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♬ m u s i q u e ♬
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Stockholm Syndrome - One Direction
— "And when the day breaks, the only hope left is the return of the night"—
NIGHTS meets DAY
— K N I G H T —
Un sac de petit pois surgelé en main, je grimace. J'ai lu quelques part que les sacs de congélations étaient le meilleur ami de celui qui venait de se battre. Il suffit d'appliquer avec précaution le sac sur la blessure, le bleu ou la plais pour soulager la douleur.
Pour ma part, j'applique le sac de petit poids surgeler sur le sommet de mes points. Les coups que j'ai mis a Griffin, n'avais rien avoir avec ceux que je m'étais dans les sacs de box, autrefois. Je grogne alors que je limite le contre coup de l'hématome qui risque de sortir d'une minute a l'autre. Si Lysander me voix dans cette état débarquer au Joyaux, il me posera des centaines de question que j'aimerais savoir anticipé, seulement, deviner le destin c'est impossible.
Sur cette pensée, mon esprit divague instantanément. Avery me reviens alors en mémoire. J'ignore de quoi sera composé son destin, elle n'a jamais voulu croire au destin, et je pense que je commence a comprendre pour quelle raison.
Je me détourne du congélateur, et me dirige ensuite vers l'évier alors que Griffin passe le pas de la porte de la cuisine. Mon regard vissé sur la grande fenêtre qui surplombe l'évier, je l'observe. Son reflet parait aussi incertain que son pas calfeutré. Nous n'avons pas parlé depuis qu'Adley a laissé ce message sur ma boite vocale. A vrai dire, Griffin a tout fait pour m'éviter, et par conséquent éviter le sujet. Je reste quelques seconde, le dos tourné, tandis que Griffin s'aventure vers le congélateur sûrement a la quête d'un sac de petits pois surgelé. Je reste silencieux alors qu'il ouvre la porte de l'objet réfrigérant.
— Je vais allé passé quelques jours chez un copain, il m'annonce. J'ai besoin de réfléchir.
Réfléchir ? Je croyais que tout avait déjà était dit au travers de cette baston sanguinolente. Sans vouloir le contre dire, j'adopte une moue dubitative, et me détourne enfin de la grande fenêtre. Cette fois-ci c'est Griffin qui me tourne le dos. Il s'appuie sur la porte de réfrigérateur comme si ce dernier était un trait pied, qui l'aide a ne pas tombé.
Le ton qu'emploie Griffin est distant, froid et n'as rien avoir avec le ton amicale qu'il a habituellement en vers moi.
— Je serais parti quand tu reviendra, il poursuit.
— Tu troc ton lit d'ici pour le canapé miteux d'un copain douteux c'est ça ? Je te signal que je travail de nuit, alors pas besoin de t'en fuir, tu ne risque pas de me croisé avant...
— J'ai besoin d'air, Knight, il rétorque en me coupant. Et puis comme tu aime me le répéter, cette appartement t'appartiens au trois quart.
— Griffin.
— Cherche pas j'ai pris ma décision.
Après quoi, Griffin se retourne brusquement, m'arrache des mains le paquet de petit pois, et fini par disparaitre vers sa chambre. Mon sang se glace, lorsque la porte claque dans un coup violent.
J'ai peu de mal a imaginé ce qu'il ressent. Mais entre Adley et moi c'est allé trop loin, je sais. Si Finley n'avais pas débarqué a l'improviste, elle comme moi, aurons tout fait pour voilé la vérité. Car elle l'a dit elle même c'est Griffin qu'elle aime le plus d'amour. Je soupire, cramponné au plan de travail en bois qui moule la cuisine.
Mon regard parcours cette dernière, qui est des a présent vide. Quand il fini par s'accrocher sur l'horloge de la cuisine. Les aiguilles se sont remises a fonctionné : signe qu'Adley a remédier au problème du manque de pile. Elle est partout dans cet appartement, sans réellement l'être physiquement. La grande horloge indique bientôt dix huit heures. D'ici quelques minutes je dois prendre mon tour de garde.
Je me dirige vers la porte d'entrée, attrape mes affaires, et tel une furie je disparait dans le corridor qui mène aux escaliers. Je les dévalent en quatre par quatre, et très vite me voilà immergé par la chaleur écrasante de la Géorgie. Comme toujours je traverse la ville en emprunter des raccourcit dans des rues douteuses, avant de parvenir seulement quelques minutes plus tard au Joyaux.
— Knight ! s'écris Raven en accélérant le pas pour me rattraper. Salut. Toi aussi t'es là a propos du message de Lysander ?
— Quel message ?
Raven me toise de son regard, alors que j'emprunte le trottoir qui borde le club.
— Bah tu sais... celui qui disait que c'était une urgence, et qu'on devait arriver plus tôt pour en discuté. Merde ! elle s'écrit, je vais me faire viré c'est ça ? Pitié Knight dis-moi que je me fait un film.
J'enfonce mes mains dans mes poches en espérants qu'elle n'as rien remarqué de tout ses hématomes et plais qui les jonches.
— Tu peu cacher tes mains au plus profonds de tes poches, elle reprend, j'ai tout vu. Tu t'es battu ?
— Je croyais que tu voulais savoir si tu allé te faire viré.
— Peut-être, oui. Mais tu t'es battu, Knight, n'est-ce pas ?
— Pourquoi tu change toujours de sujet ? Tu devrais être entrain de te ronger les ongles a l'heure qui l'est parce que je ne sais pas si effectivement tu vas te faire viré.
— Je te retourne la question ? A toi de me dire pourquoi tu change de sujet lorsque je te demande si tu t'es battu.
Arrivés a la hauteur de la porte, Raven et moi, pénétrons dans l'enceinte du bâtiment. A l'intérieur tout est toujours aussi sombre, la seule lueur émerge du bar lumineux qui change de couleur presque toute les cinq minutes.
— Sois mignon, elle me supplie, répond a mes questions Knight.
Je soupire.
— D'accord. Non tu ne vas pas te faire viré, je renchérie, Lysander veux surement te parler a propos du teste debile qu'il t'a fait passé hier, tu sais avec le type là... qui portait un teeshirt Nirvana.
Raven soupire soulagé.
— Heureuse de te l'entendre dire. Et pour tes poings alors ?
Je retire les mains de ma poche et appuie sur la poignée qui ouvres la porte des vestiaires. A l'intérieur la lumière émis par les néons est éblouissante. Je cligne plusieurs fois des yeux alors que Raven et moi pénétrons dans l'endroit.
— Je me suis battu, oui.
Raven me contourne pour atteindre son casier non loin du mien.
— Merde. Ton visage Knight ! elle m'indique en me dévisageant, tu saigne !
D'un coup sec je parviens a ouvrir mon casier, dans lequel un miroir avait été fixer. Instantanément mon regard tombe sur mon reflet, au niveau de l'arcade sourcilière une goute de sang perle. Griffin n'y est pas allé de main morte avec moi. Dans le feu de l'action, je n'ai pas pris le temps d'aller me désinfecter les plais.
— Il est pas allé de main morte celui qui t'as fait ça.
— Je me suis défendu, je rétorque, même si je méritais ses coups.
— Personne ne mérite de se faire battre comme ça. T'es sure que tu vas bien ?
— Je vais parfaitement bien ! surgit Lysander, et toi Raven ? Quoi de neuf ?
Raven pose son regard par dessus mon épaules. Elle observe Lysander, un moue compatissante sur le visage.
— Salut LJ, elle le salut poliment.
— Salut mes tourtereaux. Salut Knight.
Je décompte chaque seconde entre l'instant ou je vais me retourner et ou il va voir mon visage ensanglanté.
— Les tourtereaux ? Qui a dit que Knight et moi on sortais ensemble ?
— Personne. Mais vous êtes tout le temps collé l'un a l'autre, alors c'est tout comme.
— Je ne suis pas toujours collé a elle, je ronchonne.
— Ah oui, c'est vrai y'a ton copain Griffin l'imbécile dans le lot.
— Griffin ? C'est lui qui t'as battu ?
J'écarquille les yeux, alors que Raven me scrute. Elle sait parfaitement que oui, il s'agit de mon acolyte et meilleur ami qui s'est défoulé de cette manière sur moi.
— Qui a battu qui ?
— Griffin contre Knight, manifestement. Griffin la défiguré.
— Avant que je ne me retourne LJ, promet moi de ne pas en faire toute une histoire, ce n'est que plais de rien du tout.
— Je peux rien te promettre, Fitzgerald. Tu sais bien que je ne promet jamais rien. Retourne toi.
Sans rien dire de plus, je m'exécute, et tourne le dos a Raven. A peine suis-je en face de mon binôme, que ses yeux s'écarquillent brusquement.
— Je ne prône pas la violence entre les employer, il chuchote en observant la gouttelette de sang qui menace de tomber.
— Sa tombe bien Griffin ne travail plus ici depuis des mois, rétorque Raven.
— Je sais bien. Et tant mieux parce qu'il a une sacré droite se cretin.
— Je l'ai mérité, j'avoue.
D'un geste efféminer, Lysander plaque sa main contre sa bouche. Avant de froncer les sourcils et d'exprimer sa frustration.
— Comment ça mérité ? Cet abruti te défigure et toi tu dis que tu l'a mérité, j'espère que tu t'es des défendus. Sinon tu es un crétin des îles comme je l'ai toujours cru.
Raven pouffe de rire. Ce qui lui vaux un regard furtif et noir de ma part.
— Je me suis défendu, oui. Mais je... enfin bref. On as du boulot, je change de sujet.
— Et le voila qui recommence, enchaine Raven, il change de sujet comme il respire.
— Je n'ai pas envie d'en parler. C'est tout.
— Dis nous au moins qu'est-ce qui s'est passé, rétorque Lysander.
— Des tas de choses, je conclue.
— Plus vague tu meurt, ajoute Raven d'un ton condescendant.
Je dégluti, en laissant mon regard passé de Raven a Lysander, tel une bal de tennis en plein match. Lysander croise ses bras sur sa poitrine, signe qu'il n'en démordra pas si facilement.
— C'est seulement que j'ai merdé. Je suis allé voir Finley a New York. Et un tas de choses se sont enchainé, je me confie. Si bien que je lui ai envoyé un message...
— Attend une seconde t'a fait quoi ?
— Il lui a envoyé un message, répète Lysander.
— C'est tellement stupide.
— Je suis stupide, je rétorque. Elle a débarqué a Atlanta et Adley était dans les parages. Et des tas de choses ont fini par être dites, au lieux d'être passé sous silences. Une chose entrainant une autre, Griffin a rejeter toute sa colère sur moi : ce que j'ai vivement mérité parce qu'Adley et moi, on sait embrassé.
— Quoi ?! ils s'écrient d'une seule et même voix.
— Alors là c'est le pompon du pompon ! poursuit Lysander.
— Il est au courant pour ce baiser ? m'interroge Raven. Je veux dire ce n'est pas rien si tu l'a embrassé dans le dos de Griffin, c'est qu'il y a avait une quelconque signification.
— Non, il ne l'ai pas. Je lui ai dit que rien de sexuel ne s'était passé entre elle et moi, mais ça n'a pas suffit a le convaincre alors il va aller s'installé chez un pote quelques temps.
— On dirait que vous êtes en plein divorce, se moque Lysander.
Cette réflexion lui vaux un coup de coude de la part de Raven, qui a fini par refermer son casier pour nous rejoindre.
— Tu devrais lui dire, chuchote Raven. Il n'y a que comme ça qu'il pourra te refaire un jour confiance tu sais.
— Ça ne signifié rien pour moi.
— Ça fait mal de le dire, mais je suis d'accord avec Raven. Tu devrais lui dire.
— Eh ! s'indigne faussement Raven. N'empêche il n'y a que comme ça que tu pourra reprendre un nouveau départ.
Je sais que leur avis et conseilles ne sont pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Et je sais aussi que tôt ou tard tout ce s'est. Mais Griffin ne me le pardonnera pas si il l'apprend de la bouche de quelqu'un d'autre. Alors, je me fais intérieurement la promesse que dés que je rentre, je met la vérité sur le tapis.
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