Cette année, je viens d'entrer au lycée, je suis à l'academy school Abraham Lincoln avec mes amies de primaire, Sarah et liz. Trois mois viennent de s'écoulés après la rentrée, aujourd'hui, tout se passait comme d'habitude...enfin...ça aurait dû. Le matin, après que la prof ait finie de faire l'appel, elle commença à faire un discours qui sert à rien à propos d'une nouvelle élevé, qui se nomme blacky, qui allait être dans notre classe. Soudain, une fille avec un cache-oeil rentra dans la classe toute essoufflé : ??? : excusez-moi pour mon retard...               

la prof : ce n'est rien, blacky, rentre, je t'en prie                                                                       

cette fille avait les cheveux châtain clair et ses yeux étaient bleu. Elle portait un sweet blanc, un jean un peu déchiré et des gants noirs. La prof lui a dit de se mettre à côté de moi, j'étais très contrailler car je voulais rester toute seule et je me suis dis "bordel, fait chier!!! Moi, je veux être tranquille mais on me colletine quelqu'un à côté de moi, je t'emmerde, sale prof de merde!!!"

la fille se mit à coté de moi puis elle me fit un sourire et en retour, je n'ai fais que l'ignorer. à midi, je me mise sur un banc isolé pour manger tranquille mais la fille de ce matin s'assit à coté de moi  et commençait à taper la discute : blacky : salut, je peux manger avec toi?                             

moi : oui...

blacky : merci*sourit* tu t'appelles comment?

moi : Ophélie...

blacky : je pense que tu le sais déjà mais je te le dis quand même, moi, c'est blacky ! ça te dis qu'on devienne potes?

moi : pourquoi tu veux être amie avec moi , il y a d'autres filles plus cool que moi et puis, d'abord, je préfère être seule

blacky : aller, ne sois pas modeste et en plus par rapport aux autres filles, je te préfère toi que ces connes

moi : ah oui, pourquoi?

blacky : tu es différente et c'est ça que j'aime chez toi

moi : ah d'accord , si tu le dis...

blacky : on rentre ensemble après les cours? 

moi : non, merci, ça ira...

après avoir fini mon déjeuner, je suis parti dessiner dans mon coin à mon habitude mais blacky m'a suivis comme un petit chien et ça , tout la journée. après les cours, blacky m'a foncé à rentrer avec elle : blacky : je suis super exciter !!!

moi : pourquoi ?

blacky : c'est la première fois que je rentre avec une amie

moi : je suis pas ton ami , je suis l'ami de personne

blacky : ah bon ? et les deux filles qui sont avec toi , c'est qui ?

moi : juste des connaissances...

blacky : c'est quoi le dessin que tu faisais , tout à l'heure?

moi : rien

blacky : ne dis pas rien , c'était trop bien dessiner !!! tu dessines trop bien

Moi : ...

Plus on marchait, plus blacky parlait et me posait des questions inutiles. Je me disais "pitié, faites que la maison sois pas trop loin". Arrivé à la maison, j'ai couru pour rentrer au plus vite à l'intérieur pendant que blacky me disait "à demain". Dès que je suis rentré, j'ai poser mon sac à l'entrée puis je me suis poser sur le canapé en ouvrant une canette de soda en me disant "au moins, cette pot de colle ne m'embête plus, maintenant, je suis tranquille". J'ai allumé la télé et juste après que je l'ai allumé, un flash spécial est apparu : présentatrice : bonsoir, un meurtre vient d'être  signalé vers l'academy school Abraham Lincoln, la victime était une jeune fille de 16 ans qui se prénommait kate law. Ça fait la 6e victime de ce mystérieux tueur en série, par gouvernement a décidé d'instaurer quelques règles de sécurité provisoires en attendant de coincé le tueur. Merci d'avoir suivi ce flash spécial.

Moi : *éteins la télé* putain, encore?! Ça devient chiant tout ces meurtres, si c'est ça, je vais prendre un bain...

J'ai préparé mon pyjama puis je suis allé me faire couler un bain. Après que ma baignoire soit remplie, j'ai enlevé mes vêtements et je suis entré dans la baignoire. Soudain, j'ai sentis des mains avec des griffes me frotter doucement le dos, j'ai essayé de bouger mais je n'arrivais pas, c'était comme si mon corps ne me répondait plus. À un moment, pendant que "la chose" qui était entrain de me caresser et de me lècher le cou, se mit à me parler près de l'oreille avec une voix démoniaque et lointaine : ??? : tu aimes quand je te touche comme ça? *ricane* oh, on dirait que tu veux t'enfuir, ça ne sert à rien de vouloir partir, laisse cette douce folie s'empare de toi~
La chose me pris par la tête, m'a délicatement allongé dans la baignoire puis elle me fit un baiser sur le front. D'un coup, elle commença  à essayer de me noyer en riant aux éclats. Puis soudainement, j'ai réussi à  me défaire de l'emprise de la chose. Je suis sortie de la baignoire puis après avoir entouré d'une serviette avec précipitation, je suis sortie en courant dans ma chambre et je ne pas sortie de celle-ci jusqu'au lendemain. Le matin, je suis sortie de chez moi pour aller au lycée quand j'ai vu blacky me faire des gestes avec les bras pour me montrer sa présence puis elle se rapprocha de moi : blacky : salut, ça va?

Moi : oui...et toi?...(merde)

Blacky : oui, ça va, dis ,comme on finit les cours plutôt, tu veux bien qu'on passe l'après-midi ensemble ?

Moi : désolé...mais je préfère rester seule

Blacky : s'il te plait! Et puis c'est pas bien de rester toujours toute seule

Moi : pff...pourquoi tu t'inquiète pour moi, on se connaît que depuis hier et j'ai pas besoin d'amies

Blacky : non ! Tu resteras avec moi, si tu le veux ou non !

Moi : *soupir* très bien...(ça sert à rien d'insister avec elle)

Elle me prit par la main puis on commença à marcher vers le lycée, arrivé devant, je me suis mise à courir  jusqu'à la salle de classe pour semer blacky mais en vin, elle me rattrapa très vite : blacky : et ben, on dirait que tu as hâte d'avoir cours

Moi : (je n'ai aucun répit avec elle)

Pendant toutes les cours qu'on avait, blacky s'est couler à moi, je n'en pouvais plus. Quand on a fini les cours, on est parti chez blacky pour passer l'après-midi : moi : bon, on va faire quoi ,quand on sera chez toi?

Blacky : ce que tu veux...ah oui, j'avais oublié ! Je vais te présenter quelqu'un quand on sera chez moi.