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♬ m u s i q u e ♬
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Rather Be You - Tom Gregory
— "And when the day breaks, the only hope left is the return of the night"—
NIGHTS meets DAY
— K N I G H T —
Je n'ai jamais particulièrement apprécier les rêves, en parti parce qu'ils m'ont toujours rappeler toute ses choses que je n'ai pas et que je n'aurais probablement jamais.
Les rêves sont les résidus de nos désirs restait dans l'ombre ; ils refont surface pendant que nous sommes vulnérable et hors de contrôle. Notre subconscient, nous joues alors des tours, nous réveillant des désirs inassouvie et passé sous silences.
Je sursaute brusquement, dans le lit de ma chambre d'Atlanta. Le corps parcours de perles de sueurs, je frissonne. Alors, que chaque bribe de la nuit dernière se confond avec le rêve que je viens de faire. L'espace d'un cours instant, l'idée que cette soirée puisse être le résultat d'une âme rêveuse et torturé me tord les tripes. Et si Avery n'avais jamais existé ?
La porte close de ma chambre s'ouvre brusquement, laissant Adley pénétrais dans cette dernière un plateau publicitaire en main. Elle s'immobilise sur le seuil de la porte les yeux écarquillés.
— Tu pourrais mettre un teeshirt, Fitzgerald ! elle s'égosille en posant son regard sur le coin de la pièce le plus éloigné de ma personne.
Je passe la main sur mes paupières, encore lourde de sommeille. J'ignore combien d'heure est-ce que j'ai dormis, mais visiblement ce n'est pas suffisant pour diminuer la fatigue qu'a engendré mon allé-retour a New York.
— Tu pourrais frappé, Hardson, je grogne en plongeant littéralement dans mon oreiller. Je te signal que c'est ma chambre, la pièce où...
— Où t'as couché avec ma sister, merci, je sais. J'ai pas besoin d'un dessin. Sans déconnait Knight, met un teeshirt.
J'esquisse un sourire espiègle en constatant qu'Adley est visiblement déstabilisé par la musculature de mon torse.
— Pourquoi ?
— Tu sais très bien pourquoi.
Adley dépose son plateau publicitaire sur le coin de mon bureau et elle s'abaisse pour attrapé l'un des teeshirts qui recouvre le sol. Le rangement n'a jamais été mon point fort. J'ai toujours été de ceux qui vis dans un éternelle bordel artistique.
D'un geste controlé, Adley balance le teeshirt au travers de la pièce. Le teeshirt atterri sur la tête de lit en bois, je tend le bois vers se dernier, et je me couvre.
— Gueule de bois ?
J'interroge mon ami du regard sans savoir comment prendre sa question. Elle sait que vis a vis de mon père je ne bois presque jamais.
— Non. Pourquoi ? Tu sais très bien que je ne bois pas.
— C'est dommage, j'ai fais un jus de cranberry : le remède parfait contre la gueule de bois. En faite Griffin et moi, on pensait que comme t'avais vue Finley...
— Non. Je... je suis pas désespérait au point de me soulé pour noyer mon chagrin.
— T'es sur de ça ?
— Pourquoi faut toujours que tu sois si négative. Je vais bien, Adley.
— Dixit celui qui a pris l'avion sans laissé aucune nouvelle, hier. Griffin et moi, on as eu peur.
— Rectification. Tu as eu peur. McFord, n'a jamais eu peur pour qui que ce soit. En parlant, il est où ton copain ?
Adley souri, amusé par mes propos. Son regard s'adoucit alors que j'évoque Griffin.
— Il est parti travaillé.
— Au fait, il est quel heure ?
— Aucune idée, elle m'avoue en grimaçant. McFord a oublié de racheter des piles, pour l'horloge, au supermarché.
Je tend la main vers mon téléphone que j'avais abandonné sur ma table de chevet. Je déverrouille l'écran en un instant. Mon regard se pause sur l'horaire écris en grand dans une police blanche attractive. 03:44 p.m. Dans seulement quelques heures je dois être frais et prêt a affronté une autre nuit blanche.
— Et toi ? Tu bosse pas aujourd'hui ?
— J'ai démissionné hier, elle m'annonce. En faite en vingt-quatre heures plein de chose se sont passé. C'est comme si tu venais de manqué toute une saison d'épisode.
J'esquisse un sourire.
— Ce qui explique le jus de cranberry.
Habituellement, Adley n'est pas le genre de fille a prendre le temps de cuisiner. Elle est plus du genre a décongeler des plats tout fait ou a manger les restes des lasagnes faite généreusement par sa tante, dont elle est étrangement proche.
— C'est temporaire. Quand je serais a Londres, j'emporterais avec moi la recette de ma tante.
— Une vrai fée du logis, je chuchote sarcastiquement. Mais Adley, faut que je te dise que personne n'aime le jus de cranberry.
— Si. Toi. Moi. On aime ça, hein, pas vrai ? J'ai même mis de la cannelle. Tu savais qu'il fallait de la cannelle dans ce putain de cette mixture approximative ?
— Beurk, je grimace. Ceci explique sont étrange couleur.
Adley soupire.
— J'ai compris, t'en veux pas : je remballe.
Elle rattrape son plateau chargé d'un verre. Puis elle fait demi-tour, mon regard s'attarde sur silhouette maigrelette. Griffin a beaucoup de chance d'être tomber sur une fille comme elle. Adley est le genre de fille génial, amicale, et sympathique a qui on aimerait être lié a tout jamais. Voilà pourquoi, j'ai du mal a comprendre pourquoi, Griffin ne l'a prend pas au sérieux quand elle dit vouloir plus que du sexe. Ils sont fait l'un pour l'autre ; ça ne fais aucun doute.
— Hardson ?
Adley s'immobilise un instant dans le corridor qui sépare la salle de bain, de ma chambre et de la chambre qu'elle partage avec Griffin. Elle pivote simplement sur ses talons, et penche la tête vers la droite en se mordillant la lèvre.
— T'as rien loupé. C'était du Finley tout craché. New York, la galerie, les clichés... c'était presqu'ennuyeux.
— Peu importe si c'était ennuyeux, elle fini par déclaré, c'était quand même ma soeur.
Après quoi Adley sans retourne et disparait dans la cuisine. Je reste assis dans mon lit encore quelques minutes.
J'ignore si mes paroles au sujet des fiançailles de sa soeur la rassuré. Ce qui est sur c'est que ça l'a beaucoup blesser de ne pas avoir été invité. Tout le monde ignore ce qui s'est passé entre ces deux là, ce qui est sur c'est qu'elles ne semblent pas vouloir tiré les choses au clair.
Je sort finalement de mon lit sans réellement me poser de question. Mes pieds sur le sol, je m'avance au travers de ma chambre, et fini par atteindre la fenêtre, dont les rideaux sont encore tiré. D'un geste bref, j'ouvre ses derniers, et le soleil printaniers de la Georgie m'écrase.
A l'extérieur mon regard ses poses sur l'immeuble qui fait front a l'appartement. Atlanta n'as rien avoir avec New York. Ces deux villes sont aux antipodes l'une de l'autre, a l'exception de la réputation de ville nocturne qui les précèdes. Je pousse un soupire alors que j'observe la vue industriel.
Sur le building, au vitre fumé d'une couleur noir, ce reflète les rayons du soleil, me rappel que la nuit d'hier date déjà de quelques heures. Si seulement, il existait un quelconque moyen pour me prouvé qu'elle a bien exister.
Une personne comme Avery, ne s'oublie pas. Elle a marqué mon esprit. Ici, personne ne peux l'égalé, même Adley ne lui arrive pas a la cheville. Jusqu'a maintenant je n'avais jamais rencontré une personne comme elle. Son altruisme, sa prévenance, son contrôle, sa bienveillance, me marquera a vie. Enfiler un sourire jour après jour, alors qu'a l'intérieur elle est en ruine, est un art que j'aimerais savoir maitriser. Pourtant seule, Avery, semble connaitre son utilisation.
Son sourire, me marque. Dés que je ferme les yeux, il m'apparais comme une évidence. J'aurais aimé l'embrassé. Et je sais qu'elle aussi, mais sa bienveillance a pris le dessus.
D'un pas lourd, et fatigué, je me dirige vers la salle de bain situé a l'extérieur de ma chambre. L'endroit est minime : ça na rien avoir avec ce qu'on pourrait trouvé dans les hôtels casino luxueux d'Atlanta. Parcouru de faïence verte émeraude, la salle de bain parait minuscule d'un certain point de vue.
Les anciens locataires avaient un gout atroce en matière de décoration. Je me souviens qu'en emménageant dans l'appartement, Adley m'a supplié de l'aider a repeindre les murs, afin que notre tanière devienne plus moderne. Aujourd'hui, une couleur beige recouvre les murs, et l'emprunte féminine de mon amie est a peu près partout - dans chaque mètre carré - et ceux même si Adley ne vis pas ici.
Elle a un appartement a deux rues d'ici, qu'elle occupe toute seule. Au départ, c'était censé être le logement d'elle et de Finley, seulement les plans de Finley ont changé et désormais son grand appartement a la Gossip Girl lui appartiens entièrement. Adley dit ne pas aimé y vivre. Elle dit que dans cette endroit, quinze fois trop grand, elle s'y sent a l'abandon. Et que par conséquent elle préfère largement le petit confort de notre appartement a Griffin et moi.
Je me débarrasse de mon teeshirt, puis de mon caleçon, qui finisse par recouvrir le sol carrelé glacé. Après quoi, je m'avance vers la baignoire qui nous sert également de douche. J'enjambe le rebord de cette dernière et ouvre le robinet d'eau datant du siècle dernier.
Il n'y a pas que la plomberie qui devrait être refaite ici. Seulement, je n'ai pas les moyens de m'offrir une baignoire dernier cri et une faïence hors de prix. Mon salaire couvre tout juste les trois quarts du loyer de cette endroit, et la plus part des appartements neuf du quartiers sont trop élever pour songer a le louer.
L'eau fini par couler le long de mes membres, alors qu'au dessus de ma tête, la paume de douche diffuse une eau clair et limpide. Je me délecte de cette sensation, les yeux fermés, les goute ruisselles sur ma peau : ce qui me rappel la pluie torrentiel que nous nous sommes pris Avery et moi, a New York.
Les yeux clos, d'une seconde a l'autre me revoilà au plein coeur de New York, ma main dans la sienne a parcourir Manhattan d'Est en Ouest.
— Toc ! Toc ! s'écris Adley depuis la porte que j'avais préalablement fermé derrière moi.
A l'entente de sa voix, je rouvre mes yeux et la réalité me retombe dessus. Je passe mes mains sur mon visage et les remontes dans mes cheveux, alors mon regard dévie vers la porte.
— Oui ?
— J'ai oublié ma sire d'épilation, elle déclare, je peux venir la prendre, Fitzgerald ?
— Maintenant ? Je suis a poil, Adley.
— T'inquiète pas, elle renchéri, je fermerais les yeux au lieux de me rincé l'oeil. Et oui. Maintenant.
— T'es chiante.
— Rectification. Je suis attachiante. Dépêche toi de te retourné, beau gosse, j'entre !
La poignée fini par s'abaisser, alors que dans un mouvement brusque je me détourne, pour être dos a la porte. Adley pénètre dans la salle de bain, où l'air tiède est humide. Elle tend la main vers l'étagère qui surplombe l'évier jaunie par le temps et l'usage, et elle attrape se dont elle a besoin.
— Grouille toi.
Je sais que malgré mes demandes, Adley prend son temps dans l'unique but de me taquiner. Elle sait que je suis totalement vulnérable lorsque je ne porte rien sur le dos.
— C'est bête, j'étais certaine de l'avoir laissé là.
Je roule les yeux aux ciels, en apposant mes mains sur ma masculinité. Puis je fixe le mur dans un dédain impressionnant.
— Elle est peut-être dans ton appart', je suggère sans me dévié des faïences verte.
— Impossible, elle m'assure, je l'ai apporté ici y a des mois, en pensant qu'elle serait peut-être utile pour ta prochaine petite amie.
— Vous vous prêter la sire ? je déclare en grimaçant.
— Les copines oui. D'ailleurs faut que tu te remette en selle, un apollon comme toi devrait facilement mettre le grappin sur une fille sympa, belle et contre la chirurgie esthétique.
— Je rêve où tu me matte ?
Un rire nerveux s'échappe des lèvres d'Adley.
— Tu n'as aucun secret pour moi, Fitzgerald.
Je reste silencieux, alors qu'Adley fini par attrapé la boite de sire dont elle avait si besoin dans l'instant. Je lui jette un regard par dessus mon épaule, et je la vois se diriger vers la porte de sortir. Elle se retourne, et attrape la porte, un sourire espiègle sur les lèvres.
— Jolie p'tit cul, Fitzgerald.
Après quoi, Adley s'empresse de refermer la porte de la salle de bain.
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