Never Chance Chapitre 20
Mini-fiction: Never Chance
Chapitre 20
Je le vois, je crois le voir...ce n'était qu'une illusion. Une simple illusion. Ma tête me joue des tours. Je commences vraiment à la détester. La douceur de sa voix me manque. La tendresse de ces mots me sont devenus indispensable. L'attachement qu'il me procure m'empêche de respirer. Le soucis de l'orgueil me reviens en plein dans l...a figure. Je me désespère. Je perds peu à peu la confiance que je mettais faite en commençant ce jeu ou plutôt cette torture. Je l'aime, il m'aime, je lui faits du mal, je me fais du mal. C'est un jeu, qui tourne mal. Je détruits ma santé à mal me nourir, à me taillader ma peau. Je me fais du mal, je devrais arrêter. Je vais finir par commencer la cigarette, l'alcool, la drogue si je continues dans cette voie-là. La malchance d'être tombé dans le jeu et de se détruire. Je n'aurais jamais due mais maintenant c'est faits. Je vais me reprendre en main avant de finir morte noyée, suicidée. Je fredonne notre chanson, notre chanson à tout les deux. La chanosn représentant notre amour maintenant disparu ou en voie de disparition. Je détruits notre amour et nous au passage. Je suis une aveugle, une attardée. Je vais finir par allée en hôpital psychatrique. Je ne vais pas très bien et cela se lit sur mon visage. Des poches violettes sous mes yeux du à la fatigue, au stress, à la douleur, à la souffrance et au manque de someil. La gastro est arrivée vraiment au bon moment maiquerais plus que j'ai la grippe ou une pneumonie. Je suis qu'une ombre. Une petite ombre presque invisble, imperciptible, incompréhensible. Elle bégaye sa douleur et personne ne comprend ce qu'elle dit alors ils partent la laissant seule avec elle-même, à trouver les mots alors qu'elle fait juste que les murmurés mais ils sont tellement dure à dire qu'elle bégaye. Je suis mentalement pertubée, psychologiquement retardée, physiquement abordable. Je ne suis plus rien sans lui, plus qu'une ombre qui se cache du soleil parce qu'elle brûle. Les cheveux un peu mal mis, je les remets en place. Des mèches rebelles et trop courtes sont sorties de ma couette ce qui me donne l'air d'un lion asoiffé dans le miroir. Détruire plus que de l'intérieur et à l'extérieur souriante. Il a raison je ne suis plus la même. La fille que j'étais quand il ma rencontrée est au fond de mon coeur et ne demande qu'à sortir pour échapper mon corps du monstre qui l'habite. Une seconde de plus et je mourais. Une seconde de moins et je vivais. Telle est la vie. Je ne sais pas comment dire que je l'aime. Je t'aime est trop familier, est trop courant, est trop mensongeux. Je t'aime est très souvent utiliser et on peut encore facilement mentir dessus. Je l'ai faits il y a quelques jours en lui disant que je ne l'aime pas. Il est plus facile de dire "Je ne t'aime pas" que de dire "Je t'aime". C'est comme ça, c'est la nature humaine. Dire à quelqu'un qu'on l'aime, lui permet de nous détruire. Dire à quelqu'un qu'on l'aime, lui prouve qu'on est comme acquis, il peut nous considérés comme. La vie à ses bons comme ses mauvais côtés, comme chaque humain ou être vivant. Toujours devant l'évier, je pars en direction d'un autre endroit, je pense que je vais allée dans la cuisine cherché un verre d'eau. La gorge sec cela me fera du bien. Je titube jusque là-bas. Je me cramponne à tout, au mur, a la porte, aux comptoir, je m'appuye sur tout. Je ne sais même plus marchée. Je sors un verre de l'armoire, le remplis d'eau du robinet et bois une petite gorgée. Le liquide transparent, je le sens passé à l'intérieur de mon oesophage qui est en feux. Je tiens le verre dans mes mains, elle commence à tremblées. Le verre n'est pas assez remplit pour que de l'eau sors mais il m'échappe des mains. Il glisse à cause des tremblements et s'écrase par terre pour finir en petit morceau. Je me tiens au comptoir. Je finie par poussée sur mes mains pour me hissée sur le comptoir. Je suis pieds nus et les morceaux de verre ne vont pas devenir mes amis. J'essaye d'attrapée le balai qui se trouve au bout du comptoir. Je l'essaye mais ni arrive pas. Après plusieurs tentatives, je tombe du comptoir. Mon corps dans les éclats de verre. J'en ai une dans le pied gauche et une qui a tranchée mon poignet droit. Je me lève et marche encore plus difficilement jusqu'à la salle de bain. Un débris de verre est coincé dans mon pied gauche. Il est enfoncé dedans. Je laisse derrière chacun de mes pas, une petite trainée de sang venant de mon poignet, des taches rondes, des traces de pieds, des taches, des longues taches comme des petites. Quand je m'arrêtes c'est une mini flaque qui orne le sol. Je perds beaucoup de sang. Une remontée acide dans la gorge, sors de ma bouche et se retrouve sur le sol. J'arrive enfin à la cuisine. Je laisse une autre remontée acide dans les toilettes et fous mon bras sous l'eau du robinet. Beaucoup d'eau et beaucoup de sang glisse dans le lavabo pour tombée de le trou d'évacuation. Il y a de plus en plus de sang. Je vais finir par mourir à cause du manque de sang. J'arrive l'eau. Je regarde mon sang. Une envie de faire une autre sortie pour le sang me prend mais je me retiens le plus possible. Je prends un bandage et du désinfectant. J'essaye de soignée ma plaie. La désinfectant me brûle. Je cries un petit coup pour laissé enfin échapper ma douleur et ma souffrance. J'essaye de stopper l'écoulement de sang mais rien n'y fait. Vite le bandage est recouvert de sang. J'avais déplace hier l'armoire à pharmacie dans la salle de bain et bien je n'aurais pas due. Du sang sur mes vêtements. Je sens que ce legging noir et ce t-shirt vert seront pour la poubelle. Une plaie c'est ouverte sur mon genoux. Du sang en sors. Mon pied saigne encore. Je vide de mon sang et ne sais rien y faire. Mes forces s'affaiblissent encore et de plus en plus. Je retire mon bandage et le lance à l'autre bout de la pièce. Je sens que j'aurais due restée couchée dans mon lit. Le sang coule moins de mon bras. Je réussies enfin à le stopper. Je l'entoure d'un autre bandage après l'avoir désinfecter. Je retire mon legging pour voir l'état de mon genoux droit. Il es ouvert. Je manque de m'évanouir mais me reprends. Ce n'est pas le moment. Il faut garder son sang-froid. Je dois retser limite de marbre face à ça et non commencée à paniquée. Plus on panique, plus le sang passe vite dans le corps. J'essuies la plaie pour mieux l'examiner. Un débris est logé dans le coin de ma peau. Je prends une pince à ongle et essaye de le retirer. J'arrive à mes fins après 3 tentatives, un cris, et 5 larmes. J'ai un grand taux de douleur mais là cela fait mal, vraiment mal. Je désinfecte aussi et enroule d'un autre bandage. Je vais bientôt devoir achetée un nouveau tube de désinfectant et des nouveaux bandages si cela continu. Je m'occupe maintenant de mon pied gauche. Je vois que le out de verre est verticale dans mon pieds et bien enfoncé. Du sang coule encore. Je pense que l'éclat qui est énorme stoppe un peu l'écoulement de sang. Je tire la chasse et baisse la lunette et la planche et puis m'assoies sur les toilettes pour avoir plus facile. Ce n'est pas ma semaine et encore moins ma journée. Je tire d'un seul coup sur le débris. Cela fait mal mais il est presque totalement enlevé. Beaucoup de sang sors avec. Je tire un dernier coup et la met dans l'évier. J'enroule mon pied d'un essuis. Je me lève et fait du cloche-pied jusqu'au désinfectant au passage je tombe en me prenant le pied dans le tapis de bain qui est devant l'évier. Il est plein de sang et maintenant même si c'est un éponge va bientôt commencer à ne plus savoir absorbé. Je me relève avec beaucoup de mal parce que ramper n'est pas pour moi. Je prend le désinfectant et vide presque tout le tube sur ma plaie. Cela pique plus que jamais. Je me mords la lèvre inférieur jusqu'au sang tellement fort que du sang en sors. J'enroule mon pied d'un bandage quand l'écoulement abondant de sang est fini. Je me place devant l'évier. Les mains sur le rebord pour tenir debout. Je mets sur la pointe des pieds avec mon pied gauche tandis que mon droit est à plat. C'est mieux ainsi. Cela fait moins mal. Je déglutit un grand coup parce que j'ai sentie une rémontée acide. Je ne sais pas si il me reste quelque chose encore dans mon estomac, cela m'éttonerais. Je finie par remettre quelques secondes après dans l'évier. Je le rinces avec un gant de toilette. Je me nettoies la bouche et sors de la salle de bain en boittant. Je pars dans ma chambre en me tenant au mur et finie par me couchée sur mon lit. J'y reste toute la journée. La sonette retentit, je n'y vais pas. Je suis trop essouflée et fatiguée que pour aller ouvrir. Je ne sais même plus mettre un pied l'un devant l'autre. Je restes bien sagement dans mon lit, c'est mieux ainsi. Je sens que je commences à partir pour un monde merveilleux, celui des rêves et de la paix où le monde d'aujourd'hui est inpensable, interdit. J'adore ce monde il est si apaisant, si paradisiaque, si parfait. Je m'enfonces dedans pendant que quelqu'un est derrière la porte d'entrée à sonner et surement à s'inquiété. Je m'endors, je n'entend plus rien, je suis en plein rêve...
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Suite à un commentaire et un vote. Merci de lire le message qui vous est adressé dans la partie précédente. Si, il y a un commentaire, je posteais le chapitre 21, demain. Mais, jamais, deux le jours-mêmes. Histoire de faire duré le suspens. Il reste du chapitre 21 au chapitre 31 avec une petite suprise. :) Merci de continuer de lire cette coute histoire, de l'avoir mise à la #187 place.
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