopée se savait chanceuse de l'avoir et malgré tout, elle faisait son possible pour rattraper le temps perdu de sa grossesse. Tous les matins, tous les midis et tous les soirs, Cassiopée prenait le temps de créer un lien avec son fils et sa fille. Ses médecins et son père le lui avaient fortement conseillé, pour ne pas poursuivre le déni après l'accouchement. Et a son plus grand étonnement cela la soulageait de voir qu'elle se sentait tous les jours de plus en plus proches d'eux.

— Alex, comment peux-tu dire qu'ils sont aussi beau que toi ?

Elle tenait sa fille dans ses bras et ne voyait pas ce qu'Alex ne cessait de répéter à qui voulait bien l'entendre.

— Je le sais c'est tout.

La pouponnière avait été aménagée dans la salle adjacente à leur chambre et grâce à Marceli une porte permettait de joindre directement les deux pièces. Au loin, dans leur pièce à coucher, elle entendit son pigeon préféré renforcer son avis :

— D'accord à un mois on ne voit pas de grande différence, mais au fond de moi je le sais. Et au fond de toi aussi tu sais qu'ils seront à tomber par terre, magnifiquement beaux et exquis comme leur père.

Sa vanité était revenue au galop en même temps que leurs enfants étaient nés, à son plus grand désarroi. Lorsqu'il se montra dans l'embrasure de la porte, Cassiopée lui jeta un regard de dédain, qu'il ignora en changeant de sujet.

— Cela fait un mois. Le public attend toujours le nom des enfants.

Elle se refocalisa sur le visage de cet être humain si fragile qu'elle tenait dans les bras et n'arrivait toujours pas à croire qu'il s'agissait de son enfant.

— Ils n'ont qu'à attendre, il n'y a rien qui presse.

— Personnellement je sais déjà comment je veux l'appeler, notre fille.

Lorsqu'elle releva la tête, Cassiopée sut instantanément qu'il allait lui faire une blague parce qu'il ne pouvait s'empêcher de refréner un sourire.

— Je veux l'appeler Majestueuse.

Automatiquement Cassiopée roula des yeux :

— Tu veux que notre fils s'appelle Narcisse aussi ?

Il émit un rire moqueur, suffisamment fort pour réveiller le jumeau.

— Bravo, commenta Cassiopée ironiquement. J'espère que notre fils sera plus utile que toi.

Alex lui fit une grimace enfantine sans lui répondre. Comme s'ils étaient connectés, la fille se mit également à pleurer et s'endormit presque aussi rapidement sous les gestes tendres de sa mère. Quant au télépathe, il prit le deuxième dans ses bras pour qu'il cesse de pleurer.

— Sérieusement, Cassiopée. Je pense avoir trouvé pour notre fille.

— Moi aussi.

Le télépathe arrêta de bercer le bébé, vissant ses yeux sur sa wagen :

— Toi d'abord.

— Non toi d'abord.

— J'ai dit « toi d'abord » en premier donc c'est toi d'abord, répéta-t-il.

Cet échange dura encore quelques secondes jusqu'à ce que, agacé, Alex cède :

— Tu n'as pas le droit de contester.

— Si quand même, contredit-elle.

Elle le vit stresser presque autant que le jour de l'accouchement. Ses mains ne pouvaient s'agiter puisqu'il tenait l'enfant mais il ne cessait de taper du pied et de se mordre la lèvre, l'air perplexe.

— Il n'a pas de signification particulière. Enfin si, Gianni m'a dit que cela voulait dire « justice divine » ou quelque chose comme ça mais ce n'est pas la raison pour laquelle je l'ai choisi.

Toujours son fils dans les bras, il se mit à arpenter la pièce, regardant par la fenêtre.

— Je l'ai choisi parce que je le trouvais beau c'est tout. Peut-être qu'il fait vieux jeu ou-

— Alex.

Sa jugeote se stoppa à l'entente de son prénom. Quand il vit le regard de Cassiopée, il se lança.

— Eurydice. Je veux qu'elle s'appelle Eurydice.

Jamais elle ne l'avait vu aussi peu sur de lui. Cassiopée pouvait voir de l'appréhension et du doute dans les yeux aux reflets si agréable d'Alex. C'en était si rare qu'elle prît le temps de mémoriser ce moment, sa posture droite mais peu assurée, sa main droite qui ne cessait de caresser la couverture du bambin comme s'il se réconfortait lui-même et enfin son visage où l'angoisse s'y lisait sans grande peine. Mais tout s'envola lorsqu'elle lui adressa le sourire le plus réconfortant qu'elle avait. Ce n'était certes pas le prénom qu'elle préférait le plus ni celui auquel elle aurait pu penser mais il était convenable.

— Ça me plaît.

Il expira si fortement qu'il aurait pu faire s'envoler leurs jumeaux.

— Et toi ? l'interrogea-t-il

— Tu sais ce qui est le plus drôle ? Moi aussi j'ai pioché dans la mythologie grecque.

Alex esquissa un petit sourire, le même que celui de sa femme.

— On n'est pas des wagens pour des pacotilles.

— Moi aussi je trouvais son prénom très beau, mais il faut dire qu'une partie de son histoire m'a convaincue que c'était le bon. Dans la mythologie grecque, il était décrit comme un homme d'une grande beauté. Cela devrait te réjouir non ?

— Ne me dis pas que tu as choisi Apollon ou que tu pensais vraiment à Narcisse ?

Par pur plaisir, Cassiopée laissa Alex s'inquiéter un peu plus qu'il n'aurait fallu en laissant le silence planait et en faisant semblant de considérer la question. Il reposa leur fils, fit quelques pas, puis le reprit dans ses bras.

— Non, je pose mon veto, pas Narcisse, c'est horrible.

— Alex, je n'ai pas dit que j'avais choisi celui-là.

— Apollon c'est pas mieux !

— Tu stresses ? le questionna-t-elle, amusée.

— Non.

Lorsqu'il se gratta le sommet du crâne, elle sut qu'il mentait. Lorsqu'il se mit à arpenter la pièce à nouveau, avec un rythme plus soutenu, elle décida d'abréger ses souffrances.

— J'ai choisi Hyacinthe. Est-ce que ça te plaît ?

Tout un processus de réflexion se faisait sur le visage de son pigeon, différentes émotions paraissaient aussi passer dans sa tête, ce qui provoqua un certain fou rire chez elle.

— C'est le nom d'une fleur non ?

— Techniquement non. Tu n'aimes pas ?

— Je sais pas.

Il fixait quelque chose dans le vide. Malgré sa réponse, Cassiopée savait qu'il commençait à se faire peu à peu à l'idée du prénom.

— Je retire ce que j'ai dit, se reprit-il. J'aime bien. Non, j'aime beaucoup même.

Cassiopée se rapprocha de lui, toujours sa fille contre elle :

— Je te présente alors Eurydice et Hyacinthe.

— Princesse Eurydice et Prince Hyacinthe, la corrigea-t-il.

Contents d'avoir enfin trouvé les noms, ils en informèrent leurs pères respectifs qui se réjouirent de la nouvelle, puis ils rassemblèrent leurs proches pour en faire de même.

— Eurydice et Hyacinthe ? répéta Robert.

Son visage exprimait clairement ce qu'il ressentait vis-à-vis de ces prénoms : il était confus.

— Les pauvres, ils vont galérer pour écrire leur prénom, se plaignit Robert. Même moi je ne suis pas sûr de l'orthographe.

— Vous avez pensé aux parrains et marraines ? s'enquit Laurine. Parce que moi je suis disponible pour assurer le rôle pour les deux.

Cassiopée et Alex n'eurent pas le temps de répondre que déjà Robert contesta :

— Ah non ! J'avais demandé avant toi ! Je serai la marraine et le parrain. Toi tu peux être le plan B, au cas où. Rien d'autre.

— Robert, l'appela Gianni. Est-ce que tu sais quelle est la différence entre un parrain et une marraine ?

Pendant que Gianni expliqua brièvement au métamorphe, quelqu'un entra précipitamment dans la pièce. Sa peau noire luisait d'effort et ses yeux noirs transpiraient l'affolement. Cassiopée le reconnut immédiatement : il s'agissait de Sohane, S., le bras droit d'Alex, capable de décupler n'importe quelle faculté.

— Je suis désolé de vous déranger. Alex, il faut que vous veniez.

Un seul regard entre les deux suffit à faire du blond un personnage de marbre. Inquiète, Cassiopée l'interrogea :

— Qu'il y a-t-il ?

Il jeta un œil sur toute l'assemblée, s'attarda sur Cassiopée puis s'exprima :

— C'est un sujet sensible, nous ne pouvons pas en discuter ici.

L'illusionniste comprit qu'il voulait lui cacher un sujet.

— Vous ne pouvez rien me cacher. Je suis la Reine et vous êtes entourés de nos proches les plus loyaux alors parlez en toute sincérité.

Devant le ton autoritaire de Cassiopée, S. entra lentement dans la pièce mais lorsqu'il posa son regard sur Alex, ce dernier intervint :

— C'est un problème mineur, je peux le gérer. Tu n'as pas besoin d'en être informée.

Au fond d'elle, la nilée sut qu'il se tramait quelque chose et avec le temps il lui était plus facile de savoir quand Alex lui mentait. S. avait du l'informer du problème par télépathie et désormais Alex tentait de l'éloigner du sujet.

— Je pense que tu as dépassé ton quota de mensonge pour les dix ans à venir, Alex O'Connor. Je te le répète : en tant que Reine, j'ai tous les droits d'être informée d'un souci, mineur ou majeur.

Le blond ne dit rien, crispé sur place. S. jeta à nouveau un œil à son patron puis à la dirigeante. C'était la première fois qu'elle le voyait avec les yeux fuyants :

— Le président Rader a fait un discours il y a quelques minutes. Il accuse le Royaume d'avoir kidnappé sa fille et de l'avoir tuée.

Cassiopée émit un rire si fort face à l'absurdité de l'information qu'elle pensait avoir réveillé les jumeaux. Mais quand elle comprit qu'elle était la seule, une nouvelle peur l'envahit gravant lentement sa colonne vertébrale jusqu'à se loger dans sa nuque.

— Que dit son discours exactement ? questionna-t-elle

S. Se plaça au milieu de la pièce et alluma le seul écran télévisé de l'appartement. Aussitôt dans un petit rectangle sur la droite apparut la même journaliste blonde que Cassiopée connaissait, et sur le reste de l'écran, le président Rader dans toute sa laideur se tenait derrière son pupitre.

Son nez crochu s'enfonçait dans sa moustache, encore plus quand il s'énervait, ce qui ne donnait aucun sérieux au personnage politique. Ses cheveux gris gominés étaient peignés en arrière mais parfois Cassiopée s'amusait à penser qu'ils n'étaient pas gominés, simplement gras et sale, comme son âme. Quant à ses joues elles étaient bien plus creusées que d'habitude, peut-être à cause du rouge de colère dont elles étaient teintées. Il agissait les mains dans tous les sens tout en tenant un discours dynamique :

— Ils nous ont volé nos enfants. Notre avenir. C'est inadmissible !

Des personnes crièrent en soutien à ses paroles.

— Pire encore. Ils ont lâché leurs cafards sur nos précieuses terres. Leurs nilées. Ces extra-terrestres aux pouvoirs de Satan !

Même si la caméra ne montrait pas le public, quelques points se levèrent pour affirmer leur croyance qu'ils partageaient avec Rader. Ce dernier se calma quelque peu, baissant la tête pour lire son discours.

— Comme vous le savez, ma fille a disparu il y a des semaines.

Un silence mortifère s'installa dans les tribunes.

— Toutes les solutions ont été envisagées. Toutes. Même les plus loufoques. Et la plus folle de toute s'est avérée vraie.

Le moustachu fixa la caméra et pointa son doigt sur elle :

— Ces monstres ont kidnappé ma petite fille et ils l'ont assassiné !

Des larmes lui montèrent aux yeux et Cassiopée était certaine qu'elles étaient factices.

— Ma petite fille ! Mais pas qu'elle. Vos enfants aussi ont subi les affres de ces dérangés !

La photo d'une jeune fille prit la place de la journaliste. Etrangement elle rappela quelque chose à Cassiopée : ces longs cheveux roux mangeaient de toute part son visage donc les yeux étaient aussi féroces que ceux de son père. Au fond d'elle quelque chose naquit, une petite étincelle qui ne souhaitait que grandir pour l'avertir, pour la rassurer sur le fait qu'elle ait déjà vu cette fille.

— On les a laissés en paix mais ils ont osé ramené leur vermine chez nous et décimé les nôtres. Il faut que justice soit faite !

Il y eut du mouvement dans l'assemblée mais aussi sur la scène.

— D'après nos sources, près de deux cents enfants ont été sacrifiés par ces horribles nilées. Deux cents enfants, répéta Rader. Quelle honte. Quelle horreur ! C'est un génocide.

Cassiopée trouvait qu'il en faisait vraiment trop mais elle s'impatientait, ne sachant pas ce qu'il leur réservait.

— Nous avons ramassé leurs cafards et ils subiront le même sort que nos enfants. Les cinq exécutions auront lieu demain.

Rader s'adressa à l'assemblée qui lui faisait face.

— Mes amis, je vous invite à prier pour la préservation de notre espèce et je vous attends demain à midi pour participer à leur exécution, Ici, sur cette place.

Une clameur effarante s'empara de la foule, donnant la chair de poule à Cassiopée. Elle aurait voulu dire qu'il bluffait mais au fond, elle redoutait que le contraire ne soit vrai.

— Quant à vous, infâmes êtres.

Il pointa à nouveau du doigt la caméra, qui effectua un zoom sur lui. La Reine avait la confirmation que sa fille avait bien le même regard remplit d'animosité que son père. Cette pensée donna un nouvel espoir à une étincelle inconnue dans le tréfond de son esprit, sans succès.

— Rendez-nous les enfants que vous gardez prisonniers. Rendez-nous nos enfants, ils ne vous appartiennent pas. Rendez-les nous ou vous signerez la déclaration de guerre.

La caméra dézooma pour donner un aperçu de l'estrade sur laquelle il se tenait. Un petit troupeau apparut alors. Cassiopée distingua deux groupes : des hommes en tenues noires des forces de l'ordre et cinq personnes aux vêtements divers dont la tête était couverte d'un vulgaire sac de tissu noir. Lorsqu'ils furent mis à genoux par le premier groupe, Cassiopée comprit qu'il s'agissait des cinq prisonniers, menottés dans leur dos.

Par automatisme, elle se redressa et s'approcha de la télévision, tout comme son entourage. Son cœur battait contre sa tempe tentant de s'échapper de son cœur. La jeune femme gardait toutefois l'infime espoir que Rader se soit trompé sur l'identité de ses prisonniers mais lorsque les cinq cagoules furent retirées, tout espoir disparu. Pire, son sang se glaça.

Elle reconnut immédiatement les trois premiers hommes. Il s'agissait des Légendaires dont elle avait examiné le dossier quelques semaines auparavant : un soldat, un journaliste et un influenceur. Mais lorsque son regard se porta sur les deux autres, Cassiopée sentit la terre tourner autour d'elle. Elle voulut s'appuyer contre un mobilier mais rencontra seulement le bras de Jelani qui la rattrapa. Comme pour s'assurer qu'elle n'avait pas tout imaginé, elle braqua son regard sur ces deux prisonniers mais non c'était bien eux.

À part la saleté visible sur leurs visages, ils n'avaient pas changé. Comment était-ce possible ? D'autres questions affublaient dans son cerveau, les voir vivants ainsi ne faisait qu'accentuer à son étourdissement et Cassiopée sombra dans l'inconscience.

~•~•~•~•~•~•~•~•~•~•~•~•

Coucou tout le monde !

Vous connaissez maintenant le nom des jumeaux et bravo à vous car vous avez compris qu'ils auraient un sens et qu'ils seraient "atypiques" (d'ailleurs j'ai vraiment adoré toutes vos propositions et certaines m'ont même tenté de changer les prénoms de base 😜).

Alors est-ce que vous aimez ces deux prénoms ?

Quant à la raison pour laquelle je les ai choisi...eh beh...soit vous trouvez soit il faudra être patient 😌

Et puis sinon, vous avez vu que la situation avec le Rader commençait à dégénérer...5 prisonniers condamnés à mort dont 2 qui ont fait perdre conscience à Cassiopée...une idée de qui cela pourrait être ?

D'ailleurs, en parlant de la descendance de Cassiopée et Alex, j'avais une autre question pour vous : est-ce que vous vous êtes imaginés les wagens ou vous les avez associés à une personnalité (acteur/trice, modèle, chanteuse/teur...) ?

Parce qu'il y a quelques semaines, une lectrice (qui se reconnaitra) m'a dit qu'Alex lui faisait penser à ce jeune homme 😛


Donc je serai très curieuse de voir comment vous imaginez Cassiopée et/ou Alex 🤓
(Et pourquoi pas les persos secondaires s'il y en a 😊)

Bon, on se dit à lundi pour découvrir l'identité de nos deux inconnus ?

Bisous !😘♥️

🧜‍♀️

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro