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Chapitre 15

PDV De Gale

29 décembre, tôt le matin...

Aéroport de Londres, Grande-Bretagne

Je me réveillai avec un grand mal de tête. La drogue qu'elle m'avait donnée était très puissante visiblement. Je me trouvais dans une petite pièce, assis sur un canapé rouge très élégant. Un écran plat était incrusté dans le mur et une télécommande d'un blanc épuré était posée sur le sofa. Pour le reste la pièce était vide. Je portais toujours mes habits déchirés mais mes plaies avaient été bandées. La télévision était allumé. Victoria y passait. J'eus beau changé les chaînes, elle y était toujours. "La princesse est de retour", "Victoire de la couronne" c'était cela qui était présenté sur tous les postes. Et ce à travers le monde. Hong Kong parlait d'elle comme une femme dont le courage égalait sa beauté, New-York la comparait  à une sorte d'héroïne et Londres à la meilleure reine que la Grande-Bretagne n'aurait jamais. Je ne savais pas si j'avais envie de rire ou de pleurer. Elle était là et paraissait si sincère dans son rôle d'héritière orpheline et pourtant si déterminée. Je savais ce que l'anglais moyen devait se dire. La pauvre porte son pays dans son coeur comme le faisait son arrière grand-mère, elle est la seule héritière possible.
Je stoppai sur une chaîne où elle faisait visiblement une déclaration publique en direct.

PDV DE Victoria
08:45 le 29 décembre
Dans le studio-salon de la télévision londonnienne la plus regardée...

-Comment j'ai fait face à la situation ? Honnêtement je ne sais pas, mon père ne répétait que ma force était dans ma famille. Dans ma patrie. Quand ce malade m'a enlevé, j'ignorais ce qu'étaient devenus mes parents. J'ai fait le deuil de mes parents et de ma vie mais je n'ai pas réussi à faire celui de mon pays. Vous êtes ce qui m'a fait tenir.

Le journaliste semblait avoir une larme à l'oeil. Tous les techniciens me regardaient avec un mélange de tendresse et de respect. Je jouais bien, si bien que j'y croyais presque. Le reporter regarda ses notes.

-Parlez-nous de votre malfaiteur, que savez-vous sur lui ?

Les questions étaient si prévisibles. J'imaginais Gale qui me regardait peut-être et perdis un peu de ma confiance en moi.

-Jared Wilson, veuf. Sans famille. Il m'a beaucoup parlé de lui, je ne sais s'il était vraiment qui il prétendait être mais ce que je sais c'est qu'il était psychologiquement instable. C'est pourquoi la couronne a décidé, afin d'éviter au maximum d'autres terribles événements comme celui-ci de se reproduire, de verser 1,5 million dans les instituts spécialisés en psychiatrie.

Un murmure se fit entendre dans la salle. Ils étaient tous convaincu de ma sincérité. Le journaliste me posa encore quelques questions avantde prendre congé, à contre coeur.

J'étais fatiguée. Je me rendis ensuite à l'hôpital pour voir mon père. En le voyant dans son lit d'hôpital, j'eus un pincement au coeur. Et si tout avait été différent ? Et si mes parents m'avaient donné plus d'amour, serais-je là aujourd'hui ? Je pleurais. Pas cet inconnu que, au fond, je ne connaissais pas, mais ce père que je n'avais jamais eu. Ce père absent, trop occupé par la politique. Je pleurais toutes les larmes de mon corps.

Je sentis une légère piqûre dans la nuque. Étourdie, je me retournai. De grands yeux bleus glacial rencontrèrent les miens. Une femme aux cheveux noirs me souriait.

PDV De Gale
29 décembre
Dans ce salon de merde...

Je me levai et frappai à la porte. Personne ne répondit. J'essayais de l'ouvrir mais impossible. Je préférai attendre avant d'utiliser tenter de crocheter la serrure. Il y avait sûrement suffisamment de personnes dehors qui n'attendaient qu'une occasion de me buter. Alors je m'assis etme concentrai sur ma respiration.
Quelques heures plus tard, la porte s'ouvrit sur un mec énorme. Je compris assez rapidement qu'il était là pour me tuer. Je ne lui laissai pas le temps de sortir son glock et le frappai violemment au visage. Il riposta et m'envoya une puissante droite. Je tendis ma jambe et l'envoyai valser. Après plusieurs minutes de combat, je me sentais plus faible. Je devais absolument l'achever. Je sprintai vers on flingue qui avait glissé dans un coin de la pièce. Le coup partit tout seul.
Je laissai la dépouille salir le sol de son sang et sortis de la pièce. Je remarquais trois gardes étendus sur le sol, une balle entre les yeux. Mademoiselle
Elle m'avait retrouvé. Et elle avait sans aucun doute envoyé quelqu'un pour Victoria. Je courrus le long des couloirs, le pistolet en main. Il fallait que je la retrouve. Devrais-je attendre indéfiniment une occasion pour l'embrasser à nouveau, pour lui arracher ses vêtements ?




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